Mélodie est une jolie policière de 26 ans.
Elle travail dans un commissariat d’un quartier mal famé d’une grande ville. Comme elle est mignonne, elle subit régulièrement les quolibets des racailles du coin. Mais ça lui rentre par une oreille et ça lui sort par l’autre. Elle n’a pas peur car elle toujours entourée de collègues masculins. Il lui arrive d’ailleurs de faire des écarts avec certains d’entre eux.
Un matin, elle doit faire une liaison administrative et donc se rend seule avec la voiture de service au rendez-vous de l’autre côté de la ville. A un feu rouge, un van de petites frappes du coin s’arrête à sa hauteur. Le feu s’éternise, et finalement un des loubard remarque qu’elle est seule à bord. Un grand black lance :
« T’es bien foutu toi. On t’ferait bien ton affaire ! Hein les mecs on s’enfilerait bien la p’tite fliquette ! »
Elle s’apprête à mettre le gyro pour griller le feu quand le van lui bloque la route et que plusieurs zonards en descendent. Le grand black ne lui laisse pas le temps de réagir et la sort de la voiture pour l’embarquer dans leur van. Avant qu’elle ne puisse crier ou répliquer, ils lui scotche la bouche et les poignets et enlève son ceinturon. Une foi immobilisée, le van repart vers un entrepôt désaffecté. Les racaille la regarde gesticuler et s’en amuse. Arrivés à l’entrepôt, ils la ficelle sur une chaise.
Le grand black sort son énorme engin et lui dit :
« Ta pas tes cons de keufs pour te protéger là ! Tu va m’sucer salope ! »
Il présente son engin devant sa bouche mais elle tourne la tête en roulant des yeux effrayée. Ils rigolent tous de sa réaction mais il lui pince le nez et elle se retrouve obligée d’ouvrir la bouche où s’engouffre aussitôt le gros pieu d’ébène. Le black lui dit en lui baisant la bouche :
« Tranquille salope suce moi bien et tout va bien se passer ! Pour une foi qu’on peut baiser une fliquette ! »
Elle n’a pas le choix et laisse le black lui baiser la bouche sous les quolibets de ses potes. Les autres virent sont pantalon et son string pour commencer à lui fouiller la chatte. La pauvre fliquette est encore plus humiliée quand l’un d’eux constate :
« Elle mouille la p’tite salope ! Elle aime ça ! »
Ils la mettent à quatre pattes, la queue du noir toujours dans sa bouche, elle se fait fourrer le vagin. Elle se met à gémir et ne peut plus contenir une jouissance qui l’envahie. Ils se marrent quand elle se met à crier alors qu’il la pénètre en double.Ils accorde leurs cadence et la défonce par le cul et la chatte. Elle n’a jamais été prise ainsi et la douleur intense au début se transforme en jouissance. Leurs bites sont longues et épaisses. Elles rentrent très profond. Ils éjaculent rapidement en elle. Des secousses électriques lui traversent le corps. Malgré elle, elle joui intensément pendant que le noir le traite de salope. Du sperme lui coule entre les cuisses quand ils se retirent. Le black se lâche à son tour au fond de la gorge de la fliquette qui s’étouffe avec la trop grande quantité de sperme.
Quand ils éjaculent, il l’oblige à leur nettoyer le gland des restes de foutre. Elle n’aime pas trop cela mais il lui fourre leurs bites dans la bouche sans demander son avis. Quand ils se sont tous vidé, ils repartent la laissant souillée et attachée. Elle reste ainsi de nombreuse heures avant que ses collègues ne la retrouve. Ils la détachent et elle se sent honteuse d’être à moitié nue et souillée de sperme devant ses camarades de travail. Elle ressemble plus à une pute qu’à une fliquette. Une fois détachée, elle se rhabille comme elle peut. Sa chatte et son cul sont très sensibles. Ses collègues ne se prive pas de mater le liquide blanchâtre qui s’écoule de ses orifices. Quand son chef lui demande si elle put identifier ses agresseurs, elle lui dit que non. En fait, elle a bien aimé cette façon d’être humiliée et baisée. Ils l’ont bien bourrée les salauds.
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