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Ma voisine est enceinte… Partie 2

Ma voisine est enceinte… Partie 2



Ma voisine est enceinte, j’en fais mon vide couilles. Partie 2.

Cette histoire est une fiction.

Céline s’offre à moi.

Après cette superbe baise avec Céline, je suis resté une semaine sans la moindre nouvelle d’elle. Pas une fois nous ne nous sommes croisés, pas une fois elle n’a fait appel à mes services pour l’aider. Je n’ai pas fait le premier pas, pourtant j’étais convaincu qu’elle m’accueillerait et que j’aurais l’opportunité de remettre ça. Je voulais que ce soit elle qui s’offre à moi.
Au bout du sixième jour pourtant, je commence à me dire qu’elle regrette et qu’elle a des scrupules, que ses hormones sont redevenues normales. Vous ne pouvez pas imaginer ma joie le matin lorsque je suis de retour d’une nouvelle nuit de travail et que les portes de l’ascenseur s’ouvrent sur mon palier et que je la découvre là. Elle est habillée d’un grand manteau noir, perchée sur de hauts talons.
Je lui lance un sourire ravi auquel elle me répond. Je n’ai plus le moindre doute. Ça y est, elle vient se donner à moi. N’hésitant pas un instant, j’ai trop faim de son corps, je marche vers elle. Elle recule d’un pas et tend une main pour que je m’arrête.

— Attends. Avant toute chose, on va mettre les choses aux clairs. Premièrement, nous deux, ce n’est que du cul. Lorsque Luc sera de retour, ce sera fini. Définitivement fini. Deuxièmement, je veux de l’intense, du sauvage, comme l’autre jour. Troisièmement, pas de sortie ensemble, sauf si c’est moi qui le décide. Notre lieu de baise sera cet étage. Enfin, et le plus important, quand je dis non, c’est non. C’est bien compris ?
— C’est on ne peut plus clair et ça me convient parfaitement.

Tu parles. Qui refuserait une telle offre avec si peu de contreparties ? Et puis, même si elle dit qu’elle redeviendra une femme fidèle au retour de son homme, j’ai plusieurs mois pour la faire changer d’avis et la rendre accro à ma bite.
Je m’approche d’elle et pose une main sur son cou que je caresse doucement.

— Tu as dit que cet étage sera notre lieu de débauche. Ça inclut le palier donc.
— Tu es fou, on pourrait nous surprendre, dit-elle, visiblement surprise par mon envie.
— Ça, c’est ton problème. Tu ne vas pas déjà revenir sur ta parole ?

Je la vois qui hésite. Il suffirait qu’elle dise non et je devrais lui céder. Elle observe l’ascenseur et l’escalier. Nous sommes au dernier étage, en dessous un seul des deux appartements est loué. Les chances d’être surpris sont minimes et si quelqu’un vient, nous pourrons l’entendre arriver à temps et nous cacher.
Céline se mord les lèvres avant de finir par céder. Elle s’agenouille devant moi et défait mon jean. Elle caresse mon sexe au travers de mon caleçon. Il a déjà pris une bonne forme. Elle me lèche au travers de mon tissu en me dévorant de ses yeux emplis de désir. Elle se saisit de mon caleçon et le descend enfin. Elle se lèche les lèvres en voyant ma queue bondir vers son visage. Elle frotte ses joues dessus. Ma bite tressaute et retombe à plusieurs reprises sur son visage, accueillie par la pointe de sa langue.
Elle me lèche avec envie sur toute la longueur de ma hampe. Je bande de plus en plus dure. D’une main, elle se saisit de ma queue et referme ses lèvres autour de mon gland. Elle l’embrasse avec passion, fait rouler sa langue dessus. Elle me rend complètement dingue. J’ai vite envie de plus.

— Suce-moi comme j’aime.

Elle sourit en posant ses mains sur mes fesses. Elle a bien compris ce que je souhaite. Elle me prend en bouche et m’avale lentement centimètre par centimètre. Sa bouche est du velours. Je sens que j’arrive à l’entrée de sa gorge. En bonne salope, elle ne ralentit pas le rythme, elle raffermit sa prise sur moi et m’avale encore. Elle salive abondamment, je sens sa bave couler sur mes couilles.

