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Echangisme entre amis

Echangisme entre amis



Moi, c’est Thierry. J’aime ma femme, on s’entend à merveille, Carole est une aubaine qui partage avec moi nos désirs les plus sexe…

Ainsi pour cette fois, après quelques mois de sagesse, nous avons envie de passer à l’action, et décidons de trouver un couple de partenaires, dignes de nos dons…

J’aime les ongles qui scintillent, nacrés, vernis, aux couleurs variées, qui font des mains d’une femme, des papillons entrant dans mon cœur…
J’aime leurs scintillements, quand dès qu’ils sont dans l’ombre, ils trouvent la lumière, s’envolent vers mon sexe et me donnent le frisson d’un monde libertin…

Le papillon est libre, les ongles sont au paradis quand sur ma hampe, ils glissent… La serrant, la caressant, délivrant mes fantasmes et m’entraînant dans un jeu enivrant…

Oui, quand ses ongles frôlent mes tendres chairs, parfois peuvent s’y incruster, si jamais j’ose la serrer de trop près, ou pas assez…

Je rêve d’un artiste, peignant ce beau tableau, ses mains comme un calice, aux ongles roses et scintillants, caressant mon attribut de mâle en le prenant doucement dans un fourreau d’étoiles…
Le gland aux portes de ses lèvres, luisant d’excitation, glisse lentement, porté par les papillons, jusqu’à les voir s’entrouvrir pour lui, et le sourire coquin, les ongles étincelants autour de sa bouche avide, luisante de salive, les lèvres donnent un baiser et mon membre se lutine…

Que de douceurs de rêve, que de râles étranges, voir les papillons danser, me donne des frissons…
Le gland tourne autour de ses lèvres, guidé par les ongles de velours…
Le temps s’est arrêté pour ce moment trop rare…

Le temps pour le gland de glisser lentement, dans ce fourreau humide ou la langue l’accueille, et me fait délirer par ses effleurements si doux, que je perds la raison, j’ai envie de la prendre, de forcer le destin, de passer plus avant…

Mais les papillons veillent… Les ongles montent la garde, soutenant mon pénis, en train début de fellation, et dans la bouche il s’enfonce, presque tout entier…
Alors les papillons s’agitent, autour de la hampe, les lèvres prises de folie, les accompagnent, et dans un va et vient savant, je dois me retenir, tellement il est intense, ce mouvement divin, et les doigts serrent la hampe, les lèvres déposent leur lot d’humidité, cela devient gênant de gémir de la sorte, mais comment se retenir, lorsque devant mes yeux j’aperçois son visage, qui pompe avec tendresse, apporte le fin du fin d’une relation intime, que je dois interrompre par peur de tout gâcher…

Je reprends le contact, une main dans la sienne, dépose de nouveau les ongles virevoltants, autour de mon appendice, qui s’est un peu calmé…
La bouche s’entrouvre encore, le gland entre sans effort, guidé par les dix doigts et leurs escortes roses…

Je plonge dans le c***, le mouvement me berce, je lutte, je me bats, en retenant mon souffle, la tête va et vient, glissant toute la hampe, puis revient lentement, le délire est intense, je vais jouir en elle, les papillons sont là, entourant mon sexe, le berçant avec art, le tenant en haleine, juste aux portes de l’extase…

Il ne faut pas bouger, elle le serre doucement, les ongles s’enfoncent, j’ai envie de jouir sur ses ongles nacrés…

Ses lèvres sur les miennes détournent mon attention, et ce que je ressens, je ne peux le décrire, elle joue avec moi, un concert libertin, où l’enjeu est plus loin, caché entre ses cuisses, qu’elle vient de m’ouvrir, car elle sait combien je pleure, d’être trituré ainsi… Des larmes de plaisir…

Les papillons me font encore escorte, ils me glissent au fond de son calice, et c’est tellement bien fait, que je rugis de surprise, au fond de son fourreau, détrempé par nos jeux et nos atermoiements…

Elle est ouverte, écartelée, cuisses repliées, genoux fléchis, elle m’accueille tel un prince…
Je refais le trajet et les papillons s’envolent… Elle chante son plaisir, je joue avec son corps, comme un archet bandé glisse sur les cordes tendues, d’un violon sensuel, qui donne le tournis…

Je ne vois désormais que ses mains qui serrent le coussin, les ongles si jolis, griffent le fin tissu, je me laisse aller, elle répond en chanson…

Le temps travaille pour nous, pour notre plaisir commun…
Elle attend parfois que je rassemble mes esprits, et poursuive l’action… Une attente divine lorsque je rentre en elle, et qu’elle applaudit tremblante et si belle…

Ses papillons reviennent jouer avec ses seins, accompagnant notre dernière danse, avant un beau final, tel un feu d’artifice…
Je vais être son maître, la refaire crier…
Elle y met tout son cœur, venant me percuter, cherchant la jouissance, voulant me devancer, quand elle sent ma semence, en elle, se propulser…

Mes râles sont trop doux, ses gémissements de chatte rassasiée, emplissent notre chambre…
Les papillons merveilleux reprennent leur vol, elle vient de jouir, sous mes derniers assauts…

Que le monde est beau, le monde des papillons, elle a posé ses mains sur ses seins dilatés, elle me les offre… Ses doigts écartés, forment une corolle, et le sillon des seins devient un fourreau de torture, mon sexe s’y réfugie, elle l’accompagne, experte de ce jeu divin, qui m’emporte très loin et me fait divaguer, soupirant fortement…

