Ma voisine, Catherine (3)
Après ce début de journée palpitant avec Catherine je me demandais ce que j’allais faire à manger quand elle me demanda si je n’avais pas envie d’aller au restaurant plutôt que de rester là. Je trouvai que l’idée était excellente et je proposai une douche avant le départ. Nous sommes allés sous la douche ensemble, nous savonnant mutuellement tout en s’embrassant.
Une fois essuyés Catherine pris les vêtements avec lesquels elle était venue me les enfila. Puis elle me dit de l’attendre car si le haut suffisait à peine à cacher ses petits seins, sa micro-jupe ne cachait vraiment pas grand-chose et elle ne pouvait pas sortir comme ça. Elle me proposa donc d’aller changer de tenue et de revenir rapidement. Je lui demandai quand même si elle serait en jupe et me promit que oui très courte mais suffisante pour cacher le principal.
« Et je vais aussi apporter quelque chose qui devrait te faire plaisir » dit-elle en partant.
« Toi tu mets juste un polo et un short rien d’autre »
« Oui mon amour de salope tout ce que tu veux je t’aime trop pour te refuser quoique ce soit »
Elle part avec un grand sourire après m’avoir laissé un petit baiser du bout des lèvres. Rapidement je file mettre la tenue demandée et j’attends avec impatience son retour, le temps me paraissant trop long. Au bout de cinq petites minutes la voici de retour, superbe créature portant un petit chemisier blanc assez fin qui laissait apercevoir les pointes de ses seins non soutenus et une petite jupe guère plus longue que la précédente, s’arrêtant au ras de ces fesses, noire et moulante. Elle porte aussi un petit sac et me le donne en me disant « avant de regarder ce qu’il y a dedans regardes moi tu vas comprendre ce que je veux ».
Elle se retourne et se penche, les mains sur les genoux, les jambes écartées et surprise je vois qu’elle a un plug anal. Je comprends tout de suite ce que contient le sac et ce qu’elle attend de moi et en souriant je lui dis « ma samole chérie je t’aime, je ne peux pas te refuser ça et je te laisse le mettre en place ». Je baisse alors mon short et me penche en tendant mon cul pour me laisser faire. Elle prend le plug dans le sac, me le montre, pas très long à peine 15cm mais plus marge que le gode avec lequel elle m’avait enculée un peu plus tôt, entre 5 à 6cm environ.
Sans attendre elle le mouille avec sa cyprine et le pose sur ma rosette en le poussant et le tournant en même temps. L’effet est immédiat ou presque, j’ai l’impression qu’elle me déchire car elle n’arrête pas ses mouvements et je ressens de nouveau la douleur m’envahir. Elle me fait mal au cul mais je cambre bien pour l’aider et au moment où le plus épais passe ma rondelle je pousse un hurlement de douleur. Elle le pousse à fond et me demande de me redresser tout en le maintenant dans mon trou le temps que ce dernier se resserre autour pour ne pas qu’il ressorte. La douleur s’atténue doucement et elle sourit en m’embrassant et fini par me dire :
« Nous voici prêts pour le restaurant ! On y va avec et le garde tout le temps du repas. Interdit d’aller aux toilettes pour le retirer. Si tu le gardes bien jusqu’à ce que je te le retire, tu pourras faire tout ce que tu veux de moi et quand je dis tout c’est tout, je te laisserai faire tout ce qui te passe par la tête. Je serai soumise à tes moindre envies. »
Devant tant de promesses je me demande jusqu’où elle sera prête à aller mais je lui dis que je suis d’accord même si je crains déjà la douleur au moment où elle va retirer ce plug de mon cul car la connaissant maintenant un peu je pense qu’elle ne me fera pas de cadeau.
