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Madame Lopes dure à la tâche.

Madame Lopes dure à la tâche.



Aprés l’incident des cabinets, je tentais de faire comme si rien ne s’était passé, sauf que c’était impossible. J’étais pris ,comme happé par d’invisibles fils, Madame Lopes avait commencé de tisser sa toile et elle ne s’arrêterait plus. Les jours de ménage qui suivirent me furent pesantes. Je ne parvenais pas à me concentrer dans mon travail. Les heures précédant son arrivée je restais prostré face à mon ordinateur, lorsqu’elle était là c’était encore pire. Elle aussi avait choisi le parti de l’indifférence; elle s’acquittait de sa tâche et continuait de fumer sur le balcon mais nous ne partagions plus le café et du coup nous ne nous parlions pratiquement plus, en dehors de chose purement factuelle. Malgré ce qui s’était passé elle resta courtoise, ne se montrant jamais sarcastique ni ne manquant de respect pour quoi que ce soit.

Je savais que cette situation ne pouvait durer mais que pouvais-je faire?. La congédier?. Chaque fois que j’envisageais la question je me surprenais de repousser l’idée de m’en séparer. Quelque chose avait germé en moi, s’était nourrie de cette scène dans les chiottes. A l’époque il m’était difficile de m’expliquer clairement ce qui se passait en moi. J’étais sous emprise et je n’en avais pas conscience.

La nuit surtout j’étais omnibulé par sa présence physique alors qu’elle n’était pas içi mais chez elle, à des kilomètres dans la chambre d’une maison de banlieue, partageant son lit avec son mari à ses côtés ou sur elle… je l’imaginais gémir comme elle l’avait fait dans mes toilettes, gémir comme une truie, la grosse truie qu’elle était, ses grosses cuisses écartées, offertes, ses seins énormes qui ballotaient comme des sacs. Oui, sous les assauts de son mari, son amant ou de ses amants… l’imagination en ébullition je m’endormais complètement.
Il arrivait parfois qu’elle me poursuive dans mes rêves. Une succession de séquences sans aucun rapport souvent accompagnées de sensations indéfinissables, mais une de ces séquences marqua ma mémoire. J’étais dans un château, dans la pièce principale, la salle du roi précisémment, ou plus exactement de la reine. Madame Lopes assise sur un trône au côté d’un homme que j’imaginais être le roi lui aussi sur son trône. Lui ne disait rien. Tout autour, tâpis dans l’ombre des pa****ts je devinais une assistance de personnes dont je ne pouvais chiffrer le nombre, mais tous étaient là, ils avaient répondu tous présent. Madame Lopes parlait de choses dans une langue que je ne comprenais pas tout en me regardant. Elle et le roi était recouvert de parures d’hermine. La reine Lopes se leva, écarta le pan de sa parrure et je retrouvais toute cette belle masse de chair. Ses seins énormes et ses tétons qu’elle pinçait. La magnifique toison rousse ornait ses hanches larges et généreuses. Puis elle se rassit, entièrement nue, au-dessus de ce que je compris être une fosse d’aisance et elle commença son manège, exactement comme ce terrible mardi. Elle se caressa d’abord de tout son corps jusqu’à sa chatte où elle se mit à agiter les jambes de plus en plus rapidement et de plus en plus obscène. Le roi à ses côtés restait parfaitement impassible, dans sa tenue d’hermine ainsi que l’assistance tout autour qui restait d’un silence religieux. Les murs du château résonnaient des seuls cris de madame Lopes qui accomplissait son geste merveilleux de pets obscènes et vulgaires qui ne faisaient qu’accroitre mon existence. Elle termina en montrant à tous sa merveilleuse chatte désormais toute gluante d’amour. Elle leva ses jambes dodues ,montrant ainsi son anus et se soulageant d’un pet sonore et final.
Ensuite elle se leva de son trône, m’interpellant dans une langue que je ne connaissais toujours pas, mais je savais désormais quel était mon rôle, je connaissais la tâche qu’elle m’avait assigné. Je m’approchais alors du trône puis je m’agenouillais devant ce qui avait été son autel de jouissance. Je me mis à lécher le rebord de son trône, plein de considération pour cette reine que je devais servir et qui ne ratait rien du spectacle de ma dévotion. Ma langue inspectait le moindre recoin du rebord de cette fosse d’aisance devenue pour moi sanctuaire d’intimité.

Je me réveillais, le coeur battant à tout rompre. J’étais revenu dans mon lit, ma chambre, mon chez-moi. Ma bite perçait la couverture qui faisait une curieuse bosse. De ma fenêtre les lumières nocturnes de la ville se reflétaient sur une large partie de la pièce. D’un coup je me levais, pris d’une envie de passer aux toilettes.

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