— Ah ! Oui ! Brave fille !

Je viens de sentir ses lèvres se poser sur mon pubis. Elle a ma queue en entier en elle. Je lui caresse la tête comme je flatterais une chienne. Elle me garde en entier en elle avant de lentement me libérer. Mon sexe est recouvert d’une gangue de salive épaisse. Elle tousse, reprend son souffle pour mieux me ravaler.
Quel pied de se faire bouffer la queue par une magnifique femme comme elle.
Pendant de délicieuses minutes, Céline me fait une démonstration de tout son talent de suceuse. Elle alterne entre gorge profonde et léchage de mon gland. Elle me branle doucement tout en gobant mes couilles.
Par moments, elle se fige en entendant l’ascenseur ou des bruits dans la cage d’escalier. À chaque fois, j’en profite pour prendre le relais et imposer mon rythme dans sa bouche. J’y vais fort et vite. Je fais tout pour rendre ce moment le plus bruyant possible. Le palier est empli de bruits de succions et de clapotis absolument délicieux.

Après un bon moment à profiter d’elle à genoux devant moi, je libère ma queue de son merveilleux écrin. Les yeux de Céline brillent. Cette femme aime vraiment sucer. Son menton est maculé de salive qui dégouline dans son cou.

— Tu en veux encore ? demandé-je, tout en me branlant à quelques centimètres de son visage.
— Oui, soupire-t-elle d’une voix emplie d’excitation.
— Tu es une vraie nympho accro aux grosses bites ?
— Tais-toi et fourre ta grosse queue dans ma bouche. J’ai besoin de ton foutre.
— Ne t’en fais pas, tu vas l’avoir mon jus, mais avant je vais encore profiter de ta bouche. Je vais te montrer ce que c’est de se faire vraiment ramoner la gorge.

C’est le moment pour moi de la posséder. Je passe derrière elle, je pose mes deux mains derrière sa tête et je la fais se cambrer en arrière. Je pose mon sexe dresser devant sa bouche. Elle ouvre ses lèvres et je glisse lentement en elle. Dans cette position, je vois sa gorge se déformer au passage de mon gland. Je me cale au fond d’elle savourant cette sensation et cette vue. Bien enfoncer en elle, je déboutonne le haut de son manteau. Je pousse un long sifflement en découvrant sa poitrine qui jaillit et se dresse fièrement. Céline ne porte absolument rien en dessous de son manteau. Ma main glisse entre ses deux magnifiques seins. Ils m’ont l’air encore plus énormes dans cette position.
Pendant que je joue avec ses seins, mon sexe se remet en action. Je me retire entièrement pour mieux replonger en elle.
Si cette position est absolument délicieuse pour moi, que ce soit au niveau de la vue que des sensations, elle est beaucoup moins confortable pour Céline. Son visage devient vite écarlate et se recouvre toujours d’un peu plus de salive qu’elle recrache quand je sors de sa bouche pour la laisser respirer. Malgré tout, hors de question que je la libère, je suis trop bien. Je compte profiter d’elle au maximum.
Ma main dans ses seins remonte régulièrement jusqu’à son cou et se referme dessus. Je savoure la sensation du mouvement de mon gland à l’intérieur.

Toutes les bonnes choses ont une fin, je sens mon jus monter. Impossible de me retenir davantage. Je raffermis ma prise dans les cheveux de Céline et plonge ma queue aussi profondément que possible dans sa gorge. Je râle de plaisir. Je jouis après ce super défonçage de bouche, je jouis de voir sa gorge déformée par ma queue, je jouis en contemplant chacune de ses déglutitions au moment où mes couilles crachent leur précieux jus. Je jouis à l’idée de la quantité de foutre que je vais déverser dans cette délicieuse bouche durant les mois à venir.
Mes jets se tarissent enfin. Je lui ai vraiment fait boire une énorme dose de sperme.
Je profite encore de ce délicieux moment, je me retire de sa gorge avec une infinie lenteur. Ma queue abandonne sa bouche dans un « pop » bruyant absolument divin. Céline est écarlate. Son maquillage a dégouliné. Tout son visage est englué de salive. On pourrait croire en la voyant dans cet état qu’elle a souffert, que je l’ai forcée, mais la lumière dans ses yeux ne trompe pas. Elle a pris son pied elle aussi. Elle voulait une relation hard, elle l’a eue.
Céline est étourdie d’être restée aussi longtemps dans cette position et je dois l’aider à se relever. Je la serre contre moi, son dos contre mon torse, massant énergiquement sa généreuse poitrine.