« Ok allons-y mon amour de salope. Mais tu risques peut être de regretter ce que tu as dit »
« Non mon cochon chéri, je ferai tout pour toi c’est promis »
Nous voici partis ensemble dans un petit restaurant sympa à 20 minutes de la maison. Dès que nous entrons, les regards se tournent vers elle si aguichante dans sa petite tenue de pute et les yeux des mecs la suivent pendant qu’elle avance en dandinant son beau cul. La patronne nous propose une table dans un coin de la salle où tout le monde peut nous voir et elle choisis la place face à la salle. Je suis sûr qu’elle va écarter les cuisses juste ce qu’il faut pour exciter les mecs présents. Nous voici avec la carte et nous choisissons notre repas tranquillement. Un petit apéritif pour commencer avant de manger tout ce qui est de plus classique dans ce genre de restaurant style routiers.
Au bout d’un moment je commence à bouger sur ma chaise le plug me gênant un peu et me faisant un peu souffrir. J’ai l’impression que mon fion dégouline de mouille et reste ouvert en grand et que si je me lève le plug va ressortir tout seul de mes entrailles. Je le dis discrètement à Catherine qui sourit en me disant que elle aussi et que sa chaise va être enduite de son jus de cul comme de chatte car ça l’excite. Nous décidons d’un commun accord de manger plus vite pour quitter le restaurant et cette situation qui devient plus que gênante.
A peine le repas et le café terminé nous réglons la note et sortons de la salle. Il y a un peu moins de monde mais les regards se dirigent toujours vers le beau cul de ma chérie qui ne rechigne pas à faire comme pour son entrée et à tortiller son cul. Arrivés à la voiture elle me demande si elle peut conduire car elle veut monter du côté des fenêtres du restaurant et offrir à ceux qui la matent un dernier cadeau. Je lui donne les clés et lorsqu’elle monte elle en profite pour bien écarter les jambes ce qui laisse bien voir qu’elle ne porte pas de culotte.
Une fois au volant elle démarre et prend une petite route menant dans la forêt juste à côté.
Je n’y tiens plus et je lui dis :
« Chérie, j’ai mal au cul tu veux me laisser le gode encore longtemps ? »
« Non je te promets que tu vas bientôt avoir le cul libéré » me dit-elle.
Nous avançons un peu sur cette petite route en forêt et elle ralentie jusqu’à trouver un petit chemin à l’entrée duquel elle stoppe la voiture.
« Nous voici arrivés mon cochon! Tu peux descendre et venir vers moi je vais te retirer le plug. Approche ! »
Voici le moment que je redoutais mais je me presse vers elle. Je sens mon short mouillé qui frotte mes fesses et le plug qui semble vouloir sortir sans le pouvoir. Elle me fait me placer face contre la voiture et baisse doucement mon short pour me le retirer puis appuie sur le plug comme pour vérifier qu’il est bien enfoncé à fond et ce que je craignais se produit. Elle prend le jouet et d’un coup sec me le retire du cul. Je pousse un hurlement tellement la douleur de ce gros objet qui sort de mon cul est intense et je sens un flot de jus de cul couler le long de mes jambes. Elle se met à genoux derrière moi et lèche mes jambes enduites de jus pour les nettoyer et surtout par gourmandise. Cette fois elle déguste tout sans partager ce qui me laisse un peu frustrer avec le cul grand ouvert et qui ne semble pas avoir envie de se refermer.
Je me retourne vers elle en essayant de serrer les fesses et elle me regarde en avalant tout mon jus. A peine a-t-elle déguster mon jus de cul qu’elle retire sa jupette moulante et s’appuie contre la voiturer en me disant de faire pareil.
« Retires moi mon plug d’un coup pour te venger. Il est plus gros me dit-elle mais n’hésite pas je veux que tu me déchire le fion. Je suis à toi et tu as tous les droits je te l’ai promis. »
Je lui obéis et sans hésiter je prends le plug et l’arrache de son cul d’un seul coup. Comme moi elle pousse un hurlement presque bestial sous la douleur et écarte bien ses jambes pour laisser couler tout son jus. Alors je fais comme elle et je viens lui lécher les cuisses pour tout récupérer. Elle se retourne et me fait mettre debout pour essayer de m’embrasser avec ma bouche pleine de jus mais je refuse puisqu’elle n’a pas partagé juste avant. Elle est déçue mais contente quand même de ce que nous venons de faire. Une fois que j’ai fini de déguster sa semence anale nous nous embrassons et je palpe ses seins durs à travers son chemisier fin.
