Bonjour,
Je m’appelle Michèle j’ai 46 ans et se suis marié depuis 26 ans avec Alain. Physiquement j’attire souvent le regard des hommes, je mesure 1,70 mètre et pèse 60 kg, mais ce qui attirent beaucoup la gente masculine c’est ma forte poitrine (95D).
L’été dernier, nous avons décidés de nous rendre sur une plage naturiste sur l’ile d’Oléron.
Quand nous sommes arrivés, la plage était déserte. Un peu étonné mais satisfait de cette intimité, nous avons déjeuné tranquillement et après une première baignade un couple arriva puis la plage se peuplât de nudistes. Les regards dans notre direction nous fîrent comprendre que mes courbes greneuses attiraient l’attention surtout des mâles.
« Alain, on fait quoi ?”
« On a deux solutions soit on reste et tu vas te faire mater par tous ces mecs, ou on rentre à la maison”.
« On peut rester? Il fait trop beau.”
« Tu es certaine de pouvoir supporter leurs regards sur ton corps pulpeux? Moi je trouve ça plutôt excitant.”
« Je sais, mais j’adore cette plage et puis on ne connait personne. On ne reverra sans doutes jamais ces voyeurs.”
A ce moment, un couple dans la cinquantaine s’installa près de nous. A en leurs regards détaillant mon corps, je rougie ma pudeur étant mis à mal. Je m’allongeai rapidement sur le ventre. Je pris un magazine et lunettes de soleil sur le nez je me plongeai dans la lecture pendant qu’Alain, lui, plongeait dans les bras de Morphée. Rapidement,je sentis un regard appuyé en ma direction. L’homme qui venait de s’installer à nos côté avec sa compagne, ne me lâchait plus des yeux. Mes lunettes de soleil vissées sur le nez, je pouvais le regarder sans que lui puisse voir que je l’observais. Je me sentais très gênée mais aussi très troublé. Il est toujours plaisant de se sentir désiré surtout si celui-ci est bien plus âgé que moi. Au bout d’un moment, je me paye le culot d’enlever mes lunettes et de soutenir le regard de ce vieux mâle. Prenant certainement mon audace pour une invitation, il leva un pouce et dessina une silhouette avec ces mains me faisant ainsi comprendre j’étais à son goût. Il jeta un coup œil sur sa femme. Celle-ci dormait tout comme mon mari. Par geste, Il me fît comprendre de me positionner sur les avant-bras. Amusée par la situation et sous le charme de cet inconnu, je lui obéis. Ses yeux descendirent vers ma poitrine qui dans ma position, il vrai, mettait mes seins lourds en valeur. Je vis alors son sexe se redresser et gonfler, ce qui me troubla davantage. Ce petit jeu devenait dangereux mais pour une raison que je ne comprenais pas je n’avais aucune intention de le stopper. Il leva son pouce pour me faire comprendre sa satisfaction et très provocatrice, encouragée par ces compliments, je me mis à genoux. Je ne me reconnaissais pas. Pour la première fois, je m’exhibais devant un quinquagénaire inconnu, comme une vraie salope.Il me désigna le petit bois proche et me fît signe de le suivre. Je restais figée et le vis partir dans le bois. La tête me tournait. J’avais envie de le rejoindre et en même temps j’avais honte de cette envie. Et puis, sur un coup de tête, je me lève et le rejoins. Une fois dans le bois, il se plaçât devant moi, posa ses mains sur mes hanches et me roulât une pelle gourmande. Surprise, je n’oppose pas la moindre résistance et même répond rapidement à se baisé. Il reprit sa marche en me prenant la main.
« Où va-t-on ? » Demandais-je.
« Dans le bois à l’abri des regards indiscrets. Moi c’est Yann et toi?”
”Michèle”
On franchi une rangée d’arbres au sommet d’un vallon. En haut, Yann s’arrêta. Stupéfaite alors, je vis plusieurs couples qui baisaient.
”Tu vois les personnes qui souhaitent baiser sans gêner les simples nudistes viennent ici.”
A la vue de ce spectacle et en entendant ses mots directes et crus, mon cœur s’accéléra. Je ne pensais même plus à mon homme à ce moment. J’avais envie de m’enfuir et d’un autre côté, je n’avais pas la volonté de dire non, pire j’avais envie de vivre une expérience. Yann se retourna vers moi et m’embrassa à nouveau. Ses mains glissèrent de mes fesses à mes seins. Il se mit à pétrir sans ménagement mes lourds obus sans oublier mes tétons qu’il titillait du bout des doigts. En quelques secondes mon entre jambes fut inondé et je me mis à pousser des gémissements. Je pris en main son engin et j’entrepris de le masturber.
”Tu es si bien membré que cela me fait un peu peur.”
”Ne t’inquiète pas tu vas adorer, mais si tu veux être préparé par un autre homme, tu as le choix. On peut se mélanger à d’autres si tu veux.”
