Étudiant, j’avais réussi à me trouver un emploi d’été dans une ferme comme homme à tout faire. La propriétaire, une veuve récente, avait décidé de poursuivre l’activité de l’exploitation.
La patronne, madame Mathilde, était une femme dans la quarantaine. Sous sa silhouette, bien en chair, se révélait tout de même une femme sensuelle dont les charmes n’avaient pas été altérés par les années de travail. Plus d’un homme avait dû saliver de convoitise à la vue de cette créature, dont les rondeurs attiraient les regards.
D’ailleurs, le jeudi soir, jour de paye, j’écoutais les ragots des hommes au café du village qui se vantaient à qui mieux mieux, d’avoir réussi à séduire la patronne. Des histoires salaces à souhait, à la limite de l’indécence. Mais je savais dans mon for intérieur, qu’elle avait trop de dignité en elle pour se laisser avoir par des hommes aussi rustres et vulgaires.
Quoi qu’il en soit, lorsque je revenais à la ferme, éméché, après avoir absorbé trop de bières, je m’astiquais frénétiquement le manche en fantasmant sur ma patronne. Comme j’aurais aimé pouvoir sucer son opulente poitrine, empoigner fermement sa croupe.
Mon travail consistait entre autres, à soigner les animaux le matin, la patronne me servait un copieux déjeuner, œufs, bacon, jambon, fèves aux lards et tout le tralala. « Il faut bien nourrir son homme si l’on veut qu’il trime dur à la tâche », me disait-elle avec complaisance.
Ce que j’appréciais particulièrement de ces déjeuners, était que la patronne, à peine éveillée, sa tignasse blonde en chamaille, n’était vêtue que d’une robe de chambre qui moulait les courbes de sa féminité. Que j’aimais voir ces beaux gros nichons, se ballotter de gauche à droite, se dandiner de haut en bas au gré des déplacements. Et lorsqu’elle venait me servir ma nourriture quotidienne et qu’elle m’offrait allégrement son décolleté plongeant, je ne pouvais que mater ces trésors.
Après le déjeuner, la patronne me consignait les tâches que je devais accomplir dans la journée.
— Aujourd’hui Yves, tu vas m’aider avec les cochons, je m’habille et je te rejoins dans la grange.
Je ne me doutais pas de ce qu’elle avait en tête cette journée-là. J’espérais seulement ne pas avoir à nettoyer la soue à cochons. Je vis alors la patronne se diriger vers moi d’un pas décidé. Elle était vêtue d’un jean bleu moulant, d’une chemise à carreaux à manches courtes qui semblait trop petite pour sa poitrine et d’une paire de bottes en caoutchouc. Elle s’était attaché les cheveux en queue de cheval et s’était même maquillée légèrement
— Bon, Yves, tu vas aller chercher le gros verrat et tu vas me l’amener dans la stalle de la grange.
Le gros verrat avait l’air empressé de se rendre dans la grange. Lorsque je l’ai libéré dans la stalle, il était tout fébrile.
La patronne est arrivée quelques instants après avec une jeune truie d’à peine un an. Le gros verrat, lui, savait ce qui l’attendait. La patronne libéra la truie dans la stalle et le gros verrat partit aussitôt à sa poursuite dans une course folle.
—Yves, as-tu déjà vu des cochons s’accoupler ?
— Non madame, c’est la première fois que je vois ça.
— Viens à côté de moi et observe bien, tu vas voir, c’est tout un spectacle…
Je m’installai à côté d’elle, accoté sur la barrière de l’enclos. Le gros verrat finit par coincer la truie dans un coin. Le gros verrat s’approcha lentement de la jeune truie. Il se mit alors à la lécher frénétiquement comme pour la préparer à la suite des choses.
— Regarde comme il est bandé le gros cochon, y a les couilles bien pleines de jus.
Surpris d’entendre des mots aussi crus de la bouche de la patronne, je restai bouche bée, ne sachant trop quoi répondre. Je regardai le gros verrat, il avait une trique du tonnerre et ses bourses étaient énormes.
