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Elle m’a fait découvert ma bixeseualité

Elle m’a fait découvert ma bixeseualité



Je suis une étudiante universitaire de vingt ans. Pour des raisons financières, (et maintenant sentimentales) je partage mon appartement avec une autre jeune fille. Elle s’appelle Julie, elle a, tout comme moi vingt ans et elle est canon. Elle me laisse pas indifférente. Elle une personne charmante avec qui je m’entends à merveille. Et quand je dit « à merveille » c’est presque euphémiste. Je me sens si bien avec Julie que je l’accueille maintenant toutes les nuits dans mon lit.

Ma coloc, qui est donc devenue mon amante, est une jolie blonde aux cheveux courts et aux yeux bleus qui m’ensorcèle. C’est une jeune au corps très bien proportionné. Elle aurait très bein pu être mannequin. Elle est lesbienne à 100%. En ce qui me concerne, je suis de taille moyenne, des longs cheveux châtains et j’ai découvert avec Julie ma bisexualité.

Je vous dit que ma coloc n’est pas « reposant », je veux dire que depuis qu’elle s’est déniché un nouvel emploi, elle ne m’a pas donné la chance de me reposer. Avant, elle m’empêchait de dormir avec ses gémissements trop fort en se masturbant. Maintenant, elle et moi, nous faisons constamment l’amour en utilisant une panoplie de dildo et de vibrateurs. La jouissance la plus totale est assurée.

Julie s’est trouvé du travail dans un sex shop. Elle est embauchée comme vendeuse. Elle doit aussi fournir, comme conseillère, des informations aux clients sur tel ou tel produit en magasin. C’est pourquoi, pour être capable d’en parler, elle apporte chaque soir à l’appartement de nouveaux gadgets dans le but de les essayer. Je profite maintenant de ces échantillons autant qu’elle.

Quand j’ai loué mon logement, un quatre et demie, j’ai mis une annonce disant que j’étais à la recherche d’une colocataire. C’est ainsi que j’ai fait la connaissance de Julie. Quand elle s’est présentée chez moi, elle portait une blouse blanche et une mini-jupe noire très courte. je l’ai trouvée très attrayante. Elle travaillait comme serveuse dans un bar de la rue St-Catherine. Elle a quitté cette emploie peu de temps après et elle a tout de suite embauchée par la boutique érotique.

Au tout début, par souci d’honnêteté envers moi, Julie m’en a informée au sujet de son homosexualité, me précisant qu’il n’y avait à ce moment-là personne dans sa vie. Je lui ai dit que si elle voulait ramener quelqu’un un soir à la maison, elle était la bienvenue, que ça ne me dérangeait pas du tout. J’ignorais encore que la fille avec qui elle allait coucher, serait moi.

Julie ne m’a fait aucune avance sexuelle au cours des premiers jours qui ont suivi, même si elle m’a désirée ardemment dès qu’elle m’a vue. C’est elle qui me l’a dit par la suite. Je suis en plein le genre de filles qu’elle aime: les yeux marrons, assez mince, avec des gros seins.

Initialement, elle et moi dormions chacune dans notre chambre. Les deux pièces sont adjacentes et ne sont séparées que par une mince cloison. C’est ainsi que chaque soir, après que nous nous étions mises au lit, j’entendais des gémissements de plaisir qui provenaient de la chambre de ma coloc. Je me disais que cette fille-là était sérieusement en manque de sexe pour se masturber ainsi à tous les jours. Je ne savais pas encore qu’elle de faisait jouir avec des vibrateurs et des dildo empruntés au sexe shop.

