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Quand Margot devient chienne 25

Quand Margot devient chienne 25



Et que Anne la suit de près.

Anne sentit qu’une main, douce d’ailleurs, lui caressait le creux du dos. Celle-ci descendait tout doucement vers ses fesses, provocant un léger frisson que l’intéressé devait constater. La main suivit l’arrondi de sa croupe ferme à la peau satinée. Toujours doucement, plus d’ailleurs comme un frôlement appuyé que comme une caresse, la main parvint au bas de la fesse, là où commence la cuisse. Elle s’arrêta. Resta immobile. Le cœur d’Anne se mit à battre plus vite. La main repris sa course mais en remontant vers l’intérieur des cuisses. Le bout des doigts effleura les grandes lèvres et s’insinua entre les deux globes rebondis, frôlant l’étoile brune en laissant une traînée humide au passage. Arrivée de nouveau en haut des fesses, la main descendit sur le flanc puis sur le ventre d’Anne qui frémit tant de plaisir que par la chatouille que l’effleurement provoquait. La main s’attarda sur le ventre soyeux qu’une respiration accélérée faisait onduler. La main repris enfin sa marche. Elle épousa la forme de chaque sein qui pendait, raide, le téton arrogant que deux doigts triturèrent arrachant un petit cri à la suppliciée.
D’un coup elle ne sentit plus la main. Où était-elle passée ? Pourquoi l’avait-elle abandonnée ? Cette main était si bonne, si douce. Cette main était pour elle. Anne la voulait. Son corps la réclamait. Tout comme avec Margot, elle ne maîtrisait plus ses envies. Sa tête disait bien quelque chose, mais son corps, ce démon, réclamait son dû.
Enfin la revoilà. Et la deuxième l’a rejoint. Maintenant les deux mains écartent les fesses. Anne sent qu’un pouce s’est mis sur sa rondelle et la malaxe. Oh mon Dieu ! Se dit-elle, non pas ça. Mais que puis-je faire ainsi coincée ? Mais le doigt s’en va de l’endroit. Vite remplacé par une langue fureteuse mais tellement excitante. Cette langue qui s’insinue dans le sillon de ces fesses si douces, si chaudes. Puis la bouche s’empare de ce sexe béant, mouillé, palpitant au rythme du torrent de sang qui gronde dans ses veines. La langue s’enfonce au plus profond qu’elle peut, ressort pour mieux replonger au fond des entrailles d’Anne, inondées de cyprine.
Ses caresses buccales lui arrachent nombres de râles et de gémissements de plaisir. D’instinct Anne a écarté ses jambes, donnant ainsi un meilleur accès à sa vulve baveuse. Le rose de son vagin qu’on aperçoit maintenant, tranche sur la peau mate de ses grandes lèvres, toutes gonflées du désir a****l qui possède tout le corps de la prisonnière volontaire.
Alors que la langue a quitté son antre, elle sent ce qui lui semble être le gland d’un vrai phallus cette fois. Il est posé à l’entrée de sa grotte d’amour frémissante, à peine rentré, il ne bouge pas. Mais qu’attend-il ? Se dit-elle. Ne voit-il pas que ma chatte l’appelle ? Ne voit-il pas que je mouille pour lui ? Pourquoi ne me bourre-t-il pas mon con ? Je la veux sa bite ! Je la veux sa grosse et belle queue ! Allez-y Maître, enfoncez-vous ! Car il n’y a pas de doute, c’est la main du Maître qui m’a caressée. C’est la langue du Maître qui m’a fouillée. Et là, c’est la queue du Maître qui va me baiser !
Et la queue commença à se frayer un chemin dans le vagin frémissant qui aspirait littéralement le membre. « BHV » choisit cet instant pour se poster devant Anne qui, médusée, ne pouvait sortir un son de sa bouche alors que derrière elle, une queue inconnue la pénétrait.
