« On passe des jours heureux avec mon ex-nièce, des jours, des semaines, des mois, tout le temps que dure son cdd.
Quinze jours avant la fin, elle m’annonce que son contrat est renouvelé et je lui offre un très bon resto pour fêter ça.
Je continue à l’héberger, et ça semble arranger tout le monde:
Elle et moi puisque nos baises vont continuer, sa mère qui va s’arranger elle pour venir me voir quelques fois et passer à chaque fois une nuit d’orgies que Sylvia ne saura jamais, et enfin son père qui n’a pas à l’aider financièrement pour ses frais de logement que je lui offre gracieusement.
Il n’y a que son petit ami qui n’y trouve pas son compte, et qui selon elle pourrait avoir des doutes sur sa conduite.
Elle pense déjà à la fin de son contrat, et me dit qu’elle ne pourra pas se passer de moi, qu’il faudra que l’on se voit de temps en temps.
Elle attend le bon moment pour en parler à son copain, le mettre devant le fait, et lui dire que s’il veut la garder, ce qu’elle souhaite, il faudra qu’il accepte de la partager avec moi.
Sinon tant pis pour lui, elle se cherchera un autre mec, plus compréhensif.
Je lui dit de bien réfléchir avant de faire une connerie, je ne pourrais pas la baiser éternellement.
Elle en est consciente et me dit qu’elle sait ce qu’elle fait; avec une idée par la tête qui pourrait ne pas me déplaire.
Elle est sûre de persuader sa mère, et peut-être même de l’emmener à baiser tous les trois.
Bien sûr que je veux. Pourvu qu’elle réussisse!!!. «
Ma nièce est une charmeuse irrésistible, et elle affranchit sa mère sure d’elle.
Pas de pot, elle n’apprécie pas, et elle lui fait la gueule quelque temps, sans alarmer ni la famille ni les proches.
Elle sait trouver les arguments pour la convaincre, lui dire qu’elle est son unique amour, et qu’en ce qui me concerne il n’y a aucun sentiment, c’est juste un besoin physique, hormonal, puisque sans vouloir la blesser elle n’est pas à la hauteur de ses besoins, qu’elle a découverts avec moi.
Elle lui dit aussi que tant qu’à baiser avec moi, autant qu’elle sache quand et avec qui, plutôt que de s’offrir à des inconnus et n’importe quand. Elle se radoucit, a trop envie de me partager avec elle, elle a besoin d’elle, et accepte de continuer l’aventure, à condition qu’elle soit discrète et que personne n’en sache rien.
Elle a gagné la première partie, il lui reste maintenant à l’emmener à une baise à trois.
Sandra est sceptique, se demande en quoi ça consiste:
Est-ce qu’on va la prendre tous les deux, ou est-ce qu’il va falloir qu’elle fasse aussi l’amour avec moi devant Sylvia.
Elle n’avait pas envisagé cette possibilité, mais elle le sent prête à tout.
Elle la cuisine, ou plutôt la mijote, en douceur, et elle lui avoue tout.
C’est une pute ma nièce, et elle me raconte tout en secret.
Elle était au courant, depuis longtemps pour sa mère lui ayant tout dit sur moi;
salope de belle sœur, tu es pute toi aussi et c’est pour ça que je t’aime.
On patiente quelques semaines, et on se rencontre enfin tous les trois, chez moi pour être plus tranquille.
Je fais la bise à celle que je considère comme mon ex belle soeur, puis ma nièce me saute au cou. On se roule une pelle affamée devant Sandra conciliante.
Je les conduis au salon et leur sers un café.
Sylvia n’en a rien à faire, c’est autre chose dont elle a envie.
Elle s’agenouille entre mes jambes, défait mon pantalon, et le baisse ainsi que mon slip.
Elle prend ma bite encore molle dans sa main, et l’enfile dans sa bouche.
Je bande instantanément:
– Salope, pute de nièce, tu ne l’as pas oubliée ma queue. Tu aimes çà, putain.
Elle me confirme qu’elle adore ma bite, puis s’adresse à sa mère pour lui faire voir comme ma queue est belle, et comprendre qu’après y avoir goutté, elle ne peut plus s’en passer.
Je regarde Sandra, et devine une humiditée sous sa jupe.
– Mets toi à l’aise, déballe ta seins et ta chatte et viens te faire lécher.
