Elle me laissa le temps d’ouvrir mes dossiers et se leva pour aller à la porte, qu’elle ferma à clef. Comme je fis comme si de rien n’était, elle s’adossa à la porte et commença :
‘Bien, vu les événements et ton comportement inacceptable de ce vendredi, tu imagines bien qu’il y aura des conséquences dans notre relation professionnelle !’
Je tournais la tête et pivotais sur ma chaise :‘Comment ça ? Je… je peux m’expliquer. Je ne sais pas ce qui m’a pris…. ta nièce m’a sauté dessus…je suis allé un peu loin…je m’excu’
‘Silence ! Comment oses-tu me parler sur ce ton ! Ton weekend ne t’a rien appris ! Mets toi à 4 pattes et regardes le sol !!!’
Je restais interloqué, paralysé par son ordre abrupt.
Elle n’avait pas crié, mais plutôt baissé la voix, elle serrait les dents, en colère.
Une colère maitrisée qui me fit regretter de m’être laissé aller à chercher des excuses !
‘Rex !! à 4 pattes j’ai dit !!!!’
Ce nom me donna la chair de poule, me remémorait mon weekend de honte.
Je tombais à 4 pattes, la tête basse.
Je sentais que je ne m’en sortirai pas, pas avec Laurence, ici sur mon lieu de travail.
J’attendais la suite, n’osant pas relever la tête.
Je l’entendis s’approcher doucement et vis ses escarpins sous mes yeux. Elle me frôlait de ses jambes gainaient de bas, des jambes qui m’avaient toujours enfiévré, elle tournait autour de moi doucement.
‘Je disais donc Rex que notre relation professionnelle va changer. Radicalement. Si tu contestes, j’en avise nos supérieurs et je serai obligé de parler de ma nièce, bien sur !’
‘Ta femme n’a pas été assez ferme, malgré les conseils que je lui ai donnés. Enlève ta chemise et ton pantalon, je veux voir les marques sur ton corps de chien’
Sa voix glaciale me sidérait, je me déshabillais rapidement en restant accroupi et jetais rapidement mes affaires pour reprendre instinctivement ma place à ses pieds.
J’oubliais que je me trouvais en sous vêtement féminin.
‘Ah, comme ça te va bien cette culotte de souillon, bonne idée !’
‘Ecoutes moi bien Rex ! Lève la tête et regardes moi bien dans les yeux’
J’obtempérais.
Elle se tenait mains sur les hanches, sa poitrine opulente fièrement dressée. Elle m’écrasa une main d’un de ses talons aiguilles, appuya et tourna, je serrais les dents mais ne la quittais pas des yeux.
‘A la moindre réflexion, à la moindre hésitation, tu seras puni. Mes paroles sont des ordres que tu suis à la lettre, tu ne m’adresses plus la parole sans lever le doigt et attendre. Oublies ça et tu seras punis. Ces marques sur ton dos et ton gros cul ne sont rien par rapport à ce que je peux te faire. Ta femme a utilisé une ceinture, moi c’est le fouet. Pas le fouet qu’on trouve sur internet pour faire sadomaso le dimanche. Non le fouet pour sévir, punir, mater les plus coriaces. Le fouet c’est la peau qui explose comme une saucisse, une souffrance que tu ne peux pas imaginer, des cicatrices à vie, des spasmes de douleur jusqu’à tomber dans les pommes !’
Un silence. J’avale ma salive et n’ose baisser les yeux. Mon cerveau ne fonctionne plus.
Elle enlève son talon aiguille de ma main. Je ne bouge pas. Elle contourne la table et se rassoit.
‘Debout !’
‘Bon devant ton comportement, je vais adapter la situation immédiatement !’
Elle se leva et sortit du bureau en refermant la porte derrière elle.
