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Decouvertes du libertinage

Decouvertes du libertinage



Ce texte est un peu long, mais ce fut tellement bon….

Comment tout cela est il arrivé, je ne le sais pas. Mais c’est arrivé, une période de notre vie qui est gravée dans nos mémoires pour encore bien des années. C’était il y a 5 ans et cela a duré environ 6 mois…Par où commencer pour raconter cette histoire ?
C’est aussi simple que compliqué, alors je vais commencer par le début et faire les présentations d’usage.

Mariés depuis 15 ans, ma femme Carla est un petit bout de femme de 1M55, pleine d’énergie, blonde aux cheveux mi longs, toujours apprêtée, maquillée et parfumée. On la dit pétillante, ne perdant jamais une occasion de rire, aimant faire la fête. D’un naturel tactile, smackant depuis toujours ses meilleurs ami(e)s pour leur dire bonjour, elle attire la sympathie et rayonne dès lors qu’elle se sent en bonne compagnie. Sur le plan physique, quelques kilos superflus installés avec les années se font largement oublier lorsqu’on plonge le regard dans son décolleté composé de très jolis seins à la forme généreuse et surtout bien ronds (95 E). Pour ma part, Eric, je suis un peu plus grand, 1M70, mince, et n’ai jamais eu de problème pour séduire les femmes, en bref je suis d’un physique normal. A l’aube de la cinquantaine, on dit que nous paraissons plus jeunes que notre âge, donc inutile de préciser ceux-ci.

Nous avons une vie sociale plutôt nourrie, beaucoup d’amis, des passions et des activités professionnelles très différentes qui laissent du temps libre à Carla et, pour ma part, qui m’occupent la plupart du temps. Quand je suis au bureau, il ne se passe pas un jour sans que Carla ne m’envoie des SMS ou MMS qui peuvent s’avérer parfois très coquins surtout lorsqu’elle sait que je suis occupé et risque d’être troublé en les recevant. C’est un petit jeu entre nous. Nous n’avons pas de problème de couple, et nous nous entendons à merveille.

Lorsque nous nous sommes rencontrés nous avions déjà vécu une vie chacun de notre côté et n’avons jamais eu de sentiment d’inaccomplissement comme pourraient en avoir des personnes se rencontrant trop tôt. Pour ne pas laisser la routine s’installer, nous nous réservons de temps à autre une sortie nocturne souvent initiée par un bon restaurant et que nous prolongeons par des spectacles, théâtre, ou des promenades nocturnes dans les rues de la capitale.

Côté sexe, nous avons une activité tout à fait normale, Carla n’ayant jamais été coincée la dessus, ne me refusant aucune pratique pour peu que celle-ci soit réalisée avec douceur. Quand nous nous sommes connus, elle m’a raconté comment s’était passé la fois où, à l’âge de 19 ans, elle a passé une nuit torride avec une copine. Sa conclusion sur cet épisode était que, si rien n’égale la douceur et les caresses d’une femme, au bout d’un moment il leur a manqué quelque chose pour finir en apothéose. Dieu que j’aurai aimé voir cela et y participer, j’aurai peut être pu palier au manque ressenti. Parfois nous regardons un film porno pour nous mettre en appétit. Les scènes à deux couples et les trios m’excitent bien plus que les scènes à deux, cela n’échappe pas à Carla. Lorsque nous faisons l’amour nous aimons « délirer » en nous parlant, en fantasmant à voix haute. Dans ces moments je demande à Carla de m’avouer qu’elle a aimé jouir et faire jouir cette femme, qu’elle aimerait recommencer, qu’elle accepterait de me faire participer, lui demande si elle me prêterait à sa copine…
Elle entre toujours dans le jeu connaissant les réponses qui m’excitent ce qui nous entraine assez vite tous les deux vers l’orgasme.
Pour ajouter un peu de saveurs et de chaleur sous la couette, nous avons, comme beaucoup de couples, finis par introduire dans nos jeux quelques gadgets achetés au retour/détour de nos soirées. Parmi ces gadgets, il en est un que nous apprécions plus que les autres, car sa forme, son volume, son aspect sont très réalistes et je ne souffre pas de la comparaison. J’aime la faire jouir avec ma langue tout en introduisant ce gode en elle. Elle ne tarde généralement pas à m’att****r le sexe pour l’engloutir dans sa bouche et me branler son but étant de me faire jouir avant que je ne lui fasse perdre tous ses moyens. Il nous arrive également que je l’allonge sur le dos, les jambes bien remontées, et que je m’introduise en elle par la porte de derrière et que j’introduise son sextoy dans sa petite chatte humide.
Pendant que je la prends comme ça j’aime lui demander de me dire qu’elle apprécie, qu’elle voudrait aussi essayer avec un deuxième homme. J’aime l’entendre gémir plus qu’à son habitude, se tordre sous mes assauts. Dans cette configuration, prise des deux côtés, je gagne toujours à la faire jouir avant moi, mais je reste frustré de ne pas sentir son plaisir fondre directement sur mon sexe. Il faudra que je trouve le moyen un jour d’inverser les rôles…

C’est ainsi qu’un soir après avoir eu ce genre de délire elle m’a dit un peu gênée.

– Tu sais, c’était pour délirer que je t’ai dit que j’aimerai un deuxième homme.

Profitant de ce moment d’hésitation je lui répondais

– Oui je sais. Tu préférerais une femme ?
– Ben non car je ne veux pas te partager avec une autre.
– Oui mais si tu n’avais pas à me partager, si je devais seulement regarder ?
– Ben qui s’occuperait de cette femme quand nous serons trop excitées ?
– Son mari !
– Comment ça, je ne comprends pas ?
– Ben imagines que nous fassions l’amour côte à côte avec un autre couple et que les échanges de caresses soient exclusivement entre femmes
– Ca ne va pas dans ta tête !
– Si si très bien
– Mais je n’oserais pas. Et puis je ne veux pas risquer de me faire peloter par un autre homme.

La discussion s’était arrêtée là. Quelques jours plus tard, trop content d’avoir trouvé cette idée, j’attendais qu’on se mette au lit et qu’on se fasse notre câlin des soirs sages. Alors que nous nous apprêtions à nous endormir, je revenais à la charge.

– Alors, que penses-tu de mon idée ?
– Quelle idée ?
– Ben tu sais… ce dont je t’ai parlé. Faire l’amour côte à côte avec un autre couple
– Je ne sais pas. Et puis je ne vois pas ce que cela nous apporterait et en plus je ne vois pas avec qui.
– Ben moi je pense que ce serait excitant de voir un autre couple à côté de nous, et de te voir avec une femme.
– Ah bon ? Mais cela ne change rien au fait que je ne vois pas avec qui, car je ne voudrais pas que ce soit avec des amis, cela risquerait trop de changer nos relations avec eux.
– Donc tu n’es pas contre ?
– Je n’ai pas dit ça.
– Pourtant je suis sûr que cela te rappellerait de bons souvenirs. Et puis cela nous permettrait de sortir un peu et de nous fabriquer de bons souvenirs pour quand on sera vieux !
– Pff Tu es bête !
– Tu sais on pourrait aller voir comment ca se passe sur les sites de rencontres échangistes.
– Ca ne va pas non ?
– Ben au moins aller voir. On ne risque rien derrière un écran. Et puis on ne connait personne sur ces sites.
– Allez dors maintenant tu dis n’importe quoi.

C’est ainsi que j’ai commencé à me renseigner sur internet sur les clubs échangistes, et sur les risques que prennent les couples qui s’aventurent dans ce genre de sexualité. J’ai aussi lu des témoignages d’expériences réussies mais aussi d’expériences décevantes. Enfin, j’ai surfé sur les sites de rencontres pour couples libertins.
Quelques jours plus tard et alors que j’estimais être suffisamment documenté, au moment de passer au lit, je proposais à Carla qu’on regarde ensemble sur l’ordinateur portable les sites que j’avais sélectionné, ce qu’elle a accepté.