Elle n’a jamais eu une bite à pomper avec Sylvia, mais je sais qu’elle en rêve.
Elle se défringue, je me lève, et elle vient près de moi.
Elles me suce à tour de rôle:
– Hummmm, elle pompe bien ta mère. Tu n’as jamais voulue la lécher ?
– Non, je ne sais pas si elle aime.
– Mais bien sûr qu’elle aime cette cochonne et en demande encore. plus.
Sandra me pompe avec gourmandise
– Elle te plait ma queue?
– Oui, elle est belle et grosse.
– Merci, mais ta chatte est très jolie aussi. Tu aimes te faire lecher par une femme ?
– Je ne sais pas, je ne l’ai jamais fait.
– Si tu veux essayer, ne te gênes pas; je te lécharais moi aussi.
Elle me fait comprendre avec des gestes qu’elle voudrait bien, mais hésite devant sa fille.
Je lui dis qu’elle n’en a rien à faire, pourvu qu’elle ait sa part du gâteau.
Et pour l’encourager, la sentant prête à franchir le pas, je m’accroupis aux côtés de Sylvia.
Elle commence a lécher sa mère et je viens lui donner un coup de main.
Elle abandonne sa chatte pour me la laisser, et j enfonce d’un seul coup ma langue; Je m’applique à bien lécher sa chatte, puis je la redonne à ma nièce.
Je me relève, exhibe mon manche dressé, et elle ne résiste plus. Elle me prend dans sa bouche, et Sylvia l’encourage, la conseille.
Elle se relève, je le félicite pour sa première pipe devant Sylvia, et lui donne un baiser.
Elle ne fait rien pour éviter pour éviter ma bouche.
Je l’embrasse à nouveau et elle entrouvre ses lèvres pour me laisser glisser la langue.
On enlève le haut, et on se caresse, on échange de longues pelles tandis que Sylvia me pompe à son tour, puis les deux en même temps. Je suis au Paradis.
Je suis super excité, et je vais jouir. Je les préviens !
– Je viens, sucez moi salopes, videz moi les couilles.
Hummmm, oui, vous en as envie de ma sauce petites putes.
Je vais décharger, mais vous allez pas avaler, du moins pas de suite.
Je veux que vous vous voyez avec mon foutre dans vos bouches;
Elle fait comme j’ai dis, elles reçoivent tout jusqu’à la dernière goutte, et me montre leurs gueules bien remplies.
Puis elles engloutissent tout et remontre leurs bouches vides.
Je lui demande de lécher sa fille, et de tout bouffer.
Elle s’exécute docilement, et Sylvia prend un plaisir inconnu à ce jour:
– Et bien tu vois, elle ne lui pas grand chose à Sandra pour la satisfaire, juste une queue bien juteuse la mienne et la chatte a Sylvia;
Je demande à ma nièce de se caresser en même temps. Elle a des dessous sexy cette pute, qu’elle s’empresse d’enlever pour rester en bas et jarretelles.
Elle est trop bandante Sandra pour que mon sexe prenne du mou, et je vais m’occuper d’elle.
– Tourne toi salope, et penche toi. On va lui montrer à Sylvia comme on baisait bien tous les deux, alors qu’elle te croyait sage,
Elle a la chatte trempée, et je peux m’y enfoncer sans effort. Je m’adresse à Sylvia
– Putain, qu’elle est bonne cette salope, toujours prête à servir. Tu voudrais la pendre en levrette au gode ceinture ?
– Tu veux essayé ?
– Et tu veux l’ enculée?
– Non, c’est pas mon truc
– Mais pas du tout, elle aime ça autant que toi, ou même plus.
Et toi tu as déjà enculé une fille Sandra , ou tu t’es fait mettre?
– Ah non, tu es le premier avec qui j’ai fait quelque chose.
– Décidément, tu as tout à apprendre.
Je vais commencer par le cul de Sandra tu vas voir comme elle aime la grosse bite à tonton dans son petit trou de belle soeur vicieuse.
Je bourre la chatte de Sandra, et demande à Sylvia de bien me regarder, pour pouvoir faire pareil chez elle.
Je remplis ma bouche de salive, et déverse tout sur sa chute de reins.