Devant mon envie de ses petits seins tout gonflés, elle ouvre entièrement son chemisier et le jette dans la voiture pour se retrouver nue devant moi au bord de cette route forestière. Si jamais une voiture arrive elle n’aura pas le temps de se cacher et elle sera vue dans son plus simple appareil.
Mais la voici qui me retire mon polo et à mon tour je suis nu à côté de la voiture, nos habits sur le siège. Elle se penche alors pour prendre les clés, elle ferme la voiture et décide d’avancer sur le chemin qui rentre dans les bois en me prenant la main pour que je la suive. Je n’ai pas trop le choix, car je pense que rester nu au bord de la route est plutôt risqué. Nous avançons tranquillement sur le chemin et au bout de 50 mètres elle s’arrête, se retourne et me dit :
« Nous sommes assez loin de la route. On peut toujours nous voir, mais j’adore. Je trouve que c’est plus excitant de se faire baiser nue avec le risque d’être vue. Et si quelqu’un venait à nous voir je pourrais m’amuser encore plus ! »
Je suis surpris de la découvrir sous cet angle, car celle que je pensais salope mais quand même un peu discrète se révélait être une grosse salope sans gêne et qui cherchait aussi des coups à plusieurs. Pour le moment nous étions seuls et vu l’endroit il y avait peu de chance ou de risque de tomber sur quelqu’un. Je la fis se retourner pour voir son cul et je lui donner une bonne claque sur chaque fesse ce qui la fit sursauter.
« Salop tu me donnes une fessée ! Mais j’avoue je la mérite. Je dois apprendre qui est la soumise et qui est mon maître. »
« Salope penche toi je vais te baiser et t’engrosser ! T ne mérites rien d’autre. Tu es un garage à bites ! Ta chatte et ton cul sont faits pour recevoir des bons coups de queues et même bien plus »
Et sans plus attendre je pose ma bite sur sa chatte dégoulinante et je l’enfile d’un coup sous un gémissement de plaisir. Je la ramone d’abord doucement puis j’accélère un peu en prenant soin de ne pas venir trop vite dans sa moule.
« Gros trainée tu aimes ça ? Si tu veux que je te remplisse de foutre il faudra demander »
3oui je veux que tu me fourres la chatte de ta semence. Remplis-moi comme une bonne chienne que je suis! Je veux tout ton jus au plus profond de mon ventre. Pètes moi l’utérus et inondes le un maximum »
A ces mots je la baise comme un fou en enfilant ma bite à fond dans sa moule, la ressortant et la remettant plusieurs fois avant de la limer comme une simple putain. Je sens mon jus de couilles monter et je force sa chatte le plus possible et je finis par jouir et tout balancer dans son ventre. Au même moment elle est prise de secousses et je dois la maintenir pendant son orgasme pour ne pas qu’elle tombe. Elle crie de jouissance et je me vide à fond dans sa chatte qui coule de cyprine le long de ses cuisses puis de ses mollets tellement est jouit.
Enfin la tension redescend et elle se remet debout toute tremblante mais trop contente de s’être faite inséminée comme une vulgaire bête donnée au mâle en rut.
Je me retire de son bas ventre et elle laisse couler tout ce mélange de foutre et de cyprine le long de ses jambes en me souriant.
