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un divorce compliqué (4)

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Le lendemain matin, je me réveillais dans les bras de ma mère. Elle était serrée contre moi, sa tête doucement posée contre la mienne. Elle dormait profondément. Je me levais sans faire de bruit, et me dirigeais vers la salle de bain. Je pris une douche rapide, puis en me séchant, je vis que ma mère avait nettoyé sa petite culotte dans laquelle j’avais giclé la veille, et qu’elle séchait suspendue à coté des serviettes. Je me remémorais du coup la conversation que j’avais eu avec ma mere au téléphone. Ce n’était pas rien, de confier à sa propre mère que l’on branle en pensant à elle, en utilisant sa culotte.
Fébrilement, je sortis de la salle de bain, nu, en pleine erection. Ma mère s’était reveillée entre temps, et lisait ses messages sur ton smartphone. Je m’approchais d’elle. Elle me regarda, vit mon état, posa doucement son smartphone à coté d’elle. Je m’assis sur le bord du lit. On se regardait sans parler. Je tirai les draps qui couvraient ma mère vers moi. Elle dormait dans une petite nuisette noire assez transparente. Je contemplais ses seins, en me sentant durcir encore plus.
– Maman, j’ai envi de voir ta chatte.
Ma voix était à nouveau presque inaudible, j’avais parlé presque dans un souffle.
Je tirai encore un peu plus le drap vers le bas, jusqu’en dessous des cuisses. Je crus déceler une certaine gène sur le visage de ma mère, furtif, mais elle ne dit rien. Au travers de sa nuisette, je pouvais deviner clairement sa toison. Elle ne portait pas de culotte. Je relevais un peu la nuisette pour contempler sa chatte. J’avais l’impression que mon gland allait exploser tellement il était dur et erigé. Mon regard se perdait dans la toison de ma mère, ses petites boucles de poil brunes, et sa fente bien distincte au milieu. Je posais ma main sur sa cuisse, et la remonta jusqu’à son pubis, j’approchais doucement mon visage. Mes doigts glissaient dans les poils de sa chatte, contre sa peau, avançant vers sa fente, puis, une fois juste à coté, je me mis à en faire le tour. Je touchais le bord de sa fente en remontant doucement. Sur le dessus, je me dis que son clitoris ne devait pas être loin, mais je redescendais mes doigts de l’autre coté de sa fente. J’en faisais le tour. Je savourais le contact des poils de sa chatte contre ma peau. Je ne sais pas pourquoi je laissais glisser mes doigts comme cela, autour de la fente de ma mère, sans doute par ‘respect’, quoi que là, je ne sais plus trop si je la respectais vraiment en tant que mère. Cette barrière, ce tabou, peut-être, retenaient ma main.
De mon autre main, je déboutonnais les quelques petits boutons de la nuisette, et l’ouvrit, mettant à nu les seins de ma mère.
– Comme tu es belle, maman
De sa main, elle attrapa mon sexe, et se mit à le caresser doucement. J’en profitais pour écarter la vulve de ma mère. Mon regard plongea en elle et ce fut comme un électrochoc. Je voyais tout de son intimité. Je plongeais deux doigts en elle, qui entrèrent tous seuls, elle était humide, je me mis à la doigter. C’était chaud, c’était doux, et mouillé. L’odeur de sa chatte, si familière dans ses culottes, commença à se faire sentir. Je n’en pouvais plus. Je m’allongeais sur ma mère, mon sexe dur contre sa chatte mouillée. Je la serrais contre moi. Des images me revinrent, de ma mère en colère, à cause de mes résultats scolaires, me donnant une gifle, puis une punition. Des images de ma mère en robe tres elegante lorsque nous allions au restaurant avec mon père. Je glissais ma queue dans sa chatte. Elle rentra toute seule. Je me mis à aller et venir fort. Ma mère soupirait doucement. Ma queue glissait toute seule en elle.
Je me dis que cela devait faire un moment que ma mère n’avait pas reçu de bite. Depuis un mois et demi, c’était sur (depuis la séparation), mais sans doute avant également, quand ça n’allait pas avec mon père.
Je la baisais fort, ma queue glissait toute seule, elle était trempée maintenant ; je me redressais un peu, pour glisser ma queue encore plus loin en elle.
– Ouvre les yeux maman, regarde ton fils qui te baise.
Ma voix était différente cette fois encore, j’avais parlé distinctement, presque avec vice.
Ma mère, qui avait effectivement les yeux fermés, les ouvrit, et se mit à gémir doucement.
– Tu vas jouir, maman ?