Elle me donne la cadence, les papillons m’accompagnent, ma verge entre et sort de fourreau magique, et ses tétons pointés, leurs font un promontoire d’où ils prennent leur envol en cercles concentriques…

Je ne me retiens pas, et je sens sa tendresse, ce doux écrin de chair, me porte à l’extase…
Cravate de notaire en terme plus vulgaire, ce moment extraordinaire est gravé dans mon rêve…
Je viens de jouir, d’exploser ma semence, en longs jets puissants, parsemant son visage, son cou, et même son ventre, car le dernier coup a été magistral !…

Je ne peux que baiser ses lèvres avec tendresse, lui faire l’amour ainsi est un moment intense…

Anne, tu es à moi…

Plus loin, Carole gémit sous les mains de Rémy… Le mari d’Anne…
Je regarde avec elle leur jeu amoureux, Carole a mis le temps de s’offrir, repoussant le moment en regardant la chambre…

Elle nous a vu partir, nous a vu nous déshabiller, nous allonger…
Nous étions là pour ça, changer de partenaire, ressentir ce plaisir de voir notre conjoint, accepter ses baisers, se laisser caresser, puis se donner sans retenue aucune, et prendre du plaisir…

Carole et moi, nous sommes si proches que nous profitons l’un l’autre, de cette liberté que l’on s’offre comme une récompense, échanger sans complexe, juste pour le sexe…

Je l’ai aperçue débarrasser les verres qui encombraient la table, puis là, dans la cuisine, le moment idéal pour rompre la glace, seuls dans ce réduit, il a du commencer… Frôler sa poitrine, la serrer contre lui, cherchant ses lèvres…

Elle ne me voyait pas, mais savait pour Anne et moi… Nous étions en avance…
Elle avait discuté, regardant dans la pénombre, le corps de cette belle femme que je séduisais ce soir assis sur le canapé rouge de notre salon…

Elle a dû accepter ce baiser adultère…
Puis, de caresses en caresses, sentir le désir monter…
Là, plus rien ne compte, séduire, se donner et jouir l’un de l’autre…

Je la vois bien sortir le sexe de son futur amant, lui prouver son accord par une fellation, assise sur la chaise, la jupe retroussée…
Elle a dû ressortir de la cuisine et nous voir étendus…

S’allonger à leur tour en se déshabillant.
Nous entendre gémir, soupirer, ou jouir…

Puis elle s’est offerte à lui, lui laissant l’avantage, de jouer avec ses seins, qu’elle adore montrer…
Elle aime être entreprise par de longues caresses, des massages sans fin de ses globes mammaires, sensibles et sensuels, excités pour un rien…
Elle lance alors une douce mélopée, un geignement prenant, qu’elle pousse sans cesse, se laissant entraîner par les autres caresses…

Je l’ai vue un court instant, s’empaler sur le mâle, jouissant fortement, se donnant sans compter…

Maintenant ils sont enlacés, comme nous, étendus, étroitement serrés, attendant un retour de flamme…

Anne me sourit, ses doigts viennent encadrer mon visage…

– C’est bon l’amour ainsi… On peut voir l’autre couple, savoir où ils en sont, les attendre, pour partager…
– Entendre aussi… Elle a joui de ton mari, comme toi avec moi… Nous aimons ces moments de sexe…
– Oui, j’adore me souvenir, parfois avec lui, refaire ce moment… Parler de ce que l’on a ressenti dans les bras de l’autre…
– Carole aime jouir, elle a une peau sensible, elle part très vite dès qu’on flatte son corps, elle aime les longues caresses, les baisers dans le cou, et surtout sur les seins, point de non-retour pour chaque acte d’amour, ses orgasmes mammaires sont des cas médicaux ! Puis son sexe vient demander sa part, elle aime se faire prendre, jouir de tous les sexes, être masturbée, se donner sans fin, presque sans limite…
– J’ai aimé ta douceur, sensuelle et tactile, tes yeux, tes caresses, et tes mains sur mon corps qui accompagnaient les miennes… J’ai envie de toi encore, je veux aller au bout, tout connaitre avec toi…
Je te sens reprendre vigueur, tu bandes de nouveau, mon vagin s’illumine de cet état de chose… Viens ! Doucement… Je te veux de partout, baise-moi en levrette, j’aime quand ça claque, quand on me désarçonne, quand tu masses mes seins, quand tu griffes mes hanches et que tu me pistonnes…
Je vais jouir très vite… Lorsque tu en est là, ne t’en fais pas, continue, jouis en moi si tu veux, on recommencera, pour vivre la suite, après un intermède, j’ai soif et j’aurai faim…
– Mais quelle suite ?
– J’aime la sodomie, j’aime sentir un sexe s’enfoncer entre mes fesses, ouvrir ma rondelle, la pulvériser, me faire crier sans cesse, jusqu’à ce que je jouisse, retombant ivre morte… Ivre de plaisir, vidée de toutes forces…
Je m’endormirai contre toi, en silence, en t’aimant dans mon rêve, comme un prince charmant, j’aime les contes de fées… Tu le fera l’amour pour me réveiller demain, un amour tendre et doux, on jouira ensemble, tu m’insémineras, j’adore être prise, j’ai confiance en toi, fais-moi un enfant, en me portant à l’extase…

La nuit est longue, des bruits divers, des râles sourds, des geignements…
Une femme jouit dans les bras d’un nouvel amant…
Une autre se donne un bon moment, plantée sur son partenaire, puis écartelée pour lui, jouissant de sa verge qui l’emmène au paradis…

