– Qu’est-ce que tu fais, ai-je demandé à ma belle-soeur alors qu’elle retirait sa robe ? Elle était enceinte jusqu’aux yeux et comme on habitait pas très loin l’une de l’autre, elle venait souvent me rendre visite.
– Il fait trop chaud, a ajouté ma belle-soeur ! J’en peux plus ! Depuis que je suis grosse comme une vache…
Elle n’avait rien sous sa robe, rien que son énorme ventre parfaitement rond et ses seins majestueux qui s’affaissaient dessus. Elle était bien plus belle que je ne l’avais imaginé.
– Tu ne comprendras jamais rien, a ajouté ma belle-soeur ! Je suis amoureuse de toi depuis qu’on se connaît !
Je tombais des nues. Quand j’étais au lycée, une des filles de ma classe m’avait déclaré qu’elle avait envie de moi et ça m’avait terrifié.
– Tu n’as pas assez de Léopold, ai-je demandé à ma belle-soeur ?
Léopold, c’est mon frère et c’est son mari.
– Ton frère, il me prend pour une pute, a ajouté ma belle-soeur ! Tout ce qu’il veut c’est tirer son coup !
C’était comme si elle m’avait envoyé un uppercut et j’étais sonnée et j’ai bafouillé en lui disant que j’étais désolée.
– Le plus souvent, ça dure une heure avant qu’il ne lâche sa purée, a ajouté ma belle-soeur ! Remarque, je ne me plais pas parce que j’ai plusieurs fois le temps de jouir !
Elle a éclaté de rire après m’avoir avoué ça.
– Si, si, si, rassure-toi, ton frère est un bon amant, mais ça n’empêche pas que j’ai toujours eu envie de toi !
– Mais alors, qu’est-ce que tu veux, ai-je insisté ?
– Qu’on fasse l’amour toutes les deux, a persisté ma belle-soeur ! Il n’y a que comme ça que tu sauras si ça te plaît… ou pas !
– Tu le trompes, ai-je insinué ?
Elle m’a répondu qu’elle ne le trompait pas parce qu’elle était amoureuse de moi et que tant qu’elle le serait…
– Tu te rends compte de ce que tu me dis, lui ai-je répondu dans l’espoir de calmer un peu sa flamme, mais ça n’a servi à rien. Quand ma belle soeur a écrasé son gros ventre sur le mien je l’ai laissée faire puis je suis tombée sur les genoux pour me retrouver avec sa vulve sur le visage. Que pouvais-je faire d’autre ? Elle a posé ses mains sur ma tête et elle m’a demandée de la faire jouir. Ses petites lèvres étaient grosses et pendaient comme des steaks. Ma belle-soeur n’arrêtait pas de me dire de la faire jouir et tout à coup j’ai eu le visage couvert de son plaisir. Après ça, elle m’a aidée à me relever et elle a commencé à me doigter tout en me mettant un mamelon dans la bouche ou en avant un des miens mais ce n’était pas fini et quand elle m’a laissée, ce fut pour aller dans l’entrer chercher son sac à main dont elle a extirpé un gode ceinture qu’elle s’est mise autour des hanches.
– Viens, a-t-elle ajouté ! C’est à moi maintenant !
C’était bien à elle qui m’a fait l’amour comme un homme, comme me le fait mon mari. Elle m’a même enfoncé le gode dans l’anus en me disant qu’elle m’enculait parce qu’elle m’aimait puis j’ai joui.
– Regarde ! J’ai déjà du lait, m’a-t-elle encore dit alors que je reprenais mes esprits !
Elle pressait ses seins tour à tour et un mince filet blanc jaillissait avant de retomber sur la table. Je ne savais plus où j’en étais. Mon mari devait rentrer à sept heures et je ne voulais pas qu’il découvre que j’avais fait l’amour avec sa soeur et il est arrivé quelques minutes plus tard alors qu’on venait de renfiler notre robe. La première chose qu’il a fait a été de poser la main sur le ventre de sa soeur et de lui demander si son ventre avait encore grossi.
– Tu ne lui raconte pas, m’a demandé ma belle-soeur ? Tu ne veux pas lui dire qu’on fait l’amour ensemble toutes les deux ?
Mon mari a semblé perplexe et il lui a dit qu’elle ferait mieux de rentrer. Il a ajouté qu’entre femmes ça n’avait pas d’importance. Nous avons dîné et quand il m’a rejointe au lit, il m’a demandé si c’était vrai ce que sa soeur avait dit.
– Si tu veux la vérité, ai-je commencé, c’est oui mais ta soeur m’a presque violée !
Je m’attendais à ce que mon mari éclate de colère mais il est resté calme.
– C’est vrai, a-t-il ajouté ?
Je lui ai dit que c’était vrai. Il s’était collé dans mon dos et je sentais sa bite qui pointait dans mes fesses.
– Alors, a continué mon mari, si vous avez fait ça, tu mérites une punition !
– Tu veux me mettre une fessée, lui ai-je demandé alors qu’il me triturait la poitrine ?
– Non, mais tu vas accepter ce que tu refuse depuis le début, a-t-il insisté !
– Mais, alors, qu’est-ce que tu veux que je fasses ?
– Ce que tu m’as toujours refusé : je t’encule, a crié mon mari !
C’est vrai que j’avais toujours refusé. Je ne voulais pas faire ce que font les homosexuels mais je ressentais toujours la pression du gode que m’avait enfoncé sa soeur dans l’anus. J’ai laissé faire mon mari et il lui a fallu plusieurs années pour qu’il se lasse de ce passe-temps, mais parfois je regrette qu’il ne pense plus à me le faire.
FIN
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