J’attendais quelques minutes, ridicule en culotte, devant cette table. Elle revint s’assoir à sa place avec des documents. Un grand sourire éclairait son visage. Elle déboutonna sa veste de bustier. De part ma position surplombante, je voyais son décolleté sur une poitrine généreuse qu’un chemisier blanc en satin comprimait.
Je me tenais debout devant elle, quasi nu, ne sachant quoi faire.
‘Tu vas me signer ça, c’est une demande de congés pour 8 jours qui prend effet ce soir’ Elle me retourna la feuille que je lus, incrédule. Je signais sans réfléchir, je sentais mes jambes s’enfoncer dans le sol, ma main tremblait.
Tout à coup la porte de la salle s’ouvrit, je me redressais et me retournais en cachant machinalement mon sexe derrière mes mains. C’était la stagiaire, Nolwen, qui referma la porte à clef et se dirigea vers Laurence tout en me regardant de haut en bas avec un sourire moqueur.
Elle qui m’avait excité depuis le premier jour avec ses tenues sexy, me laissa hypnotisé devant sa tenue : un perfecto en cuir ouvert sur une sorte de bustier corset rouge, une jupenoire en cuir droite très serrée jusqu’aux genoux et une paire de bottes noires en cuir verni avec des talons vertigineux.
Elle me provoquait en tournant admirablement du cul et vint faire la bise à Laurence, sa tante, sa croupe tournée vers moi.
Malgré ma situation désespérée je sentais mon sexe bander. Je tenais toujours mes mains devant.
Elles discutaient comme ci je n’étais pas là. Je ne pouvais m’empêcher de jeter des coups d’œil à cette bombe. Mon sexe commençait à tendre le nylon de cette culotte.
Nolwen vint tourner autour de moi, elle vint derrière moi et me caressa les fesses à travers le nylon.
‘Tu ne la trouve pas mignonne comme ça la petite pute, Laurence ?’
Cette fois le maigre tissu de la culotte n’empêchait pas mon sexe de se dresser à l’horizontal. Mes mains ne pouvaient tout dissimuler. Je sentis son ongle suivre l’élastique de la culotte et arriver sur mon ventre. Ma respiration s’amplifiait. Son parfum suave, l’odeur du cuir, ses bottes qui frôlaient mes mollets…
‘Oui elle aurait du succès au bois ! Allez Rex, tu signes encore ça, dépêches toi, je ne vais pas y passer la matinée’
Je me penchais à nouveau sur la table pour signer, laisser apparent mon sexe dressé de désir
‘C’est l’accord pour embaucher la jeune stagiaire que tu as devant les yeux. Apparemment elle te plait bien !! ‘ dit-elle en baissant les yeux sur mon sexe tout veiné qui transparaissait derrière le nylon.
‘ Ah j’oubliais : ce que je t’ai dit pour moi et valable pour elle aussi : tu lui dois obéissance et respect’
‘Bien !’ Elle se levait en vint près de moi ‘tu vas commencer par t’excuser auprès de Nolwen :
Tu te mets à 4 pattes tu baisse ta culotte aux genoux’
Nolwen vint aussitôt s’assoir sur mon dos, ses cuisses contre mes oreilles, ses bottes devant mes mains.
Je bandais comme un âne.
Elle riait.
‘Maintenant tu te branles et disant ‘Rex s’excuse’ Laurence elle ne riait pas.
Le poids de Nolwen sur mon dos, j’essayais de me branler d’une main, l’autre soutenant mon corps. Je m’y repris à plusieurs reprises, perdant l’équilibre.
‘Allez Rex excuses toi’
Je n’allais pas tenir longtemps, l’odeur du cuir m’entêtait, ma nuque se trouvait sous la jupe en cuir et forçait ma tête vers le sol, son cul divin dans sa jupe s’appuyait sur ma peau, ses cuisses et les bottes de cette jeune déesse me frôlaient et râpaient mes joues, Laurence se tenait devant moi et me traitait de pute, de chienne. Je me retrouvais sous le pouvoir de ces deux femmes qui contrôlaient jusqu’à ma jouissance. Je me sentais comme un jeune puceau nu devant une femme mûre. En quelques secondes seulement, Rex éjacula rapidement dans un spasme soudain en gueulant ‘Rex s’excuse’.