Au milieu de la nuit, café, alcools, bières, gâteaux, tous les quatre assis dans la cuisine, juste vêtus d’un peignoir identique… La douche va être bonne… Je suis face à Carole, Anne est à côté de moi… Couples reconstitués face à face… Nous mangeons avec appétit, je commençais à m’endormir, Anne bougeait dans son rêve…

Les femmes prennent la douche, nous remettons de l’ordre…
Remy me sourit, moment de vérité…
– Anne est merveilleuse, j’ai été comblé…
– Ta femme est un volcan, je suis super content… Vous êtes deux amis charmants et on est bien ici… Vous nous donnez confiance, ce qui pour le faire le sexe est primordial.
– Vrai… Je suis content que vous vous plaisiez, nous sommes aussi très proches, malgré ces incartades qui semblent nous délivrer… Mais non, nous aimons la vie, aimons en profiter et faire des rencontres, oh, une ou deux fois par an, esprit de liberté, ou ces moments volés sur notre contrat de mariage, viennent le réconforter, relancer notre couple, auprès d’un autre, dans les mêmes dispositions morales… Le sexe est un plaisir, le faire sans morale est un plus délicat.
– Tu as raison, pour cela on choisit, on se voit, on parle, on s’estime, on le fait ou pas…
– C’est difficile de trouver un couple qui nous ressemble, mêmes âges, même niveau, qui plaise aux 2, qui soit plaisant, gai, ouvert…

C’est à ce moment-là que nous proviennent des vagissements étranges, on se pousse dans le couloir… Nos deux femmes se gouinent dans notre lit, elles font l’amour ensemble, se lèchent et se masturbent, jouissent mutuellement, en 69, passent en revue, les bases de ce sexe partage, ce sexe si tendre, que l’on est scotchés tous les deux… Jusqu’à ce qu’elles nous demandent, et que l’on se joigne à elles dans ce lit un peu étroit…

La seconde partie se déroule comme Anne me l’avait demandé…
Carole, se fait défoncer la première, il al sodomise d’abord avec tact… Puis monte en régime et finit en lambeaux, dans ce cul si large, ce fourreau que j’adore… Anne en veut aussi, et je la prends avec tendresse, m’enfonçant entre ses fesses, ouvrant sa rondelle, puis la baisant avec fougue… Elle délire son plaisir, devient un peu vulgaire, crue et osée, se laissant aller, tandis que je la mitraille d’une queue insatiable, performant tel un diable dans son cul de princesse… Les papillons reviennent, quand elle m’ouvre ses fesses, pour me sentir au fond, détruire son sexe, une main dans son vagin, cette de ma femme, qui la fiste avec art…

Anne se met à trembler sous mes coups de boutoir, le vagin grand ouvert, elle arrive à l’extase divin d’une double pénétration, rare d’y arriver à ce point, tous ensemble…

Remy, qui m’était caché, a fait jouir Carole, son sexe bien bandé dans son cul, les doigts d’Anne dans sa chatte, juste retour des choses…

C’est quand elle s’est mise à jouir de ses deux partenaires, que je me suis avancé, et lui ai tendu ma verge, pour la prendre dans sa bouche où j’ai joui instantanément, tandis qu’elle beuglait de sa performance inédite, écartelée devant nous…

Par mesure d’égalité, nous avons donné à Anne, une leçon de baise à 4…
Étendue sur son mari, la prenant dans sa chatte, moi entre ses seins, car je n’ai pas pu résister, et Carole la faisant vibrer comme personne, artiste du godemiché, qu’elle utilise souvent lorsque je suis absent…

Anne s’est mise à trembler, a joui un maximum, puis est retombée, les yeux révulsés, son mari l’a recouverte d’un drap, éteignant la chambre…

– Cela faisait longtemps que je ne l’avais vu à ce point jouir… Bravo mes amis, vous nous avez comblé, vraiment, nous reviendrons…

Alors, après ce vent de passions, de sexe exacerbé, je plonge dans Carole, qui n’en revient pas…
Elle jouit en silence, monte les étapes, s’offre après un orgasme, fesses écartées, je la prends à loisir, elle jouit encore, une sodomie passionnée, en levrette, les seins qui battent la mesure, le canapé qui geint, et puis c’est l’extase, sous les yeux de notre nouveau copain, sa bite à la main, elle lui ouvre sa bouche, et manie son engin…

Oui une fellation d’adieu, avec ses ongles roses !
Il en jouit sans fin, en giclant sur ses seins, ajoutant sa semence à la mienne, que Anne vient lécher, terminant le travail…

Nous avions convenu d’un départ ce matin, il est presque midi…
Après une bonne douche et une collation, nous voici dans la hall…

On s’accorde un dernier baiser pour nos partenaires d’un soir, j’ai senti pour ma part comme un pincement au cœur en la prenant dans mes bras…
Nous nous sommes étreints, l’un et l’autre et j’eus la sensation qu’elle y mettait un soupçon de regret…
Moi j’étais perturbé par ce corps habillé, les ongles qui m’étreignaient le cou, pendant un long baiser…
J’ai ressenti son émoi, j’ai entendu ses soupirs…

Alors j’ai osé entrouvrir son corsage, déboutonner jusqu’à ce qu’apparaisse un sein que je libérais pour pouvoir l’embrasser…
Elle ne rechigna pas en acceptant mes lèvres, elle se tortilla quand je pinçais avec mes lèvres son téton durcissant, cette aréole brune…
Sa respiration devenait étrange, saccadée, avec des apnées, et son ventre douillet qui appuyait le mien, ressentant sans aucun doute mon désir sur son ventre…

