L’homme qui avait répondu à mon annonce dans laquelle je recherchais un Dominateur qui fasse de moi une véritable salope soumise au jus m’a recontacté et il m’a demandé si j’étais toujours ok pour qu’il fasse de moi non pas une salope, mais sa pute. Je n’ai pas hésité longtemps et je lui ai répondu le jour même que j’étais d’accord pour devenir sa pute accro au jus (pas de sodo envisageable pour mon anus qui ne demande que çà mais qui est beaucoup trop étroit et beaucoup trop sensible. Quel dommage). Je dois à partir de maintenant m’adresser à lui en l’appelant « Maître ».
Rendez-vous m’étais fixé et je devais me présenter à son domocile avec ma queue enfermée dans ma cage de chasteté et avec un string en cuir. Je portais un collier autour du cou relié à une laisse. Je devais également amener mon écarteur de bouche au cas où je ne lui obéisse pas pour avaler le sperme.
Je sonne à sa porte. Il me gifle et me demande de baisser la tête. Il passe sa main sous mon tee-shirt et me pince les tétons jusqu’à ce qu’un couinement s’échappe de ma bouche. Une deuxième gifle me rapèlle immédiatement à l’ordre. Il m’ordonne de me déshabiller et d’attendre à quatre pattes au milieu de la pièce en insistant sur le fait que je n’ai pas intérêt à le décevoir. Quelqu’un sonne à sa porte et j’entends un mec parler à mon Maître, ils parlent argent. Je comprends vite que l’objet de la discussion est le tarif pour une pipe que je vais devoir pratiquer sur cet inconnu.
Je me retrouve vite fait avec la bite du mec dans la bouche et je m’applique pour le pomper du mieux que je peux. Mon Maître me fait allonger sur le dos et le mec se place à quatre pattes au dessus de moi et il me remet sa queue dans ma bouche. Il me baise la bouche. Sa jouissance arrive et mon Maître intervient pour maintenir la queu du mec dans ma bouche pour s’assurer que j’avale tout le sperme du mec. Je ne déçois pas mon Maître et encore moins le client à qui je nettoie la queue pour aspirer la dernière goutte de son jus. Le mec se rhabille et part et moi je dois me repositionner à quatre pattes au milieu de la pièce et attendre.
Je n’ai pas longtemps à attendre, un autre coup de sonnette se fait entendre et la même discussion intervient. Cette fois je suis à genoux et je dois pomper la queue du mec qui se tient devant moi. Sa jouissance arrive et il sort sa queue de ma bouche et se termine en se branlant. J’ai la bouche grande ouverte pour qu’il éjacule son foutre sur ma langue. Il joui rapidement et sous les yeux de mon Maître, je reçois le foutre du mec qui m’asperge la gueule. Le foutre me coule le long de mes joues, sur mon front. Je lèche tout le foutre que je peux lécher avec ma langue. Le mec s’en va et moi je me remets en position quatre pattes avec le foutre du mec touhours sur ma gueule.
Troisième coup de sonnette, troisième mec, troisième queue. Cette fois le mec est allongé au sol et moi au dessus de lui pour le pomper. Mon Maître en profite pour me pincer les tétons et m’insulter. Le mec joui et je dois aspirer tout son foutre pour ne pas en perdre une goutte.
Le manège s’est répété encore et encore. A la fin de la journée, épuisé, mon Maître m’a attaché sur le lit, bras et jambes écartées. Il m’a enfilé une cagoule noire, posé des pinces sur mes tétons. Il m’a retiré ma cage de chasteté et m’a ficelé fermement les couilles puis il a entrepris de m’enfiler un dilatateur d’urètre à l’intérieur de ma queue. Quelle sensation !!! Il m’a alors branlé jusqu’à mon éjaculation. Il m’a fait lécher mon propre sperme qu’il récupérait avec ses doigts en me félicitant de ma prestation de pute soumise.
Il m’a dit que ce n’était rien et que la prochaine fois ce sera encore pire. Il envisage de me faire porter des dessous féminins pour m’humilier devant des inconnus.
Depuis, j’attends qu’il me contacte.
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