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Argent et famille (16)

Argent et famille (16)



Quand on arriva au salon, je sentais que Sandrine était particulièrement nerveuse. Elle portait une robe noire que je lui avais acheté dans la semaine, avec un beau décoleté qui laissait entrevoir un soutien gorge tout en dentelles. Elle avait mis un collier de chez Swarovski, avec de nombreux brillants en cristal, ainsi que de longues boucles d’oreilles. Elle s’était fait un shampooing, avait pris le temps de bien se coiffer, et s’était passé des crèmes parfumées sur le corps. A ma demande, elle portait la culotte de ma mère, que nous avions léché ensemble ce matin.
Lorsque nous sommes entrés dans la salle à manger, ma mère et ma soeur, qui étaient déjà attablées, tournèrent leurs regards vers moi, puis ne purent cacher une réelle surprise en voyant Sandrine. Ma mère se leva, avec un sourire un peu mal à l’aise, vint me faire la bise, puis attendit que je les présente.
– Maman, je te présente Sandrine, je t’avais dit que tu aurais une surprise.
Ma mère ne sut pas trop si elle devait serrer la main ou embrasser Sandrine. Cette dernière se pencha en avant, et elles se firent la bise.
Ma soeur, qui n’avait pas encore bougé, me regardait en riant. Elle avait du mal à concevoir que ce n’était pas une blague, que je présentais à ma mère une femme du même age qu’elle.
L’ambiance resta un peu pesante jusqu’à ce que l’on vienne nous servir les entrées. Sandrine essayait d’engager plusieurs types de conversations, ça retombait souvent à plat. Ma mère essaya de faire des efforts. Elles commencèrent à discuter travail. J’avais dit à Sandrine de mentir sur sa profession, je savais que ma mère rêvait d’être esthéticienne, Sandrine lui dit qu’elle avait un salon, et qu’elle était en train d’ouvrir une onglerie. Ma mère parut enchantée, Sandrine lui dit qu’elle lui offrirait des crèmes et des parfums, si elle le souhaitait. Ma soeur était plus distante, regardait par moments Sandrine, puis ma mère, puis moi, et retournait dans sa bulle en sortant son smartphone. Je lui avais envoyé diverses photos de son amoureux virtuel, prises à un mannequin sur internet, quelques photos sur le bord de mer, une autre photo torse nu, et enfin, une photo de mon sexe en erection devant une photo d’elle, qu’elle m’avait envoyé en soutien-gorge. Je pus constater que c’était cette serie de photos qu’elle regardait, et elle leva bien son smartphone face à elle, pour que personne ne voit, quand elle passa sur la photo de ma queue. Le regard de ma soeur semblait captivé par ce qu’elle regardait. A différents moments du repas, Sandrine et moi échangèrent de longs baisers.
– Pardon de vous demander ça, fit ma mère, mais… vous avez des enfants ?
– Oui, une fille, répondit Sandrine. Marion, elle a l’âge de Fabrice.
Tiens… Je ne vous avais pas encore dit que je m’appelais Fabrice.
Ma mère resta très discrète par rapport à la différence d’âge, ne voulait pas faire de remarque déplacée, et le repas se termina dans une discussion animée sur la formation de ma soeur et le fait que ses dernières notes n’étaient pas exceptionnelles.
Quand on retourna à ma chambre, Sandrine me murmura :
– J’ai senti ta mère mal à l’aise… Et elle a voulu me faire culpabiliser… A cause de notre différence d’âge.
– Il faut lui laisser du temps. Elle va finir par t’accepter. De toute manière, elle n’a pas trop le choix. Et puis… on pourra laisser la porte de la chambre ouverte maintenant le soir… J’aimerai bien qu’elles nous entendent quand on fait l’amour.
On alla directement à mon bureau, je voulais voir ce que ma mère et ma soeur faisaient, et si elles parlaient de nous. Je pus constater que ma soeur avait envoyé plusieurs messages à son amant virtuel, tandis que ma mère était retournée dans sa chambre. Je lus les mails de ma soeur, ils parlaient tous de Sandrine, cette « vieille » que son frère avait ramené à la maison, elle disait qu’elle ne comprenait pas, qu’elle était choquée.
Je montrais les messages à Sandrine, qui fut un peu attristée de voir un tel rejet.
– Elle n’a pas décroché un mot à table, c’est dommage qu’elle me juge comme ça.
– Ne t’inquiète pas… Elle va t’aimer bientot… Tu vas voir…
Je me mis devant le clavier et me mit à taper :
– Ne serais tu pas simplement jalouse ?
