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Les seins de ma soeur.

Les seins de ma soeur.



Cette histoire se déroule avec ma sœur, nous étions alors dans la vingtaine. Célibataires tous les deux nous prenions en location une maison à la campagne pour l’été.

Il était environ dix heures, lorsque le soleil devient chaux mais pas encore brûlant, ma sœur décide de se faire bronzer. Elle place alors un matelas mousse sur la terrasse et s’allonge au soleil. Elle est en short et enlève sont t-short me dévoilant sont soutien gorge du jour. Il composé d’un tissu très fin, presque transparent. Cette transparence laisse apparaître la forme de ses seins, la couleur de ses aréoles, très roses.

Je ne suis pas très amateur de bronzage mais la situation m’incite à poser un autre matelas mousse à côté du sien. Je me trouve donc à sa droite, appuyé sur mon coude gauche avec un livre à la main. Dans cette position je peux parfaitement mater la poitrine de ma sœur. C’est une poitrine que je trouve parfaite, pas très grosse mais idéalement proportionnée, des seins très ronds et plantés très hauts.

Au bout de quelques minutes elle se redresse et décide tomber les bretelles du soutien gorge, dans la manipulation son sein gauche se retrouve nu, elle le recouvre pudiquement en me souriant. J’en profite pour lui proposer de l’enlever complètement. Sans dire un mot elle passe les mains derrière son dos et le dégrafe, en moins d’une seconde je peux découvrir cette magnifique poitrine. La proposition était coquine et je ne pensais pas qu’elle la prendrait à la lettre. L’effet est lui aussi immédiat, mon regard ne peut la quitter des yeux et j’ai l’impression d’avoir du mal à respirer sous le coup de cette émotion intense.

Elle s’allonge à nouveau sur le dos et ses seins s’écartent à peine on dirait presque des faux, mais je sais bien qu’ils sont tout à fait naturels.
Cette vision commence à me faire bouillir le sang dans les veines, je tente un :
Je peux les caresser ?

Sitôt ces mots prononcés je me rend compte de la folie de la situation. Je viens de demander à ma sœur de lui caresser les seins… Proposition complètement incongrue qui va me faire passer auprès d’elle pour le pire des pervers.
A ma grande surprise au bout de quelques secondes, qui me paraissent une éternité, elle esquisse un sourire bizarre et me répond… Si tu veux…

Je me rapproche d’elle et commence à caresser sa poitrine du bout des doigts, sa peau chauffée par le soleil est très chaude mais douce comme du velours. Je caresse d’abord le tour du sein puis me rapproche du mamelon.

Elle a les yeux fermés, immobile, elle ne laisse rien transparaître. Lorsque mes doigts atteignent le mamelon, celui-ci se durcit, je décide alors de lui caresser la poitrine à pleine main. Ma main droite se pose sur son sein gauche et ma bouche se pose sur son sein droit. Pour la première fois j’entends un très léger gémissement. Il est donc bien en train de se passer pour elle ce qui se passe pour moi, une montée incontrôlée du désir. Cette réciprocité d’une part me rassure, mais d’autre part m’excite encore plus.

Je m’aventure alors sur ses flancs, vers son nombril… Je surveille son visage, elle a toujours les yeux fermés et ne repousse aucun de mes gestes. Surtout, ne pas aller trop vite au risque de casser cet instant hors du temps.

Le revers de ma main passe alors sur son short puis s’immisce entre ses cuisses, en remontant vers son pubis je caresse son sexe à travers le tissu ce qui déclenche un nouveau gémissement.

Je me décale afin de pouvoir embrasser son ventre, lorsque ma bouche arrive à la limite du tissu. Je tente le geste ultime, je tire son short vers le bas de quelques centimètres pour tester sa réaction, celle-ci va dans le bon sens car elle soulève légèrement ses fesses afin que je puisse le lui enlever.

En tirant vers le bas son ventre se découvre puis les premiers poils de son pubis, mes doigts affleurent son sexe, je me déplace vers le bas afin de le faire glisser le long de ses jambes.

Ma sœur est alors entièrement nue, ma tête se trouve à hauteur de son ventre, n’y tenant plus, je passe entre ses cuisses et plonge mon visage vers son sexe que je commence par embrasser. Les gémissements de moins en moins légers m’indiquent que je suis sur la bonne voie. J’écarte ses lèvres et commence à la lécher en partant du périnée vers son clitoris, les gémissements se font de plus en plus forts, ils se transforment carrément en cri lorsque je décapuchonne son clitoris et l’aspire dans ma bouche, où ma langue, d’un mouvement circulaire, le masse tout autour.Photos

Le goût de son sexe fait monter en moi l’excitation d’encore d’un cran. Je décide d’introduire mon index dans son vagin afin de la stimuler un peu plus. La réaction ne se fait pas attendre, ses hanches commences à ondoyer ses mes caresses, sa respiration se fait plus saccadée, son bassin bouge de plus en plus vite. Et soudain, elle se raidie entièrement en laissant échapper un râle de plaisir, de nombreux spasmes secouent sont corps.

Mon visage posé sur son sexe je l’observe, à un moment nos regards se croisent mais ses yeux semblent totalement absents. Que ma sœur est belle lorsqu’elle jouit…

En un tour de main mon maillot a disparu, je caresse encore son sexe avec mon visage, je veux m’imprégner de son odeur. Ensuite, je remonte doucement entre ses cuisses. Ma verge est si dure que c’est à la limite douloureux, je ne peux pas rester comme ça.

Je ne sais pas si elle va accepter une pénétration. Lorsque nos deux visages se retrouvent face à face je retrouve ce regard perdu et un peu apeuré de ce qui est en train de se passer, mais lorsque je commence à pousser mon gland à l’entrée de son vagin, elle ferme à nouveau les yeux et n’ébauche aucun mouvement de recul.

Je la pénètre très lentement, je veux savourer chaque centimètre de ma verge qui s’enfonce dans le corps de ma sœur. Puis, à chaque va et vient je regarde ses seins qui sont secoués. Sa respiration s’accélère à nouveau, elle rouvre les yeux et commence à se raidir.

La vision de ce second orgasme dépasse mes capacités de résistance. Un éclair me traverse de la tête aux pieds, c’est si fort que je n’arrive plus à bouger, je suis presque statufié par la jouissance, j’ai l’impression que chaque éjaculation dans le corps de ma sœur y déverse une quantité considérable de sperme.

Je la serre dans mes bras, l’embrasse tendrement dans le cou avant que nous allions faire un brin de toilette. C’est le moment ou chacun confesse qu’il en avait toujours eu envie.

Nous venions de passer outre, le tabou quasi universel de l’i****te. Est-ce un désir trop longtemps réprimé ou le fait de goûter à l’interdit ? Le fait est qu’il s’agissait d’un moment de bonheur exceptionnel pour tous les deux,

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