— Tu as fixé tes règles, je vais fixer les miennes. Tu verras, elles sont simples. À partir du moment où tu franchis la porte de chez moi, tu dois être à poil. Tout ce que tu porteras passé ce point, je le réduirais en morceaux comme ta jupe et ta culotte l’autre jour. Chaque matin, tu m’attendras sur le palier pour mon dégorgeage de couille matinal. Ensuite, tu reviendras me réveiller à quatorze heures. Arrange-toi pour ne jamais faire la même chose deux jours de suite. Ensuite, tu me prépareras de quoi manger. Le déroulement du reste de la journée dépendra de mes seules envies. Enfin les week-ends, je te laisserai libre de venir me retrouver quand tu veux. Néanmoins, chaque nuit entre samedi et dimanche tu les passeras chez moi. Ça te convient ?

Céline me répond dans la seconde qui suit.

— C’est parfait.

Sa spontanéité me surprend toujours autant. Cette femme est une vraie salope droguée au foutre et elle est en manque depuis le départ de son mari. Je compte lui donner sa dose. Je vais me ruiner la santé à remplir ce splendide vide couille.
Je lui donne un double de mes clefs et la renvoie chez elle d’une claque sonore sur ses fesses. Elle me dit à tout à l’heure, un large sourire aux lèvres.
Après une bonne douche, je vais me coucher. Je m’endors en quelques minutes comme un bien heureux. J’ai les couilles vides et je sais que dans quelques heures je me les viderais encore. J’ai hâte de voir comment Céline va s’y prendre pour me réveiller.

Je me réveille de la plus belle des façons. J’ai peut-être l’esprit encore embrumé, mais la sensation ne trompe pas. Mon sexe complètement bandé est prisonnier d’un merveilleux écrin chaud et humide. J’ouvre les yeux et découvre Céline, nue, comme je lui ai demandé, qui ondule sur moi, ma bite entièrement enfoncée dans sa chatte.
Mes mains se referment sur ses grosses fesses.

— Eh bas, ma salope, t’étais vraiment en manque.
— Tu bandais tellement fort que je n’avais même pas besoin de te sucer. À quoi rêvais-tu pour être dans un tel état ? À moi ?
— À une chienne en chaleur que je farcissais de foutre pour la calmer.
— Hum, c’est tout moi.

Alors qu’elle redescend sur moi, je donne un violent coup de reins. Elle hurle sous la puissance de ma pénétration. Je ne lui laisse pas le temps de récupérer, je me lance dans un pilonnage intensif la faisant décoller toujours un peu plus du lit.
Après cette longue série, je me calme. Céline s’écroule sur moi, gémissante et haletante.

— Ce n’est pas le moment de te reposer, allez, remue tes fesses ou je t’en donne une autre série et cette fois je ne me retiendrais pas.

Toujours étourdie par l’assaut qu’elle vient de recevoir, elle se redresse lentement et se remet à remuer.

— Oui, c’est ça, bouge bien ton cul, salope. Joue avec tes seins. Montre-moi ce que tu peux faire avec de tels obus.

Céline me lance ce regard vicieux que j’ai découvert chez elle et qui me rend fou. Sans ralentir le rythme de sa chevauchée, elle pose ses mains sur ses seins. Elle me lance un sourire mutin devant ce contraste entre ses petites mains et sa grosse poitrine. Même avec les deux mains, elle est très loin de pouvoir les faire entièrement disparaître. Elle les prend, les manipule comme si elle ne savait pas comment s’y prendre. Elle finit par poser ses doigts sur ses tétons dressés. Elle pousse un léger gémissement au moment où elle tire dessus. Ses petits cris se multiplient alors qu’elle tire son sein pour le porter à ses lèvres. Elle passe sa main libre sous son sein pour le retenir puis remplace ses doigts par ses dents.

