Bonjour, je me présente, je me prénomme Madeleine mais tout le monde m’appelle »Madi ». J’ai 58 ans, je fais 1m66 pour 63 kg. Je suis blonde aux yeux bleus. J’habite une petite commune proche de Brest.
Aujourd’hui, c’est mon premier jour de grandes vacances, car c’est officiel, je suis à la retraite. J’ai passé la main, rendu les clés de la boutique. J’étais notaire, un métier qui m’a toujours passionnée et motivée.
Maintenant, à moi la belle vie, les sorties, les voyages, la liberté. Je vais pouvoir profiter sereinement de mon après-carrière.
Quand je regarde derrière moi et que je fais le bilan de mon existence jusqu’ici, je me dis que j’ai eu une belle vie. J’ai très bien gagné ma vie, je suis à l’abri du besoin, j’ai une belle et grande maison et mes enfants sont grands et heureux, je vais pouvoir m’occuper de leurs chérubins. Je suis bien entourée, j’ai beaucoup d’amis. La seule ombre au tableau, c’est que je suis veuve. J’ai perdu mon mari très tôt, à l’âge de 40 ans, dans un accident de moto. Je ne me suis jamais remariée. Je lui ai toujours été fidèle. Mais après ma période de deuil, qui a duré plus d’un an, j’ai compris que la vie était trop courte et qu’il fallait profiter de chaque instant. Alors mon appétence pour les plaisirs charnels m’a poussé à faire de nouvelles rencontres.
J’ai d’abord noyé ma tristesse et ma solitude dans les bras d’un collègue de travail. J’ai ensuite eu différents amants, car oui je l’admets, j’adore le sexe. Et je peux vous dire, qu’une fois qu’un homme m’a mise dans son lit, je peux être assez coquine.
Alors j’ai aimé sans aimer…Cependant, aucun d’entre eux n’arrivait à me faire vibrer autant que mon mari, ni même me le faire oublier. J’ai souvent été déçue, je dois être trop cérébrale. Et puis un jour…
En matière de sexe, ce qui me rend folle, c’est la sodomie. Cet acte primaire déclenche en moi des choses indescriptibles. J’ai toujours pratiqué la sodomie avec mon époux. Il n’y avait pas une semaine où son désir de me prendre par derrière s’atténuait. J’aimais beaucoup cela, il m’a fait jouir à maintes reprises.
Pourtant, c’est à l’approche de la cinquantaine que j’ai découvert mon premier orgasme anal. Je ne saurais vous dire pourquoi cette fois-ci, j’ai ressenti autant de plaisir. Le lieu n’était pas insolite, la taille de ce sexe n’était pas démesurée. C’est peut-être simplement parce que c’était avec lui…le fils de ma meilleure amie.
Aujourd’hui encore cette histoire me trouble et dix ans après, il m’arrive encore de me masturber en repensant à cette nuit.
J’ai donc 48 ans lorsque cette histoire s’est passée.
Hortense et moi sommes amies depuis le lycée. Lorsque j’ai déménagé pour le boulot, on ne s’est pas perdues de vue. J’étais demoiselle d’honneur lors de son mariage avec Yves, et tous les deux ont été d’un très grand soutien après le décès de mon mari. Je leur serais éternellement reconnaissante. Malgré notre amitié, je ne leurs ai jamais parlé de ma vie sexuelle mouvementée, ils sont beaucoup trop fleurs bleues. Ils ne comprendraient pas et j’aurais peur de les choquer et d’avoir honte. Encore plus s’ils apprenaient ce que j’ai fait avec leur fils.
Christophe. Je l’ai connu bébé. Je me revois encore lui chanter des contines en le faisant sautiller sur mes genoux. J’ai toujours eu des liens très forts avec ce petit garçon, il était si gentil et si mignon. Il me considérait comme une tata et moi un peu comme un neveu. J’aurais même pu être sa marraine.
Je n’ai jamais eu une once de désir pour lui, même lorsqu’il est devenu jeune adulte. De toutes façons à l’adolescence, je le voyais rarement. Seuls les copains, le sport et les soirées comptaient. Certes, c’est un charmant jeune homme, mais je n’ai jamais été attirée par les jeunes en général et encore moins par le fils de ma meilleure amie. Cela n’a pas toujours été réciproque. J’ai été l’auteur de ses premiers émois prépubères, lorsqu’un jour je me suis mise seins nus à la plage, lors de nos vacances aux Baléares. Il me l’a avoué des années plus tard.
Il est vrai qu’à cette époque là, j’étais bien gaulée. J’étais mince, pas de ride, des seins ronds et fermes, un joli 90C que je mettais en valeur. Aujourd’hui, le temps m’a rattrapé, j’ai les fesses qui tombent, les seins qui pendent (mais ils sont plus gros), je commence à avoir des cheveux blancs, mais ce qui m’horripile par dessus tout, c’est cette foutue peau qui pendouille sous mes bras. Désolé, je m’égare.