Le liquide coule dans sa raie, puis vient faire une flaque au dessus de son orifice, puisque j’ai cessé d’aller et venir, et suis profondément ancré dans son huître.
Je m’en sert comme d’un lubrifiant qui me permet d’enfoncer mes pouces dans son anus, à tour de rôle, puis les deux à la fois.
Je l’ai bien ouverte, lui ai bien dilaté la rondelle, et vais pouvoir l’embrocher sans crainte de lui faire mal.
Je défonce son fion en l’insultant, et elle jouis et m’encourage à la prendre encore plus fort.
Je lui fous une bonne ramonée, puis me retire pour laisser la place à Sylvia et son gode ceinture;
Son petit trou est béant, et elle n’hésite pas à s’y enfoncer et à la matraquer à son tour.
– Mais on dirait que ça te plait de te faire son fion par ta fille ? et te faire prendre a 2
– Oui j avoue
– J’en ai envie, mais elle est grosse ta queue.
– Ne t’inquiètes pas je vais être très doux.
Si tu en as vraiment envie et que tu es détendue, ça va passer tout seul.
Demande à ta fille, elle ne s’est jamais plainte.
Tout en discutant et qu’elle sodomise sa mère, je caresse ses miches, visite sa raie et tâte sa rondelle. Elle pousse des petits gémissement encourageants.
Je m’accroupis pour la brouter, la préparer. Elle a la raie comme j’aime, et je me régale.
J’enfonce délicatement un doigt, puis deux, trois, et elle me laisse faire. Je la fouille bien, l’ouvre bien, et le lèche comme un chien.
elle est prête, je crache dans son trou, me relève, et crache sur ma queue.
J’ai mon gland plaqué sur son œillet, et m’enfonce lentement, en douceur, prêt à me retirer à la moindre alerte.
Je la sens un peu crispée, lui conseille de se détendre, de ne pas penser à ma queue.
Je suis tout en elle, et lui annonce la bonne nouvelle.
Elle est soulagée, et je vais pouvoir commencer mes vas et viens, toujours en douceur, pour une double qui ne laisse que des bons souvenirs.
Je l’enfile avec délice, lui fait tourner la tête pour prendre sa bouche avec la mienne, et lui souffle des insultes et obscénités:
. Hummmm, il est bon ton cul , tu l’aimes toi aussi ma grosse bite.
Tu es une pute ma chérei, autant que moi et ma nièce, on est de grosses salopes tous les trois, et on va bien s’amuser
Je la ramone toujours et lui demande a Sylvia d’arrêter de la tringler, et ce, pour deux raisons: je veux qu’elle garde ses forces pour m’enculer moi aussi.
Je ne veux pas que Sylvia fasse tapisserie, et je l’invite à s’agenouiller près de moi.
Je veux qu’elle voit comme je sodomise bien sa mère, qu’elle s’imagine à sa place pour voir comme j’aime l’enculer elle aussi.
Je veux aussi qu’elle suce ma queue parfumée de l’odeur de Sandra. Je me retire à plusieurs reprises, et alterne sa bouche et le cul de sa mère.
Je vais jouir à nouveau, et demande à Sandra et a Sylvia si elles me veulent dans leurs bouches.
Elles me répondent favorablement.
Je leurs offre ma queue à sucer, j’éjacule, et elles avalent tout.
Je leur roule encore une pelle pour les remercier, puis lui offre mon cul.
Je pense que c’est un peu tôt pour lui demander de me bouffer le cul, et je me prépare tout seul, vite fait.
Je fourre quatre doigts dans ma bouche, salive abondamment dessus, puis je me fouille l’anus:
– Encule moi ma nièce, défonce le cul de ton salopard d’oncle.
Casse moi le cul, et donne ta queue à nettoyer à ta putain de mère, qu’elle se régale de mon trou cette chienne
.
Sa queue est moins imposante que la mienne, mais elle est très efficace.
Elle me fait grimper aux rideaux , et me laisse quelques instants de répit quand elle se fait sucer par Sandra.
Je vais jouir a nouveau je leurs propose ma bite.
Je sens ses chaudes giclées recouvrir leurs visages, et je savoure mon éjaculation avec gourmandise.
Cette fois c’est elles qui prennent l’initiative de m’embrasser, et on se regarde d’un œil complice tous les trois comme pour se dire que tout se déroule à merveille.
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