Je me dépêchais de brancher le portable et nous commencions nos visites de sites. C’est ainsi que nous découvrions ensemble les différentes définitions de ce petit monde. Le côte à côtisme pour les couples qui comme le terme le suggère font l’amour côte à côte avec parfois quelques échanges de caresses entre couples même si celles-ci sont exclusivement réservées entre femmes. Le mélangisme pour lequel les caresses entre couples et partenaires sont acceptées y compris les plaisirs saphiques (pas de pénétration hors couple). L’échangisme où il y a échange de partenaires et pénétration hors couple, le 2 2 pour lequel il y a échange de partenaire dans des pièces/lieux séparés, ou encore le candaulisme pour les couples dont l’homme ne fait que regarder sa femme se faire prendre par un autre homme etc…

Si aucune de ces pratiques ne semblait plaire à Carla, aucune ne semblait la choquer au point de mettre un terme à cette soirée d’information. Une fois arrivé sur le site d’annonces afin obtenir toutes les fonctionnalités comme consulter les fiches, accéder aux filtres de recherche, au tchat, ou encore aux webcams il fallait prendre un abonnement. Je tentais donc :

– On prend l’offre d’abonnement pour 3 mois ? Cela semble plus avantageux. Et puis on n’a pas le choix si on veut voir ce qu’il y a dans ces sites ?
– Ben effectivement, on n’a pas le choix me répond elle en se lovant sur mon épaule

J’étais surpris de sa réponse aussi je ne perdais pas une minute pour entrer les numéros de la CB et valider l’abonnement avant qu’elle ne change d’avis. Le lendemain, nous complétions notre fiche par un petit texte décrivant nos souhaits (côte à côtisme) en précisant bien que nous étions encore très hésitants, de quelques photos à partir desquelles nous ne pouvions être reconnus, et consultions nos premières annonces. Nous avons vite trouvé les filtres de recherche, que ce soit par tranches d’âge, de géographie, de pratiques. A notre grande surprise, malgré nos filtres restrictifs, il y avait beaucoup plus de fiches que nous ne l’aurions anticipé correspondant aux critères que nous nous avions renseignés.

Nous avons passé quelques soirées sur ce site, et nous avons vite eu pas mal de visites/contacts soit par des couples, soit d’hommes seuls directement blacklistés car ils n’avaient manifestement pas lu l’annonce. Sur le tchat, nous décelions assez vite les couples correspondant peu ou pas à nos critères. Les approches trop directes du genre « bsr, dispo ce soir ? » étaient immédiatement écartées.

Cependant nous avions aussi parfois des contacts sympas avec certains couples. Carla n’aimait pas trop regarder les exhibitions dans la partie Webcam, mais moi j’aimais bien voir et commenter ces exhibitions. On y trouvait autant des couples aux pratiques exhibitionnistes (parfois gore avec fist et compagnie..), des transexuels, des trios, des partouzes, bref, il y en avait pour tous les goûts. Regarder ces couples s’exhiber m’excitait et cela n’échappait pas à la bienveillance de mon épouse qui en profitait bien après.

Après bien des contacts par tchat, nous avons fini par rencontrer de visu quelques couples, de préférence en lieu neutre autour d’un verre ou d’un diner au restaurant. Si leur fiche sur le site semblait nous convenir, en réalité, à chaque fois quelque chose coinçait. Avec Carla nous avions mis en place un code pour écourter la rencontre si quelque chose ne nous convenait pas. En effet, si l’un de nous deux se mettait à parler sport alors nous comprenions qu’il fallait habillement écourter le RDV. Je me souviens d’une fois où à peine le couple est-il arrivé que je me suis mis à parler de foot (alors que j’ai horreur du foot) tellement il y avait d’écart entre le physique réel de ces personnes et les photos de leur fiche (qui devaient dater de plus 10 ans !).

Grâce à ce site, nous avons rencontré Robert et Martine, couple dans nos âges, se définissant comme mélangistes et échangistes si affinité. Ils étaient bien plus expérimentés que nous dans le libertinage. Martine était une jolie femme blonde, mince, la cinquantaine, pas très grande, perchée sur de hauts talons, et s’habillant de robes fendues hyper sexy. Martine n’était pas attirée par les femmes ou alors pour faire plaisir à son mari. En fait Martine était suiveuse de son mari dans cette aventure. Robert était sympa, d’allure normale, plutôt bien conservé, un physique quelconque, ni beau ni moche, mais très bavard.

Il ne s’est rien passé avec eux probablement par timidité de notre côté mais aussi parce qu’ils avaient déjà leur réseau de couples d’amis échangistes qu’ils voyaient régulièrement. Le côte à côtisme n’était plus vraiment dans les pratiques qui pouvaient leur plaire. Malgré cela, le feeling passait bien entre nous, c’est pourquoi nous les avons revus plusieurs fois. Ils pouvaient comme nous se permettre de sortir dans de bons restaurants (lui était chef d’entreprise) et leur compagnie tout comme leur conversation étaient très agréables.
Ils étaient tous les deux tombés sous le charme de Carla qui illuminait nos soirées de ses étonnements, de ses rires, de sa façon de raconter sur le ton de l’humour certaines de nos rencontres les plus épiques. Si nos discussions tournaient souvent autour de nos premiers pas vers la réalisation de mon fantasme encore irréalisé, de leurs soirées débridées en club, nous parlions aussi de tout autre sujet très librement. Robert et Martine nous parlaient beaucoup d’un couple d’amis à eux désireux mais encore hésitants à se lancer dans le libertinage.
Robert et Martine aimaient beaucoup recevoir et c’est ainsi qu’ils organisèrent un diner chez eux pour nous présenter Yves et Corinne et éventuellement finir dans un club pour nous faire « visiter ». Le RDV était fixé au samedi suivant.
C’est ici commence cette histoire qui a duré environ 6 mois.

Attendre le samedi suivant a été très long pour moi. Le jour J m’a paru encore plus long que la semaine toute entière. Pour l’occasion, Carla s’était préparée dès la fin de l’après midi, douchée, parfumée, maquillée, passé de la crème sur tout le corps. J’avais interdiction de monter à l’étage le temps qu’elle se prépare. Lorsqu’elle est descendue, elle était vêtue d’une robe noire au décolleté impressionnant, moulant son corps et soulignant ses fesses. Ainsi habillée, elle ne faisait pas sexy aguichante mais glamour. Un bandeau coloré ornait son front et passait dans ses cheveux. Je savais qu’elle ne laisserait personne de marbre. Mon dieu qu’elle était belle. Je m’approchais d’elle et la complimentais sur sa tenue :

– Hum tu es belle mon amour.

Je tentais de la prendre dans mes bras et l’embrasser.

– Merci mon amour, mais pas touche, tu vas devoir attendre. Je suis prête, on y va ? nous avons de la route…

Le voyage était interminable, dans la voiture, aussi j’essayais de caresser ses jambes

– Fais attention à la route, d’habitude tu n’aimes pas parler en conduisant me dit elle en saisissant ma main pour la reposer sur le volant, alors restes concentré s’il te plait.

Et pour bien faire, nous étions pris dans les embouteillages en raison de la pluie et de ce temps gris de janvier. Un petit sms à Martine pour prévenir que nous aurions un peu de retard et tout était arrangé.

Enfin arrivés chez Robert et Martine, nous sonnions, Robert est venu nous accueillir avec un grand sourire

– Entrez, il fait si froid dehors. Yves et Corinne sont déjà arrivés.

Je donnais à Robert une bouteille de champagne tandis que Carla offrait des fleurs à Martine.

– Donnez moi vos manteaux et entrez nous enjoignait Martine

Lorsque Carla eu retiré son manteau, Robert ne pu s’empêcher de dire à Carla qu’elle était magnifique et nous installa dans le salon. Les présentations faites nous nous asseyions dans les canapés en face de Yves et Corinne.

