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L’enculée

L’enculée



Parier mène souvent à des situations imprévues. Mon expérience le montre : je me souviens quand j’avais 18 ans, que nous discutions des machins de l’amour, des orgasmes pas encore idéaux, nous nous jetions des défis. Le plus dur était de les réaliser.
Une de mes amies, plus âgée d’un an, voulait absolument savoir ce que pouvait faire un sexe d’homme dans l’anus. Elle prétendait quelques temps plus tard avoir connu la sodomie avec plaisir. Elle nous en parlait souvent, mêlant des lectures avec des images pornos. En réalité elle était toujours vierge de ce coté là. Elle nous faisait le pari de nous montrer comment elle aimait se faire mettre par le petit trou.
Nous attendons encore de la voir.
Plus tard, avec Marion nous nous sommes livrées à des échanges de caresses. Nous étions couchées sur son lit, un après midi tranquille. Nous bavardions des dires de notre amies, des sortes de plaisirs avec le cul.
Nous en étions l’une et l’autre excitées. Simplement, sans nous consulter nous avons passé nos mains dans nos slips. Je me souviens que mes doigts étaient sur le clitoris quand sa main est venu interrompre la masturbation. Sa bouche s’est approchée insensiblement de la mienne. Je regardais ses lèvres venir sur les miennes. C’était excitant et bon. J’abandonnais ma bouche à la sienne. Je crois bien que c’est ma langue qui la première allait dans sa bouche. Marion tranquillement a passé sa main dans ma fente. Je mouillais tellement que j’acceptais sa caresse particulière. Je devais sans doute tendre mon pubis vers la main.
J’arrivais au point de non retour. Elle le savait : elle prenait ma main pour que je lui rende le plaisir. Je masturbais cette chatte. Mes doigts se divisaient en deux, les premiers restaient sur le sexe, les autres allaient vers l’anus. Je ne cheminais pas loin, je me contentais de titiller. Après avoir jouit Marion me demandait de me mettre en levrette. Son intention était évidente : elle voulait entrer plusieurs doigts dans la cachette de derrière. C’est ce qu’elle a fait. Je restait ivre de plaisir par la suite. Depuis la sodomie fait impérativement partie de mes plaisirs de baise.
Nous étions si liées que Marion me prêtait ses amoureux. Je lui donnais les miens en échange. C’est drôle de voir les hommes se laisser berner pour la promesse de tirer un coup. Nous arrivions quelques fois à baiser ensemble avec nos amants. Nous aimions bien nous voir aimer un autre homme devant nous. Je la regardais en me branlant.
J’aimais voir les queues entrer dans son corps que je possédais souvent seule.
Voir une fille mouiller sous un homme me donnais toujours du courage pour me faire mettre aussi.
Nous devions rappeler à notre copine qu’elle devait se faire sodomiser devant nous.
Un soir, pendant un repas entre copains cette fois elle ne pouvait plus refuser. Nous étions chauds puisque deux copains se branlaient devant nous. Nous regardions la main du premier aller et venir sur la queue du second qui en regardant bien sa queue avait aussi envie de masturber son copain. Ils bandaient bien tous le deux. Nous autres étions au moins aussi excitées que les garçons. Je faisais comme les autres, je me branlais en regardant.
Quand Marion voyais que notre copine se soulageait sans rien faire d’autre, elle proposait qu’un des deux garçons vienne la sodomiser. Elle ne voulait pas, elle disait qu’elle était encore vierge. Ce qu’il ne fallait surtout pas dire. Il a bien fallu qu’elle accepte la queue qui venait sur ses fesses.
Je regardais avec plaisir les fesses qui s’écartaient volontairement. La bite droite venait doucement sur son cul. Le copain du volontaire pour la sodomie venait toucher les couilles juste au moment où l’enculage commençait. La fille gémissait pendant toute la durée de la chose.
Il éjaculait dans le cul qui s’ouvrait pour laisser filer un jet de liqueur masculine. La bite sortait encore plein de sperme, de reliquat du cul. La bouche de l’amie venait nettoyer la pine. Marion avait envie elle aussi d’en avoir une. La bite de l’ami/amant était libre. Au fond qu’importe le cul, homme ou femme du moment que c’est un cul serré.
Marion debout, appuyée sur le dossier d’un fauteuil tendait ses fesses. Je pouvais passer une main vers les cuisses. J’ouvrais un peu son sexe : elle mouillait vachement. J’y mettais deux doigts en sentant que la queue venait contre mes doigts. Marion ne gémissait pas, elle hurlait de plaisir. La pine en elle ne s’arrêtait pas, elle la pistonnait jusqu’à évacuation du trop plein de sperme.
Notre copine digérait la sodomie en se branlant.
Après avoir repris forme les deux copains repprenaient leurs amusements. Au point où ils en étaient nous attendions de voir la suite de leurs jeux. Le premier se penchait à peine en avant, en se tenant la queue pour se masturber. L’autre venait par derrière écarter les fesses. Nous pouvions voir facilement que la queue entrait dans la raie. Un léger pli de douleur dans la joue de l’enculé et la pine venait se loger là où il n’aurait pas fallut alors que des chattes attendaient, chaudes, humides à point.
La suite m’est inconnue, j’étais sur le dos, mes jambes ouvertes, ma chatte léchée par ma copine que je léchais également. Quand je pouvais voir, les homos avaient changer de place, l’enculé devenant l’enculeur.

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