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L’ami de mon père

L’ami de mon père



J’étais assez jeune quand ça s’est déroulé. Je vivais encore chez mes parents et je n’avais jamais encore eu de relations sexuelles.
Mon père est un homme d’affaires et son truc, c’est les soirées entre collègues. C’est toujours le même déroulement : barbecue, whisky, bières et moi et ma mère qui tentions de communiquer avec eux sans grand succès tellement ils étaient hautains. Résultat : j’avais tendance à me mettre à l’écart et c’est là qu’un ami de mon père m’a rejoint.

Il devait avoir la fin trentaine, cheveux et barbe noirs (une barbe légèrement plus longue que 3 jours, légèrement négligée) yeux bruns, plutôt grand, 1m85-90 kg, avec une très belle carrure sans pourtant être vraiment musclé et encore moins gros mais ce qui marquait chez lui, c’était son extrême virilité. Il se mit à côté de moi avec son verre de whisky à la main et son cigare entre les doigts, il était déjà salement éméché, pas loin d’être vraiment bourré et ce qu’il me dit me figea sur place :

— Je t’ai vu sur un site de rencontres gay il y quelques jours. Je ne m’étais pas rendu compte que tu avais déjà 18ans… Et donc, tu recherches du sexe, hein ? Ce n’est déjà pas une bonne idée de mettre des photos de ton cul et de ton visage ainsi à la vue de tous, surtout si jeune. D’autres comme moi, rien qu’en voyant ça, ont dû passer une bonne soirée.

Est-ce que je comprenais bien ce qu’il voulait dire par là ?

— Tu as déjà dû t’amuser pas mal, j’ai vu ton profil il y a quelque temps. À ton âge, le sexe c’est facile à trouver, surtout avec un cul comme le tien que tu sembles aimer montrer facilement.

J’étais mal à l’aise, non je n’avais jamais rien fait, pour ainsi dire, je n’avais même jamais vu le zob d’un autre gars en érection en dehors de vidéos et je me sentais mal à l’idée de passer pour un gars facile en ayant mis mes fesses ainsi à la vue de tous. Avec du recul, c’était une mauvaise idée. Résultat : je lui fais un signe de tête négatif et lui dis que non, je n’avais jamais rien fait.

Directement, son visage changea, il comprit que j’étais puceau.

— J’aimerais qu’on soit seuls toi et moi, on pourrait aller dans ta chambre discrètement ? On sera plus à l’aise pour parler de sujets sensibles que proches de tes parents…

J’ouvris la porte-fenêtre et on entra. Heureusement, mes parents ne virent rien, ils riaient au fond du jardin, ils étaient une bonne dizaine et j’avais tendance à m’éclipser quand j’en avais marre, donc personne ne se posa de questions.

Ma chambre était au 1er. Une fois entré, il ferma la porte à clef derrière lui et alla s’asseoir sur mon lit, je me mis à côté de lui… Ce qui ne semblait pas être ce qu’il voulait. Il me fit comprendre que je devais m’asseoir sur ses genoux pour être face à lui. Je commençais à être stressé, je n’avais jamais eu l’intention de faire quoi que ce soit avec lui…mais je le fis. Directement, il prit mon visage entre ses grandes mains et m’embrassa, il avait un goût d’alcool fort et de cigare. Je n’aimais pas ça et je voulais me reculer. Résultat : il me tourna, me coucha sur le dos et se mit sur moi, enfonça sa langue dans ma bouche et fit des mouvements de bassins sur le mien.

J’avais peur mais je ne pus m’empêcher de bander… Son comportement était étrange, sans doute dû à l’alcool qu’il avait ingurgité.