Yves était un peu plus grand que moi, 1.80 M environ, bien charpenté, des cheveux courts châtains, mais je remarquais surtout son regard rieur d’un bleu électrique. Corinne était plus grande que Carla, 1.70M environ, brune aux cheveux courts, des yeux aussi bleus que ceux de son mari, de jolis traits fins, ronde mais de ces rondes que l’on trouve jolies et sexy. Sexy on peut dire qu’elle l’était ce soir là dans sa robe qui moulait ses formes et offrait un décolleté semblable à celui de Carla.

Nous avons tout de suite compris aux échanges de regards que le feeling seraient au rendez vous.

Robert et Martine entraient directement dans le vif du sujet en servant une coupe de champagne à chacun :

– Nous sommes très contents de vous recevoir tous les quatre ce soir. Nous n’avons jamais caché à nos amis proches notre goût pour le libertinage. Avec Yves et Corinne nous nous connaissons depuis plusieurs années et c’est assez naturellement qu’ils se sont tournés vers nous lorsqu’ils ont voulu en savoir un peu plus sur ce sujet. Eric et Carla sont comme vous, encore hésitants et désireux de choses très softs. Nous avons donc pensé que le mieux était de vous faire rencontrer.

– C’était une très bonne idée répondit Corinne en dévorant Carla des yeux
– Allez on trinque enchaina Martine

L’apéritif et le diner nous ont permis de faire plus ample connaissance avec Yves et Corinne. Nous apprenions que Yves et Corinne travaillaient dans le milieu médical, que Yves était champion de lutte lorsqu’il était plus jeune, que Corinne avait vécu quelques mois avec une femme avant de rencontrer Yves, mais surtout qu’ils avaient en projet de quitter la France dans les 6 prochains mois pour partir s’installer au canada. De son côté Carla était intarissable sur ses activités artistiques et je sentais que les regards de Corinne ne la laissaient pas indifférente. Après le dessert, Robert nous a dit :

– Nous avons des amis qui vont en club sur Paris ce soir et ils nous ont proposé de les rejoindre. Est-ce que cela vous tenterait tous les quatre que nous allions les rejoindre ?
– Je suis effectivement curieuse de voir ce qu’il se passe dans ces clubs alors pourquoi pas répondit Corinne
– Aller en club en groupe m’intimiderait moins, alors oui dit Carla en souriant à Corinne
– Super, moi aussi je suis partant me dit Yves en me tendant la main pour que je tape dedans
– Ok, c’est fait !

C’est ainsi que nous décidions tous les six de partir en club.

Une fois arrivés devant la porte, nous avons sonné et quelques instants plus tard un vigile à la carrure imposante nous ouvrait la porte. Manifestement il connaissait bien Robert et Martine puisqu’il leur faisait une bise à tous les deux. Nous entrions dans le vestiaire où nous devions impérativement laisser manteaux, sacs et téléphones (pour éviter les photos nous explique Robert). La jeune femme au vestiaire nous demanda si c’était notre première fois dans l’établissement.

– Oui, ça se voit tant que cela ? dis-je un peu étonné
– Non, mais c’est la première fois que je vous vois me répondit-elle en souriant. Mais vous êtes bien accompagnés, donc tout devrait bien se passer. Il n’y a pas trop de monde pour le moment, je pense que tout le monde va arriver d’ici peu. Cela vous laisse le temps de visiter.

– Nous nous chargeons de faire la visite dit Martine avec un regard amusé.

Robert et Martine nous ont invités à les suivre, nous leur emboitions le pas et je fermais la marche. Nous avons emprunté un couloir au bout duquel, sur la droite, nous arrivions directement au bar. Robert nous expliqua que nos consommations seraient notées sur une fiche à nos deux prénoms et que nous réglerions tout à la sortie. Il nous entraina un peu plus loin et nous montra une piste de danse assez grande, surplombée de banquettes. Dans la continuité de la piste de danse, se trouvait une plate forme sur laquelle il y avait une autre piste de danse et le fumoir. Un escalier sur le côté de la plate forme nous emmenait vers d’autres espaces disposant de banquettes. Nous avons ensuite emprunté un autre couloir totalement vitré surplombant la grande piste de danse puis un nouvel escalier nous ramenant au bar.

– Voila pour la partie « discothèque nous dit Robert. Je vais maintenant vous emmener dans la partie « câlins ». Passer ce rideau est interdit aux hommes non accompagnés lors des soirées exclusivement couples comme ce soir. De même, les verres ne peuvent être emmenés dans cette partie de l’établissement.

Carla semblait rassurée par ces propos, moins de risques de tomber sur un homme seul un peu lourd.

Il nous montra alors une première pièce assez petite dans laquelle il y avait un lit entouré de miroirs.

– Cette pièce peut être fermée de l’intérieur nous dit il en nous montrant le verrou, mais comme vous pouvez le voir, il y a près de la porte un miroir sans teint ce qui permet à ceux qui sont à l’extérieur de la pièce de vous regarder sans que vous les voyez. Vous pouvez aussi la laisser ouverte si vous le souhaitez et serez probablement rejoints.

Je regardais Carla avec un grand sourire et lui glissait à l’oreille

– Ca commence bien.

Nous avons poursuivi la visite, un peu plus loin, sur la gauche se trouvait un grand salon à la décoration gréco-romaine avec un immense lit central rond et des banquettes tout autour. Un peu plus loin sur la droite, nous arrivions dans une pièce assez sombre avec une immense banquette assez haute et au fonds de la pièce une cage et une croix de Saint André.

– Ici, c’est pour attacher vos femmes si elles ne sont sages nous dit Robert en regardant Carla et Corinne tout en souriant.
– Si ce n’est pas moi qui attache mon mari lui répond Corinne du tac au tac.
– C’est comme vous voulez nous dit il en riant

Nous avons poursuivi la visite, et avons emprunté un couloir dans lequel se trouvaient plusieurs alcôves, puis nous sommes arrivés dans une très grande pièce dans laquelle se trouvaient deux immenses lits jumelés dont un était entouré de barreaux.

Si vous vous installez dans un de ces lits, il est possible que vous ayez des mains qui passent au travers des barreaux. A vous d’accepter ou non. Mais vous pourrez aussi restés hors du lit et regarder ce qu’il se passe, c’est souvent très excitant et chaud.

La dernière pièce de la visite était une pièce immense dans laquelle se trouvait un lit de taille impressionnante pouvant accueillir au moins dix personnes.

– Ici ca peut être très hot nous dit Martine. C’est plus pour des couples expérimentés et échangistes. Et pour finir nous allons vous montrer le dernier coin coquin au fonds de cette salle. La boite noire à trous. Mais attention messieurs, ce ne sont pas toujours des femmes qui sont à l’intérieur !

Nous rigolions bien à la plaisanterie de Martine, puis elle nous proposa d’aller prendre un verre au bar en attendant que le club se remplisse un peu et que leurs amis arrivent.

Nous sommes restés au bar une bonne heure à discuter, la piste de dance s’était petit à petit remplie, Robert et Martine étaient déjà rejoints de leurs amis. Certaines femmes étaient vêtues de tenues ultra sexy, bas visibles, robes légères recouvrant à peine leurs fesses, c’était un régal pour les yeux. Corinne proposa que nous allions danser, ce que nous acceptions avec plaisir et nous nous retrouvions sur la piste au milieu de dizaine de couples. J’enlaçais mon épouse dont les mouvements langoureux me faisaient déjà de l’effet.

– Tu as l’air de bien t’entendre avec Corinne
– Oui je la trouve super sympa
– Et c’est tout ? que sympa ?
Pour toute réponse je n’ai eu droit qu’à un sourire et un baiser poursuivi d’un
-Idiot !