— Serre plus fort.
— Ah !
— Hum, encore.

Céline pousse des petits cris aigus.

— Maintenant, occupe-toi de l’autre.

Toujours avec ce même regard lubrique, elle m’obéit. Elle va même plus loin que je ne l’espérais. Elle garde son téton droit prisonnier de ses dents pendant qu’elle tire le gauche en le pinçant au bout de ses ongles. Dans un long gémissement, elle prend son deuxième téton en bouche.

— Salope.

J’empoigne à pleine main ses grosses fesses. Je la retourne brusquement sur le dos. Céline pousse un petit cri de surprise.

— Reprends tes grosses loches et serre-les fort. Je vais te faire couiner.

Je me redresse, me saisis de ses chevilles et écarte au maximum ses cuisses pour une meilleure pénétration. Je sors entièrement ma queue de sa chatte et replonge en elle de toutes mes forces. Elle hurle comme une folle. Je la perfore ainsi pendant près d’une minute avant de me lancer dans un ramonage furieux. Je la tringle comme la dernière des salopes et le pire que tout c’est qu’elle adore ça. Elle n’arrête pas de couiner, sa chatte dégouline autour de ma queue.

— C’est bon ! Oui ! Encore ! T’arrêtes pas ! hurle-t-elle.
— Tu es une vraie chienne ! Je vais te dresser !
— Oui !

Céline se tord de plaisir. Elle a refermé ses jambes autour de moi et m’écrase contre elle. Sa chatte vibre, c’est absolument divin. J’ai du mal à me retenir de ne pas l’inonder de foutre. Mais si elle peut enchaîner les orgasmes, moi j’ai un nombre de cartouches limité et je compte bien la baiser encore.
Céline se calme enfin et me libère. Elle se caresse la chatte, la fouille avec ses doigts et les portes à sa bouche et les lèche.

— Hum, mais tu n’as pas joui.
— Non, mais ne t’en fais pas, tu l’auras ta dose de foutre. Maintenant, lève-toi et va me faire à manger. Tu m’as donné faim.

Céline reste encore un moment à se caresser, à se doigter. Elle cherche à m’allumer pour que je la reprenne et que je me finisse en elle. Voyant que je ne ferais rien, elle prend une moue boudeuse et finit par se lever et se dirige vers la cuisine. Pendant qu’elle me prépare mon repas, je vais faire un tour sous la douche. Cette salope m’a vraiment fait transpirer et j’ai besoin de me rafraîchir pour bien faire retomber la pression de ma queue.
Quand je la retrouve, il me faut toute ma volonté pour ne pas plonger sur elle. Elle est dos à moi en train de cuisiner, protégée par un tablier. Ce nœud et ces ficelles qui descendent dans le creux de ses fesses me donnent une envie folle de me jeter dessus.
Je me calme et je m’installe à table. C’est très agréable de se faire servir par une petite soubrette seulement vêtue d’un tablier. C’est d’autant plus appétissant que je sais qu’au dessert, je la renverserais sur la table et je me la ferais une fois de plus.

Pendant tout le déjeuner qu’elle partage avec moi, Céline m’allume. Elle se montre étonnamment maladroite. Une maladresse pourtant bien précise, car tout tombe miraculeusement sur sa poitrine que le tablier peine à cacher. Elle récupère tout du bout des doigts avant de le lécher en me souriant. Je déjeune avec une vraie matraque entre les jambes. Les préliminaires promettent d’être expéditifs. Je vais la trousser comme elle le mérite cette magnifique chienne en chaleur.

Le jeu est enfin terminé. Je la laisse débarrasser la table pour que j’aie la place de l’y prendre. Une fois suffisamment dégagé, je la retiens en refermant une main sur l’une de ses grosses fesses.

— Maintenant, ça va être ta fête.