Je me retournais, et je vis Carole, la robe retroussée, les jambes écartées, feulant une caresse, debout contre la porte…

– Je crois que chacun de nous n’a pas envie d’une séparation… Je vous invite donc à rester une nuit, prévenez votre famille, vos amis si nécessaire… L’appel du désir que nous ressentons est plus fort, comme une urgence, et chacun a envie de continuer à découvrir sa partenaire d’échange…
– Oui, tu as raison chéri, je me sens emportée par une folle envie, envie d’être caressée, de couler mon désir et de m’offrir encore, de refaire l’amour…
– Moi aussi, je n’ai pas envie de rentrer ce soir, je veux continuer à te dire bonsoir, à t’embrasser avec regret, à ressentir ton sexe appeler le mien, sentir tes lèvres honorer mes seins, vibrer entre tes bras pour que tout recommence…
– Carole est si chatte, si sensuelle, que je n’ai pu résister… La braise encore rougeoyante, le feu est reparti en nous, obligeant des caresses, et des baisers de feu, l’envie est bien là, oui, je suis d’accord, et c’est la première fois que nous restons chez un couple plus de 24 heures, limite de nos accords…
– Merci, nous validons ce choix, retournons au salon, laissons nos libidos faire plus ample connaissance et guider nos instincts…

La robe se rajuste, le sein disparaît, nos baisers sont décuplés, nous marchons vers les canapés, un sourire coquin aux lèvres…
Anne devient liane, son chemisier s’envole, sa jupe descend à ses pieds, le soutien-gorge reste ainsi que la culotte, un string rudimentaire, qui sublime ses formes…
Carole fait la même chose, puis nous propose un verre… Restant comme son amie, en petite tenue, pour faire le service…
On la suit au salon en matant ses fesses…

– J’ai mis du champagne au frais. Nous allons recevoir une invité de charme dans l’après-midi…
– Qui ?
– Vous connaissez Marika de notre site préféré ?
– Oui, j’adore ses textes sur xHamster…
– Oh, superbe… Elle est très en forme en ce moment après une opération. Elle vient pourquoi ?
– On aimerait publier un livre, mais pas que sur ce site, un vrai, on aimerait avoir son avis, pour matérialiser notre soif de sexe, dans une série d’aventures, parler de nos rencontres, détailler certaines, un récit sans fioritures, mais lisible par un grand nombre…
– On en fera partie ?
– Cela c’est évident… Vous êtes en premier dans l’échelle de nos rencontres…
– C’est gentil… Je vais adorer vous lire…

Les baisers reprennent, les papillons reviennent, elle les a transformés en de multiples images, ils volètent autour de moi, se posent sur mon sexe, chaque ongle est différent, en dessin et couleur, c’est un bouquet magique qui propose ses lèvres à mon membre complice…
La vision est féerique, voir toutes ces couleurs, me fait bander en glissant entre ses lèvres ajoutant à sa caresse d’une douceur extrême…

Je bande comme un cerf, les papillons s’animent, le va et vient commence, j’accompagne sa tête, elle caresse mes mains…
Les papillons se posent, et vont dans ses cheveux, d’autres caressent ses seins, puis descendent dans son sexe…
Écartelée sur le sofa, elle est toute à sa caresse, se donnant du plaisir devant nos deux amis…

Je regarde ma femme, Carole est éblouie, le spectacle divin qu’Anne vient d’offrir, me faisant une pipe, en se masturbant, les seins libérés dansant entre ses mains décorées, qui attirent les miennes, elle vient de jouir encore, de nos attouchements…

Je râle, aux portes de la jouissance, tant je suis excité par cette ambiance charnelle…

Carole se prend en cadence, elle jouit en feulant son plaisir, plantée sur le sexe dressé, de notre ami Rémy, qui lui masse les seins avec tendresse et compétence…
Elle change de côté, s’empale face à lui, en soupirant encore…
Assis sur le sofa, Rémy est aux anges, Carole sur ses cuisses qui se prend en cadence, en venant l’embrasser, lui présentant ses seins qu’il tête avec passion, continuant à jouir de son accouplement…

Elle feule et jouit, commence à débiter des mots sans aucun sens, y mêlant des gros mots, se traitant de salope, de pute, et autres insanités…

Cela nous réveille, Anne à envie de moi, elle se met à 4 pattes, la tête sur l’accoudoir, m’offrant un terrain de choix…
Je la prends avec fougue, dans sa chatte trempée, elle me dit de continuer, plus vite et plus fort, elle aussi impatiente, râle et parle fort, se lâche et se masturbe, et râle de plus en plus fort…

L’orgasme est absolu, elle tremble de tous ses membres, elle jouit de mon membre, de voir Carole baisée par son mari, elle me donne son cul, en écartant ses fesses, pleurant pour m’attirer, assoiffée de baise…

Mon gland joue dans la cour des grands, ouvre sa rondelle ; glisse dans son séant, la prend comme une amante, et ne se cache pas pour pleurer ses orgasmes, atteignant un sommet dans notre corps à corps…

Allongée, les doigts écartés, montrant ses ongles, ses seins écrasés sur le cuir rouge, je continue à la besogner…
J’arrive à prendre ses seins dans mes paumes, elle s’effondre d’un coup, emportée par une vague…