Corinne et Yves dansaient un slow à côté de nous et Corinne lança
– Ben voilà, on fait du côte à côtisme !
– Oui mais c’est très soft, j’espère quelque chose de plus hot
– Tu es bien coquin mon cher Eric
– Mais moi aussi répondit Yves

Puis Yves proposait que nous allions faire un tour voir ce qu’il se passait dans les coins coquins qui devaient s’être remplis. Nous décidions d’y aller tous les quatre. La petite pièce aux miroirs était encore libre. Dans le salon gréco romain, un couple était allongé sur le lit, l’homme léchait la chatte d’une femme tandis que quelques couples assis sur les banquettes les regardaient en se caressant. Yves repris les couloirs, nous le suivions, passant le long des alcôves jusqu’à ce qu’il s’arrête brutalement et que Corinne et Carla ne lui rentrent dedans. Dans une des alcôves, Martine suçait avec la femme de leur couple d’amis le sexe de leur ami tandis que Robert besognait
cette femme en levrette. Nous les laissions tranquilles et poursuivions jusqu’à la grande salle où déjà plusieurs couples étaient en action. Impossible de définir parmi ces couples qui étaient en train de baiser sa moitié ou un/une autre partenaire. Je me souviens d’une femme qui se faisait prendre en levrette par un homme pendant
qu’elle suçait un autre homme. Lequel était le mari, lequel était l’amant ? Où était la femme du second ? Peu importe mais ces questions me taraudaient l’esprit.

Nous restions tous les quatre à regarder ce qui se passait, je prenais Carla dans mes bras, l’embrassait et lui caressait les fesses. Puis je me suis positionné derrière elle, mes mains remontaient le long de ses cuisses pour atteindre son string.

– Ca t’excite de voir cela ?
– Chuttt, continues

J’aventurais un doigt dans sa fente qui était toute mouillée. Un coup d’œil vers nos amis et je m’apercevais que si Yves et Corinne ne perdaient pas une miette du spectacle qui s’offrait à nous, ils nous observaient tout en faisant la même chose que nous. Tous ces corps enchevêtrés, ses soupirs, ces gémissements, cette ambiance nouvelle pour nous me faisait bander comme un âne et je me frottais contre les fesses de Carla qui passa son bras derrière elle pour tâter la bosse de mon pantalon.

– Ben mon chéri, on dirait que ça te fait de l’effet, je sens ta grosse queue.
– Oui j’adore, pas toi ?
– Si c’est très excitant
– Yves aussi bande très fort nous dit Corinne, je sens que sa queue est dure comme un bâton
– Et si nous allions dans la salle aux miroirs proposa Yves

Je n’ai pas eu le temps de répondre que c’est Carla qui a répondu

– Oui avec plaisir, mais on ferme la porte pour rester ensemble
– Ok répondit Corinne

Corinne prit Carla par la main et l’entraina se frayant un chemin dans les couloirs et entre les couples de voyeurs. En passant, j’ai bien senti quelques personnes, femmes ou couples, profiter de notre passage pour se frotter incidemment contre nous, j’ai même senti une femme poser ses mains sur mon torse au moment où je la croisais. Nous sommes arrivés jusqu’à la pièce aux miroirs miraculeusement encore libre. Une fois entrés, je fermais le verrou et lorsque je me suis retourné, Corinne avait déjà pris les choses en mains.

Elle avait collé le dos de Carla au mur et posé ses lèvres sur celles de Carla. Elle tenta d’introduire sa langue à l’intérieur de la bouche de Carla qui résista probablement en raison de la surprise. Lorsque ses mains descendirent sur les seins de Carla, elle fit une nouvelle tentative pour investir sa bouche et Carla répondit avec fougue à son baiser. Elles s’embrassaient et se caressaient avec vigueur, je regardais les mains de Corinne glisser le long des hanches de ma femme, puis passer entre elles pour venir caresser sa vulve. Corinne chuchota quelque chose à l’oreille de Carla que nous ne pouvions entendre, mais la réponse de Carla elle fût très claire à mes oreilles.

– Caresses moi, dit-elle dans un soupir tout en écartant légèrement les jambes pour lui donner accès à son intimité.

Elle ne se fît pas prier, je voyais la main de Corinne disparaître sous la robe de Carla m’imaginant ses doigts parcourir sa vulve et ses lèvres. Les gémissements de Carla me prouvaient que mon imagination n’était pas débordante, sa langue parcourait ses lèvres pour humidifier ses muqueuses et mieux embrasser Corinne. Corinne fit glisser une à une les bretelles de la robe de Carla, et la lui ôta en la faisant glisser le long de son corps pour la déposer à ses pieds. Carla était restée adossée au mur, les bras et les mains plaquées le long du mur. Elle semblait s’abandonner à Corinne. Corinne s’accroupit face à Carla pour déposer un chaud baiser sur les tissus de son string qu’elle envoya vite rejoindre la robe. Dans la foulée, le soutien gorge prenait la même direction. Puis Corinne invita Carla à s’allonger sur le lit ce qu’elle fit sans mot dire. Corinne monta sur le lit et plongea sa tête entre les cuisses outrageusement ouvertes de ma femme. Je me décalais pour mieux voir, Carla fermait les yeux et me semblait partie ailleurs. Corinne plongea sa langue dans la fente de Carla passive mais ô combien réceptive. Puis, toujours avec sa langue, elle léchait son clitoris. Corinne prenait son temps, s’appliquant, faisant monter petit à petit l’excitation de Carla afin de lui donner du plaisir dans la longueur. Elle introduisit un doigt, puis deux dans la chatte déjà bien humide. Elle faisait des va et vient plus ou moins rapides, plus ou moins profonds auxquels Carla répondait par des gémissements plus ou moins forts. Elle aventura un doigt dans son anus tout en continuant de lui fouiller la chatte. Sous ces doubles caresses Carla ondulait de plus en plus le bassin, ne parvenant plus à étouffer ses gémissements.
Corinne était devenue maître de Carla. Après quelques minutes de ce traitement, je vis Carla se cambrer et pousser un cri qu’elle ne contrôlait plus. Prise de convulsions violentes elle se redressa en jouissant très fort avant de retomber sur le lit le bras sur les yeux comme pour se cacher de la lumière de son orgasme, et cherchant sa respiration. Corinne remonta lentement le corps de Carla pour l’embrasser à pleine bouche. Carla peinait à reprendre ses esprits. Corinne retira doucement sa main de la fente de ma femme, ses doigts étaient trempés de cyprine et je vis une tache importante sur le lit trempé. Manifestement Carla nous avait fait une jolie fontaine. Petit à petit, Carla retrouvait ses esprits, ouvrant à nouveaux les yeux remplis de bonheur, elle souriait et embrassait tendrement Corinne qui s’était allongée près d’elle. Carla se mit à caresser Corinne, et lui demanda de retirer elle aussi sa robe, ce qu’elle fit. Carla entreprit alors d’enlever les sous vêtements de Corinne, mais lui laissa ses bas. Carla, cette fois ne restait pas passive. C’est elle qui se jeta sur ses seins dont elle léchait les pointes jusqu’à ce qu’elles s’érigent. Elle les embrassait, les caressait, les léchait, c’était d’un érotisme torride. J’étais tellement dur et à l’étroit dans mon pantalon que mon sexe me faisait mal. Mes jambes tremblaient tellement j’avais imaginé, attendu cet instant. Yves n’était pas en reste, il dévorait le spectacle des yeux et la bosse formée dans son pantalon n’avait rien à envier à la mienne.

Lorsque j’ai à nouveau regardé la scène, Carla s’était placée entre les jambes de Corinne qui prit la tête de Carla pour l’amener entre ses cuisses. Carla devait bien se débrouiller car Corinne ne mis pas longtemps à émettre des gémissements de plaisir. Corinne continuait de guider la tête et la bouche de Carla tantôt sur sa vulve que je devinais humide, son clitoris ou son cul. Carla avait introduit deux doigts dans la chatte de Corinne et son bras exerçait des mouvements de va et vient, rendant la monnaie de sa pièce à Corinne dont l’excitation montait crescendo.

