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Le lendemain, après le réveil, nous avons vaqué à nos occupations. Courses, ménage etc. Après le repas du midi, elle voulait aller faire la sieste mais je voulais jouer à un jeu avec elle:
Non maman! reste avec moi s’il te plait!
Oh mon chéri! je suis vanné, tu es jeune toi tu ne te rends pas compte!
Reste, on va jouer à un jeu, j’ai une idée
Intriguée, elle se rassoit:
Quelle idée? Raconte moi ça m’intéresse
Et bien je voudrais jouer aux cartes avec toi, mais d’une manière différente! Un strip! Et le perdant, celui qui se retrouve tout nu, doit être l’esclave sexuel de l’autre durant 24h! Il devra obéir au doigt et à l’œil! Qu’en penses tu?
Ok je suis d’accord, j’ai toujours de la chance aux cartes! On joue à quoi? Rami? Belote? Poker?
Ce qui te fera plaisir!
Elle choisit le rami. Nous nous sommes donc habillé, elle en robe d’été avec un petit haut et des escarpins, moi en jeans tee-shirt et basket.
Première partie, elle se retrouva en soutif. Puis je me retrouvais torse nu. Elle quitta ensuite ses escarpins puis sa robe. Je riais:
Et toi qui disait avoir de la chance!!!
Elle était en soutif et culotte alors que j’avais juste quitté mon haut. Puis je perdis mes chaussures, à son tour elle dégrafa son soutien-gorge et perdit la toute dernière partie. Elle se leva, ôta sa culotte pour apparaître complètement nue et, campée debout, elle posa ses mains sur ses hanches en disant:
Voilà! tu as gagné!!! Je suis ta chose et ton esclave!
Je bandais tellement fort que mon sexe me faisait mal, coincé dans mon pantalon. Je me levais, la pris dans mes bras et je la soulevais pour l’asseoir sur la table. Ma bouche s’empara de la sienne dans un baiser des plus fougueux. Je me débarrassais du reste de mes vêtements et sans préliminaires je m’introduisais dans sa chatte. Se tenant à moi, elle eut un râle quand elle me reçut en elle. Je la tenais aux hanches et la pistonnais sans ménagement. Après quelques minutes comme je sentais que j’allais partir, je la fis se retourner pour la mettre face à la table cette fois ci. Elle se pencha en avant et me reçut à nouveau dans sa grotte mouillée de cyprine. Je la limais avec ardeur. Dans un souffle elle me dit:
C’est bon mon chéri mais la table est froide!!!
Oui peut-être mais c’est pas grave! N’oublie pas que tu es mon esclave jusqu’à demain!!! La table est froide? Tant mieux tes seins doivent être tout durs alors! FaiS voir!!!
Mes mains glissèrent sur sa poitrine durcie par le froid et le plaisir. Je jouais avec les tétons. Elle cria son plaisir:
Ah c’est bon! tu me défonces!!!
Je vais jouir!
Oui viens mon amour!!! Viens en moi!
Mon sexe se libéra dans la cavité maternelle, notre orgasme était simultané. Je sentais que ma semence l’avait rempli, sa vulve débordait et coulait sur ses jambes. Je me tenais toujours à elle, le calme revint peu à peu. Je restais fiché en elle, au chaud tandis qu’elle reprenait son souffle lentement.
Woaaahhh! tu es vraiment un étalon!!! Qu’est ce que tu m’as mis!!! Mais je suis épuisée!
D’accord maman, allons faire la sieste si tu veux bien
Une fois dans la chambre, elle eut tôt fait de s’endormir. Je sommeillais un moment mais il fallait que je passe à l’action. Je partais chercher des grosses ficelles et je revins auprès d’elle. Elle avait bougé et dormait sur le coté. C’était parfait. Sans faire de bruit, je ligotais un de ses poignets au pied du lit et je fis la même chose avec le suivant mais sans l’attacher. Je devais tirer dessus afin d’étendre ma mère à plat ventre mais je savais d’avance qu’elle se réveillerait, je n’avais pas droit à l’erreur. Doucement, je fis glisser son bras sur le lit en tirant avec la ficelle. Elle allait se réveiller. Je terminais d’étendre son bras et l’attachait à l’autre montant. Sortie de son sommeil elle dit:
Mais!!! Que fais tu???