— Il va la défoncer cette cochonne, tu vas voir…
Je voyais bien que la patronne prenait un malin plaisir à voir ses animaux forniquer entre eux. La patronne semblait de plus en plus excitée à la vue de ce spectacle bestial. Je remarquai furtivement que les pointes de ses seins gonflés à bloc semblaient vouloir percer son corsage. Intérieurement, je me dis qu’elle aimait ça, la cochonne de patronne.
Sans crier gare, le gros verrat enfourcha la truie, son membre énorme en érection .Il finit par y enfoncer son pieu profondément. La truie lâcha un cri de douleur et à la fois de satisfaction.
— Vas-y, remplis-la, la cochonne, défonce-la, cette truie, elle aime ça, se faire fourrer par un gros cochon…
Tout en vociférant des vulgarités salaces, la patronne se balançait le croupion en croisant les jambes bien serrées dans son jean. Cela devait avoir un certain effet car, de temps à autre, elle se léchait sensuellement les lèvres.
Le gros verrat avait accentué la cadence des coups de boutoir, il grognait son excitation, il était sur le point d’exploser sa semence.
— Vas-y, lâche ton foutre, remplis-la, la cochonne, crache ta semence, défonce-la !
Sur ce, le gros verrat se libéra dans un long râlement. Il explosa son foutre violemment dans la petite truie qui n’attendait que ça.
Lorsque tout fut terminé, la patronne se retourna vers moi, satisfaite de la tournure des événements. Elle me fixa directement dans les yeux.
— Je vois que ça t’a excité, mon petit cochon…
Après cette scène, je bandais dur, d’autant plus que durant l’été je ne portais pas de slip sous ma salopette, laissant ainsi libre cours à ma virilité de s’exprimer et elle s’exprimait avec ardeur. Cela ne semblait pas déplaire à la patronne qui l’avait remarqué, car elle se mit à masser ma braguette.
— On dirait que tu es bien équipé côté engin, mon jeune verrat, je veux voir ça de plus près…
Elle se mit alors à dégrafer les boutons de ma salopette. Aussitôt libéré, mon membre, fébrile, sortit fier, vigoureux et au garde à vous. La patronne, satisfaite de son initiative, l’empoigna d’une main ferme et décidée. Elle se mit à le caresser de long en large comme pour soupeser sa capacité à lui offrir du plaisir.
— Elle est vraiment très dure, mon petit vicieux, j’aime ça, voir des mâles tout excités et vigoureux…
Elle poursuivait son tripotage, sa main baladeuse faisant des va-et-vient langoureux sur ma queue, tantôt resserrant la base de mon gland, tantôt empoignant fermement mes bourses. Je sentais monter en moi l’excitation.
La patronne savait y faire, d’une main experte, elle contrôlait la situation et pouvait faire de moi ce qu’elle voulait.
— Je ne peux pas te laisser comme ça mon petit verrat, t’as besoin de libérer tes ardeurs.
Elle lâcha mon membre et recula de quelques pas. Tout en me dévisageant impudiquement, elle se mit à dégrafer son jean qu’elle descendit jusqu’à terre. Surprise, elle ne portait pas de culotte, laissant une chatte totalement dénudée apparaître à mon plus grand plaisir.
— Montre-moi comme tu sais y faire avec une truie comme moi…
Je m’approchai d’elle, hésitant. Rendu à sa hauteur, elle me fit mettre à genou dans une position de totale soumission.
— Prépare-moi, lèche-moi la chatte…
Je m’appliquai alors à satisfaire les désirs enflammés de la patronne.
— Vas-y, tu fais ça bien, mange-moi mon petit, fais-moi jouir comme une truie !
La patronne semblait apprécier mes attentions en elle, car elle se trémoussait sur ma langue. Elle exerçait une pression sur ma tête pour en tirer le maximum de satisfaction, tout en se laissant aller dans l’allégresse de son excitation.
— Oui, ooouuui, tu me fais jouir, n’arrête pas, plus vite, oui, oouuui, j’y suis, plus fort…
Elle était envahie de spasmes violents et elle dégoulinait abondamment son plaisir. Je récoltais goulûment sa mouille. Satisfaite, elle se dégagea de mon emprise.
