C’est en allant étendre son linge en robe de chambre au fond du jardin que ma femme Nadia découvre la pratique curieuse de notre voisin, un homme de quarante cinq ans bien bâti ; dissimulée par son linge, elle reste médusée quand son voisin, arrivé au pied du grand sapin, tire sur le zip de sa braguette et fouille a l’intérieur pour en retirer un zob qui n’en finit pas de sortir , il a une main qui le tient entièrement, il en dépasse presque autant , on dirait un tuyau d’arrosage en plus gros.
L’a-t-il vue ? Mystère, seul un grillage les sépare, ses jambes sont visibles sous le linge étendu, il se met à pisser face à elle en décrivant des dessins imaginaires sur le sol. Malgré sa gêne, ma femme reste à regarder, ça n’en finit pas et quand enfin le jet s’arrête, il tire sur la peau a fond, le gland rose énorme apparaît et pointe vers le bas, tellement il tire dessus, l’homme manipule son membre comme s’il s’agissait d’un pis de vache hors norme pour en faire tomber la dernière goûte.
Bandait-il pour avoir un tel membre ? Toute la journée, elle revoit dans sa tête cette queue qui n’a aucune comparaison avec celle de son mari, moi Karim, (lailatvx sur le net), parfois elle se demande si elle a bien fait de l’épouser, leurs rapports sont sympas mais elle reconnaît qu’il ne la fait pas grimper aux rideaux.
Le soir, Karim lui demande pourquoi elle est dans la lune :
– Que t’arrive-t-il ma chérie on dirait que ton esprit est ailleurs ?
– Tout va bien je t’assure …
Le lendemain, elle veut en avoir le cœur net, à neuf heures toujours en robe de chambre, elle va à son fil à linge, le voisin arrive …..Même scénario …ça ne peut pas être une coïncidence ….cette fois il se positionne de coté, ça la réjouit, ainsi elle peut mieux apprécier la longueur de ce zob, l’homme urine à n’en plus finir, enfin vient le moment de « l’essorage ».
La main parcourt le membre, des couilles au gland, lentement, très lentement, elle n’en croit pas ses yeux quand elle voit la queue enfler encore et encore …..Elle ne peut s’empêcher de penser ce qu’un membre pareil peut faire comme sensations dans une chatte.
Ses cuisses se frottent l’une sur l’autre, elles pressent sur sa chatte nue, l’homme accélère la cadence, Nadia n’en peut plus, une main se glisse entre les pans du vêtement, ses doigts trouvent vite l’entrée de son vagin trempé.
Les yeux rivés sur le zob, secouée, elle se masturbe à toute vitesse, c’est quand elle voit les longs et puissants jets de foutre partir loin dans l’herbe qu’elle pousse un petit cri strident.
L’homme jette un regard dans sa direction mais ne panique pas, au contraire un sourire illumine son visage quand il essuie de ses doigts le gland où perle la dernière goûte qu’il porte à sa bouche et la lèchent consciencieusement.
Elle fuit vers la maison où elle ôte sa robe de chambre et va sous la douche se soulager avec le jet dru de l’eau.
Une longue plainte accompagne sa deuxième jouissance non retenue.
Le soir Nadia se jette sur son mari avec une furieuse envie de baiser, elle imagine cette pine extraordinaire coulisser dans son vagin ….mais ce ne sont que les 12 centimètres de Karim qui déchargent rapidement dans sa chatte inassouvie.
Sera-t-il là demain ? Nadia a mal dormit, c’est la boule au ventre et la chatte ouverte qu’elle va à nouveau étendre du linge qui est déjà sec mais il faut bien trouver une solution !
Le voisin est déjà là comme s’il l’attendait, la jeune femme guette, va-t-il le faire encore ? OUI !!
Le visage tourné vers elle, il baisse carrément son pantalon cette fois, le monstre pend entre ses cuisses, elle aperçoit la paire de couille velues, d’une main il s’en saisit et de l’autre commence a décalotter son gland, il ne pisse pas, il se caresse en fixant l’endroit où se trouve Ma femme, elle devient folle, une idée insurmontable la prend, la robe de chambre ouverte, elle se baisse, seul son bas ventre est a découvert, le reste de son corps est caché par le linge.
Ses genoux s’ouvrent, laissant apparaître sa chatte, s’il était plus prés, il pourrait voir les gouttes de mouille accrochées aux poils, elle se concentre et enfin un jet doré s’échappe de ses lèvres dans un chuintement caractéristique de femme qui urine.