– Oh, oui, vient, prends encore mon cul, je suis ta soumise ce soir, tu me donnes tant de plaisir, tu m’envoies au sommet chaque fois que tu me baises…
J’aime ton sexe qui me ravage, qui me fait délirer, sans jamais s’arrêter, m’épuisant de plaisir… Viens ! Encore ! J’ai envie de le sentir glisser entre mes seins, puis dans ma chatte, et dans mes entrailles…
Tu m’excites tant…
On se reverra, si vous nous acceptez encore…
Jamais je n’ai été au-delà d’une seule rencontre, quelques minutes de plaisir, assez vite oubliées…
Vous c’est le contraire, j’ai envie de faire l’amour avec l’un et l’autre, vous êtes complémentaires, Rémy est comme moi, pris par la magie de leurs ébats, Carole l’a subjugué… J’aimerais passer du temps ensemble, en vacances, au ski, à la plage…
– Ce n’est pas interdit, on s’accorde à merveille, nous avons le même âge, les mêmes goûts, et bon nombre de points communs…

2. Marika et le livre

Lorsque je sonne à la porte, je ne sais pas ce que je vais leur dire…
Carole m’a parlé d’un livre qu’ils aimeraient éditer… J’ai un peu l’habitude des maisons d’édition, ce n’est pas facile de gagner leur confiance…

En peignoir à cette heure ! Carole me prend dans ses bras, on s’embrasse, comme deux copines…
Thierry, en décontracté, vient me saluer, un peu surpris sans doute de l’heure de mon arrivée… Le train que j’ai pris arrivait bien plus tôt, il est 15 heures…

J’entre au salon, ils me présentent un couple d’amis, Anne, des yeux adorables, grande et belle femme, avec des ongles peints, un sourire enjôleur, j’adore…
Ce qui m’attire au premier regard, sa stature sportive et ses seins…
On parle parfois des miens, mais ceux-là sont magnifiques, 100d sans doute…
J’ai du mal à détacher mes yeux, Thierry me présente Rémy…
Il va comme un gant à sa femme, carrure, visage engageant, souriant, sa poignée de main me confirme son moral, un homme sans doute à connaître…

Carole ne m’avait pas parlé de ce couple… Elle m’invite à poser mes affaires dans la chambre d’amis, je lui dit que j’étais prête à une nuit d’hôtel, elle ne veut rien savoir… Puis elle me précise que ce couple est arrivé hier et qu’ils ont décidé de prolonger leur séjour… Un sourire coquin, je crois que j’ai saisi… A ses yeux brillants, je vois bien autre chose, connaissant les mœurs libérés du couple…

Pas de soucis à avoir, on pourra discuter ensemble de leur projet et aussi se détendre, ils sont vraiment sympas et agréables…

Alors pour ne pas briser la glace et me mettre dans l’ambiance, elle rajoute pendant qu’on est seules…

– A ton coup de sonnette, j’étais pour la cinquième fois depuis hier, empalée par son membre et me faisais jouir, à en perdre mon âme, tandis que Thierry se farcissait la grande, la faisait beugler comme une truie en rut…
On a tout fait, tout osé, tout testé, on s’entend à merveille, ils sont délicieux, tu vas te régaler…
– Mais je ne suis pas venue pour ça… J’étais là pour faire votre connaissance et parler en tête à tête de votre projet de livre…
– Ben, tu pourras étendre à nos 2 partenaires, et pour le livre, nous verrons demain… On va t’attendre au salon, la salle de bains est là, on va boire à ta santé, ne sois pas trop longue, sinon, je ne réponds de rien…
– A ce point ?
– On est dingues, on ne sait pas s’arrêter, dès qu’il me regarde, je lui ouvre mes cuisses. C’est pareil pour Anne avec Thierry, on a fait une partie carrée, c’était divin, elle aime les femmes autant que moi…
– Bon, je vais me parfumer, j’arrive…
– Ne mets pas de culotte, ça gagnera du temps…
– Oh ! Coquine…

C’est vrai qu’avec Carole on a bavardé souvent, échangé nos idées, parlé de leurs fantasmes, de leur intimité… Ils ont lu plusieurs de mes textes, surtout dans les anciens où j’écrivais pour des amis, réalisant leurs fantasmes et leurs désirs, pour leur plus grand plaisir…

Les sujets sont redondants, tromperie dans le couple, amours ancillaires, tourments familiaux, attirance adultère, tabous et rêves au sein de la famille, relations libertines, etc…

Bref, mes sujets ont été variés et je continue à exaucer les vœux de mes amies et amis xHamstériens…

Je rentre dans la pièce, le champagne est débouché, je me glisse entre Thierry et Carole, face à Anne, ravie de faire ma connaissance…

– Oui, nous savions… Carole m’a parlé de toi, on se tutoie ?
– Oui, bien entendu…
– Voilà, nous aussi aimons le partage, pimenter notre couple par des vidéos, des rencontres, des échanges, en vacances, deux ou trois dans l’année… Mais nous n’avions jamais trouvé pareille symbiose… Le courant a passé, et nous nous sommes décidés à continuer cette rencontre en devant amis… Nous devions partir après dîner, mais on n’a pas pu, regrettant de partir, le cœur serré, tous les 4… Alors vu l’état dans lequel nous étions, nous avons décidé de prolonger jusqu’à demain…
– Oui, Carole et Thierry nous ont parlé de toi, et comme dit Anne, pimenter est devenu un but, car jouir de plaisir, par le sexe et sans se prendre la tête n’est pas monnaie courante. Il faut s’entendre comme de très bons amis, se respecter, se comprendre. En quelques heures nous venons de battre notre record, 20 heures de partage, intenses, attirés par leurs jeux, partageant notre couple, échangeant nos femmes, un réel coup de cœur, un coup de foudre…
– Alors trinquons au sexe, trinquons à notre rencontre, Marika tu es déjà des nôtres, on partage tout ce soir, alors mets-toi dans l’ambiance, et que la soirée commence…