Je glisse un doigt entre ses cuisses. Mon dieu, ce qu’elle est humide ! Je la place devant moi et glisse mon visage entre ses fesses. Ma langue plonge entre ses lèvres inondées de cyprine. J’adore son goût. Je la fouille avec avidité, j’enfonce ma langue aussi profondément que possible. Céline frémit sous mes coups de langue. Elle a les jambes qui tremblent. Ses gémissements redoublent au moment où mes doigts viennent se poser sur son clitoris. Je le fais doucement rouler entre mes doigts, le pince légèrement. Céline dégouline un peu plus dans ma bouche. Je savoure avec délice cette merveilleuse liqueur.
Je frustre Céline en abandonnant sa chatte au moment où elle est sur le point d’avoir un orgasme.
Je me lève, me place derrière elle et la force à se cambrer. Elle pose ses mains sur la table. J’empoigne ses hanches d’une main et présente ma queue à l’entrée de sa chatte. Je rentre mon gland sans le moindre effort. Elle est bouillante. Je raffermis ma prise en enroulant ma main dans ses longs cheveux.

— Tu es moi, salope.

D’une seule poussée, je plonge en elle jusqu’aux couilles.

— Putain !

Elle avait beau être excitée, avec mon calibre, elle l’a senti passé. Je ne compte pas la ménager. Je ressors d’elle pour mieux la reprendre sur toute la longueur de ma queue. Ses fesses claquent avec forces contre mon pubis.

— T’aimes ça, chiennasse, te faire ouvrir par une grosse queue ?
— Oh…
— Réponds, salope !
— Oui, oh, c’est trop bon !
— Je vais t’en donner de la queue.

Je me lance dans un pilonnage furieux sous les cris de plaisir et un peu de douleur de Céline. Je ne la ménage pas. Elle accepte tout ce que je lui fais avec une facilité qui me surprend toujours autant.
J’aimerais la plaquer complètement sur la table, mais son ventre rond m’en empêche. Le nombre de positions que nous pouvons prendre est un peu plus limité. C’est le prix à payer pour avoir une telle salope au bout de ma queue. Un bien petit prix.
Je la retourne, pose ses fesses au bord de la table et l’enfile avec toujours autant de force. Elle hurle de plus belle. Elle enroule ses jambes autour de ma taille pour limiter l’intensité de mes va-et-vient. Ce que je perds en amplitude, je le comble en accélérant encore le rythme. Je mitraille littéralement sa chatte. J’y vais tellement à fond que la table se met à avancer sous mes coups de boutoir. Ma course est arrêtée lorsque je rencontre un mur. L’appartement est empli des gémissements de Céline et du bruit des chocs de la table sur le mur.
Céline est emportée par un nouvel orgasme et bascule en arrière. Elle se retrouve couchée sur la table. Je profite de son relâchement pour libérer ma taille de ses jambes que je pose sur mes épaules. Je peux à nouveau la prendre sur toute ma longueur et je ne m’en prive pas. Céline repart de plus belle. Elle tente de contrôler mes mouvements, mais je la tiens fermement.
Je sens enfin le jus monter. Cette fois-ci, hors de question de me retenir, je vais la remplir de sperme. Elle reconnaît mes mouvements hérétiques et m’encourage à me lâcher.

— Vas-y, gicle. Arrose-moi. Remplis ma belle chatte de ton sperme.
— Putain, je vais te remplir.
— Oui, inonde-moi de ton foutre.
— Ça vient, sale chienne. Oui ! Han !

Je me plante au fond de sa chatte au moment où je sens le premier jet monter le long de ma queue. Je ne m’arrête pas de gicler, je la remplis d’une énorme quantité de sperme. Céline jouit comme une folle.
Je sors enfin d’elle et admire le spectacle. Mon foutre dégouline de sa chatte béante le long de ses cuisses pendantes et de son sillon fessier. J’ai vraiment pris mon pied.
Contrairement à l’autre jour où je l’avais laissé tranquille après, je compte bien profiter d’elle et soulager mon gland sensible. Je vais sur le côté de la table, la saisie par les cheveux pour la faire pivoter et placer sa tête dans le vide. Elle pousse un petit cri de surprise et de douleur dont je profite pour planter ma queue dans sa bouche. Je fais quelques va-et-vient avant de me planter au fond de sa gorge.