Sans répondre, je lui attachais également les pieds aux montants du lit. Écartelée et à ma merci, elle tirait sur les cordages en protestant:
Non mais arrête! Que veux tu faire?
Calmement je répondis:
Tu peux gigoter tant que tu veux, je te libèrerais quand je le déciderais! Et puis d’abord de quoi as-tu peur? Tu es mon esclave ne l’oublie pas
Mon stratagème avait fonctionné. Je me mis face à elle, dos au mur, les jambes de part et d’autre de sa tête:
Suce moi maintenant! et n’hésite pas à bien me mouiller! Je t’ai promis que tu allais jouir!!!
Mais arrête……
Je l’interrompais en fourrant ma queue dans sa bouche.
Mmmmmmmmpppppppppffffffffff
Comprenant qu’elle n’avait pas le choix, elle entreprit une divine fellation. Je fis durer un bon moment puis je me redressais et la fis un peu attendre. A la fois intriguée et impatiente elle s’inquiéta:
Mais où es tu? Et tu fais quoi?
Sans dire un mot, je glissais un coussin sous son ventre, ce qui eut pour effet de relever son bassin. Je glissais un doigt dans sa chatte humide. Sa mouille tacha l’oreiller.
Tu aimes ça ma salope! Mais dis le que tu aimes ça!!!
Oui j’adore! Mais tu n’avais pas besoin de m’attacher pour ça!
Sans répondre, je glissais un doigt dans son anus. Elle compris à ce moment là mes dessins:
Non pas ça! non! S’il te plait! Arrête!!!
Dis moi, tu l’as déjà fais par là?
Non! Ton père a voulu essayer une fois il y a longtemps mais je n’ai pas aimé du tout!
Oh il s’y est sans doute mal pris! Ne t’inquiète pas maman d’amour, je sais comment m’y prendre! Tu vas a-do-rer!
Et si je ne suis pas d’accord?
Tu es mon esclave! Tu dois donc obéir à tout ce que je désire souviens toi!!!
Tandis que nous parlions mon doigt allait et venait sur sa rondelle. Je la sentais se dilater. Je me redressais et présenta mon gland trempé de salive. Elle se contracta.
Ne te contracte pas sinon tu auras mal!
Elle se détendit un peu, je profitais de l’aubaine pour glisser mon gland dans son cul. Je la sentais se contracter, puis se relâcher, et c’est là que je glissais ma bite en elle. Elle râlait en me sentant dans l’étroit conduit:
Aahhhhh! non!!! pas ça! non!
Ma verge enfoncée en elle, je ne bougeais plus, attendant qu’elle se calme. Puis je commençais à la limer. Tout doucement d’abord. Ses protestations se muèrent peu à peu en satisfaction:
Mmmmmhhhh! c’est bon mon chéri!!! continue ne t’arrête pas!
Je stoppais tout mouvement.
Pourquoi tu t’arrêtes? qu’est ce que tu fais?
Je me dégageais à moitié.
Pourquoi tu t’en vas?
Je croyais que tu n’aimais pas par là?
Si! j’aime! continue! défonce moi le cul!!! jouis en moi
Je repris mes allers-retours. Maman criait maintenant à chaque coups de boutoir. Je sortais parfois, laissant juste mon gland en elle pour la repénétrer bien à fond. Je sentais que j’allais tout lâcher:
Je vais venir! ouiiiii! je viens
Ma verge libéra en elle 5 jets de sperme chaud. Elle criait son plaisir:
Oui! que c’est bon mon amour!!! ahhhhhhhh!!!!!!!
Je m’effondrais sur elle, ma queue toujours plantée entre ses fesses. Il nous fallut un moment pour reprendre nos esprits. Ma mère dit alors:
Dis moi mon chéri, je crois que tu peux me détacher là! au point où nous en sommes tu ne crois pas?
Je la libérais, elle s’assit en tailleur en frottant ses poignets.
Elle me regarda:
Tu n’es qu’un obsédé, un cochon, un pervers! me violer comme ça!!! et par derrière en plus!!!
Dis moi que ça t’a déplu et que tu n’as pas aimé?
J’admets! tu as raison, mon petit coquin chéri! par contre tu m’as tué, je suis cuite!
Elle s’étendit tout près de moi et on s’endormait ainsi, enlacés et heureux.
La nuit suivante fut plus tranquille car cela faisait plusieurs jours que nous baisions sans arrêt, et il fallait récupérer.
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