J’étais sevré depuis ce vendredi et des jets de sperme fournis giclèrent au sol .Je repris vite appui sur mon autre main couverte de sperme, essoufflé. J’avais ressenti ça comme une éjaculation précoce, médiocre et honteuse.
‘Maintenant tu nettoies tout ça avec ta langue’ m’ordonna Laurence face à moi.
‘Ma petite pute à joui ? Non… ? Dommage, c’était la dernière occasion’ me lança Nolwen qui avait repris sa position sur le côté.
Elle me lança un coup de botte dans les côtes.
Elle alla à son sac à main en sortis un paquet, pendant que je me tordais de douleur.
‘Bon je vais nous chercher un café’ repris Laurence. ‘Quand je reviens, le sol est propre, tu as passé ton petit cadeau et tu te rhabille’ ‘Nolwen tu le surveilles ?’
‘T’inquiètes pas’
Un nouveau coup de bottes.
‘Allez lèches moi tout ça ! Qu’est ce que tu attends ? ‘
Je commençais à laper le sol, écœuré de mon propre sperme. J’entendais la porte claquer et le bruit des talons qui s’éloignaient.
Je finis rapidement de racler le sol de ma langue, craignant qu’elle ne revienne me contrôler. Le gout salé du sperme m’écœurait, je n’avais jamais été jusqu’à en avaler. Ma gorge restait comme englué dans mon liquide. Nolwen me lança le carton à mes pieds. Le carton ouvert, je découvris une cage de chasteté de bonne taille, en acier . Je me frottais le visage en me disant un ‘oh merde ! merde ! merde !’
Un nouveau coup de bottes dans les épaules.
‘Mets ça et vite !’ ‘Et n’oublies pas le cadenas’
Je me mettais à genoux.
Je regardais le mode d’emploi, puis me décidais à passer l’anneau derrière mes couilles, puis vint l’étui que je plaçais devant mon sexe encore décalotté. L’étui tout de métal était froid, ce qui m’aida à forcer mon sexe à pénétrer à l’intérieur. Je poussais l’étui vers l’anneau et arrivais tant bien mal à crocheter le tout, avec le cadenas fournis.
Mes couilles enserraient me faisait à nouveau bander et l’étui rempli vite sa fonction : je ne pouvais plus bander.
Je regardais, perplexe, cet équipement que je n’avais vu que sur internet. L’étui en métal chromé qui recouvrait tout mon sexe était recourbé vers le bas, mon sexe essayait de gonfler déjà à l’intérieur mais ne pouvait que rester bridé dans ce tube proéminent de 10 cm relié à mes couilles prisonnières, aucun accès à mon sexe n’était désormais plus possible, aucune fente pour pisser !!.
L’acier chromé paraissait robuste, il brillait, tirait mes couilles en avant et m’attribuait un sexe d’acier incurvé rigide inamovible et totalement proéminent ! Je paniquais.
La vue du cadenas une fois refermé, placé tout en haut de cet équipement, m’évoqua une porte d’acier blindée d’un appartement qui se referme sur vous dans un courant d’air quand vous êtes à l’extérieur sur le palier , en slip et sans les clefs ! Elles me contrôlaient entièrement maintenant !
Je reprenais mes esprit et remontais cette culotte sur cet équipement : une bosse gonflait mon entrejambe, vu la courbure du tube. Le cadenas comme pour me narguer était bien visible au départ du tube et ses angles saillaient du nylon.
‘Voilas-tu en as dans la culotte maintenant !’ ‘Et regardes ça !!’
Je levais le visage, elle me présentait la clef minuscule du cadenas entre ses doigts et la mis dans son sac à main.