Corinne se releva et pivota sur elle-même pour se retrouver placée au dessus de Carla en 69. Elles s’occupaient de leurs intimités respectives alternées de petits cris qui font que ni Yves ni moi ne pouvions rester spectateurs plus longtemps. C’est Yves qui le premier s’approcha du lit en direction de sa femme pour regarder de plus près ce que faisait Corinne pour mettre ma femme dans cet état. Je fis de même. Carla ne prêtait plus attention à moi tant les caresses de Corinne lui procurait du plaisir. Corinne s’arrêta lorsque Yves qui avait sorti son sexe le lui présenta. Elle nous regarda tour à tour et nous adressa un grand sourire avant d’att****r la queue de son mari qu’elle attira jusqu’à sa bouche pour l’engloutir. Carla qui ne voyait pas ce qui se passait en haut, continuait de lécher et de fouiller la vulve de Corinne qui suçait et branler son mari devant moi.
Carla accélérait le rythme des va et vient de ses doigts dans la chatte de Corinne tout en lui dévorant le clitoris. Je voyais que Corinne avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la bite de son mari qui aurait probablement explosé un peu vite si la situation avait perduré. Corinne s’abandonna alors à Carla qui mettait toute son énergie à atteindre le point de non retour de Corinne et obtenir son jus au moment de l’orgasme ce qu’elle obtint rapidement dans un cri qui a du s’entendre bien au-delà de la petite pièce dans laquelle nous étions. Corinne s’allongea et invita Carla à venir dans ses bras pour un tendre câlin permettant à chacune de reprendre ses esprits. Yves et moi n’en pouvions plus mais ne voulions pas interrompre ce moment de tendresse.
Nous nous sommes approchés d’elles et nous nous sommes allongés près d’elles les laissant toutes les deux au milieu. Nous prenions part aux caresses de nos femmes respectives qui se souvenaient petit à petit que nous existions. C’est Carla qui a réagit la première :

-Nos hommes ont été très sages tu ne trouves pas ? Cela mérite peut être une récompense, qu’en penses tu ?
– Oui je suis bien d’accord avec toi. Allez hop messieurs, à poil et allongez vous sur le lit, répliqua Corinne tout en se relevant et en commençant à enlever le pantalon de Yves.

Carla fit la même chose et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous nous retrouvions nus comme des vers allongés côte à côte sur le lit.

– Eh bien quelle forme messieurs dit Corinne en admirant nos bites dures et raides comme la justice !
– De vrais gourdins répliqua Carla en riant. On dirait que cela leur a plu.

Chacune se mit alors à nous branler doucement et à nous lécher le gland. Du coin de l’œil j’observais Corinne et pour la première fois je réalisais que Yves avait une queue de taille honorable, semblable à la mienne. En se regardant les filles continuaient de nous branler tout en s’embrassant, jouant de leur langue. Puis chacune d’elle fini par engloutir nos queues au fonds de leur bouche, prêtant une attention toute particulière à ne pas nous faire exploser trop vite, tout en maintenant une tension extrême.
Je regardais alternativement la bouche de Carla monter et descendre le long de ma queue, et la bouche de Corinne faire la même chose sur la bite de Yves. Le fait qu’elles marquent de temps à autre une pause pour s’embrasser nous donnait un peu de repos jusqu’au moment où je me suis dit que Corinne devait avoir le goût de ma bite dans la bouche de Carla et inversement et qu’au final elles devaient avoir le gout de nos deux sexes mélangés. Cette pensée me fit monter dans les tours et il fallait que je prenne les choses en mains pour ne pas jouir trop vite.

– Et si vous vous mettiez à quatre pattes l’une en face de l’autre ? Vous pourriez en profiter et nous aussi ?
– Bonne idée dit Yves
– Oh oui très bonne idée enchaina Corinne

Les femmes se mirent alors en position, Yves se plaça derrière Corinne, et je prenais place derrière ma femme qui avait déjà attrapé la bouche de Corinne. Yves et moi nous introduisions doucement et en même temps dans les volcans enflammés de nos femmes qui nous accueillaient en soupirant de concert à chaque centimètre introduis en elles.
Yves et moi avions la bonne position pour nous faire signe et coordonner notre rythme afin qu’elles ne se cognent pas. Je remarquais les épaules musclées et le reste d’abdos de Yves qui je l’avoue étaient enviables. Yves s’activait de plus en plus à pilonner Corinne, quand son rythme s’accélérait, je m’arrêtais laissant à Carla la possibilité de dévorer la bouche de Corinne dont l’excitation s’intensifiait. Yves a vite compris notre petit jeu et nous avons alterné ces séquences, quand je m’enfonçais au plus profond de la chatte ruisselante de Carla et que j’accélérais le rythme, Corinne se vengeait en l’embrassant à pleine bouche. Je sentais Carla m’inonder la queue de son jus. Je ne tardais pas à exploser au fonds de sa chatte envoyant tout mon foutre au plus profond d’elle tandis qu’une vague de plaisir se répandait entre nos jambes et coulait le long de nos cuisses. A nous voir ainsi prendre notre pied, Yves ne tarda pas à se retirer de Corinne qui se retournait, attrapait sa queue pour le branler et recevoir son foutre dans sa bouche qu’elle finit par avaler. Elle fit disparaitre cette queue au fonds de sa bouche jusqu’au fonds de sa gorge avant de la ressortir lentement en l’aspirant. La verge de Yves en ressortait toute propre. Puis Corinne se retourna et vint embrasser tendrement Carla qui par la même devait via la bouche de Corinne prendre connaissance du goût du sperme de Yves.

Pendant nos ébats, nous avons entendu plusieurs fois que quelqu’un essayait d’ouvrir la porte, probablement des gens qui voulaient venir voir de plus près ou participer. Nous reprenions doucement nos esprits et après quelques minutes, nous nous rhabillions afin d’aller prendre un verre au bar et libérer la salle pour d’autres couples qui pourraient en avoir besoin.

C’est le regard trouble, tous les 4 plus très bien coiffés (y compris Carla qui dans la bataille avait perdu son bandeau dans les cheveux, mais je ne saurai dire à quel moment..), les jambes plus très sûres que nous arrivions au bar. Cette première expérience nous a tous un peu bousculés et le verre de champagne que nous prenions s’annonçait salvateur pour nous remettre doucement sur pieds. Nos sourires et nos échanges de regards en disaient longs sur le niveau de plaisir atteint
par chacun de nous.

Nous faisions un dernier tour du club pour tenter de retrouver Robert et Martine qui avaient disparu, nous apprenions le lendemain qu’ils avaient quitté les lieux avec leur couple d’amis un peu plus tôt que nous, et que c’est eux qui avaient tenté d’ouvrir la porte. Ils n’avaient rien perdu puisqu’ils avaient pu profiter de nos ébats à travers le miroir sans teints.
Nous décidions de rentrer car il était très tard ou très tôt le matin au choix, et nous nous quittions heureux de cette première soirée.
Arrivés à la maison, nous nous sommes vite mis au lit. Les lèvres de Carla avaient goût de sexe, était-ce le goût de la chatte de Corinne, le goût de la queue de Yves, de son sperme, d’un mélange de tout, je ne sais pas, toujours est il que dès les premiers baisers, des images chocs me revenaient en tête et nous avons refait l’amour comme des damnés, assez rapidement je l’avoue.