Anne ouvrait de grands yeux implorants vers un « BHV » silencieux. Aucun son toujours ne pouvait sortir de sa bouche alors qu’une queue la pilonnait ponctué de ahanements sourds. Mais qui me baise ? Se demandait-elle alors que « BHV » s’éloignait de la scène. A qui peut bien être cette bite ? Cette si bonne bite ! Putain oui qu’elle est bonne ! La frustration de ne pas savoir qui s’enfonçait en elle, alliée à l’impossibilité de bouger l’excitait au plus haut point. Elle sentait qu’elle mouillait comme une fontaine. La cyprine dégoulinait le long de ses cuisses. Loin de refuser cette saillie, Anne allait au devant en reculant son cul autant qu’elle le pouvait. Derrière elle, le rythme s’accélérait. Presque chaque coup de piston était accompagné d’un claque sur l’une ou l’autre fesse. Anne sentait les couilles de son assaillant frapper ses cuisses. Elle aurait bien voulu avoir les mains libres pour les lui caresser entre les jambes et l’obliger à la bourrer encore plus fort. Mais son bourreau arrivait à l’extase et dans un dernier assaut où il entra son pieu turgescent au plus profond de ses entrailles, il stoppa son va et vient, se retira et envoya un geyser de foutre sur le dos de sa prisonnière. Après une dernière saccade, la bite encore raide, il s’en vint devant Anne, toujours coincée dans son carcan.
– Alors ma salope, on dirait que t’as aimé ça, hein ?!!!
Anne n’en revenait pas, Laurent lui faisait face, la bite toujours droite ! Laurent venait de la baiser. De la traiter de salope ! Incroyable ! Elle était toujours sans voix. Entre incompréhension et joie. Comment se faisait-il que Laurent soit là ? Comment Margot allait-elle prendre ça ? D’un autre côté, autant prendre ce qui est bon au moment où on vous le donne. Quelle bonne bite il a ce Laurent ! Mais que m’arrive-t-il ? Voilà que je fais ma salope et que j’aime ça !
– Sois-là demain soir !
Et Laurent disparut sans un mot de plus, laissant Anne toujours prisonnière de son carcan. Elle ouvrait la bouche mais encore une fois aucun son n’en sortait. Elle était estomaquée par la tournure des évènements. Elle venait de se faire enfiler par le mari de son amie. Nul doute que soit Margot, soit « BHV » lui avait dit ce qu’il c’était passé lors de sa première visite dans ce lieu. Il lui avait éjaculé sur le dos et les fesses et en plus, lui ordonnait d’être ici le lendemain soir. Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Et tout ça pour avoir voulu venir avec Margot à une séance de pose. Cela m’apprendra à vouloir être curieuse. Se dit-elle. Mais c’est bien fait pour moi aussi. Pourquoi me suis-je laissée aller avec Margot ? C’est surement vrai que je suis une salope ! Et je ne peux pas nier que j’ai pris du plaisir à chaque fois. Mais pourquoi personne ne vient me délivrer ?!
– Y-a quelqu’un ???!!!!
– Voilà, voilà, j’arrive.
– Ah enfin, détachez-moi s’il vous plait.
– Mais oui, tout de suite. Mais avant, dites-moi, avez-vous aimé cet engin ?
– Cet engin ?!! Mais le reste n’était pas prévu tout de même !!
– Dites-moi que vous n’avez pas aimé du tout ?
– Mais … Mais … Si j’ai aimé ! Mais vous auriez pu me prévenir pour le moins et me demander mon avis !
– Vous auriez accepté si je vous avais prévenue ?
– Sans doute que non.
– Alors vous voyez qu’il était préférable que je ne vous dise rien. J’ai bien vu dans quel état Laurent vous a mise alors que vous ignoriez qui le faisait. Vous êtes faites pour l’amour, pour le sexe, mais vous devez être guidée. J’ai confié cette tâche à Laurent. Il va s’occuper de vous. Vous protéger, vous faire découvrir vos possibilités.
– Mais … Et si je ne veux pas ?
– Je crois que vous voulez Anne, je connais les femmes. Je sais ce qu’il y a au fond de vous et vous aimerez qu’on vous le révèle. Mais c’est votre choix. Si vous n’êtes pas là demain soir comme vous l’a ordonné Laurent, c’est que je me serais trompé. Dans ce cas inutile de revenir ici quelque jour que ce soit. Mais vous viendrez je le sais.