Je fermais les yeux pour me calmer et allais passer mon pantalon et ma chemise. Je regardais mon pantalon, dont une bosse obscène levait le tissu. Le tube simulait une érection que je ne pouvais plus avoir !!
‘Alors pauvre cloporte tu as cru que tu allais t’en tirer comme ça !’
‘Mais ce que tu n’as pas compris’ dit elle en s’asseyant sur la table en croisant les jambes ‘c’est que je te voyais venir, depuis plusieurs semaines que tu me bouffais des yeux (voir première partie) et que j’attendais que tu me baises dans les chiottes’
Je la regardais essayant de comprendre
‘Tu crois que tu es le premier à qui je taille une pipe ? Je suis toujours arrivé là où je voulais avec ma bouche et mon cul de salope’ Elle décroisait les jambes et agitait ses bottes.
Elle riait.
‘Après j’ai joué la sainte nitouche avec ma tante. Je lui est parlé de tentative de viol. Elle m’a cru la vieille ! De toute façon elle n’attendait qu’une occasion pour te griller ta place !’
Je restais hébété de ses révélations…
Puis d’un élan, je m’avançais vers elle, menaçant, ne me métrisant plus : ‘Salope de merde !!’
Elle attendait sans aucun doute cette réaction, je le compris plus tard, car je pris aussitôt un terrible coup de botte dans les couilles déjà comprimées par l’anneau.
Je ne vis rien venir et me pliais en deux de douleur.
C’est à ce moment que Laurence revint et vit la scène.
‘Qu’est ce qui se passe ici ?’
‘Oh c’est Rex qui fait le méchant chien, ma tante ! Il m’a traité de salope !’ Elle riait très satisfaite
‘Rex, Rex, Rex ! ‘ répétait Laurence en secouant la tête, elle posait les verres de café sur une table.
‘Je l’avais dit : ta femme n’a pas voulu être trop dure avec toi. Je dois tout reprendre. Mais avec moi, ce sera la méthode dure ! Dès demain je m’occupe de corriger ce mauvais caractère de caniche. En attendant, rinces moi cette gueule pleine de sperme, quelle image pour notre service ! ‘
Je pris le gobelet d’eau qu’elle me tendait en regardant vers le sol pour éviter sa colère que je sentais monter en elle. Je n’avais pas bu depuis bien longtemps et le sperme n’avait pas arrangé la chose !
J’eus la bêtise de murmurer un timide et soumis ‘merci ‘
Une gifle monumentale sur la joue me fit faire un pas de côté, la moitié du verre finit au sol.
‘Tu as déjà oublié ? Tu n’as pas le droit à la parole !! Comment un chien remercie sa maitresse ??’
Je me jetais à 4 pattes instinctivement pour éviter la punition, je posais le verre au sol et restait prostré.
‘Mes escarpins ! Qu’est ce que tu attends ? Lèches !’
J’entendais glousser sa nièce qui se délectait du spectacle.
Je m’approchais à 4 pattes et me baissais jusqu’à atteindre ses magnifiques chaussures avec ma langue, elle me tendit ensuite la deuxième. Puis finalement me repoussa d’un coup de pied dans le nez.
‘Stop ça suffit’
Elle était de mauvaise humeur, je restais immobile.
Je n’avais pas vu sa nièce arriver.
Elle renversa le verre d’un coup de bottes. D’un coup de talon aiguille dans les côtes, elle me lança ; ‘Remercies moi aussi pour la cage que je t’ai offerte’. La tige de sa botte écrasait déjà mon nez.
Je regardais du coin de l’œil mon verre désespérément vide et léchais consciencieusement ses bottes, semelles et talons. Elle m’insultait copieusement et gloussait pour m’humilier encore plus.
Elle fit durer son plaisir, jusqu’à ce que ses bottes reluisent.
Laurence ne m’accordait plus d’attention et finissait de remplir ses documents.
J’étais le jouet de cette jeune salope !
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