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L’Éclosion de Flora (1)

L’Éclosion de Flora (1)



Partie I : Premier set

Flora devait passer la première moitié de l’été dans la résidence de vacances de ses parents. Même si ça lui avait coûté d’avoir été élevée dans un esprit relativement conservateur, elle en appréciait les avantages. La résidence d’été de sa famille possédait tout ce que ses amis pouvaient lui envier, piscine, plage à proximité, espace… Sans compter les voisins, enclins à organiser toutes sortes de réceptions et autres cocktails auxquels elle était conviée avec ses parents. Fort heureusement, il leur arrivait régulièrement d’avoir autre chose à faire de leurs vacances. Elle restait assez libre de les suivre ou non et d’aller où bon lui semblait. Flora venait d’avoir 19 ans et ses parents lui avaient toujours fait confiance. Après tout elle n’était pas d’un tempérament trop aventureux. La nature lui avait bien offert un charme et des courbes plus qu’agréables mais elle n’y faisait pas trop attention, juste assez pour se mettre en valeur. Elle se savait être parfois l’objet de convoitise, mais ici le fait de la savoir en couple et en famille refroidissait la plupart des ardeurs. Cette après-midi-là cependant, elle s’était retrouvée à échanger des œillades avec un homme, probablement plus âgé qu’elle. Elle ne faisait rien de mal, son copain la rejoindrait plus tard pendant les vacances et pour l’heure elle s’amusait surtout de plaire à quelqu’un. Les privilèges de l’été et de l’alcool sans doute. Ses parents l’avaient laissée seule pour la journée et elle en avait profité pour accepter l’invitation de sa cousine, dont la famille occupait une villa à quelques encablures de la sienne. Elle avait choisi une petite robe d’été légère, agréable à porter, avec des sandales à talons compensés, parfaites pour la saison, qui lui donnaient une allure aussi élégante qu’adorable.

