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DECOUVERTE DE L’AUTRE SEXE

DECOUVERTE DE L’AUTRE SEXE



Je suis marié depuis 25 ans et heureux en ménage. Sexuellement nous sommes épanouis et rien ne semblait devoir modifier cette situation, je me trompais. Il semble qu’il ne soit jamais trop tard pour découvrir de nouveaux plaisirs et de vivre des moments que l’on aurait même pas imaginés.
Tout à commencé par une soirée de réveillon entre amis que nous organisions sur le thème Cabaret. Nous étions 4 couples et chacun devait prévoir une animation sur ce thème. Mon épouse a choisi un numéro de travestissement, elle sera moi et je serai elle. J’étais moyennement chaud mais bon, elle a su me convaincre. Lorsqu’arriva notre tour, nous montions dans notre chambre pour nous préparer. Elle avait pensé à tout, un costume d’homme pour elle et une robe et une perruque pour moi. Lors de nos répétions ce n’était pas au programme mais trop tard pour reculer. Je quitte mon pantalon et ma chemise et passe la robe. Deux paires de chaussettes font une poitrine convenable. Je passe la perruque et ma femme me met un peu de rouge à lèvre, du fard à paupière et un peu de fond teint. En piste ! Notre show est une série de danses de salon. Pour une fois, c’est ma femme qui conduit, ça fait une drôle d’impression. Ce qui est étonnant aussi ce sont les regards que l’on nous lance et les rires de nos amis. J’ai l’impression d’être ridicule et que tout le monde me regarde. A la fin de notre prestation nous sommes applaudis et je remonte rapidement me changer. La soirée se termine tranquillement.
Quelques temps plus tard, ma femme sort avec une de ses amies et j’en profite pour inviter son mari pour une soirée foot. Pendant la mi-temps, après l’apéro et quelques bières, mon ami, Philippe, me dit qu’il avait été bluffé par notre prestation du réveillon. Je riais jaune un peu mal à l’aise. Mais il insistait et finit par me demander si je me travestissais souvent. Je lui répondais que c’était la première fois et la dernière fois. Philippe me dit que c’était dommage car il m’avait trouvé très bien en femme. J’en suis resté sans voix. Heureusement le match à repris et nous avons changé de conversation. Mais au milieu de la seconde mi-temps il lâcha : « Tu ne voudrais pas remettre ta tenue de l’autre soir pour que je me rende mieux compte ?». Je lui répondis immédiatement que c’était hors de question et que de toute façon nous avons rendu la robe.
– Oui mais tu pourrais mettre une robe de ta femme.
– Elle serait trop petite pour moi et de toute façon je n’en ai aucune envie. C’est quoi ces idées ?
– Juste pour le fun. On peut bien rigoler un petit peu non ? Allé, juste une fois, pour me faire plaisir.
Il insista comme ça pendant longtemps et je finis par craquer pour avoir la paix. Je montais donc, chercher une robe de ma femme suffisamment ample pour que je rentre dedans. C’était une robe mi-longue mais qui m’arrivais au dessus des genoux. J’enfilais la perruque que ma femme avait achetée et passais un peu de rouge à lèvres. Me sentant totalement ridicule, encore plus que la première fois car hors contexte du jeux, je redescendis au salon.
– Ha ! Je ne trompais pas, tu es superbe en fille me lança Philippe.
– Arrête de déconner, c’est ridicule lui répondis-je.
– Non, non, je t’assure. Madame, voulez-vous m’offrir cette danse ?
Sans attendre ma réponse il s’avançait vers moi, passais sa main sur ma hanche, prenais ma main, me collait à lui et entamait un slow. Choqué, je ne régis pas tout de suite. Il du prendre cela pour un consentement et à pousser un peu plus loin en posant ses lèvres sur les miennes. J’ai réagi instinctivement en le repoussant et en criant « Non mais ça va pas ! T’es devenu barge ou quoi ? ».
– Absolument, barge de toi. Me répondit-il.
– Écoute, je pense qu’il vaudrait mieux que tu rentres, tu n’es pas dans ton état normal.