De temps en temps, Julie rapporte encore aussi à la maison de la fine lingerie: G-strings et des camisoles transparents, des soutien-gorge aux bouts percés, des petites culottes à l’entrejambe ouvert, des bas culottes qui laissent les fesses à l’air, des porte-jarretelles, des robes de nuit translucides, etc. En tant qu’employée de la boutique, elle peut acheter ces légers vêtements à rabais. Elle m’en offre souvent. Pour m’aguicher, elle déambule devant moi avec ces petits riens sur le dos. Ça m’allume toujours et je me rue pratiquement sur elle. J’avoue que ça l’excite de me voir en petite tenue. Ce qui me plait le plus, c’est d’entrevoir la forme voluptueuse de ses superbes seins sous un mince tissu. Elle préfère me voir en G-string, avec une mince corde entre les fesses.

Quelques fois, nous passons la soirée ensemble dans une agréable atmosphère érotique. Une douce musique, un éclairage à la chandelle, une coupe de vin et déshabillé transparent révélant nos charmes, constituent un cocktail explosif. Nous passons rapidement aux actes, puis l’extase.

Avant que nous couchions ensemble, seule dans sa chambre, Julie s’habillait parfois le plus sexy possible, se contemplait dans le miroir et se masturbait ensuite dans son lit. Elle faisait littéralement l’amour avec elle-même.

Cela faisait environ trois semaines que Julie cohabitait avec moi quand elle est venue pour la première fois dans mon lit, dans tous les sens du terme. Ce soir-là, tandis que nous soupions tardivement toutes les deux, je lui ai demandé comment elle trouvait son nouveau travail au sex shop. Elle m’a répondu qu’elle s’y amusait plus qu’autre chose.

« Tu devrais venir visiter notre boutique, m’a-t-elle dit. tu serais impressionnée par la quantité de gode et de vibrateur que nous avons en montre. Et tout ça, c’est surtout pour faire jouir les femmes. »

C’est à ce moment-là qu’elle m’a appris qu’elle apportait à la maison un ou deux objets différents chaque jour pour les essayer.

« Tu te fais jouir avec? » lui ai-je demandé.

« Oui! Je me masturbe avec un gode ou un vibrateur tous les soirs », m’a-t-elle avoué.

Elle m’a dit cela en toute franchise, sans gêne apparente. Pour appuyer ses dires, elle s’est rendue dans sa chambre et est revenue avec un gros pénis artificiel en caoutchouc. Elle l’a déposé devant moi sur la table.

« En ce qui me concerne, je préfère ça au vrai truc », a-t-elle précisé.

Curieusement, intriguée et amusée à la fois, j’ai pris le gode dans mes mains. Ça m’a fait un drôle d’effet. Il était l’exacte réplique d’une grosse verge en érection. il avait même des nervures sur le côté, imitant les veines d’un vrai pénis.

Je ne m’était encore jamais servi d’un objet quelconque pour me masturber et j’avoue que cette fois-là, j’étais bien tentée de le faire. Julie a dû lire dans mes pensées, puis elle m’a dit: « Si tu veux l’essayer, je peux te le laisser jusqu’à demain matin. J’en ai apporté un autre. Je compte bien l’utiliser avant de m’endormir. »

Julie m’étonnait par sa façon de parler direct et sans gêne. C’est ce qui me plaisait en elle, cette franchise naïve qui ne laisse aucun équivoque. Je lui ai dit que j’allais l’essayer, mais cet aveu m’embarrassait un peu. On ne dit pas souvent à un autre fille qu’on va se masturber avec une pénis artificiel.

Le repas terminé, Julie a dit qu’elle s’occupait de la vaisselle et que si je le voulais, je pouvais aller me coucher tout de suite. Elle m’a sourit d’un air complice en me disant ça. Pour être franche, il me tardait beaucoup d’essayer le gode. Le prendre dans mes mains m’en avait donné envie. J’ ai donc souhaité bonne nuit à Julie, en sachant très bien qu’elle-même, une fois dans sa chambre, allait bientôt se masturber joyeusement avec un autre gode.

