Les jours d’après, combien je suis bien incapable de le dire, se suivent et se ressemblent…
A chaque fois la même rengaine :
Petit déjeuner (je me suis abstenue mais au bout d’un moment le corps a tellement faim), suivi de l’écran et des écouteurs avec pénétration orale et anale par des godes, à chaque fois de plus en plus gros. La journée se conclut par les trois « robots » transsexuelles qui viennent me masturber, me sucer goulument, me défoncer le cul afin de récupérer mon sperme qui devient nutriment !
Mais ce matin là fut différent. Pendant tous ces jours, l’homme n’est pas venu une seule fois me voir… Mais le voilà. Il me dit :
– « Bonjour Cynthia, je viens voir le spectacle de ce matin. »
Pourtant, c’est la même chose : l’écran se met devant mes yeux, le casque se colle à mes oreilles, et la voix me répète sans cesse de sucer et d’accepter la pénétration. Sauf que, au bout d’un moment, je sens dans ma bouche une giclée de…nutriments !
Alors je ne sais pas si c’est dans le feu de l’action avec cette voix hypnotisante ou quoi, mais qu’est ce que c’est bon !!! J’avale tout ce jus bien chaud (c’est encore meilleur que venant des poches…) et me délecte jusqu’à la fin.
Après tout je ne dois pas en avoir honte, c’est ce dont je me nourris depuis que je suis arrivée…
Juste après, tous les éléments de la machine s’écartent, je vois la verge de la brune quitter mes lèvres, et ce qui devait être un gode pour mon cul s’avérait être la trans avec la plus belle bite des trois, la rousse… Elle finit par un hurlement qui s’en suit par une sensation douce et agréable au plus profond de moi. Elle vient de se lâcher entièrement dans mon cul et se retire aussitôt sans la moindre réaction de sa part.
Lorsque que les filles s’en vont, l’homme m’applaudit et me félicite chaleureusement.
– « Je vois que tu commences à apprécier ta nouvelle vie Cynthia ! Tu vois, c’est appréciable d’être une bonne sissy… »
Sur ce coup là j’étais prise la main dans le sac. C’est vraiment très difficile de l’admettre mais oui, j’aimais l’instant qui venait de se dérouler. Mon silence en disait long et il repartit avec un sourire large jusqu’aux oreilles.
Une nuit tranquille et apaisée, oui on peut le dire je ne suis plus tourmentée sur ce qu’il va m’arriver. Désormais je pense me laisser faire puisqu’il est trop tard… Même si j’arrivais à m’échapper, comment retrouver une vie normale avec ce corps de grosse pute qui ressemble plus à un jouet pour adulte qu’à une femme pouvant marcher dans la rue normalement ?
De toute façon j’ai tout perdu, c’est sur… Comment vivrais-je désormais ?
C’est avec des mots similaires que j’explique ce matin à l’homme ma pensée.
– « Très bien Cynthia, je le savais dès hier… J’ai bien vu que tu avais aimé. D’ailleurs, puisque tu a l’air sincère, dis-moi ce que tu penses de moi, physiquement je veux dire. »
Oh la ! Je ne suis pas homosexuel moi ! Mais mon regard se dirige immédiatement vers le haut de son pantalon. Il avait gagné totalement. Et il le savait.
– « Désormais Cynthia, tu m’appelleras Maître. Bonne fin de journée. Je vais pouvoir te libérer de tes chaines et commencer la phase 3. »
Plus rien ne semble me faire peur. Mais pourtant…
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