Elle ferme les yeux de bonheur, la voit-il ? La réponse ne va pas se faire attendre longtemps, des pas feutrés dans l’herbe se fonts entendre, il est là juste derrière le linge, elle voit ses pieds, trop tard pour fuir, une main passe sous le linge et s’introduit entre ses cuisses, elle atteint rapidement sa moule détrempée qui continue à gicler dans les doigts du mâle, le linge est repoussé, là, juste sous ses yeux, la queue bandée se balance menaçante, attirante, comme dans un rêve. Nadia s’en saisit, l’homme pousse un cri rauque et tend son bas ventre vers la jeune femme comme une invite à l’avaler.
Nadia maintenant à genoux, entrouvre les lèvres, le gland pousse pour pénétrer la bouche, l’homme retire sa main de la chatte pour saisir la tête afin d’imposer son rythme, ma femme, la mâchoire prête à se décrocher, avale tout ce qui peut entrer dans sa gorge, une salive épaisse coule aux commissures de ses lèvres.
– Bien petite, bien, vas-y avale, tu es douée, HAAAAA !!! C’est bon !!!
– Muuuuuummmmm !!
– Tu avales tout ?
– Muuuuuummmmm Ouuuuiiiiiii
– Alors ne lâche pas, ça vient …….
Deux secondes après, un premier jet fouette sa luette, elle a une énorme envie de vomir mais ne lâche pas le morceau de chair qui la bâillonne, le surplus coule sur son menton et entre ses seins.
Consciente de ce qu’elle vient de faire, elle n’ose relever la tête.
– Il y a longtemps que tu habite avec Karim ?
– Oui …
– Ha, tu sais honnêtement, je crois qu’il ne sait pas s’y prendre avec les femmes, excuse moi je ne devrais pas te raconter ça.
Elle décide de se relever, la robe de chambre ouverte laisse voir son corps nu, tant pis il a déjà tout vu.
– Tu es très belle, je peux toucher tes seins ?
Trop tard pour répondre, ses grosses paluches ont déjà coiffé les mappemondes, il attire la femme sur lui, son membre fait barrière entre eux deux, Nadia ose enfin relever la tête, très vite leurs lèvres se joignent, une petite main empoigne le membre, elle n’en fait pas le tour, c’est chaud, velouté malgré les veines tourmentées qui longent cette hampe.
– Tu veux que je te baise ?
– Où ça ? Ici ?
– Là dans le garage, il y a un matelas, on sera bien à l’abri des regards.
Pourquoi un matelas dans le garage ? Ses ex seraient-elles passées dessus ? Un passage discret existe dans la clôture, indécise elle suit quand même l’homme.
Arrivée devant cette couche sommaire, l’homme finit de se déshabiller, son corps athlétique finit de la séduire.
– Ote ton vêtement et allonge-toi, je vais te bouffer la chatte avant, tu es plus belle que les autres toi, j’adore ton petit abricot fendu.
Plus de doute, ce mec s’est envoyé toutes les voisines, avec la même méthode ?
Nadia expose son entre jambes dans une position torride, il en grogne de plaisir avant de s’allonger, ses lèvres happent la fente juteuse tellement virilement qu’elle pousse un cri, mais le travail expert de la langue la fait fondre de plaisir.
Pendant une demie heure avec sa langue et ses doigts, il lape, nettoie, fouille, écarte, même le petit œillet se relâche de plus en plus.
Elle n’en peut plus d’attendre
– Baisez-moi s’il vous plait baisez-moi !
– Tes désirs sont des ordres ma belle, me voilà !
Il avance à genoux, la queue à la main vers le calice béant, il finit de repousser les lèvres vers l’extérieur avec son gland, le trou palpite impatient de gober cet œuf fendu au bout.
Nadia écarte au maximum ses cuisses, le mâle donne le coup de rein fatal, la jeune femme est bel et bien prise, les trois quarts de la queue ont fait leur place dans le ventre juvénile.
– HAAAAAAAAAAAAA !!!!!!
– Je t’ai fais mal ?
– Non, c’est la surprise
– Ha ! Ce n’est pas le petit Karim qui te baise hein ? Bon je vais te secouer un peu, tu es prête ?
– Ben, oui allez y doucement, vous êtes gros, enfin je veux dire votre zob est gros !
– Ha t’es rigolote toi ! Accroche-toi ……
Le cylindre de chair fait quelques allers retours lentement puis il accélère la cadence, un glissement de piston bien huilé se fait entendre, une bague mousseuse s’est formée autour du membre.