— Putain, c’est bon.

Je gratte le fond de sa gorge avec mon gland sensible. J’adore vraiment cette sensation et elle aussi. Si elle est restée passive au début, je sens désormais sa langue remuer le long de ma tige.
Je débande tranquillement dans la bouche de cette merveilleuse salope. J’ai des images plein la tête de tout ce que je vais pouvoir faire d’elle pendant les mois à venir.
Tous ces fantasmes que je vais pouvoir assouvir, conjugués avec sa bouche et sa langue, produisent ce que je n’avais pas espéré si vite. Je rebande et ce n’est pas une petite érection. Je me sens aussi dur que si je ne l’avais pas prise de la journée. J’ai un moment d’hésitation en me disant que si je la prends une fois de plus, je n’aurais plus de jus pour une éventuelle baise avant de partir travailler. Puis je me dis que gâcher une telle érection avec une telle salope serait une honte.

— Tu es prête pour un second round ?

Je libère sa bouche, Céline tousse et macule son visage d’un peu plus de salive épaisse.

— Toujours, dit-elle d’une voix cassée après s’être tant fait ramoner la gorge.

Malgré son état déplorable, je me penche sur elle et tire sa tête vers moi pour lui rouler un patin. Nos langues s’emmêlent dans le mélange de nos fluides. Cette femme me rend dingue.
Toujours une main dans les cheveux, je la fais de nouveau pivoter, écarte ses cuisses sans douceur et me plante en elle d’un coup de reins magistral. Nous hurlons notre plaisir.

Je l’ai ainsi prise de longues minutes sur la table avant de l’amener dans le salon pour m’installer sur le canapé où je l’ai fait rebondir d’un bon rythme. J’ai tiré ma crampe méticuleusement, sans me presser, couvrant Céline de mots et insultes plus crus les uns que les autres.
Enchaîner les rapports m’a permis de tenir bien plus longtemps. Lorsque j’ai fini par me répandre en elle, j’étais en train de la chevaucher alors qu’elle était à quatre pattes au milieu de l’appartement. Nous avons encore tous les deux joui comme des fous.

Après avoir tant baisé, nous sommes en nage Céline et moi. Nous restons allongés sur le carrelage. Je suis derrière elle et je profite de la vue. Céline s’en rend compte et malgré ce que je lui aie mis elle continue de m’aguicher. Elle écarte les cuisses pour bien me présenter sa chatte qui dégouline de tout le foutre que j’y aie mis. Cette femme est une vraie accro au sperme parce qu’après m’avoir fait profiter du spectacle, elle plonge deux doigts dans sa chatte. Elle les enfonce en entier dans un gémissement avant de les ressortir recouverts de nos deux fluides. Elle me regarde tout en le portant à ses lèvres. Elle les lèche comme si c’était une glace avant de les avaler.

— Hum !

Elle me les montre pour prouver qu’elle a bien tout récupéré puis elle retourne se fouiller. Elle répète son petit jeu jusqu’à ce qu’elle ait récupéré tout mon sperme.
Si j’avais pu rebander, je lui aurais sauté dessus direct. Hélas, mon sexe a définitivement baissé pavillon.
Voyant que je ne suis plus d’attaque, elle renonce à m’aguicher et vient se lover contre moi. Après toute cette débauche, elle a envie d’un peu de tendresse. Moi, j’en profite surtout pour la caresser. Je profite de ce corps qui m’est offert. Je fais glisser mes doigts sur ses seins, sur ses hanches, sur ses fesses. J’adore les courbes de cette femme. M’en séparer à la fin de sa grossesse sera difficile. Il faut vraiment que j’en profite au maximum. Je veux tellement la baiser que j’essaie de nouveau de bander. Je me masturbe derrière elle. Elle m’entend faire et ça la fait sourire. Hélas, rien n’y fait, je reste mou.
Puisque je ne peux pas l’enfiler, je vais la dévorer. Je la fais glisser sur le carrelage pour me retrouver le visage entre ses cuisses. J’écarte ses jambes et plonge en elle. Après avoir été tant baisée, la chatte de Céline est particulièrement sensible. Elle gémit comme une folle, je ne lui laisse pas un moment de répit. Je glisse trois doigts en elle pour mieux la fouiller. En quelques minutes, Céline est emportée par un orgasme. Je bois tout le jus qu’il s’écoule d’elle.
J’avais espéré que ce spectacle me fasse rebander, mais si mon sexe a repris un peu forme, il est bien trop mou. Je la ramène contre moi et me blottis contre elle pendant qu’elle se remet de ses émotions.