« Salope laisse couler et ne touches pas. Je veux que tes jambes soient couvertes de jus »
En disant ça je prends une fine branche de noisetier que je casse et que j’effeuille puis je lui montre en lui fouettant sous la figure. Elle comprend ce que je vais faire et se retourne en se penchant. Devant sa réaction je ne résiste pas et je commence à fouetter son cul, d’abord doucement par petits coups légers, puis je force mon geste et je cingle son cul. Elle se cambre tout en poussant un cri à chaque coup de baguette mais en se laissant faire sans résistance. Je lui ordonne d’écarter les jambes que je puisse voir son petit trou et sa fente qui dégouline encore un peu et d’un seul coup la baguette passe entre ses cuisses et claque sur les lèvres de sa chatte. Elle hurle et tombe sur les genoux.
« Salope reste debout et ouvre bien tes jambes! Je vais te dresser puisque tu es ma soumise, mon esclave ».
Elle se relève et à peine a-t-elle repris sa position qu’un deuxième coup, plus fort que le premier, tombe à nouveau sur sa chatte. Elle crie et des larmes perlent aux coins de ses yeux, ses jambes se fléchissent un peu, mais elle reste en position.
« Penches toi en avant les jambes bien droites ma belle chienne adorée. Tu vas devenir mon esclave ».
Obéissante, elle se penche, m’offrant une vue complète sur sa moule et je continue de fouetter se sexe dont les fines lèvres roses rougissent rapidement. Je retourne m’occuper de claquer son cul de toutes mes forces pour laisser de belles marques fines et rouges et en croisant un peu mes coups pour bien la marquer.
Je la fais se retourner et je vois les larmes qui coulent le long de ses joues.
« Tu aimes salope ? Tu as toujours envie de subir tous mes caprices ? »
Timidement elle me répond un oui à peine audible et je lui annonce que je vais continuer. Je lui demande de se remettre jambes écartées bien droite devant moi et les mains derrière la tête.
D’une voix faible elle me dit « pas mes petits seins, pitié »
Comme toute réponse elle prend un coup de trique sur chaque sein et elle crie au deuxième qui touche son téton dur. Elle se courbe en avant et reste penchée ce qui m’énerve et a pour conséquence un coup de trique sur sa chatte mais cette fois son clitoris est touché. Elle hurle et tombe au sol les deux mains revenues sur sa chatte comme pour la protéger. La baguette retombe sur ses fesses et elle se redresse en restant sur les genoux ce qui me permet de lui claquer à nouveau les seins en visant ses tétons pour lui faire mal. Je la regarde se torde par terre et lui ordonne de se mettre à 4 pattes jambes écartées. Elle obéit en pleurant et je claque son cul et sa fente pendant 2 minutes sans discontinuer. De grosses larmes coulent de ses yeux et son cul comme sa chatte son rouge. Je lui souris et lui dis:
« Encore un petit coup avant de rentrer putain »
« Oui maître » dit-elle
Je vise sa moule et son clito et de toutes mes forces je cingle son petit bouton. Elle crie encore et s’écroule par terre, recroquevillée les mains sur sa chatte.
Je lui prends les clés de la voiture et je pars devant elle le temps qu’elle se relève. Elle a encore mal et ça le gène pour marcher ce qui fait que j’arrive à la voiture avant elle. Je monte et démarre et m’avance le long de la route forestière sur 150 mètres avant de m’arrêter et de la regarder arriver. J’en profite pour me rhabiller tout en la regardant avancer le long de la route toute nue et j’espère qu’une voiture va passer. Hélas non, personne en vue et elle finit par arriver à la voiture où je lui ordonne de remettre sa tenue de pute, ce qu’elle fait doucement.
« Maintenant ma chérie on va rentrer et je vais faire quelque chose qui devrait te plaire puisque tu as aimé ce qui viens de t’arriver non ? »
« Oui maître j’aime quand vous me faites mal et quand j’ai mal »
« Salope attends la suite tu vas voir, tu n’as eu qu’un avant-gout de la douleur. »
A ces mots son regard change, elle s’inquiète de la suite mais fini par dire qu’elle a promis et qu’elle se laissera faire quand je voudrai et puis qu’elle voulait en profiter car demain lundi elle ne sera plus seule et ne pourra plus venir me voir pour jouer ensemble.
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