Hommage à jaifaim – Voici une série de textes publié il y a plus de dix ans et disparu dans les archives du net…
Il est dans Paris et dans d’autres grandes villes des endroits propices aux rencontres purement sexuelles ; il y a les cinémas spécialisés, soit dans des salles classiques, soit dans des cabines. Il y a les saunas, il y a le Bois de Boulogne, le Bois de Vincennes, les boulevards des Maréchaux, les parkings, bref, quantité d’endroits ou les participants savent parfaitement pourquoi ils sont là et ce que chacun fait là.
Par exemple, quand une envie pressante de sexe me prend, que je cherche à branler une belle bite ou à me faire branler ou sucer, je vais souvent dans les cabines avec vitres du cinéma porno rue Saint-Denis. Là, j’attends de voir où rentre un homme que j’imagine bien monté, avec une belle grosse queue pleine de foutre et je choisis la cabine à côté de la sienne. Je m’excite bien en regardant les films, surtout ceux ou il y a des très beaux travestis brésiliens, avec de superbes seins, un cul rond magnifique et une bite grosse et longue. Je me déshabille en ne gardant que mon mini string rouge de femme. Quand j’ai la bite bien gonflée, pleine de bave pour bien me branler et prête à gicler, j’ouvre la trappe de la cabine et je regarde mon voisin. Très souvent, il est aussi entrain de se caresser. S’il ne referme pas la trappe, je sais que ça va être bon. Je me tourne vers lui, en me caressant la bite et les couilles. Je me caresse aussi les seins. J’adore me branler et me pincer les tétons. Lui se déshabille aussi. Je vois que je lui fais de l’effet ; sa bite est encore plus belle et grosse que ce que j’imaginais. Il la caresse doucement en décalottant un gros gland presque rouge. Je me retiens pour ne pas jouir tout de suite ; j’ai vraiment envie de sa grosse queue ; je voudrais qu’il jouisse sur moi, que j’étale son foutre chaud sur mes seins et mon ventre. Je mets mon visage devant la vitre et j’ouvre grand ma bouche en tournant ma langue comme une salope avide de sexe que je suis. Je lui dis :
« Viens dans ma cabine, j’ai envie de ta grosse queue ! Je vais me donner à toi comme une pute ! Viens me faire l’amour, je serai ta grosse salope ! Tu me feras tout ce que tu veux ! Viens vite, je veux ta bite et ton sperme brûlant ! Je vais te bouffer la bite et le cul ! »
A sa réaction, je vois que cela lui plaît car sa bite se tend et tressaute dans sa main. Je ne tiens plus, il me faut sa bite dans la bouche. Je lui montre un préservatif et je lui fais signe de me rejoindre. Il est d’accord. Quelques instants après, il est dans ma cabine et me dit :
« Tu m’as excité comme un fou ! Tu es une belle salope avec ton string ! Tu dois aimer la bite, salope ! Je vais te cracher tout mon foutre dans la gueule, grosse pute ! »
Avant que j’ai le temps de sortir sa bite, c’est lui qui prend la mienne dans sa bouche. Elle est chaude et toute pleine de salive qu’il m’étale sur la bite et les couilles. Il me doigte le cul en même temps. J’en profite pour lui ôter son pantalon et son slip et je prends sa grosse queue dans ma main. Il bande à nouveau très fort. Il ne peut plus tenir ; je vois son gland qui se gonfle, son méat qui s’ouvre et quelques gouttes de liqueur qui commencent à perler au bout de sa queue. Je lui doigte doucement l’anus qu’il a bien ouvert et bien gras et je lui caresse les couilles. Elles sont énormes et toutes gonflées, pleines de sperme. Comme il va cracher son foutre, je lui dis :
« Vas-y, donne-moi tout ton jus, je suis ta putain ! Crache-moi toute ta purée sur la figure et les seins ! Arrose-moi de foutre ! Je vais te boire et me nourrir de ton sperme, salaud ! »
Aussitôt il gueule et me jouit sur la figure et les seins ; je reçois plusieurs giclées de foutre crémeux et brûlant que j’étale sur tout mon torse. Lorsqu’il a fini de jouir, il se met derrière moi en frottant sa bite encore grosse entre mes fesses et me dit :
« Salope, tu mas fait jouir trop vite ! J’aurais voulu t’enculer comme une grosse pute que tu es ! Allez, tu vas faire cracher ta bite de salope ! Je vais te vider les couilles putain ! »
En même temps, Il prend ma bite et me branle. Il me doigte le cul ; c’est trop bon, je ne résiste plus, je crache tout mon foutre dans sa main et il me l’étale sur les seins, le mélangeant avec le sien. D’une voix rauque et déformée par le désir, je crie :
« Ah, salaud, tu m’as fait jouir comme une folle ! Tu as vraiment une très belle bite qui me rend fou ! Avant de partir, pisse-moi dessus pour me laver ! Je veux ta pisse dans ma bouche ! »
Pendant qu’il se caresse doucement le gland pour commencer à pisser, je m’agenouille devant lui et lui pétris les fesses. J’ouvre grand la bouche et il me pisse dedans de longs jets dorés et brûlants que j’avale. Sa pisse me dégouline entre les seins et coule sur ma bite et mes couilles. J’ai la bouche tordue de désir et la queue à nouveau raide quand il termine et se rhabille pour quitter la cabine, me laissant là, trempé de sperme et de pisse. Je bande à nouveau très fort. Je me branle très vite, lubrifié par le sperme et la pisse chaude et je crache très rapidement quelques dernières giclées de sperme que je récupère dans ma main pour l’étaler sur mon visage et pour le boire. Après quelques instants de repos et un nettoyage sommaire, je sors, encore tout excité par cette rencontre, me promettant de revenir pour retrouver ce partenaire et aller plus loin avec lui.
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