Après ce moment de détente, je lui propose de partager une douche ensemble. Elle accepte volontiers. Nous voilà en train de nous savonner mutuellement. Ça faisait longtemps que je ne m’étais plus occupé d’une femme comme ça.
Alors que je me sèche les cheveux, je sens les mains de Céline se refermer sur ma bite. Elle aussi essaie de la faire revivre. Elle va même jusqu’à me donner quelques coups de langue, mais rien n’y fait, je reste flasque.

— Je crois que notre petit soldat a définitivement baissé les armes, dit-elle avec une moue boudeuse.
— Oui, mais qui sais, d’ici à ce soir j’aurais peut-être une nouvelle cartouche à t’offrir.
— Je l’espère.

Céline abandonne ma queue et se dirige vers ma porte d’entrée. Elle enfile son manteau et la voilà prête à traverser le palier pour rentrer chez elle. D’ici peu, je l’espère, je la ferais garder son manteau chez elle pour qu’elle vienne me rejoindre entièrement nue.

— Reste près de ton téléphone, dis-je. Je suis certain que d’ici à ce soir j’aurais besoin de mon vide couille.

Elle se contente de me sourire et disparaît. Je retourne me coucher, j’ai besoin de récupérer un peu. Les heures suivantes, je les passe à repenser à Céline et à tout ce que nous avons fait et ce qu’il nous reste à découvrir. Je suis emplie d’images toutes plus érotiques les unes que les autres. Des visions qui ont le don de faire doucement reprendre vie à mon sexe. Je vais peut-être être capable de tester jusqu’où va la perversion de Céline.

Il est temps pour moi de partir travailler. Je me suis branlé pendant près d’une demi-heure en passant à Céline et à ce moment que je lui réserve. Je lui envoie un message pour qu’elle me retrouve dans cinq minutes sur le palier à genoux.
Je sors de chez moi la queue sur le point d’exploser. Céline est là, à genoux, en train de sourire. Je m’approche d’elle et elle ouvre son manteau pour prouver qu’elle n’a rien en dessous. Sans perdre un instant, j’ouvre la braguette de mon jean et sors mon sexe dressé devant elle.

— Hum, quelle forme !

D’une main, je me saisis de ses cheveux que j’enroule pour former comme une rêne et de l’autre je me branle.

— C’est mon foutre que tu es venu chercher ma salope ?
— Oui.
— Alors, ouvre ta bouche.

Céline ouvre grand la bouche, prête à m’accueillir. Cette vision est ce qui me manquait pour jouir. En deux coups de poignet, je sens le jus monter. Je m’approche un peu plus d’elle et au dernier moment relève ma queue. Mon premier jet de sperme vient s’écraser en plein sur son visage. Elle sursaute et tente de se soustraire à ce déluge de spermes, mais je la tiens fermement et elle ne peut pas fuir.

— Oh ! Ah ! Oh !

Céline est incapable de parler. Je me branle comme un fou et macule toujours d’un peu plus de sperme son si charmant visage.

— Moins fort, on est plus seule à cette heure-ci. Tu veux que tout l’immeuble sache que tu te fais arroser la gueule à grands flots de foutre.

Enfin, mes couilles sont vides. Je la tire en arrière et presse ma queue pour en extraire les dernières gouttes que je fais tomber dans sa bouche.
Lorsque je la libère, elle reste comme étourdie. Je range mon paquet et rentre dans l’ascenseur au moment où elle parvient à dégager ses yeux de mon foutre.

— Passe une bonne nuit, ma salope.

Les portes se referment au moment où je la vois porter ses doigts maculés de sperme à sa bouche.

Cette femme n’a décidément aucune limite.

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