Nadia secoue sa tête en tous sens, ses jambes se nouent autour de la taille d l’homme.
– Baisez-moi ! Baisez-moi ! Je suis une salope, défoncez moi !!!
Soudain il stoppe ses mouvements, déçue elle crie :
– N’arrêtez pas mon dieu, NON !
– N’aie crainte, j’ai bien l’intension de me vider les couilles dans ta craquette, je veux simplement te retourner.
Elle ne pèse pas lourd entre ses mains, en une seconde elle se retrouve en levrette, le front sur le matelas, le cul en l’air, la queue repart de plus belle a l’assaut de sa moule.
– Huuuummmm, quel beau cul tu as !
Aussitôt, un pouce maculé de cyprine se met en devoir de masser la cible brune, d’abord impénétrable il se détend peu à peu, l’homme claque les fesses « ça aide à faire venir le sang dans cette zone » dit il.
La première phalange entrée, il tourne comme pour évaser l’entrée du puits
– Que faite vous ? Je suis vierge de ce coté là
– Et alors ? Ça ne te fait pas de bien ce que je te fais ?
– Ben si ….c’est vrai c’est très sensible cet endroit
– Si tu veux, après avoir déchargé dans ta minette, je te prendrais par là juste pour te démontrer que tu peux jouir en te faisant sodomiser
– J’ai peur ……
– N’y pense pas, concentre toi sur ta chatte, j’ai quasiment tout rentré, tu es tellement serrée que je vais bientôt jouir, ça fait combien de fois toi ?
– J e sais plus … j’en ai les jambes coupées, allez y remplissez moi le con, ça va m’apaiser
L’homme ne cherche plus à se contrôler, il bourre la chatte a grands coups de reins en poussant des ‘Hans ‘ de bûcheron
– Houuuuaaaaaaaa ! Hoooooooooooo ! Ouuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
La première fusée fait gonfler la gaine vaginale déjà encombrée, une mare de foutre se crée autour du gland et remonte difficilement vers la sortie, maintenue fermement par la fesse, appuyée sur la paire de couille. Ma femme reprend ses esprits, au fond d’elle-même elle se passerait bien de la sodomie pour rester sur ce souvenir de bonne baise …….
Peine perdue, le membre toujours raide se retire doucement, laissant une impression de vide impressionnante, sitôt a l’air libre, il s’essuie sur le trou boursouflé, avant qu’elle n’aie pu réagi, il enfonce son gland sans prévenir, une brûlure atroce accompagne la pénétration
– AIIIIIIIEEEEEEEE ! Tu es con ! J’ai très mal, retire toi !!
– Allez, ne fais pas ta mijaurée, tu n’attendais que ça comme toutes les autres, elles y sont toutes passées et sont revenues en redemander, un dicton dit ‘ quand la tête est passée, les épaules passent ‘, dans une minute tu m’en diras des nouvelles
– … C’est vrai la douleur s’en va ……… ça fait bizarre par là ….
– Tu vois ? Je vais t’en enfoncer encore un peu ….putain, ça rentre comme dans du beurre, ça fait toujours mal ?
– Ben, non ça va, ça fait même du bien maintenant
– Mords dans le matelas je te mets tout ….
Nadia sent la queue entrer toujours plus loin, les chairs peu lubrifiées font que le membre entre par à-coups.
L’homme retire un maximum de longueur sans se déboîter du trou, puis revient a la charge plus violemment.
– Houuuuuuuuu !!! SALAUD ! Haaaaaaaa, ouiiiiiiiiiiiiiiiii, encule moi !!!!!! Va-y fainéant, baise ! BAISE !!!
– Mais tu es une petite gourmande toi ! Tu vas être servie ! TIENS ! TIENS ! TIENNNNNNNNNNNS !!!
– OUI ! OUI ! OUI ! OUIIIIIIIIIIIIIII !!! JE JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIS !!!
– Tais toi, tu vas ameuter tout le quartier !! Dis donc, quand je me retire entièrement, ça reste grand ouvert !! Attends, je crache dedans ….et c’est reparti ……
– C’est bon ! C’est bon ! Quelle queue tu as ! Décharge maintenant pour voir comment ça fait par là !!
– Déjà ?
– Oui, t’en fais pas, je reviendrais demain !!
Cet homme jouit à la demande car dans la seconde, quatre jets épais fusent dans le rectum irrité, la jeune femme se laisse tomber au sol, complètement anéantie, satisfaite et pleine de sperme qui s’échappe par ses deux trous.
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