Je disais donc que la vue de mes seins lui avait fait de l’effet. Rien de plus normal, à l’âge de 11/12 ans, c’était sans doute les premiers qu’il voyait de si près après ceux de sa mère. Toujours est-il que je n’ai jamais été un fantasme pour lui. Même lorsqu’il était ado, à l’âge où les hormones se bousculent, il n’a jamais eu de paroles tendancieuses ou de gestes déplacés. Et lui-même ne sait toujours pas ce qu’il lui a pris cette nuit-là.
Cela s’est produit chez lui, enfin chez ses parents, mes amis. Nous sommes une trentaine de personnes réunies, un samedi soir de septembre pour fêter les 50 ans d’Yves. Il y a la famille, des amis, des collègues de travail. Comme je n’habite pas tout près, il est prévu que je dorme sur place, c’est plus prudent. Je ne suis pas alcoolique, mais j’aime bien boire un petit coup lorsqu’il s’agit de faire la fête.
Etant seule, il est convenu que je dorme dans la chambre de Christophe, car la chambre d’amis que j’occupe habituellement est prise par un autre couple. Je vais dormir dans son lit une place, pendant qu’il dormira dans la chambre de son frère.
Pour l’occasion, j’ai mis mes chaussures à talons hauts rouges, assortis à ma robe rouge zébrée de noir. Je me suis maquillée délicatement et je me suis parfumée. Christophe n’a pas manqué de flatter mon égo en me disant que j’étais sexy. Mais encore une fois sans aucune arrière pensée. Cela m’a fait plaisir.
La fête est belle. Nous avons bien mangé et bien bu. Yves est ravi de sa soirée d’anniversaire.
Je prends un dernier digestif, une petite liqueur qui me fait tourner la tête. Puis je vais me coucher en même temps que mes hôtes. Seuls les plus jeunes continuent de s’amuser. Christophe et l’un de ses cousins tentent de me faire rester, mais je suis saoule et fatiguée. J’ai 48 ans et je ne tiens plus la distance, en tout cas beaucoup moins qu’un homme comme lui qui n’a que la moitié de mon âge.
Je passe dans la salle de bain, fais un brin de toilette et regagne ma chambre. J’enfile ma nuisette noire, sans rien dessous et je m’endors tranquillement.
Et puis l’impensable se produit. Je ne peux dire l’heure qu’il est, mais quelque chose me réveille. Une main caresse mon ventre sous ma nuisette. Je ne comprends pas, est-ce que je rêve? Non, il y a bien une présence contre moi. Je suis en position foetale et je sens quelque chose de dur contre mes fesses. Puis cette main remonte et empaume mon sein. Je suis encore déphasée, mais je sais que c’est lui.
Je ne peux pas expliquer pourquoi, mais pendant de longues minutes, je me suis laisser caresser en faisant semblant de dormir. Ce n’est pas le manque, puisqu’à cette période, j’ai un amant régulier. Tout simplement, cela me fait du bien sur le moment. Au fur et à mesure, je sentais ma minette perlée de plus en plus. Et lorsque sa main survole mon ticket de métro, qu’elle se faufile entre mes cuisses et que son doigt caresse mes lèvres, mon coeur se déchaîne. Je fonds, mon excitation est à son comble, je craque et me retourne vers lui pour l’embrasser passionnément. Pas une seconde, je pense à réfréner mon désir, pas une seconde, je me demande si c’est bien ou pas, je fonce. La suite se fait naturellement.
Dans l’obscurité, on vire la couette, il ôte ma nuisette, je retire son short et nous nous enlaçons. Il me mange les seins agréablement et sa main retrouve le chemin de mon intimité. Je m’écartèle pour qu’il me masturbe à deux doigts. J’ai le souffle court et laisse échapper un premier gémissement. Je mouille terriblement. Dans l’euphorie, je saisis son sexe, son érection est très dure et je le branle en douceur. Il me fouille habilement et je ne me contiens plus, j’ai envie de lui rendre le plaisir qu’il me donne, mais alors que je m’apprête à lui faire une gâterie, il monte sur moi. Il m’embrasse partout, dans le cou, sur mes seins, sur mon ventre. Il descend encore, il ne va pas oser me faire ça, pas à moi. Mais si, comme si j’étais l’une de ses jeunes prétendantes, il écarte mes cuisses, glisse ses mains sous mes fesses et m’octroie un savoureux cunnilingus. Sa langue explore mes nymphes et je vacille lorsqu’il déguste mon berlingot décapuchonné. Je n’en reviens pas, mais c’est si bon. Je me tortille, je m’arc-boute. Ce supplice est un délice, mais il ne s’arrête pas là. Il soulève mon bassin, me fait culbuter en arrière. Mes pieds touchent le mur et mes fesses sont en l’air. Il les écarte.