Quand je sens la main de Thierry sur ma cuisse, ses yeux souriants, qui m’invitent à le suivre au salon, où chacun prend place, je reste debout, il glisse son regard sur ma poitrine, prend ma main, et contemple mes ongles…

– Mon dieu, tu es magique, Marika… tes mains sont des œuvres-d’art…
– Je sais que tu adores les ongles manucurés, nacrés, colorés, qui viennent embellir notre corps… Alors je t’en prie, suis-les du regard, regarde où elles se nichent, je vais vous donner de quoi faire ma connaissance, pour que vous puissiez tous en profiter…

Et en dansant, je leur fais un striptease, debout au milieu de la pièce, mes mains virevoltent autour de mes habits, dégrafent, dézippent, délassent, mes mains battant des ongles, comme des oiseaux libérés, le dernier vêtement tombe, entre Thierry et Rémy ébahis et pantois…
Mes mains caressent ma peau, sensuellement, elles empaument mes seins, puis les masse et je mime l’extase, et elles continuent, tandis que je les fixe, chacun et chacune, puis viennent se nicher à l’intérieur des cuisses, délivrant mes baisers…

Ils ont bien regardé, ils se sont levés, sont venus chacun prendre une main, la déloger, d’entre mes seins, et l’autre de mon sexe…
Nus eux-aussi, je vois l’effet que je leur fais…
Réaction masculine, ils me serrent de près, un collé à mon ventre, massant les seins, l’autre dans mon dos, dessine mes hanches, son sexe dans mes fesses…
Je m’ouvre à leurs demandes, mes lèvres en premier, c’est Thierry qui gagne mon premier baiser, Rémy savoure alors mes seins, dont il flatte les bouts, puis masse avec tendresse, liquéfiant mon ventre, son sexe envoûtant me donne le frisson…

Sur le sofa, nos deux amies commencent un ballet lesbien, enlacées, elles s’embrassent avec force, se caressant mutuellement, en gémissant de désir…

Après plusieurs minutes, leurs deux sexes dans mes mains, je m’agenouille entre eux, et commence mon jeu…
30 secondes chacun, je les laisse durcir, s’allonger, puis j’écarte mes cuisses…
Une main vient s’y réfugier et faire connaissance avec mon intimité…
Doigts tendus, cercles tendres, je me lâche doucement, quand un doigt ose enfin…
L’autre est entré dans mes fesses, rejoignant le premier, flattant mon arrière-train et massant ma rondelle, avec hardiesse…

Ainsi, honorée de concert, leurs membres pointés vers le plafond, je m’ouvre à leurs désirs, au milieu de la pièce…
Anne s’est arrêtée une main sur ses seins, Carole se masturbe, regardant son mari préparer son entrée…
Il s’introduit en douceur, dans ma chatte en émoi, détrempée par leurs doigts, je le sens pénétrer…
L’autre c’est pareil, le gland s’est avancé, a poussé pas trop fort, pour écarter mes chairs, et pénétrer mon antre…

Je jouis doucement, ils prennent leur cadence, s’entendent peu à peu, Rémy masse mes seins en bandant comme un âne, Thierry remplit mon vagin, je délire de leurs sensations, m’envole quand ils me prennent avec une telle douceur, que j’en tremble de plaisir…

Ils me baisent ensemble, combinant leurs va-et-vient,

Les deux femmes, excitées par mes râles ont repris leurs ébats, Carole masse les seins de son amante, ces seins magnifiques, qui vont avec sa stature de sportive, ses cheveux cuivrés, aux reflets d’or…
Elles se masturbent mutuellement, écartelées, en s’embrassant délicieusement et savourant la caresse, en gémissant…
Puis elles s’embrochent en ciseaux, sexe contre sexe, glissant ensemble, en jouissant jusqu’à l’orgasme…

Je me sens emportée, mon ventre va se libérer, ils me tiennent entre leurs bras, et me donnent le final, me prenant avec force, tapant contre mes os…
Je jouis de leurs sexes, et ils jouissent en moi, à grands coups de reins, je m’appuie au sofa, et ils se libèrent, remplissant mes méats, jusqu’à la dernière goutte, ils sont plantés en moi, m’embrassent chacun leur tour, en caressant mon corps, vibrant de plaisir à ce contact en or !

Épuisée d’avoir résisté à leurs assauts combinés, me voici entre les deux femelles qui viennent m’embrasser, me caressant partout, puis me léchant avec attention, récoltant le jus de leur homme, chacune dans un trou avec un ensemble parfait…

Elles me donnent le frisson, continuent à me lécher, me saliver, tourner mon clitoris, m’envoyer vers un autre nuage, se relayant dans mon intimité, tandis qu’elles s’ouvrent à mes doigts afin de partager…

Nous voici toutes les trois en train de gémir nos extases, écartelées, nos seins ballants, blancs comme des colombes, cherchant à donner encore, à chercher toutes les voies du plaisir entre femmes, je viens de sodomiser Anne avec deux doigts, elle vient de jouir, en déclenchant sa fontaine, Carole était dans son sexe, cherchant son point G…
Inondées par les jets puissants, nous en rions ensemble, et je suce Carole pour faire le partage…

Calmées, nous rejoignons les hommes sirotant une bière à la cuisine, repensant à nos exploits…