Le lundi matin au bureau j’avais du mal à rester concentrer tant les images du week-end m’embrouillaient l’esprit. Mais ce qui me perturba le plus fût ce SMS de Carla :

« Coucou mon chéri, j’ai reçu cela ce matin, je pense que c’est Corinne. Qu’en penses-tu ?
Coucou, ça va ? bien rentrés ? Nous avons passé une soirée inoubliable en votre compagnie et espérons que vous aussi. Nous aimerions vous revoir et recommencer si cela vous dit. Si oui, seriez-vous disponibles samedi prochain pour diner à la maison ? »

Je m’affairais donc à répondre par SMS

«Comment ont-ils eu ton numéro ? J’en pense que c’est une proposition qui a le mérite d’être directe. Si tu ne travailles pas, ça pourrait être sympa »

La réponse ne se fît pas attendre :

« Martine m’a demandé dimanche par sms si elle pouvait donner nos numéros à Corinne et Yves car nous avons oublié d’échanger nos numéros, et j’ai dit oui. Elle m’a envoyé par retour les coordonnées de Yves et Corinne. Normalement je travaille samedi mais je peux me faire remplacer »

Heureusement que j’étais assis. J’étais en train de comprendre que ma femme était tentée pour recommencer ce que je pensais être une simple parenthèse qui n’irait pas plus loin même si au fonds de moi je souhaitais vraiment que cela se reproduise. Je décidais de répondre dans l’affirmative à cette proposition.

Ce fût là le début d’une série de beaucoup de soirées, en club, à l’hôtel, chez eux ou encore chez nous, au cours desquelles cela finissait toujours par une partie de jambes en l’air à l’image de la première soirée, c’est-à-dire centrée sur les plaisirs entre filles, et à base de côte à côtisme. Nos soirées se faisaient très souvent en deux rounds. Souvent, à tour de rôle, l’un de nous était désigné pour orienter les actes de chacun afin de faire partir la soirée.

A mesure des soirées, quelques caresses inter couples étaient timidement avancées et acceptées. Carla s’abandonnait totalement aux caresses et à la langue de Corinne et se laissait désormais caresser les seins, le dos, les jambes par Yves. Je ne me privais pas pour faire les mêmes choses avec Corinne. Une fois rentrés, lorsque nous faisions l’amour, nous parlions et revenions sur la soirée qui venait de s’achever afin d’attiser notre excitation. Nos propos devenaient de plus en plus tendancieux. Parfois je demandais à Carla de me décrire le goût de la chatte de Corinne, si elle était étroite, chaude, si elle aimait que Corinne la lèche, si Corinne la faisait jouir avec sa langue et ses doigts, si elle aimait recevoir les caresses de Yves …

Bref, nous baisions presque tous les soirs en nous excitant toujours plus. Nous n’allions plus sur le site, fini les rencontres foireuses ou infructueuses, nous avions trouvé les complices que nous attendions.

Mais tout cela restait relativement soft jusqu’à ce fameux soir où… Ce soir là, nos maisons respectives étaient illégalement occupées par nos enfants, mais ni Yves et Corinne, ni nous n’avions envie d’annuler la soirée prévue. Nous décidâmes de diner au restaurant et de réserver une chambre pour 4 personnes dans une chaine d’hôtels se trouvant juste à côté du restaurant.

Lorsque les cafés on été servis, c’est Corinne qui lança les hostilités :
– Je ne sais pas si c’est ce café irlandais, mais j’ai hâte que nous allions nous amuser. Pas vous ?
– Oui moi aussi rétorquait Carla
– Il faut battre le fer tant qu’il est chaud, je vais payer et on y va ?
– Mais on espère bien que ce sera chaud dit Corinne en regardant malicieusement son mari qui, pour accélérer les choses, se levait pour aller demander payer l’addition.

Je lui emboitais le pas jusqu’au comptoir. En attendant que la serveuse s’occupe de nous je me lançais.
– Tu sais Yves, je ne sais pas pour vous mais depuis qu’on se connaît je dois avouer que notre libido a explosé.
– Nous aussi, c’est un truc de fou. Corinne devient de plus en plus demandeuse de sexe et c’est plusieurs fois par jour !
– Je dois te dire que c’est pareil pour nous. Mais en plus il faut que tu saches que vous êtes dans nos pensées à chaque fois que nous faisons l’amour, on n’arrête pas de parler de vous dans ces moments.
– Vous êtes aussi dans tous nos fantasmes et Corinne me parle parfois de ton sexe.

La serveuse s’avançait vers nous mettant ainsi fin à la conversation. Elle nous donna l’addition que nous avons réglée alors que les femmes nous rejoignaient. Plus le temps de reprendre notre conversation. Bras dessus dessous, nous marchions tous les quatre de front en direction de l’hôtel.

Nous avons un peu cherché la chambre au fil des couloirs, arrivés devant la porte, je donnais à Yves le code à composer pour ouvrir. La chambre était assez grande, composée d’un grand lit à deux places et de deux lits jumeaux. Pendant que les femmes sortaient les coupes et la bouteille de champagne, installaient la musique d’ambiance avec une petite enceinte bluetooth, Yves et moi nous employions à déplacer les deux lits jumeaux pour les juxtaposer au lit double. Je solidarisais le tout avec des rilsans aux pieds de lit. Au final nous nous retrouvions avec un lit de taille impressionnante, pas loin de quatre mètres sur deux cela devait nous suffire…

– Bon, qui commande ce soir ? demanda Corinne La dernière fois c’était moi.
– Je propose Eric dit Yves
– Ah oui c’est vrai cela, tu n’as pas encore commandé mon amour, cela devrait être à toi logiquement.
– Ok, si vous voulez. Alors tout le monde pose son verre, et tout le monde tout nu avec moi sur le grand lit!
– Déjà ? me dit Corinne
– C’est moi qui commande ce soir, alors exécution !

Et à ma grande surprise, tout le monde s’exécuta, en quelques instants nous étions tous nus au milieu du lit. Nous nous retrouvions Yves et moi cote à cote, debout sur le lit, les femmes face à nous.
– Pour commencer, Corinne je veux que tu suces Yves et que tu le rendes bien dur et Carla tu dois me faire la même chose.

Nos femmes pour une fois obéissantes se mirent à genoux face à nous et commencèrent à nous sucer et nous branler gentiment. Les deux filles échangeaient des regards complices et rieurs à défaut de pouvoir sourire la bouche pleine.

– Elles vous plaisent nos queues ?
– Hummm hummm hummm moumme hummmm Oui répondit Corinne en retirant la bite de son mari de sa bouche avant de la reprendre en bouche.
– Dis moi mon Yves, si nous nous mettions l’un en face de l’autre, et les femmes chacune d’un côté, qu’en penses tu ?
– Très bonne idée !

Debouts l’un en face de l’autre, Carla se plaçait à genoux sur ma gauche face à Corinne également à genoux sur ma droite.
Très prés l’un de l’autre, les femmes n’avaient d’autre choix que de nous lécher sur toute la longueur de nos sexes bandés. Lorsqu’elles arrivaient en même temps sur nos glands, leurs langues se confondaient. Elles en profitaient pour s’embrasser et se rouler des pelles avant de reprendre leur succion. Leurs mains n’étaient pas en reste et elles nous branlaient de plus en plus vite. Quand les femmes s’embrassaient, je sentais le souffle de Corinne et de Carla sur mon gland, j’ai même à plusieurs occasion senti la langue de Corinne effleurer mon gland, j’étais raide comme une branche d’arbre et Yves aussi.

– Et maintenant on change de queue !

Je ne sais pas ce qui m’a pris de dire cela, lorsque j’ai réalisé ce que je venais de dire, je ne voyais plus que les cheveux de mon épouse qui avait déjà fait disparaitre la queue de Yves au fond de sa bouche et commençait un va et viens sur ce membre. Corinne tenait ma queue dans sa main, la regardait les yeux plein d’envie, fit quelques aller retours sur ma queue avec sa main, puis m’a regardé droit dans les yeux en me disant :

– C’est donc ça que tu veux ?

