Il y a de cela quelques années traversant une période de célibat, il m’arrivait de fréquenter un quartier bien connu de Paris ou des dames vendent du plaisir.
En ce début d’après-midi d’une belle journée printanière, j’était venu dans ce quartier avec la ferme intention d’en repartir soulagé après presque une semaine d’abstinence. Je parcourais d’abord la rue Blondel ou j’avais déjà eu l’occasion à plusieurs reprises de monter avec des Dames qui m’avaient laissé un agréable souvenir et avec qui pour certaines j’avais renouvelé l’expérience….. Ce jour là beaucoup de visages connus mais aucune de ces quelques perles rares ….. Avant que je n’apperçoive Louise, une très grande black au corps sculptural avec un fessier de folie qui malheuresement pour moi rentrait dans son immeuble suivi d’un client. J’ai ensuite pris la rue St Denis vers les Halles puis demi-tour arrivé rue Reaumur, je remontais la rue trottoir de gauche . Arrivé pas très loin de la rue Blondel , j’apperçu Margot discutant avec une de ses collègues juste en face de l’entrée de l’immeuble dans lequel se trouvait son studio.
Margot était souvent vêtue de blanc, ce jour là elle portait une coute jupe blanche, une veste de même couleur avec un col et les poignets en fourrure, bas et bottes pour les jambes. C’est une femme d’environ 45 ans très brune au teint mat, pas magrébine, plutôt méditéranéene et assez souriante. je l’abordais poliment, je ne sais pas si elle me reconnu, la négociation fût très basique, ce n’est pas quelque chose que j’aime faire dans la rue.
Je la suivait dans l’immeuble puis dans les escaliers où sa jupette me laissait voir sa culotte de même couleur que le reste. derrière nous sa collègue accompagnée d’un client nous suivait . Pendant la montée des deux ou trois étages les deux femmes continuaient leur discution comme si nous n’étions pas là .
Un studio, relativement grand et lumineux pour le quartier, un grand lit à gauche, des miroirs un peu partout, deux ou trois chaises, dans un coin un lavabo et un bidet, une commode sur laquelle était disposés quelques sextoys mais pas d’instrument SM comme des cravaches ou des menottes ….. négociations plus détaillées cette fois, je paie et l’on commence à se dévetir. Elle n’avait gardé que ses bas et m’a demandé si je souhaitais qu’elle mette ses bottes, offre que j’ai déclinée. Environ 1m60 un corps mince le ventre plat, Margot a des petits seins pas très fermes pour leur volume des auréoles très sombres et les tétons qui pointent, un joli petit cul. La toison publienne est généreuse mais taillée court . Nu moi aussi je commence à bander .
Comme prévu on commence par un cunni dont je suis particulièrement friand et dont assez peu de dames du quartier acceptent la pratique. Margot s’allonge au milieu du lit cuisses ouvertes, je m’installe la tête entre. Son sexe est de ceux qui laissent dépasser les petites lèvres charnues. Je passé plusieurs minutes à lecher sa fente du haut en bas en aspirant les lèvres et le capuchon. Elle ne simule pas reste passive et peu expressive, je le savais cela ne me surprends pas et ne me derange pas non plus…. Je descends à plusieurs reprises jusqu’à l’entrée vaginale sans chercher à y pointer la langue pas plus qu’un doigt chose qu’elle refuse de même que la zone anale est interdite de toute approche . Au bout d’un moment elle repouse gentillement mon visage et annonce que nous allons passer à la suite. elle se lève prend un preservatif sur la commode, le sort de son étui. je suis allongé, agenouillée sur le lit elle prends dans une main ma bite déjà bien raide puis décalotte le gland au maximum, avec l’autre elle dispose la capotte et la déroule sur toute la longeur du sexe. Commence une fellation assez mécanique, il faut bien le reconnaitre…. elle suce surtout le bout en branlant le tout avec sa main droite, on est très loin d’une bouffeuse de bite. de toutes façons dans mon état la pipe est plus une formalité qu’une nécessité, je rappelle qu’il y plusieurs jours que je n’ai pas éjaculé …..
Elle s’installe ensuite sur moi, elle n’ajoute pas de gel et j’apprécie, certaines prostituées en mettent vraiment beaucoup trop …..La chevauchée est bien rythmée et profonde. C’est une de ses qualities, Margot se laisse pénétrer profondément sans jamais se soustraire au coup de butoirs qui la premplissent. Dans cette position c’est elle qui gére mais elle fait en sorte que presque tout le membre coulisse dans son vagin, je lui pince doucement les tétons elle ne proteste pas bien que je sois sûr qu’elle préfèrerait que je m’abstienne. Ma cavalière reste toujours muette ou presque, à peine quelque très légers gémissements. Moi j’apprécie et je commence à ne plus pouvoir rester silencieux . après avoir astiquer un bon moment dans cette position elle se lève et se retourne. Accroupie cette fois ses fesses vont et viennent sur ma queue tendue. La vue de son petit cul et de sa chatte dilatée par ma bite est vraiment très excitante, trop, je dois l’arrêter si je veux profiter de la suite du programme. Il n’y a pas d’extra-balle rue Saint Denis ….. Elle est maintenant allongée sur le dos cuisses ouvertes et relevées sur la poitrine. Je la pilonne copieusement ou j’alterne avec des passages moins rapides pour faire retomber un peu la pression, je souflle de plus en plus fort . Petite pose pour terminer en levrette.
Elle se positionne à quatre pattes bien cambrée tête dans l’oreiller, je suppose pour ne pas croiser son regard dans le miroir face au lit . Derrière elle je dirige mon sexe vers le sien, un coup de rein et je coulisse presqu’entièrement dans son vagin accueillant, Margot n’est pas très étroite. Je l’attape par les hanches et je commence les va et vient….Ca claque, mes cuisses contre les siennes , mon bas-ventre contre son cul, mes testicules participent également. Dans cette position les femmes peu fessues offrent une vue imprenable sur leur petite rosette. J’ai les yeux rivés dessus juste au dessus de ma bite qui penêtre agréablement ma pertenaire sexuelle du moment. Curieusement, malgré sa forte pilosité pubienne, aucun poil disgracieux ne pousse dans cette zone, pas plus que dans la raie culière. Je doit maintenant faire des efforts pour me retenir je sais que l’explosion finale approche quand soudain une voix femminine demande :
_ Margot t’es là ? Les murs sont minces on pourrait croire que cette personne est dans la pièce.
Pas de réponse …… De nouveau….
_ Margot t’es là ?
_Oui je suis là finit elle par répondre d’une petite voix. Etait ce la femme de l’escalier ou une autre prostituée, je ne le saurais jamais ….
Je n’en peu plus mon excitation a franchit un nouveau pallier, j’éjacule bruyammant en fond de vagin, plus que quelques mouvement du bassin, c’est fini….Notre voisine à forcément tout entendu….Je me dégage la capote alourdie d’une grosse dose de semence, Margot se lève et se dirige vers le bidet. Je retire le préservatif qui va rejoindre dans une poubelle une belle collection de capote usagée et de papier de toutes sortes….depuis quand n’a elle va été vidée, Margot partage-elle sa pièce, je ne sais pas. Je passe rapidement ma bite encore raide sous le robinet pendant que Margot se rafraichit l’entre-cuisses .
Je me rhabille, Margot aussi, au revoir bisou….Je sors pluôt satisfait ce qui n’est pas toujours le cas….Je n’ai pas chronomettré, mais à mon avis ce moment n’aura pas duré plus de 25 minutes. Rien n’est inventé, juste le prénom de la dame est changé .
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