– Marika, tu viens de gagner deux amies, plus deux amants, on s’accorde un temps de détente et de remise en forme, ils en ont besoin aussi…
– Tu as raison, nous sommes en sueur, quelle séance de baise, j’en suis toute émue… Une bonne douche, après quelques croissants…
– Que c’est bon ce sexe partagé, sans gêne et sans complexe… Ma femme se fait baiser, j’applaudis des deux mains quand elle jouit de lui… La sienne me donne du plaisir, invente, se tort, s’offre à moi devant lui, savourant mon sexe, me donnant le sien comme une nymphomane… Elle devient pute en s’expriment crument, en redemande encore, en criant plus fort, et me donne ses fesses… Quelle chatte magique qui me procure tant de délires… Anne tu es une princesse, avec tes seins de rêve, Carole, tu es divine et sensuelle, et avec vos mains peintes, vous nous séduisez avec tout votre corps…

Finalement de bouchées en verres de bière, je sors une pizza que je fais réchauffer, puis deux, puis trois… Des fruits, des cakes, et nous mangeons de bon appétit… Dans la bonne humeur de ce début de soirée, il est bientôt 22 heures, la nuit s’offre à nous…

On décide d’aller dans la grande chambre de se désaper, puis on commence lentement, cuisses écartées, on s’offre au plus proche, on minaude sa bite, et le jeu continue, nos soupirs montent très vite, comme je suis la nouvelle, je suis bien entourée, mais avant, nous leur offrons un tableau sublime, prenant toute la place dans ce lit majestueux, nos doigts peints de diverses couleurs, courent sur nos corps, enflamment nos atours, caressent et s’envolent, cherchent à les embraser, assis sur leurs chaises, les yeux écarquillés…

Que de belles choses, nos seins mis en exergue, sublimés par ces couleurs qui viennent les masser, exciter leurs tétons… A genoux l’une contre l’autre, nos seins se rencontrent, on tourne doucement, se frottant, puis nos mains quittent le haut, pour venir dans la bas, nous écartons nos cuisses pour couler de plaisir…

Le volume augmente, les râles deviennent intenses, on se plie à l’envers, presque sur le dos, cuisses ouvertes, seins libres, qui se balancent, nous avons toutes les trois des poitrines opulentes, sans être trop flasques, elles sont attirantes, et nous jouons de cela, presque à les frôler, tandis que dans nos chattes c’est une bousculade, chacune venant donner un plaisir de femme… Nous nous remettons droites, assises en tailleur, adossées, les cuisses ouvertes vers nos voyeurs…
On arrive à s’embrasser en nous caressant les seins, tantôt à droite, tantôt à gauche, partageant nos caresses, en masturbant notre voisine, la portant à l’extase, pour un joli concert de chattes en chaleur…

Ils n’en peuvent plus, de nous entendre gémir, de nous regarder jouir, de nous offrir aux mains manucurées, qui plongent dans nos intimités…

Deux bites pour trois bouches…

Anne invite Thierry, elle se prend sur son sexe, Carole avec son mari, et moi, au milieu me présente sur leurs visages, et leurs langues adorables viennent m’emporter aussi…
Mes amies échangent avec moi, j’ondule sur Rémy, transpercée par son membre, Carole a pris son jouet et se masturbe la rondelle, puis se sodomise en criant devant nos hommes…

Sa chatte grande ouverte attire les deux mâles qui nous délaissent, et la prennent tous deux, nous laissant le jouet…

On s’en sert avec habileté, Anne est une experte et elle me démontre son art avec passion…
Je jouis, nos seins dansent ensemble, imbriqués, on se laisse aller, on jouit, on se masturbe, on s’embrasse avec passion, nous découvrant des points communs, tandis que Carole, toujours entreprise nous délivre avec tonicité, ses plus belles envolées…
Elle en tremble de joie, délire son orgasme, et dans un ensemble parfait, ils se délivrent en elle… Elle est au paradis, ivre de caresses, épuisée par leurs jeux, qui l’ont anéantie…

Je jouet reprend du service, je le sens dans l’anus, elle le manie en moi, je me mets à délivrer mes mots crus, comme à mon habitude, où l’on comprend, putain, salope, enculée de première, garage à bites, soupe de clitoris, et toutes reprennent mes textes, se pâment et se flagellent, dans un concert inimaginable…

Que de passion, que de liberté… Que de sexe !…

Entrelacés, nous gisons tous et toutes, épuisés, offertes sans complexe, nos sexes grands ouverts en train de se régénérer… On rêve, on sourit, on parle, on s’endort, le silence accompagne nos émois…

Je vois des ongles roses, sur une large poitrine velue, d’autres étincelants, enserrant un membre solitaire…
Les miens sont sur ses seins, Anne me sourit, elle masse son mari, lui redonnant vigueur…

– J’ai envie de lui, il ne m’a pas fait l’amour cette nuit…

Je me penche et savoure ses tétons, elle se met sur le dos et écarte les cuisses, j’obéis…
Sa chatte est un délice, un nectar en coule sous mes doigts inventifs…
Elle ronronne, toujours avec le sexe de Rémy dans sa main…

– Il est tout flagada… Tu connais un remède ?