Soudain, il me souleva, s’assit sur le lit à nouveau et me fit mettre à genoux devant lui. Sans attendre, il ouvrit sa braguette, sortit son zob et me dit « suce ! ».
J’avais toujours eu envie de sucer un homme même si je ne me sentais pas prêt à me faire prendre. Sucer était mon grand fantasme actuel ; donc sans attendre, je l’ai pris dans mes mains. Je n’avais jamais eu une bite si proche de mon visage avant, je n’arrivais pas à savoir si elle était grosse ou non mais ma main n’en faisait pas le tour et je peux dire maintenant qu’elle faisait un bon 17-18cm pour une sérieuse largeur. J’approchai ma bouche et me mis à le sucer… Je fis cela pendant une bonne vingtaine de minutes devant son regard sévère, il m’attrapait souvent la nuque et enfonça son sexe dans ma gorge, assez longtemps tout en faisant de gros râles.

Je n’en pus plus, je forçai pour me dégager. Mon visage était trempé de salive, j’étais visiblement pleuré… Quand il me regarda, il avait l’air d’un fou, il m’attrapa et me coucha sur le ventre tout en baissant mon pantalon, le tout très rapidement. Je commençais à comprendre ce qu’il voulait faire et ça je ne le voulais pas, enfin, c’est ce que je croyais… D’un coup, il enfonça un doigt qu’il avait mis en bouche juste avant et presque directement après, un deuxième doigt. La douleur et les sensations étaient horribles, je voulais qu’il arrête !

— Non arrête !

Il cracha dans sa main et en mit sur son sexe et sur mes fesses, il était très largement plus fort que moi, c’était un véritable étau…
Je pense qu’il savait ce qu’il faisait car quand il mit sa queue à l’entrée de mes fesses et qu’il commença à pousser, il me mit également l’autre main sur la bouche puis s’enfonça par à-coups. Jamais il ne freinait, jamais il ne fit doucement… Il me baisait, lui un mec plus vieux qui sentait l’alcool et le cigare, c’était ma première fois… Je ressens un profond dégoût, je pleurais mais, à la fois, je bandais sévèrement, je voulais qu’il arrête mais aussi qu’il continue… Je vivais ça comme un viol et pourtant, une partie de moi aimait ça !

Ça ne dura pas très longtemps. Moins de 5 minutes après, il jouit en moi et s’endormit directement. J’étais bloqué, j’avais chaud, peur et tout ça fit que moi aussi, je m’endormis.

Je ne sais pas combien de temps après, je me réveillai avec une profonde douleur. Il s’était lui aussi réveillé et recommençait, plus fort et plus endurant. Il entrait/sortait, allait au fond, poussait, donnait de gros coups de bassin et moi j’avais abandonné. Je restais là, couché à me faire baiser.
À un moment, il se crispa, était sorti et fit quelque chose avec ses mains dans le bas de mon dos avant de remettre ses mains comme elles étaient avant, proches de mon visage. Il resta un moment comme ça, je sentais son sexe chaud sur le bas de mon dos… Je me demandais ce qu’il faisait et quand je voulus lui poser la question et que j’ouvris la bouche, il mit sa main droite devant, sur ma bouche ouverte. Elle était pleine de sperme, son sperme, il avait voulu que j’avale ! Il y laissa sa main, j’avais du sperme dans la bouche et sur le visage et lui il riait, il riait beaucoup. Il attendit longtemps, le temps que j’aille, par manque de choix, avaler une grande partie. J’étais tellement dégoûté, ça avait un goût amer et répugnant et pourtant encore une fois, je bandais !

Il enfonça une dernière fois sa queue en moi puis s’endormit à nouveau, moi avec.
Le matin, il se leva rapidement et me regarda, il avait l’air coupable et avant de partir, me dit un petit « désolé ». Il avait décuvé et s’était rendu compte de ce qu’il m’avait fait.

Je voulus me lever et me laver mais en voulant lécher mes lèvres, je sentis à nouveau le goût de son sperme; j’en avais encore pleins sur le visage… Je sentis également mon anus, il était sévèrement dilaté… Je commençai à me toucher la prostate facilement accessible et à me lécher les lèvres tout en me branlant très vite. Je devenais dingue d’excitation et au bout de quelques secondes, je me mis à cracher de très longs et abondants jets de sperme, c’était presque douloureux tellement il y en avait !

J’avais aimé ça, c’était hallucinant !

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