En cet instant, Flora venait de quitter sa cousine pour aller se changer et profiter de la piscine. Elle vida son cocktail d’un trait et récupéra son sac avant de se diriger vers la salle de bain. Dans le couloir elle tomba nez à nez avec l’homme qui la troublait depuis le début de l’après-midi. Il n’y avait personne d’autre. Il lui prit la main. Une second d’hésitation, puis Flora se laissa entrainer dans la salle de bain le cœur palpitant. Il prit le sac de la jeune fille et le déposa à côté du lavabo. Il verrouilla la porte et avant que la jeune fille ne pût prononcer le moindre mot il la saisit par les hanches et la plaqua avec fermeté contre le mur. Après un baiser que ses lèvres de surent repousser, il se mit à l ’embrassa dans le cou, la faisant frissonner.
– Attends, je suis juste là pour me changer, se défendit-elle mollement.
– Personne ne t’attend alors…
– Je… je suis désolée, je ne suis pas libre.
– Je sais. Dis-moi d’arrêter alors, vite…
– Je… je…
Jusque-là elle croyait que ce n’était qu’un jeu, il n’était pas particulièrement, mais en réalité elle était charmée. Il continua à l’embrasser et elle se surprit à lui rendre la pareille, timidement d’abord. Son cœur battait la chamade. La confusion de ses sens la grisait. Elle ne put se résoudre à empêcher la main de son partenaire de remonter le long de ses jambes, de s’égarer entre ses cuisses. Dans un vestige de pudeur inutile elle tira sur les pans de sa robe. Lorsqu’il effleura sa culotte elle étouffa un gémissement en l’enlaçant un peu fort. Une bouffée de chaleur monta en elle. Elle se doutait bien qu’il n’en resterait pas là, mais elle ne savait pas trop à quoi s’attendre, jamais on ne lui faisait ce genre de chose. Il se mit à la titiller avec insistance. Il remonta vers son bas ventre, lentement. Un doigt fit mine de glisser sous l’élastique de sa culotte, en urgence elle serra les cuisses en se saisissant du bras du jeune homme.
– C’est… on ne devrait pas… qu’est-ce que tu fais…
– Je suis sûr que la sensation ne t’est pas inconnue, lui murmura-t-il au creux de l’oreille.
– Non… si… mais pas…
Il la coupa en l’embrassant langoureusement et cette fois la langue de Flora répondit avec un brin d’avidité. Il retira sa main du bas ventre de la jeune fille, seulement pour mieux écarter ses cuisses d’un geste délicat, puis il remonta jusqu’à poser un doigt là où le tissu épousait la forme de ses lèvres. Il commença à aller et venir le long de cette fente.
– On dirait que ça t’émoustille.
– Non… c’est faux, répliqua-t-elle peu convaincue.
Il accentua ses caresses pour qu’elle ne puisse plus feindre.
– Tu es plus que moite, Flora…
Pour toute réponse elle détourna la tête en se pinçant les lèvres. Le rouge lui monta aux joues en songeant avec embarras à l’état de ses dessous. Elle ne pouvait plus rester aveugle à son propre désir, mais elle avait encore l’espoir naïf que rien n’irait trop loin. Elle ne pouvait pas dissimuler les réactions inconvenantes de son intimité, alors elle le laissa faire, elle le laissa caresser son entrecuisse, amplement. Flora respirait de plus en plus fort à mesure que les doigts parcouraient la dentelle. Elle laissa sa main se faufiler dessous. Elle le laissa attiser son petit bourgeon. Elle le laissa arpenter sa fente trempée, insister, encore et encore, l’amenant à s’ouvrir comme une fleur. Elle laissa ses doigts glisser dangereusement…
– Oh seigneur, doucement… doucement… tes doigts, tu risques de… pas en moi d’accord ?
Si elle le laissait s’éterniser, s’il persistait dans ce petit jeu, il finirait par dériver un peu trop loin. Elle avait une envie aussi irrésistible qu’inavouable de succomber, mais elle ne se l’autoriserait jamais… Elle ne pouvait en aucun cas le laisser dé****r… Il ne devait … Trop tard, un doigt venait de s’introduire en elle d’une exquise pénétration. Elle plongea son regard paniqué dans celui de son partenaire, mais lorsqu’un second doigt vainquit délicieusement son innocence, elle s’abandonna à son désir. Honteuse, elle essaya de serrer les cuisses dans un réflexe prude, mais elle ne fit qu’enserrer un peu plus les doigts qui l’outrageaient. Il massa tendrement ses chairs délicates. Puis progressivement il se mit à la fouiller, à aller et venir, à titiller ses secrets les plus sensibles. Elle attrapa une nouvelle fois le poignet de l’homme, ne sachant pas si elle l’encourageait ou si elle tentait de le refréner. Il ne fit qu’accélérer le rythme. Oui, elle s’était déjà touchée quelques fois, mais plutôt par curiosité. Seule, elle allait au plus simple. Là, maintenant, quelqu’un d’autre jouait avec son désir. Il lui faisait l’amour avec ses doigts. Vite, fort, bien, mieux que dans ses fantasmes… Elle ne pouvait rien anticiper. L’inattendu teintait d’une saveur languissante et odieuse chaque effleurement, chaque frémissement, chaque attouchement. A chaque nouvelle caresse, à chaque nouvel élan, une onde bouillonnante se saisissait d’elle. Sa poitrine luisante de sueur se soulevait au rythme d’une respiration erratique. Flora tentait vainement d’étouffer ses gémissements d’une main plaquée sur la bouche. Elle se tortillait involontairement alors qu’une vague de plaisir tortueuse s’emparait de son corps :
– Je me sens… ah… doucement… attends, je vais…
Sa robe la collait, elle avait les joues en feu. Elle se cambra, haletante. Ses jambes flagellèrent et elle se cramponna au cou de son partenaire. Son être entier fut parcouru de frissons de volupté. Elle avait l’impression que son intimité se contractait et se liquéfiait. La surprise de l’extase lui arracha une salve de gémissements indécents, la laissant pantelante… Profitant de savoir l’esprit et le corps de la jeune fille vulnérables et comblés, l’homme ajouta au creux de son oreille :
– Paul, je m’appelle Paul.
Elle hésita un instant en reprenant difficilement son souffle. Elle finit par lâcher :
– Flora…
Elle le vit sourire alors qu’il se lavait les mains. Il revint vers elle, s’agenouilla pour ramasser quelque chose. Flora se rendit compte que sa petite culotte était à ses pieds. Elle tendit la main mais il garda le bout de dentelle humide.
– Tu devrais aller profiter de la piscine. Ne t’inquiète pas, tu trouveras quelque chose d’autre à mettre pour la prochaine fois…
– La prochaine…
Encore chancelante, elle le regarda quitter la pièce,

à suivre…

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