Alors je me penche sur lui, embouche la pauvre bête…
Peuchère ! Il est sans vie, vidé de sa substance, il a trop travaillé !…

Avec mes lèvres douces je soulève le gland… Ma main tâte les bourses, mes ongles remontent sur la hampe, engloutie par ma bouche…
Il me semble que…
Mais oui, il revient à lui…

Je le serre entre mes lèvres, va et vient doucement, humectant tout l’ensemble…
Anne promène sa main à l’entrée de ma chatte, elle flatte mes fesses en voyant devant elle le miracle se faire !…
Elle introduit un doigt dans mon puits de velours…
Le sexe est érigé, propre à servir encore…
Je profite un peu de cette aubaine… Honteusement tentée par cette résurrection…

Mais la coquine est en train de me supplicier…
Ses doigts sont plus nombreux et glissent en cadence dans mon vagin trempé…
Ils m’emportent… J’ondule mon bassin, je m’ouvre à sa caresse, en fermant les yeux, ne sentant que les deux doigts qui emplissent mon sexe et celui qui ondule sur mon bouton d’amour… Et le quatrième, flattant mon petit trou…

Le plaisir est divin, intense, et je jouis sans vague, en continuant à honorer le sexe…

Elle est si belle… Ses seins orgueilleux, frôlent les miens, elle attend que je lui donne la verge ragaillardie…
Je viens de jouir… Elle est impressionnante, je suis au paradis…
Je lui laisse la place, elle s’installe sur lui, je flatte son intimité, qui coule de l’attente…
Je l’embrasse quand elle se laisse descendre, écartelée, s’empalant sur la verge que j’ai bien préparée, elle soupire d’aise, de plaisir, lorsqu’elle se pénètre…

– Oh, qu’il est bon, le sexe de mon homme… Ouh, que j’aime me baiser ! Onduler avec son membre bien planté au fond de mon vagin… Il est redevenu énorme, il me prend par les hanches… Il nous sourit… Dommage que l’on ne puisse être deux sur lui… J’aime ce que tu m’as fait, je te dois du plaisir, tu l’as remis d’aplomb, Carole l’avait vidé… Allez, hop ! Oui ! Oh, que c’est délicieux, tu l’as essayé cette nuit ?
– Je crois, mais il était pressé ou à plat…
– Alors viens, je te le prête un instant…

Elle s’écarte et me laisse la place, je m’empale à mon tour, sur la tour infernale et je me sens étrange, comme percutée par un objet non identifié… Elle a raison, je jouis tout de suite, il me laboure la chatte, il est au maximum de ce que je peux subir, même Basile, un guadeloupéen de mes connaissances, ne fait pas mieux… Il m’aide à me faire jouir, il soulève mes fesses, et quand Anne revient, elle passe sa main, et pince mon clito… Je hurle de plaisir, je monte encore plus haut, les laissant interdits par mes vocalises de hyène…

Elle masse mes seins, ils me rendent folle, je me mets à vibrer, trembler de tout mon être, et mon ventre se vide en de longs jets brûlants, sur les doigts engagés, sur les draps, sur Rémy, qui goûte ma fontaine, se délectant de moi… Anne est aussi intéressées, elle nous lèche, son mari et moi, et le voyant en forme, se place pour continuer ce qu’elle avait commencé.
Il est vraiment spécial, il la prend avec fougue et comme pour moi l’aide dans défonce, et arrive à l’extase en quelques minutes à peine, tremblante et contentée avec son lot de foutre, il l’a inséminée !…

Que c’est beau ce couple qui partage, amenant avec moi, un zeste de libertinage, mais arrive à jouir ensemble, du plus beau des orgasmes…
Elle n’en peux plus, et tombe dans mes bras, se laissant dériver, inondée de semence, à moi de partager, j’en prends avec ma langue et la lui fait goûter dans un baiser lesbien du plus grand érotisme, plein de sensualité…

Ces gestes féminins, je les revois encore, quand dans mon train de retour, je m’assoupis en revoyant la fête, ce sont tous des amours, j’ai passé des heures mémorables, Thierry m’a fait la cour, puis m’a prise en levrette, me faisant délirer de nouveau, me poussant jusqu’au bout devant sa femme adorable, caressée par les deux hommes…

J’ai joui encore, puis encore avec Carole, Anne venant nous emporter dans son monde, avec son jouet, nous montrant des positions hardies que les hommes ont adoré regarder…

Le week-end s’est arrêté, je regarde un peu la campagne défiler, j’ai encore trois heures à attendre… Le balancement m’emporte dans d’autres rêves, ce doit être contagieux, car un jeune homme face à moi, reluque mes cuisses qui s’ouvrent avec le balancement du train et mon assoupissement que je commence à feindre, intriguée par cet intérêt… Le voyage est encore long, pourquoi pas une distraction éphémère ?

Nous sommes seuls sur la rangée après la gare de Lyon. Quand le balancement revient, je me balance aussi, ma robe remontant, il passe en mode sous-marin, levant son magasine à hauteur de mes yeux…

Il est coquin le bougre… Je me cale dans le coin, fais semblant de m’assoupir, mes mains retombent, ma robe remonte encore, je bouge un peu changeant de position…
Il est rouge pivoine, il doit voir mes dessous…
J’ouvre mes yeux d’un coup surprenant son regard, il manque s’étouffer… Le pauvre se sent pris en défaut… Il va pour bredouiller…

– Excusez-moi jeune homme, j’ai dû ronfler un peu… cela m’a réveillée…
– Ne vous excusez pas, madame, je dormais aussi, le balancement du train, c’est source de rêves divins…

Dans la minute qui suit, je l’invite à me suivre au wagon-bar, et là, enfermés dans les toilettes, je découvre ses trésors, le pompe avec délice, il est vif et très agile, puis il me prend debout, après m’avoir léchée, bandé comme un cheval, et jusqu’à Avignon, me fait un festival !…

FIN

Marika842010 – novembre 2019

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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