– Ho mais si je suis dans mon état normal ! Tu es une belle femme et j’ai envie de te draguer un peu.
– Tu t’entends ! Je suis Franck, ton pote. Pas une femme que tu peux chasser. Et puis je ne suis pas attiré par les mecs. J’ai ma femme et ça me suffit amplement.
– Ho ! Pourtant tu ne sembles pas suffire à ta femme.
– Qu’est-ce que tu racontes encore. Va t’en s’il te plait je n’aime pas ce qui se passe.
– Tu ne sais vraiment pas pour nos femmes ? Que crois tu qu’elles font en ce moment ? Un ciné ? Tu te goures mon pote, elles se gouinent dans un hôtel. Je les ai surprises une fois, tu veux voir les photos ?
– C’est n’importe quoi, tu fais vraiment chier, dégage s’il te plait.
Mais il me met une photo sous les yeux où je vois Nadège, ma femme, la tête entre les cuisses de Florence, sa femme. Je m’écroule sur le canapé. « Hé ! Oui ! Dur, dur » me dit Philippe en s’asseyant à coté de moi. « Je ne sais pas depuis combien de temps ça dur mais elles ont l’air d’aimer » poursuit-il en faisant défiler d’autres photos, toutes aussi suggestives. « Allez, ce n’est rien, c’est comme si elles faisaient un peu de sport toutes les deux » me dit-il en me passant un bras autour des épaules. Anéanti, je pensais que nous étions un couple stable, normal, je ne réagis pas lorsqu’il m’attire à lui. Pas plus lorsque sa bouche se pose sur la mienne. Pas plus lorsque sa langue se fraie un passage entre mes lèvres. Tout tourbillonne dans ma tête et je ne sais plus où je suis mais cette langue qui joue avec la mienne me ramène sur terre. J’essaye de me reculer pour m’arracher à ce baiser mais trop mollement, je n’ai pas retrouvé tous mes esprits. Et puis je craque, si Nadège prend du bon temps, pourquoi pas moi ? Nous verrons bien où cela nous mène. Ainsi, je m’abandonne au baiser de Philippe, que le sens et en profite pour m’envahir la bouche, me sucer les lèvres, les caresser du bout de la langue avant de venir cherche la mienne. Je ne sais pas combien de temps son baiser à duré mais c’était très excitant. J’étais maintenant affalé dans le canapé, Philippe au dessus de moi lorsque j’ai senti une main caresser ma cuisse. Cette main était tendre et chaude et je commençais à être vraiment très excité. Lorsque sa main est remontée plus haut sous ma robe, j’ai frissonné et commencé à haleter. Philippe n’a pas lâché ma bouche lorsque sa main a atteint mon sexe bien tendu. Il a poursuivi son baiser lorsqu’il à commencé à me caresser à travers mon caleçon. Il l’a intensifié lorsqu’il est passé sous le tissu. Il était beaucoup trop tard pour faire machine arrière et le voulais-je vraiment ? Ces caresses étaient divines. Je frissonnais de plaisir lorsque ses doigts me parcouraient, découvrant chaque millimètre carré de mon sexe proche de ma fusion. Je gémissais lorsque sa main se refermait et entamait un lent va et vient. A ce rythme, je ne tiens pas longtemps, en tout cas cela ne m’a pas paru long et j’explosais entre ses doigts dans un long soupir.
Lorsque je repris mes esprits et ouvrais les yeux, Philippe me regardais avec un grand sourire. « Alors tu vois qu’il n’y a pas de mal ç se faire du bien » me dit-il. Je ne savais plus où me mettre, j’avais honte de ce qui venait de se passer. J’avais ma robre relevée jusqu’au nombril et le sexe à l’air. Je me couvrais sans un mot. Philippe sembla comprendre et me dit « Bon, écoute, si tu veux, il s’agit d’un moment d’égarement lié à notre consommation excessive d’alcool. On n’en parle, plus, on en reste là. ». Ce à quoi je donnais mon accord.
Sur ce, il me serra la main et parti. Je me retrouvais seul, dans la robe de ma femme souillée par mon plaisir. Entre les révélations de Philippe quant à la liaison de ma femme avec la sienne et cette séance masturbation, j’étais perdu. Je trouvais la force de mettre la robe dans la machine, de prendre un somnifère et de m’effondrer dans mon lit.

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