Tout en fixant son regard dans le mien et sans attendre ma réponse, elle englouti ma bite au fonds de sa bouche puis la retira lentement prenant soin d’y laisser sa salive chaude, puis sorti sa langue pour faire plusieurs fois le tour de mon gland, et fit à nouveau disparaitre ma queue au fonds de sa gorge. Puis elle continua de me
sucer et de me branler un bon moment.

J’observais Carla et Yves. Celui ci semblait apprécier ce que lui faisait Carla qui y mettait autant de passion qu’avec moi. Yves présentait une queue bien gonflée. Nous mettre dans un tel état devenait intenable et c’est Yves qui le premier se retira de la bouche de Carla. Il s’accroupi face à elle, l’embrassa timidement mais tendrement, puis l’invita à s’allonger. Elle s’exécuta sans même me regarder, et écarta les jambes comme pour montrer à Yves l’objet de ses convoitises. Yves se pencha et introduisit deux doigts dans la chatte déjà toute mouillée de ma femme et approcha sa bouche de son abricot. Je vis sa langue sortir et venir titiller le clitoris de Carla tandis que ses doigts fouillaient et masturbaient l’intimité de ma femme.

Je me retirais de la bouche de Corinne et l’invita à s’allonger en sens inverse de Carla. Elle écarta les jambes pour que je lui donne le change de ce que son mari faisait à ma femme. Je m’approchais doucement de son clitoris que je léchais et aspirais tout en introduisant deux doigts dans sa chatte déjà trempée. Son vagin était plus serré que celui de Carla, mes doigts glissaient tout seul dans cette grotte aux parois qui ne cessaient de produire un liquide glissant. J’entamais quelques va et viens en elle, elle se mit à onduler du bassin comme pour bien placer mes doigts en elle et se branlait littéralement sur mes doigts. Je me concentrais sur l’excitation de son clitoris la laissant exciter son intimité sur mes doigts. C’était tellement excitant que ma queue pourtant à l’air libre me semblait comprimée.

Relevant la tête, je voyais ma femme les yeux fermés savourer les caresses qui lui prodiguait son amant, je m’approchais d’elle et l’embrassais tout en besognant Corinne de mes doigts. Elle ouvrit les yeux, me regarda et me dit

– Hummm tes lèvres ont le goût d’une chatte que je connais bien cochon.

Puis elle referma les yeux se concentrant sur le plaisir en gestation dans son bas ventre.

Corinne saisit la queue de Yves qui abandonna ma femme, et commença à le sucer.
Je rejoignais Carla, l’embrassait, puis la fit mettre à quatre pattes, je voulais la prendre en levrette et la défoncer tellement mon
excitation était à son apogée.
Je me positionna derrière Carla, présenta mon gland entre ses lèvres trempées, et m’introduisis entièrement en elle d’un coup de rein lent et ferme jusqu’à ce que mon bas ventre soit bloqué contre ses fesses.
Je restais immobile au fonds de sa grotte, sa chatte était chaude, trempée, Yves l’avait bien préparée. Je commençais alors les va et vient profonds et lents, puis j’accélérais petit à petit, me cramponnant à ses hanches car ses coups de bassins en arrière pour mieux s’empaler sur ma queue auraient pu me désarçonner. Sa chatte se liquéfiait sous mes assauts et m’inondait les couilles ainsi que les
cuisses. Ses gémissements de plaisirs n’étaient plus contenus, et elle jouissait sans discontinuer et heureusement car à ce rythme je n’aurais pas résisté longtemps. Corinne et Yves s’étaient arrêtés pour nous regarder. Je ralentissais le temps que Carla retrouve un peu son souffle et ses esprits, et cela me permettait aussi de repousser un peu plus loin le point de non retour. Yves et Corinne nous souriaient
en nous regardant.

– Yves viens m’aider, mets toi devant Carla et toi Corinne viens donc voir comment je prends bien Carla. Ca te plairait de voir ma bite glisser dans sa petite chatte ?

Yves qui n’avait pas perdu de sa vigueur se positionna devant Carla et lui présenta sa queue bandée qu’elle attrapa d’une main pour la guidée jusqu’à sa bouche alors que je poursuivais mes aller retour dans sa petite chatte qui s’est immédiatement remise à mouiller. Corinne s’est approchée de moi, a passé une main sur mon épaule, l’autre main sur mon torse et regardait ma bite trempée entrer et sortir de la chatte de Carla. Puis elle m’embrassait, me roulant une pelle mémorable.

Occupée à sucer le bâton de Yves, Carla bougeait moins, et je pouvais lâcher ses hanches pour passer une main dans l’entrecuisse de Corinne qui continuait de me dévorer la bouche. Puis Corinne me chuchota à l’oreille

– Fais la jouir pour moi, j’aime l’entendre.

Je reprenais alors mes va et viens profonds et en accélérais le rythme. Carla ne lâchait pas la queue de Yves qu’elle dévorait quand mes assauts le lui permettaient, le branlait à d’autres moments. Je ne mis pas longtemps à refaire grimper Carla aux rideaux et après quelques minutes je ne pouvais plus me retenir, j’envoyais mon foutre au plus profond de son ventre tandis qu’elle se cambrait au maximum pour mieux me recevoir, délaissant son amant quelques instants. Son vagin en se contractant me renvoyait une vague de jouissance qui me réchauffait toute la queue. Je restais en elle le temps de reprendre mes esprits. Corinne était revenue contre moi pour m’embrasser.

J’introduisais deux doigts dans sa fente et entreprenais de la masturber. Les souffles rythmés de son plaisir qu’elle m’envoyait au visage m’informaient qu’elle appréciait la situation et mes caresses.
J’entrepris également de caresser son clitoris qui s’était dressé sous l’excitation. L’alternance de mes caresses sur ces deux zones érogènes lui arrachait des petits oui de plus en plus rapprochés et très vite son visage s’est crispé, sa respiration s’est retenue puis dans un souffle libérateur elle s’est liquéfiée sous mes doigts. La tête
posée sur mon torse, elle dégustait son orgasme le temps de reprendre ses esprits.

C’est à ce moment que j’ai réalisé que Carla n’avait pas lâché l’affaire et continuait de branler et de sucer Yves. Sa main allait de plus en plus vite sur la queue de Yves qui de toutes façons n’avaient aucune chance d’en réchapper sain et sauf. Je l’ai vu fermer les yeux et jouir dans un râle de plaisir envoyant de longs jets de sperme dans les cheveux et sur les joues de Carla qui le finissait à la main avant de le nettoyer avec sa langue experte.

Epuisés nous nous retrouvions allongés sur le dos tous les quatre sur le lit chacun revivant probablement les instants qui venaient d’arriver, les envoyant vite dans les coffres forts de nos mémoires pour ne jamais les perdre. Carla avait la tête posée sur le ventre de Yves et Corinne s’était blottie dans le creux de son épaule.

J’enlaçais Corinne en caressant son ventre et ses seins. Nous avons passé plusieurs minutes ainsi, puis c’est Carla qui interrompu ce moment

– Je vais prendre une douche parce que vous m’en avez mis partout bande de cochons.

Puis nous avons tour à tour pris une douche et vidé la bouteille de champagne comme si cette soirée avait été comme une autre, comme s’il n’y avait pas eu d’évolution dans nos pratiques. Pourtant nous venions de franchir une étape importante passant du côte à côtisme au mélangisme assez poussé.

Le second round fut tout aussi hard. C’est Yves qui a relancé les hostilités demandant aux filles si elles pourraient reconnaitre sa queue ou la mienne les yeux bandés. Carla affirmait que oui et Corinne avouait ne pas en être sûre. Le mieux pour le savoir était d’essayer et comme j’étais le commandant de la soirée, j’ordonnais que nous testions tout cela.

