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Soumis en mission 7

Soumis en mission 7



Au bout de ces 2 heures, elle me lança un coup de botte bien appuyé et me dit : ‘Allez ma toute belle, remballe ta langue et rhabilles toi. Et n’oublies pas de me remettre ma culotte !’
Je m’exécutai et me relevai péniblement après avoir été coincé ainsi sous son bureau pendant tout ce temps.
‘Ca t’a plu aussi on dirait mon toutou à voir ta culotte toute mouillée’
‘Oui madame…’ J’étais debout face à elle. Elle assise les cuisses encore écartées toute satisfaite du plaisir que je lui avait donné. En d’autre temps je lui aurais fourré mon sexe tout gonflé dans sa bouche. Aujourd’hui, honteux dans ma culotte trempée, mon sexe et mes couilles prisonniers, j’étais ridicule et elle parlait de moi au féminin. Je me retournai vite et allai vers l’armoire me rhabiller.
‘Allez à la prochaine ma chatte !’ me lança t-elle avec un gros clin d’œil vulgaire.

Je quittai cette entreprise ou heureusement plus personne ne travaillait et repris ma voiture.
Je rentrai dans un état second dans mon studio.
Excité comme un cerf, je ne pouvais même pas me branler.
Je jetais mes affaires et me glissai dans un bain relaxant pour calmer mon corps en manque.
Mon sexe était toujours aussi douloureux , je me caressai le gland, mais le fait de bander dans cet anneau de cadenas m’était douloureux. Je continuai quand même pour essayer de trouver du plaisir, quand j’entendis la porte du studio s’ouvrir.
Je me levai du bain inquiet, quand j’entendis :
‘ Coucou mon mignon, c’est madame XX !
Elle avait entendu les éclaboussures de mon bain, elle ouvrit la porte en grand, un sourire resplendissant à ses lèvres couleur rouge carmin, son manteau de fourrure et une paire d’escarpin superbes noirs vernis avec des talons vertigineux en acier :
‘ Je me suis permis de faire des doubles des clef de l’appartement, c’est plus pratique comme ça ! Ouh mais je vois que tu es encore tout émoustillé par Mme ‘chatte en feu’ !! lança elle en regardant mon sexe plaqué à mes couilles, un filet de liquide en coulait encore jusqu’à la hauteur de mes genoux.
Je pris une serviette et l’enroulait autour de ma taille, pudique.
‘Allez ne fais pas ta vierge effarouchée ! J’ai amené de quoi fêter ta première mission, essuies toi et je reviens’.
Cette femme imposait tellement sa volonté, que je ne trouvai rien à dire sur le fait qu’elle rentrait chez moi et dans ma salle de bain comme chez elle.
Je lui obéi, me séchai et attendis docilement le cours des évènements. Elle s’affairai dans le couloir, elle avait apparemment ramené une valise !
Mon cerveau était vide, j’attendais cette femme qui m’excitait encore malgré les tortures qu’elle me faisait subir. J’étais soumis ! Moi ! Le mot me faisait peur avec ses conséquences !
J’essayais de retrouver une pensée virile ‘ Enfin elle me tient que par ces chaines, attends qu’elle les enlève !!’
Je fus interrompu dans mes réflexions par sa arrivée dans la salle de bain, elle portait en tas d’affaires de femme sous les bras ainsi qu’une trousse de toilette. Elle posa tout ça sur une chaine et c’est à cet instant qu’elle vit les culottes maculées que j’avais jeté vers la poubelle.
‘Qu’est ce que ?’
En une seconde elle se retourna vers moi et me lança une gifle monumentale qui me fit perdre l’équilibre de surprise. Sa main gantée, que je n’avais pas encore remarquée m’avait mis la joue en feu. Je la regardai incrédule, c’est la première fois qu’une femme me giflait, excepté ma mère il y a longtemps, je me tenais la joue avec la main.
Je craignais qu’elle ne recommence.
‘Qu’est ce que c’est que ces culottes sales jetées comme un vulgaire slip !! Tes culottes doivent être lavées à la main avec soin espèce de petites trainée !’ Le regard qu’elle avait pris me fit reculer d’un pas instinctivement. Elle dut s’en apercevoir et repris son sourire carnassier en caressant de sa main gantée ma joue en feu.
‘Allez on oublie tout ça, assoies toi sur le bord de la baignoire’, elle sortit une pince à épiler et se mis face à moi.
‘Mon dieu qu’il fait chaud ici’ dit-elle en ouvrant innocemment son manteau qu’elle tenait encore fermé, elle en écarta les côtés le plus possible et je découvris alors une robe en cuir qui moulait son corps généreux. J’étais assis et me trouvait face à sa ceinture large qui mettait sa taille et ses courbes en valeur, ses seins dont on devinait les tétons tellement sa robe la moulait se trouvaient juste au dessus de ma tête.
Elle me regardait fièrement, sûre de son effet sur moi.
Je respirai bruyamment et ne fis cette fois pas l’erreur de vouloir la toucher…
Elle me releva la tête d’une main et entrepris de m’épiler les sourcils !! Cela m’excitait qu’elle s’occupe de moi ainsi, elle si proche de mon corps nu, l’odeur de cuir de sa robe et de ses gants. Elle se penchait pour maintenant me maquiller les yeux puis la bouche, je ne disais rien et mes yeux étaient fixés sur son décolleté plongeant et offert généreusement.
Je n’en pouvais plus, j’avais une envie obsécionnelle de cette femme, mon sexe était prés à bondir de son cadenas.
Elle s’amusait de moi : elle enleva entièrement son manteau et se retourna pour l’accrocher à la porte et se pencha pour att****r les vêtements qu’elle avait posé…et me laisser admirer son cul magnifique moulé dans cette robe, sa culotte et son porte jarretelle faisaient des marques et je retenais mes mains de pétrir tant de beauté.
Elle se retourna et me regarda dans les yeux, sachant dans quel état elle me rendait : ‘Et maintenant on va mettre sa nouvelle culotte à ma beauté ‘. Elle se mit accroupit en me suivant du regard avec une culotte de satin noire entre les mains. Sa bouche était au niveau de mon sexe, sa robe remontait jusqu’au haut de ses bas. Je sentais mon sexe baver son liquide en continu, mes couilles douloureuses.
Elle me passa cette culotte excitante sur une jambe puis l’autre et la remontais doucement tout en me regardant. Elle la remonta jusqu’à la taille, de manière à comprimer mon sexe dans ce satin.
Elle m’observait. J’ouvris la bouche pour souffler d’excitation devant son manège.