J’envoyais le message tel quel. Presque aussitôt, je pus voir sur l’écran de la chambre de ma soeur qu’elle prenait son smartphone en main, et qu’elle consultait le message. Elle était à son bureau, en train de réviser pour ses partiels. Je la vis écrire, et je reçus la réponse aussitot.
– Uh ? Tu veux dire quoi ?
Je répondais à mon tour :
– Tu aurais préféré qu’il soit avec une fille de ton âge, à laquelle tu aurais pu t’identifier. Là ce n’est pas le cas et tu es jalouse.
Elle me répondit après quelques minutes.
– J’ai l’impression qu’il sort avec ma mère. Quand il l’embrassait, j’étais mal à l’aise.
Je répondais :
– Ce n’est pas toi qui me disait la semaine dernière que tu t’étais déjà masturbée en pensant à ton père, et que ça t’avait fait jouir très fort ? Il a le droit d’avoir ses fantasmes… Et je suis sur que, en plus de ton père, tu as déjà eu des fantasmes sur lui.
La réponse ne se fit pas attendre.
– Des fantasmes sur mon frère ? Il est beau gosse. Mais c’est mon frère.
– Tu t’es déjà masturbée en pensant à lui ?
– L’été dernier, je le regardais souvent depuis ma fenêtre, quand il était dans la piscine. Je le regardais torse nu.
La découverte de cette nouvelle m’excita. J’ignorais vraiment cette information. Comme quoi, on a tous nos petits secrets.
– Tu le regardais en te masturbant ?
– Oui. Depuis ma fenêtre, il ne pouvait pas me voir. J’ai fait ça pas mal de fois, mais je l’ai regretté.
– Pourquoi ?
– Je ne sais pas.
– Tu as sans doute regretté parce que ça n’allait que dans un sens. Ca a été frustrant pour toi. Tu as déjà laissé voir tes seins à ton frère ?
– Non, il aurait une réaction à la con.
– Pourquoi, tu aimerais qu’il ait une réaction comment ?
– Je ne sais pas.
– Tu aimerais qu’il te regarde ? Qu’il aime ce qu’il voit ?
– Arrête.
– Pourquoi ?
– Ca me fait mouiller…
– Je crois que je t’aime.
– Moi aussi. Je ne me suis jamais sentie aussi proche de quelqu’un. Je te parle en toute confiance. Pourtant, c’est tellement tabou.
Je vis ma soeur se lever, et retirer son pantalon. Elle alla s’installer sur son lit, attrapa son smartphone, et commença à se carresser au travers de sa culotte. En zoomant un peu avec la camera, je pus voir qu’elle regardait la photo du sexe que je lui avais envoyé. Je lui envoyais un nouveau message.
– Je me masturbe pour toi, devant tes photos.
– Moi aussi, répondit-elle. A l’instant.
– J’aimerai que tu regardes une photo de ton frère.
– Tu es sur ?
– oui, j’aimerai que tu te masturbes pour lui.
Ma soeur, de son pouce, fit défiler quelques photos sur son smartphone, et s’arrêta sur une photo de moi. Je la regardais commencer à se carresser la chatte, écartant un peu sa culotte sur le coté.
Sandrine, qui assistait avec curiosité à tout ceci, se déshabilla, gardant uniquement la culotte de ma mère sur elle, et s’agenouilla devant moi. Elle fit sortir ma queue de son pantalon, et me murmura, avant de l’engouffrer dans sa bouche.
– Imagine que je suis ta mère.
Elle se mit à me sucer divinement, tandis que ma soeur se masturbait fort, s’agitant la chatte dans tous les sens. Elle embrassa ma photo sur le smartphone, se carressa ses seins fermes, se tapa deux doigts bien au fond d’elle, puis elle m’envoya un message.
– je vais jouir pour mon frère. ça va etre fort…
– vas y… moi je vais jouir pour toi…
Ma soeur continua de se carresser avec frénésie, insistant sur son clitoris, ondula du bassin, et se recroquevilla sur elle-même au bout de quelques instants.
– Tu les aimes hein, ta soeur et ta maman, fit Sandrine en me branlant devant son visage, puis elle engouffra à nouveau ma queue dans sa bouche.
– Ta chatte… Ta chatte…
Sandrine se leva, et s’allongea sur le bureau. Elle écarta les jambes, mais posa sa main sur son pubis, cachant à moitié sa fente.
– Oh non, non, tu ne peux pas faire ça à ta maman…
J’écartais sa main sur le coté, posé ma queue contre sa fente humide, et la frotta, puis me mit à me masturber fort.
– Tu fais l’amour à une femme de mon age…
Je me branlais fort. Sandrine me lança un petit regard vicieux.
– tu penses à moi quand tu la baises ?
Je crachais mon foutre à cet instant, ne pouvant me retenir, et apergea la chatte et le ventre de Sandrine.
– Oh oui… tu penses à ta maman… murmura Sandrine. Viens, viens contre moi. Viens poser ta tête entre mes seins…

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