— Maintenant mon cochon, tu vas me défoncer avec ton gros bâton…
Elle se retourna et s’appuya sur la clôture de la stalle, offrant sa croupe en guise de cadeau. Elle avait un cul d’enfer, des fesses bombées, d’une blancheur laiteuse. Je m’approchai derrière elle, la bite bien dure. Je caressai d’une main son fessier et je mis mon membre fébrile entre ses deux fesses.
— Qu’attends-tu pour me prendre, je te veux en moi …
Envieuse, elle agrippa ma bite d’une main, releva légèrement son croupion et s’empala tout de go, tout en trémoussant du cul. Qu’elle était chaude la patronne, humide… Je me sentais au septième ciel, savourant cette pénétration. Bien au chaud dans sa chatte.
— Je te sens bien, elle est bonne, bien dure, vas-y, remplis-moi comme une truie…
Je l’agrippai par la taille et je commençai à la besogner. Au début, je me retirais lentement et lorsque j’étais presque sorti d’elle, je l’enfonçais brusquement à fond. Elle aimait mes coups de boutoir, car elle gémissait son approbation.
— Défais ma chemise, empoigne mes grosses boules, mon petit vicieux !
Comme j’avais rêvé de l’opulence de cette poitrine, sans hésitation et avec empressement, je libérai ses gros nénés. Ils étaient encore plus excitants que je me l’étais imaginé, lourds, gonflés, généreux. Je les agrippai fermement, les malaxai, les pétris. Je caressai ses tétons durcis par l’excitation.
Je dominais la situation, elle était sous mon emprise de mâle en rut. Elle tortillait du cul…
– J’aime ta queue, laboure-moi la chatte, plus vite, baise-moi fort… Ouiiii …. Continue mon petit… caresse mes bouts!
– Oui, Madame Mathilde.
– Enfonce-toi bien mon petit cochon… Rentre-la plus profond
– C’est tout mouillé !
– C’est vrai, tu baises bien, je mouille !
Elle en voulait la cochonne, impatiente de se faire pistonner comme une truie, et quand je ralentissais la cadence c’est elle qui allait au devant de ma bite. J’accélérai la cadence à un rythme d’enfer, la défonçant de violents coups de boutoir, à la rendre folle d’excitation. Elle suivait la cadence, épousant mon va-et-vient incessant, elle râlait, haletant sa jouissance impudiquement.
— Oui, ouuuiii, baise-moi…
— Doucement ! C’est trop bon…
— Hum, comme elle est grosse… Vas-y, je veux que tu jouisses en moi. Ne t’arrête pas. Vas-y plus vite, plus fort !
– Aaah ! C’est bon !
– Oh oui ne t’arrête pas ! Pines moi !
– Bonne patronne !
– Oh mon salaud ! Qu’est ce que tu baises bien !
– …
– Oh oui ! … Vas-y ! … Plus fort ! … N’aie pas peur mon chéri ! … Défonce-moi bien la chatte ! … Bourre-moi à fond !
– …
– Oui ! Oui ! Fort ! Fort !
– Ah oui, patronne !
– Allez, vas-y, crache tout petit cochon ! Crache !
– Je vais jouir ! Je vais tout lâcher !
– Moi aussi ça vient ! Vas-y met moi tout ! Putaiiiin, le salaud !
Elle était entrée en transe, dominée par des orgasmes intenses. Elle jouissait…Je sentais monter en moi la sève de ma propre jouissance.
J’explosai en elle dans un long grondement.
Exténué, tout en sueur, je la libérai de mon étreinte. Elle se retourna vers moi, son regard dégageait la plénitude, la satisfaction. Elle prit mon membre semi-rigide dans ses mains et en appliquant une légère pression, fit sortir quelques gouttes de sperme qu’elle porta à sa bouche, sensuellement.
— Mon petit, si tu continues à bien me servir comme cela, tu auras droit à un bonus à la fin de l’été…
Elle se rhabilla et quitta la grange prestement sans trop de formalités, me laissant seul avec mes pensées. Je sens que je vais me plaire ici, que demander de mieux que de se faire sa patronne…
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