‘Allez maintenant on ferme les yeux et on lève les bras’
Elle me passa ce qui devait être une robe, me mit face au miroir, se mit derrière face au miroir et dit d’ouvrir les yeux
J’avais du mal à me reconnaitre tant mon image m’excitait : j’avais moi même une robe en cuir moulante qu’elle fermait par une glissière dans le dos, mon regard était devenu féminin, mes lèvres provocantes.
‘Elle te plait ?’ Me dit elle en se plaquant dans mon dos, ses gants sur ma taille, ses seins énormes se frottant dans mon dos, son ventre contre mon cul.
Je ne pu pas répondre à cette question ambiguë : je me plaisais, mais était ce moi et cette femme me plaisait.
Je respirai de plus en plus vite, mon corps moulé dans ce cuir, ses seins, son corps magnifique, dans cette robe. Nous étions comme deux …..sœurs !!
Tout à coup j’explosais dans ma culotte, mon sexe tentait de se tendre, d’éjaculer, le cadenas faisait son office , je criais de douleur et de colère de ne pas pouvoir jouir ! Mon sexe déjà ramolli par la douleur laissait couler à présent mon sperme par filet et je sentais ma culotte être inondée.
Ma tortionnaire lâchait déjà son rire sadique et me disait :
‘Non ? ça te fait cet effet là ma cochonne ?, eh bien il va falloir laver ta culotte à mouiller comme une putain !’

A SUIVRE

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