– Non Christophe, pas ça, non…huummm, ooooohhh.
Son culot n’a d’égal que sa dextérité linguistique. Il me lèche l’anus, rentre sa langue au fond de mon petit trou et me fait monter au sommet de ma jouissance. Sa langue virevolte sur le contour de mon orifice et s’enfonce à plusieurs reprises dans mon tunnel. Je suffoque, j’halète, soumise à ses volontés. Il a compris que j’adore ça, je perds le contrôle de moi-même.
– Encule-moi!
C’est invraisemblable, je lui ai réellement dit ça? Je n’ai pourtant pas l’habitude d’offrir mon cul si facilement, mais à ce moment-là, j’en ai trop envie.
Je me mets à genoux sur le lit, je frissonne et dégouline de plus belle à l’idée de me faire sodomiser. Il s’avance, pointe son chibre sur mon petit trou et s’enfonce facilement. Le passage est fait depuis longtemps.
Il est doux, il me besogne lentement et profondément. Je suis affreusement excitée. Pour qui? Pourquoi? Je ne sais pas. L’inattendu, l’interdit, la culpabilité de trahir ma meilleure amie, la peur d’être surprise.
Et soudain, contre toute attente, alors qu’il me pilonne de plus en plus vite, qu’il est au bord de sa jouissance, une vague de chaleur envahit mon bas-ventre. Cette sensation est reconnaissable entre mille, je n’y crois pas, il arrive. Et alors qu’il déverse entre mes fesses son lait reproducteur, une boule de feu explose en moi et se diffuse dans toutes les parcelles de mon corps. Je succombe à cet orgasme ravageur, je suis à bout de force, j’ai la tête qui tourne, je tremble, trempée, j’étouffe mes cris dans le matelas. C’est presque le blackout.
J’ai du mal à m’en remettre, mais ses baisers et ses caresses me remettent d’aplomb. Et lorsque je retrouve entièrement ma lucidité, je lui fais comprendre qu’il ne peut rester dormir à mes côtés, même si je sens qu’il a encore envie de moi. J’ai trop peur que sa mère nous découvre ensemble.
D’ailleurs le lendemain, il m’est impossible de regarder Hortense dans les yeux, j’ai bien trop honte de ce que j’ai fait. Je n’ai qu’une hâte, rentrer chez moi.
En partant, j’exprime à mon amant juvénile le souhait que tout cela reste entre nous. Il me le promet, cela me soulage un peu.
Arrivée chez moi, je décide de prendre un bon bain chaud. En attendant que la baignoire se remplisse, je me déshabille et repense à cette nuit insensée. J’essaye de comprendre pourquoi LUI a réussi à me faire jouir à ce point par l’anus. Pourquoi LUI et pas les autres. Il n’est pourtant pas plus endurant, ni plus vigoureux que mes précédents amants. Même la sauvagerie de mon mari ne pas transcendée ainsi. Aujourd’hui encore, cette question reste inexplicable.
Immergée sous mon amas de mousse, je revis la scène torride. Mes seins pointent, ma fleur s’ouvre et je me laisse aller à une divine masturbation.
Je repense à mon orgasme toute la journée et à lui aussi. Je suis toujours sidérée de l’audace qu’il a eu. D’ailleurs une nouvelle interrogation me taraude. Comment et pourquoi a-t-il atterri dans mon lit? Je n’ai pas eu l’occasion d’en parler avec lui ce matin, mais il faut que je sache la vérité. Je me permets de l’appeler dans la soirée.
Au téléphone, Christophe m’explique que ce qu’il s’est passé n’était pas du tout prémédité, qu’il n’avait jamais eu envie de moi auparavant et donc qu’il n’avait aucune intention malsaine en décidant de venir se coucher avec moi parce que son frère ronflait trop fort. Mais lorsqu’il a soulevé la couette et qu’à la lueur de son portable, il a vu ma nuisette remontée et mes fesses tendues vers lui, ça l’a excité et comme il était bourré, il n’a pas su se maîtriser. Je l’ai cru, il semblait sincère. Je lui ai dit que ce n’était pas grave, mais qu’il a eu de la chance, j’aurais aussi bien pu le gifler. Je lui ai également avoué qu’il m’avait fait beaucoup de bien et qu’il était le premier à me donner un orgasme par ce trou-là. Il en était fier. Je lui ai répété que cela devait rester notre secret et qu’il n’y aurait pas de prochaine fois. Il était d’accord sur le principe.
Après cette discussion où j’ai eu le fin mot de l’histoire, je me suis sentie soulagée par ses révélations. Il ne faisait pas une fixette sur moi, je n’étais pas un fantasme pour lui. On pourra donc avoir la même relation qu’avant. Bien sûr, je me sentirais toujours honteuse d’avoir coucher avec le fils de ma meilleure amie, mais avec le temps, ce sentiment va s’estomper et me laisser croire que ce n’était qu’un moment d’égarement…
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