Je pris conscience que je pouvais à tout moment basculer dans un plan à trois voir plus. Contre toute attente cette idée m’excita davantage. Je pris le temps de regarder autour de moi pour m’apercevoir que j’attirais un bon nombre de regard. Mais, malgré ce regain de désir et de débauche je refusais la proposition. Mon doux inconnu m’allongea sur le sable chaud puis glissa sa tête entre mes jambes pour un cunnilingus des plus délicieux. Sa langue experte visita la moindre partie de mon intimité mais s’attarda plus longuement sur mon clitoris m’arrachant par la même occasion des cris de plaisir. Deux de ces doigts vinrent aider sa langue en me pénétrant. Je fus pris à ce moment d’un terrible orgasme. Mon amant attendit que je reprenne quelque peu mes esprits en m’embrassant les seins puis frotta sa queue bien dure contre ma chatte trempée de cyprine. N’y tenant plus, je lui criais presque:
”Viens, baises moi!”
J’avais du mal à croire que ces mots sortaient de ma bouche, mais l’excitation était trop forte. Je ne contrôlais plus grand-chose et j’avais une furieuse envie que cet homme me pénètre. Il ne se fît pas prier longtemps et il entra dans ma grotte d’amour en une longue et lente pénétration. Il m’avait tellement bien préparé et j’étais si humide que son engin me remplissait facilement.
Une fois planté au fond il m’interrogea :
”Çà va ?”
”Très bien!”
”Attends que je bouge tu vas adorer «
Mon inconnu semblait sûr de ces capacités et il faut bien avouer que jusqu’alors il se débrouillait plutôt bien. Il commença un lent va et viens qui rapidement s’accéléra avec mes cris de jouissance, à chaque poussé de sa part je poussais des cris de jouissance. J’eus un nouvel orgasme et nous changeâmes de position. Il s’allongea et je m’empalais sur son dard. La pénétration dans cette position était encore plus profonde et mes cris en furent décuplés tant et si bien qu’ils attirèrent l’attention des libertins les plus proches. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je m’écroulai sur le côté dévasté par un nouvel orgasme. Lui n’ayant rien perdu de sa raideur, il se mit à genoux à quelques centimètres de mon visage. Avec mes deux mains je me mis à le branler.
Mon amant alors m’interpella :
”Viens suce moi! Je n’en peux plus !”
J’enfournais immédiatement son gland dans ma bouche. Il émit un soupir. Alors que je lui pratiquais une gourmande fellation, il se retirât. Il me fit me mettre à genoux. M’attendant à une levrette classique,je compris rapidement qu’il souhaitait me sodomiser.
”Non pas par-là, j’aime pas la sodo!”
« Tu as déjà essayé ?”
« Oui, avec mon mari mais et il me fait parfois mal.”
Une voix venant derrière me surprit:
”Peut-être que ma queue serait plus adapté ?”
Je me retournais et découvrait un homme se tenant debout le sexe en main. Son sexe était relativement long mais très fin. Immédiatement, Yann, sans me demander si j’étais d’accord, se positionna derrière moi et tout en prenant mes gros seins en main :
”Tu vois! Lui aussi il bande en voyant tes gros seins. Je suis sûre qu’il a envie de les sucer et en plus, tu vas avoir le droit à une magnifique double pénétration.”
La façon dont Yann venait de me parler, en me considérant comme un objet, me fit comme un coup de fouet. J’avais envie de prendre mes jambes à mon coup. Mais je restais là, passive, enfin presque car trop excitée. Lorsque notre nouvel invité se mit à genoux devant moi pour me lécher les seins, je n’opposai pas la moindre résistance. Pour la première fois depuis mon mariage, deux hommes s’occupaient de mon corps le léchant, l’embrassant, le caressant. Je ne savais plus où donner de la tête totalement abandonné au moindre désir de ces deux mâles. Notre invité s’allongea sur le dos. Yann me souleva comme un fétu de paille et dos à l’inconnu, me présenta pour que son sexe entre dans mes fesses. A ma grande surprise, moi qui aimais si peu la sodomie, ce sexe me pénétrait sans douleur. Yann présenta alors sa queue devant ma chatte qui dégoulinait de désir et me pénétrât profondément. Je me retrouvais pleine de ses deux bites et subissais pour la première foi une double pénétration. Ils s’activèrent ensuite avec une telle ardeur que je faillis m’évanouir de plaisir. Je me faisais littéralement défoncé avec de cette double pénétration.
”Tu vois que tu aimes ma queue dans ton cul, salope!”
Il m’était impossible de répondre, seuls des cris s’échappaient de ma bouche. Les deux hommes me possédaient comme un objet sexuel. Ils utilisaient un langage cru désormais, me prenant pour leur chienne, en chaleur.
”Elle adore la bite cette salope” reprit Yann.
Alors que je ne m’y attendais pas l’homme qui me sodomisait déchargea sa semence entre mes fesses. Yann se releva et se branla jusqu’à ce que de puissants jets de sperme viennent s’étaler sur mon visage. Notre invité, satisfait, se nettoyât la queue avec mes cheveux et s’en alla sans un mot. Pour ma part, comme une bonne soumise, je me mis à nettoyer Yann avec ma langue en avalant le reste du liquide qui s’échappait de son gland. Après cette aventure sans lendemain, Yann et moi rejoignîmes nos conjoints respectif, sans oublier d’allée me laver dans la mer. Alain dormait encore et fatiguée par mes exploits, Je m’endormais comme une masse, mon sommeil remplie des images de mon aventure.
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