Toute la journée du lendemain n’avait été que questions, récriminations, désespoir, euphorie, coup de blues, rire incontrôlé. Ira, ira pas ? Anne se torturait l’esprit. Elle se repassait le film de la veille. Revoyait séquence après séquence, le déroulement de chaque scène. Elle était encore abasourdie de ce qui lui était arrivée. Elle ne pouvait pas vraiment dire qu’il s’agissait d’un viol. D’abord elle y était allée de son plein gré dans ce château. Elle s’était foutue à poil sans qu’on lui demande. Personne ne l’avait forcé à s’installer sur un engin et à mettre sa tête dans un autre. Elle n’avait pas dit à Margot d’arrêter la manivelle qui introduisait se gros gode dans sa chatte trempée. Elle n’avait pas rouspété en sentant une main légère lui effleurer les fesses. Elle n’avait pas crié lorsqu’un vrai sexe lui fouillait les entrailles. Et puis, comment tu as trouvé ça, hein, salope ? Se demanda-t-elle. Dis-le que tu n’as pas aimé les caresses, le gode, la grosse bite de Laurent, les engins qui te tenaient prisonnière, hein, dis-le !!! Oui, dis-le ! Mais Anne ne pouvait lutter contre sa nature. Elle s’aperçut qu’en se repassant le film des événements, elle avait inconsciemment investi sa chatte qu’elle branlait avec ardeur. Elle jouait d’un doigt sur sa petite perle d’amour sortie de son capuchon protecteur et de son autre main, entrait deux doigts dans son vagin soyeux et dégoulinant de cyprine.
Reprenant conscience de ses gestes, elle se dit que c’était pourtant vrai qu’elle était une belle salope. Et peut-être bien que Laurent pouvait devenir son guide. Après tout elle l’aimait bien Laurent et elle n’était pas contre un peu de rigueur. Oh elle ne le connaissait pas beaucoup c’est vrai. Ils s’étaient vus à quelques reprises avec Margot pour prendre un pot alors qu’il était venu chercher sa femme à la sortie du fitness. Une fois elle avait mangé chez eux lors d’un barbecue, mais il y avait pas mal de monde. Oui, ce Laurent pourrait bien faire l’affaire. Mais quand même, et Margot dans tout ça ? Les choses pour Anne commençaient à s’imbriquer. Un peu comme un puzzle. C’est vrai se dit-elle, que je trouvait curieux qu’elle donne à « BHV » du Maître par ci, du Maître par là. Bon d’accord c’est un peintre mais tout de même, ce n’est pas Rembrandt ! Cela se saurait. Et puis j’ai bien senti cette espèce de déférence lorsqu’elle lui parle. Sans compter qu’elle à l’air de très bien connaître la pièce du bas. Si ça se trouve, cette Margot est aussi salope que moi, si ce n’est plus ! Il faudra qu’on parle de ça entre quatre yeux ma p’tite Margot. Et puis Perle. C’est quoi ce pseudo ? Comme si elle était un top modèle. Pfutt ! C’est surement son nom de salope, oui ! Mais j’en aurai le cœur net.
Cela dit, Anne n’avait toujours pas pris de décision. Ou peut-être ne s’était-elle pas encore avouée son désir profond. Les heures passaient. Le soir allait venir. Bon, se dit-elle, c’est décidé, j’y vais ! Non, je n’y vais pas ! Pour qui ils se prennent ces machos ? Je ne suis pas à leur botte pour courir à la moindre sollicitation ! Non mais ! Pourquoi obéirè-je, hein, pourquoi ? Ben peut-être parce que tu as aimé te faire embrocher par Laurent en ignorant d’ailleurs que c’était lui. Parce que ça aurait pu être n’importe qui ! Et tu as aimée quand même. Alors si ça, ce n’est pas être une salope, ça s’appelle comment ? Tu ne peux pas lutter contre ta nature ma vieille. Tu aimes te faire baiser. Tu aimes te faire claquer les fesses. Tu aimes les caresses, même celles un peu viriles et bien d’autres choses encore, alors ? Ben oui hein, pourquoi lutter ?
La pauvre Anne se torturait l’esprit pour être sur de prendre la bonne décision. Surtout il ne fallait rien regretter. Si je dis non, est-ce que je vais me dire sans arrêt : « pourquoi as-tu dis non, pauvre imbécile, tu ne sais pas ce que tu perds », et si je dis oui est-ce je vais le regretter plus tard ? D’un autre côté, Laurent est plutôt bel homme. J’ai eu la preuve en plus qu’il baise bien. Ces caresses m’ont fait mouiller comme rarement. Et puis je suppose que cela ne dérange pas Margot car, il est impossible qu’elle ne soit pas au courant. Si en plus on peut rester amie. Dans un dernier raisonnement, Anne se dit qu’elle devait tout remettre à plat et prendre sa décision une bonne fois pour toute.

A suivre…

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