Je me suis installée confortablement sur le dos, les jambes écartées, toute nue dans mon lit. J’étais excitée et me suis facilement inséré ce gros pénis artificiel dans mon vagin lubrifié et dilaté. J’ai commencé à lui donner un mouvement de va-et-vient, lentement au début, puis de plus en plus rapide. Cela faisait six mois que je n’avais pas fait l’amour avec un homme et le fait d’avoir en moi ce pénis me faisait le plus grand bien. J’en ressentais un plaisir qui allait en s’intensifiant. D’une main, je me suis caressé les seins et de l’autre, j’ai continué à me masturber avec le gode de façon frénétique. J’ai joui en poussant un petit cri. Chose curieuse, je savais qu’à ce moment-là, Julie avait déjà regagné sa chambre, mais aucun son ne me parvenait.

J’allais, bientôt m’endormir quand on a frappé doucement à ma porte. C’était Julie. Elle était nue sous une robe transparente. Dans l’embrasure, à contre-jour, j’ai vu toutes ses formes sensuelles. Elle s’est avancée lentement vers mon lit. Elle avait à la main un long gode flexible à double tête, conçu spécialement pour être utilisé par deux femmes en même temps.

« Ce gode m’appartient. J’aimerais beaucoup l’utiliser avec toi. J’ai envie de toi! » m’a-t-elle dit, toujours aussi directe.

Sans que je puisse vraiment me l’expliquer, moi aussi j’avais alors envie d’elle. Je savais que cette nuit-là, j’allais faire l’amour avec une autre fille pour la première fois de ma vie. en guise de réponse, j’ai ouvert les draps de mon lit. Julie a dénoué sa robe de nuit qui est tombée à ses pieds et s’est allongée près de moi. J’ai constaté que son pubis était entièrement rasé. Elle a rangé le double gode sous un oreiller. Nous nous sommes embrassées passionnément. Julie m’a caressé doucement les hancher et le dos. J’ai frémi de plaisir quand sa main a cajolé mes seins aux mamelons vite érigés. Je mouillais autant, sinon plus, que si j’avais été avec un homme. Je me suis risquée à mon tour à lui caresser les hanches et les cuisse. J’ai été étonnée par la douceur de sa peau. Puis de façon naturelle, ma main s’est posée sur ses seins. La sensation était très agréable.

Julie s’est installée à cheval sur moi. Elle s’est frotté la vulve sur mon ventre. J’ai senti sa main venir me caresser le sexe trempé. Mon clitoris était bien dur et gonflé. J’ai gémi en tressaillant. Ma partenaire a récupéré le gode et me l’a aisément inséré par un bout dans le vagin. Elle s’est ensuite introduit l’autre bout dans la vulve et s’est penchée sur moi pour continuer à m’embrasser. Elle ondulait du bassin. Ses mouvements faisaient bouger le gode double et nous procuraient du plaisir. Déjà bien émoustillée par cette situation nouvelle, j’ai rapidement eu un orgasme. Julie s’est trémoussée sur moi pendant encore quelques minutes et elle est venue à son tour en criant.

Julie voulait me faire expérimenter d’autres plaisirs lesbiens. Nous avons mis le gode de côté et nous avons passé le reste de la nuit à nous servir de nos langue. C’est Julie qui m’a mangée la première, savourant ainsi sa nouvelle conquête. Elle m’a léchée voracement. Elle m’a fait jouir intensément en un rien de temps. Elle m’aussi procuré un vif plaisir en me léchant l’anus. Je lui ai léché moi aussi le vagin épilé. J’admets que j’ai adoré cela aussi que je lui ai léché son trou du cul à mon tour. Julie m’avait si bien allumée, que je lui aurais fait n’importe quoi.

Depuis cette première nuit torride, nous couchons toujours ensemble. Je suis tombé en amour avec Julie et c’est réciproque. Nous ne dormons pas beaucoup. En c=sa compagnie, j’ai pu essayer toutes sortes de nouveaux vibrateurs et gode. Le dernier gadget qu’elle a apporté à la maison et une sorte de soutien-gorge vibrant. Il stimule les mamelons et les maintient dressés en permanence. ile est très efficace. J’ai eu un orgasme rien qu’en m’excitant le bouts des seins.

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