– J’ai déjà joui cheri… et ça revient…
J’en revenais pas, elle avait joui secrètement, sans que je ne m’en aperçoive.
– Maman, ça me fait bander tellement fort que ce soit avec toi… que l’on fasse ça ensemble. Est ce que pour toi aussi c’est fort ?
– L’amour d’une mère… tu n’as pas idée comme c’est fort. ohhh c’est bon… je jouis… je jouis…
D’entendre ma mère prononcer ces mots, avec une voix plaintive, me fit jouir également. Je balançais la purée au fond de sa chatte, et elle me serra dans ses bras en me sentant exploser en elle.
– Oh mon Dieu maman, comme c’était bon. Ce ne sera jamais pareil avec une autre femme…
Elle m’enlassa doucement. Quelques larmes coulèrent de ses yeux.
– C’est tellement mal ce qu’on a fait, murmura t-elle.
J’étais surpris, car cela allait en contradiction avec son comportement de ces derniers jours, mais elle avait raison, ça avait été mal, mais c’est la situation qui nous a amené doucement à ça.
– c’est entre nous ; on en a eu besoin.
– je suis désolée, j’aurai du rester avec ton père… tu aurais été plus heureux.
– pourquoi ? j’ai été heureux de te faire l’amour.
Je ressentais que je rebandais à nouveau. Ma queue avait ramoli et était sortie de la chatte de ma mère, je m’y reglissais. Ma mère me regarda, surprise.
Je me redressais, et commença à donner de grands coups de queue dans sa chatte. Le sperme coulait de sa fente, et elle recommença à mouiller.
– oh cheri….
– ne sois pas génée que ce soit moi maman, profite…
– oh non, j’aime que ce soit toi
A ces mots, elle glissa deux doigts sur son clitoris, et commença à se caresser, tandis que je la baisais fort.
– ohhh c’est bon… ouiii, lacha t-elle fort.
Je l’attrappais par les seins, les pinçant les mamelons doucement, et lui malaxant la poitrine, tout en cognant ma queue au fond de sa chatte. Nos pubis respectifs étaient couverts de sperme et de mouille. Je la défonçais. J’aurai aimé commencer à la défoncer la première fois que j’ai joué avec ses culottes. C’était ma mère, sa chatte est à moi.
– Ta chatte est à moi maman, rien qu’à moi
– ohhh cheri, c’est trop bon ce que tu me fais.
Je plongeais ma queue en elle sans m’arrêter, et je n’avais pas envi que ça s’arrête. C’était un curieux sentiment. C’était la première fois que je faisais l’amour à une femme, et je trouvais presque normal que cette première femme, ce soit ma mère. Pour la remercier de son education, des efforts qu’elle avait fait pour moi. C’était aussi une façon pour elle de me prodiguer son dernier enseignement, découvrir le corps féminin, que l’on devine les premiers temps avec sa mère, et qui se concrétise ici. C’était aussi l’occasion de la défoncer en pensant à toutes les fois où elle avait été sévère avec moi. Je la ramonais comme un fou. Sa chatte m’accueillait sans défaillir.
Elle soupirait de plus en plus, serrait ses lèvres, fermait ses yeux.
– Jouis salope, jouis…
Ma mère me regarda, offusquée que je lui parle de la sorte, avec un regard noir, et je me mis à la baiser encore plus fort.
– Salope, jouis
Ma mère ne put se retenir, et jouit à nouveau. Elle se cambra, et je sortis ma queue au même instant, pour me branler au niveau de ses seins. Je lachais un petit jet de sperme qui gicla sur le coté de son visage, et dans ses cheveux.
On s’allongea l’un à coté de l’autre. J’étais épuisé, et à priori ma mère aussi. Je savais que j’aurai du retard au boulot, mais compte tenu de ce qui venait de se passer, cela n’avait guere d’importance. Je venais de baiser la chatte de ma mère, et ça nous avait fait jouir. Son visage et sa chatte étaient ruisselants de foutre.
Je pris un de ses seins en bouche pour le sucer doucement. Elle me caressa les cheveux.
– ça faisait longtemps, me murmura t-elle. Merci. Ca fait du bien…
– Moi c’était la première fois. je suis vraiment heureux que ça ait été avec toi.
Ma mère me serra dans ses bras. Elle devait penser que j’avais eu d’autres experiences avant elle. Je flottais sur un nuage. Tout cela avait été divin. Je regardais le reveil matin. Il était 10h30. Bon sang, j’avais baisé avec ma mère pendant plus de trois heures. Je n’avais pas vu le temps passer.
Elle se leva et traversa la pièce jusqu’à la salle de bain.
Je regardais ses courbes, ses hanches, son cul.
Je venais de baiser ma mère. Ma queue et mes doigts sentaient fort l’odeur de sa chatte.

(à suivre)

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