Mon amant Béchir étant marié, nous ne pouvons pas toujours nous rencontrer autant que je le voudrais, j’entretiens même parfois une énorme frustration de ne pas pouvoir le voir. Aujourd’hui, nous avons prévu de passer la journée ensemble, profitant du superbe temps qu’il fait pour s’organiser une petite balade.
Après une bonne heure de marche, nous décidons de faire une petite pause, il est environ 10h et le soleil commence à être haut dans le ciel. Il fait très chaud, normal pour un mois d’août. Je sors une gourde pour boire un coup. Béchir s’arrête au bord du chemin pour pisser, il déballe son zob et se soulage contre un arbre, à quelques mètres de moi. Une fois fini, il s’apprête à remballer son paquet lorsque je m’approche de lui.
– J’ai envie de te sucer Béchir !
Déjà je m’agenouille à ses pieds, je prends son zob dans ma bouche et je me mets à le sucer.
– Karim, t’es un malade ! On est sur un chemin où, toutes les 10 minutes, quelqu’un passe dans un sens ou dans un autre… écartons-nous, allons derrière les arbustes !
Béchir me relève, m’embrasse en glissant une main dans mon slip pour encercler ma bite et mes couilles :
– Suis-moi, salope !
Je suis pris à mon propre jeu. Béchir me tient par les couilles comme un a****l en laisse… je ne peux que le suivre. Rien à faire, c’est vraiment lui le Mâle dominant et je me sens l’esclave avec des chaînes. Une cinquantaine de mètres plus loin, entre deux taillis, il s’arrête sur un coin d’herbe.
– Tu bandes déjà ma salope! Tu vas bien voir quand je vais t’enculer !
Nous nous mettons à poil en quelques secondes puis je reprends ma position précédente : une fellation d’enfer.
– J’aime tellement ton zob !
La bite de Béchir est très raide, gonflée à son maximum, je décalotte alors son gland à fond et là, je trouve une écume blanche dans le pli, je veux goûter à cette crème. Je lèche ce dessert crémeux, millimètre par millimètre, pour faire durer le plaisir. C’est trop bon, sucré et salé à la fois. Puis, j’entre ce zob dans ma bouche, je l’enfourne à fond et il me racle le fond de la gorge, comme j’aime! Je le suce ainsi pendant 3 ou 4 minutes…
– Allonge-toi par terre maintenant Karim ! Moi aussi, je veux te sucer !
Je m’exécute, je me fous sur le dos, dans l’herbe, Béchir se penche illico sur moi pour avaler mon zizi. Tout en me suçant, d’un doigt agile, il me caresse l’anus. S’ensuivent de longues minutes de bonheur intense, j’aime qu’il s’occupe de moi ainsi. Puis il recrache ma queue, me lève les jambes et m’écarte les fesses pour me lécher l’anus. Faisant pénétrer sa langue de quelques millimètres dans mon petit trou, il me lèche de l’intérieur, consciencieusement et avec beaucoup d’application.
– Oh! Continue Béchir… Oui, c’est bon!
– Aujourd’hui, tu vas prendre cher mon pédé !
Il ne tarde pas à entrer un doigt tout en me suçant à nouveau la queue. Son doigt va et vient dans mon anus et je trouve ça très bon. Puis Béchir introduit un deuxième doigt avec beaucoup de délicatesse … que du bonheur! Il me branle de plus en plus vite et le plaisir monte en moi. Au bout de deux minutes, j’ai l’anus bien dilaté.
– Je vais t’enculer maintenant ma salope!
– Quand tu veux… fais-moi jouir Béchir !
À genoux les jambes écartées, Béchir att**** mes chevilles pour relever mes jambes, il approche son zob de mon trou et appuie son gland sur mon anus… pour faciliter la pénétration, j’écarte mes fesses des deux mains…. Et voilà le gland est dedans. Béchir continue doucement à enter sa bite, jusqu’à ce qu’elle soit bien à fond dans mon rectum puis il commence à se branler dans mon trou en me lâchant des mots que j’adore…
– T’aime ça que je t’encule… une vraie cochonne en chaleur !
– Oui c’est bon… t’as raison, je suis ta pute, vas-y, défonce-moi !
– C’est sûr que je vais te défoncer le cul!
Mêlant le geste à la parole, Béchir change de position : il se relève, la bite toujours dans mon trou, mes jambes sur ses épaules, je me retrouve la tête en bas. Il me maintient le cul à 1 mètre du sol et me défonce franchement. Ses allers et retours sont ultra rapide, je jouis, je transpire, je prends un pied d’enfer.
– Quelle salope tu fais!
– Ouiiiiiiiii, je suis ta salope. Continue…
Du coup, Béchir m’att**** les bras et m’attire vers lui pour me porter. Sans que sa bite ne sorte de mon cul, j’encercle sa taille avec mes jambes et je m’accroche à son cou. Il me bourre dans cette position pendant plusieurs minutes… c’est une bête en rut ! Je lui roule un énorme patin, nos langues sont entremêlées. Il me fait jouir du cul de façon inimaginable, je mouille totalement. Puis Béchir s’agenouille, seules mes épaules touchent le sol, mon cul est à environ 60 cm du sol, il me maintient les jambes en arrière et il s’amuse à entrer et sortir son zob, mon trou doit bien faire 4 centimètres de diamètre!
– Ton trou, on dirait un vagin tellement il est ouvert !
– Je crois que ta bite est trop petite pour moi mon chéri !
– T’es vraiment une grosse salope en rut !
– Il me faudrait 2 queues comme la tienne pour me faire jouir !
– Je vais t’inonder le fion, tu vas voir…
Et là, un râle profond : Béchir se lâche, une dizaine de coups suivis d’un hurlement bestial, il jouit comme un âne! Je sens comme des décharges à chaque fois que mon anus se remplit de son sperme… J’ai l’impression d’être une femme : mon anus est mon vagin, mon zizi est mon clitoris, la jouissance m’envahit et n’en finit pas… je jouis encore et ça dure comme ça pendant plus de deux minutes. Puis Béchir se retire de mon cul, je ne sens plus sa bite et, instinctivement, je sers les fesses pour retenir son sperme en moi plus longtemps.
Toujours très excité, j’ai encore envie de lui sucer la bite: je me jette alors sur son zob et je le branle avec la bouche… tout en serrant les fesses. Rapidement, il jouit une deuxième fois, dans ma bouche cette fois-ci. Je lâche alors pression et je sens le foutre s’échapper de mon trou, il coule entre mes cuisses…
Après une petite toilette rapide, nous nous rhabillons, nous prenons une barre de céréales, nous buvons un coup puis nous reprenons notre petite évasion…
Ajouter un commentaire