C’est ainsi que nous avons pris nos écharpes pour leur bander les yeux, et les avons mise à quatre pattes en bout de lit.
Yves et moi leur présentions nos queues qu’elles devaient sucer sans y mettre les mains. Bien entendu nous avons commencé par « échanger » nos bouches légitimes, puis nous avons alterné. Elles ont été bien hésitantes, et si Carla avait retrouvé le bon ordre dans lequel elle avait sucé nos bites, Corinne s’était trompée. (Comme quoi mesdames ne soyez pas trop affirmatives à ce petit jeu 😉 ). C’était donc l’occasion pour Yves de donner un gage à Corinne.

– Tu mérites un gage ! tu vas devoir sucer Eric, et le faire jouir. Comme cela la prochaine fois, tu te souviendras de sa queue !
– C’est injuste tu ne trouves pas ? dis Carla à Corinne. Crois tu que eux reconnaitraient nos bouches sur leurs queues s’ils avaient les yeux bandés ?
– Non je ne crois répondit Corinne
– Bon il n’y a qu’à essayer dis-je par défis

Les filles nous ont demandé de nous allonger sur le lit et nous ont bandé les yeux. Je sentais les filles monter sur le lit entre nous et se mettre en position quand d’un coup j’ai senti non pas une mes deux langues me lécher sur toute la longueur du sexe. Puis d’un coup et j’ai senti mon gland aspiré dans une bouche chaude, m’aspirant jusqu’au fonds sentant les lèvres sur mon pubis. Quelques aller retours plus tard j’ai senti qu’il y avait changement de bouche, une succion plus forte que la première, mais j’étais bien incapable de déterminer laquelle était celle de Corinne ou de Carla.

– Ce n’est pas du jeu si vous le faites en même temps, je ne peux pas me prononcer !
– Si c’est du jeu, alors laquelle t-a sucé en premier ?
– Heu je ne sais pas, peut être faudrait il recommencer !
– Dans tes rêves, on te laisse réfléchir, nous on passe à côté.

C’est ainsi que je me suis retrouvé seul allongé sur le lit tandis que je sentais le matelas bouger à côté de moi, et entendais des bruits de succions et les gémissements de plaisir de Yves qui me maintenaient en érection. Je suppose qu’elles recommençaient le même jeu qu’avec moi pour brouiller les pistes.

– Alors Yves laquelle t-a sucé en premier ? dit Carla
– Je ne sais pas mais c’était super bon. Vous êtes admises à l’oral

Eclat de rire général. Puis j’ai senti un corps se lever, m’enjamber et s’asseoir sur mon sexe. Ces ondulations de bassin, je les reconnaissais sans hésitation, je sentais ma petite femme frotter sa vulve sur ma queue, prenant soin de ne surtout pas s’empaler sur mon sexe raide de désir. Les mouvements que je percevais à côté de moi me faisaient imaginer que Corinne et Yves étaient dans la même position
que nous. J’entendais également des bruits de baisers, était ce Corinne et Carla ou était ce Corinne et Yves ?

Je posais mes mains sur les hanches de mon épouse, la caressais en remontant en direction de ses seins que je prenais et malaxais à pleines mains.

J’ai senti Carla se relever légèrement, passer une main entre ses cuisses pour venir dresser mon sexe à l’entrée de sa chatte, puis elle s’est laissée descendre doucement expirant un long gémissement savourant chaque centimètre s’enfonçant en elle. Elle fini sa course une fois totalement assise sur ma queue, resta immobile quelques instants, posa ses deux mains sur mon torse et entreprit de basculer son bassin d’avant en arrière doucement. Je sentais mon gland au plus profond de sa grotte et sa chatte s’humidifiait de plus en plus. D’un geste elle me retira l’écharpe et vint poser sa tête dans le creux de mon épaule. J’attrapais ses hanches et commençait à reprendre le commandement de la manœuvre, en accélérant le rythme de mes vas et viens en elle. Son souffle dans mon cou s’accélérait comme mes coups de butoir. Cela m’excitait, et m’encourageait à la prendre de plus en plus fort. Je savais qu’en maintenant ce rythme elle ne tarderait pas à jouir, que déjà des picotements prenaient naissances dans son ventre, alors je continuais de plus en plus vite. Son excitation montait de plus en plus, je le sentais bien sur ma queue qu’elle humidifiait de ses secrétions, il ne fallait pas faiblir. Puis ce fut le feu d’artifice, elle s’est mise à jouir se crispant, en me serrant fort dans ses bras, et grimaçant de plaisir. Je m’arrêtais de la défoncer pour qu’elle finalise son plaisir en tournant son bassin elle-même sur ma queue.

Je jetais un coup d’œil à côté, Yves avait mis Corinne en levrette et la besognait ardemment. Reprenant ses esprits Carla me chuchota à l’oreille
– Hummm c’était trop bon mon amour, tu m’as fait jouir comme une folle. mais tu n’as pas encore jouit ?
– Non pas encore mon amour
– Mets toi devant Corinne et présentes lui ta queue, je veux qu’elle aussi puisse profiter de vous deux comme moi tout à l’heure.

Il ne fallait pas me le demander deux fois, Carla est descendue de moi et je me suis mis à genoux devant Corinne qui a tout de suite ouvert la bouche pour me lécher le gland. A chaque coup de rein de Yves, le corps de Corinne s’avançait et ma queue s’enfonçait dans sa bouche.
Quand Yves n’y allait pas trop fort, elle en profitait pour me lécher, puis me reprenait en bouche. Carla est venue l’aider à me sucer,
j’avais deux bouches, deux langues pour ma queue, dont une était contrôlées par les coups de reins de Yves. Lorsque Yves a commencé à cadencer son rythme de façon plus prononcée, Carla s’est mise à me branler pendant que Corinne me regardait la bouche ouverte, la langue sortie comme pour recevoir mes jets. Yves la pilonnait littéralement, Corinne avançait et reculait à chaque mouvement de Yves. Yves s’est tout à coup raidit, bandant tous les muscles de son corps, et dans un râle de plaisir a envoyé tout sa semence dans l’antre de la chatte de sa femme. Carla me branlait avec une telle intensité que j’envoyais moi aussi mes jets de sperme en direction de Corinne qui les reçu dans le cou, avant que Carla ne m’embouche pour me finir avec sa langue et sa bouche chaude, le regard plein de malice planté dans le mien. Repus, nous nous sommes allongés sur le lit, et avons partagé un de ces moments de tendresse d’après acte. C’était doux, respectueux, et plein de plaisir.

Nous avons quitté l’hôtel au petit matin, sur le chemin du retour Carla luttait pour ne pas s’endormir et me tenir compagnie. A cette heure le trafic était fluide et le trajet pour rentrer chez nous n’allait pas durer plus de 30 minutes En conduisant je laissais ma main droite parcourir les cuisses de mon épouse et remontait lentement sous sa robe pour arriver jusqu’à sa fente encore toute humide.

– Mon amour, si tu continues je vais te violer dans la voiture !
– Quelle appétit mon cœur !
– Dis-moi sincèrement, tu as aimé que Corinne te suce ?
– Sincèrement ?
– Oui sincèrement.
– Alors oui j’ai aimé. Cela m’a vraiment excité même. D’autant que je te voyais sucer Yves avec une telle envie, un tel appétit que j’ai dû demander à Corinne d’arrêter de me branler sinon je crois que j’aurai jouit bien trop vite.
– Ah bon ? Cela t’a excité ?
– Oui et tu n’imagines pas à quel point. Et toi qu’est ce que ça t’as fait de voir Corinne me sucer ?
– Honnêtement je pensais que je serai jalouse, mais finalement cela ne m’a rien fait.
– Et tu as aimé sucer Yves ?
– Oui, j’ai bien aimé, il a une bonne queue aussi.
– Et qu’as-tu ressenti quand je te prenais en levrette et que j’ai demandé à Yves de se placer devant toi pour que tu le su

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