-La douce langue d’une vieille dame qui te lèche à toute vitesse, c’est ça qui t’excites…tu aimes comme je le fais?
-Leur fourrer la bouche tout doucement…oui, je ne peux m’empêcher ces images vicieuses, et assez honteuses, dans la mesure où se faire téter la bite par une dame âgée toute contente de se dévergonder, c’est un acte assez passif, qui ne demande aucune virilité particulière, si ce n’est de posséder l’organe qui en est l’apanage.
-Mais quel organe! Marlène, mon amante rousse, fine, vicieuse aux cheveux bouclés, aux traits adorables, m’effleure le membre avec des doigts alanguis, d’un geste souple, doux, exprimant une tendresse admirative.
Elle vient d’avoir 60 ans et ne les fais pas. Ce qu’elle nomme « les vieilles dames » sont de jolies dames de 70 ans minimum, féminine mais d’une distinction qui ne laisse pas imaginer dans quels débordements salaces elles peuvent se trouver. L’image est en décalage: la coiffure, le port de tête, le sérieux du regard…et soudain, ajoutez une bite dans la bouche à l’image altière. La douceur de la gentille grand-mère ayant du vécu, de la sagesse, cuisses écartées comme une grenouille pendant qu’un vicieux plus jeune que ses fils pulse sa queue à l’intérieur d’un vagin tout heureux de mouiller comme une jeunette.
La pulsion de l’homme qui la fourre avec délice n’a pas besoin de se stimuler à l’envie d’avilir, de profaner pour bander délicieusement dans le con de la distinguée matrone aux cheveux blancs. Pas besoin d’un: « prends ça grosse truie, avale tout salope, imagine que ta fille te voit avec une bite entre les lèvres sucer comme une pute…et tes petits enfants, ils savent que leur grand-mère se met à quatre pattes pour se faire lécher le cul par un jeune? »
Il y a bien au contraire une grande satisfaction dans l’idée de laisser émerger de nouvelles teintes dans le portrait que l’on croit connaître de la dame , de dissoudre le masque de convenance, d’ajouter au charme de la féminité mûre une tonalité obscène, qui éclate comme un feu d’artifice pendant que la dame se fait enculer, pendant qu’elle hurle que rien n’est si bon que de jouir « par là », tonalité qui, une fois que la bite a juté en elle, que la dame s’est rhabillée, toilettée, pomponnée, maquillée, réintègre sa cachette comme un poisson gluant, plein d’appendices monstrueux, plein d’épines qui se cache à nouveau au fond d’un aquarium, dans lequel on ne voit que le tournoiement paresseux et banal des poissons communs. Elle ira ensuite papoter avec ses copines au tea-room, elle répondra avec pondération au téléphone, articulant des paroles raisonnables et respectables avec ces mêmes lèvres qui viennent de faire vibrer tout l’appareil génital d’un jeune homme, en parcourant son scrotum, sa raie du cul, en léchant comme la meilleure des putes.
-On continue avec Solange? je t’ai presque tout dit…
Je vois une lueur perverse surgir aux fond des prunelles de Marlène.
-Vous vous êtes vus à l’hôtel, m’as-tu dit? Vous ne pouviez pas toujours baiser chez elle à cause de son mari.
-Oui, c’est arrivé quelques fois. Ce qui était excitant, c’est que ces rendez-vous n’existaient par définition que pour la baise, puisque l’hôtel était tout près de chez elle. Cela voulait vraiment dire: on se voit pour que tu me la mettes.
-Elle a chaque fois bien joui?
-Sans aucune problème. Une bonne fourrée sans chichis, une bonne mouillée dans la chatte, une bonne jouissance.
-tu me disais que tu la retournais quand tu sentais ton excitation s’en aller?
– Ah oui, c’est vrai. J’aimais bien voir son gros cul dont la générosité rendait l’entrée du vagin quelque peu difficile à trouver. Je m’aidais d’une main pour trouver l’ouverture. Ensuite, je la pinais sans trop bouger tout de même, en restant plutôt au fond, bien gainé, bien ganté. La forme de son vagin dans cette position me caressait différemment, ce qui faisait remonter ma jouissance d’une façon plus profonde. C’était comme si je regoûtais le même plat, mais avec plus de beurre. L’image me vient peut-être à cause de ses grosses fesses, que je comparerais avec des coussins.
-Tout était donc basé sur la pénétration. Pas tellement sur l’oral.
-Remarque, j’ai un très bon souvenir de l’avoir léchée avec succès pendant qu’elle maintenait ses jambes bien soulevées en se tenant sous les genoux. Un bon cunni, du genre langue raide qui s’enfonce le plus loin possible, jusqu’à se faire des crampes à la mâchoire, et de longues et obscène aspirations de sa mouille qui dégorgeait. C’est alors qu’elle me disait: Tu bois le bon jus, le jus de ta maman, ou un délire de ce genre.
-Elle disait: -tu lèches le jus de maman? » Là, Marlène écoute avec plus d’intérêt. Cela devient plus vicieux, alors forcément elle adore.
-Elle n’a pas eu d’enfants…alors quand je m’enfonçais en elle, il lui arrivait de balbutier des phrases comme: viens vers ta maman, qu’est-ce que tu fais à ta maman…
Ma mère est tout sauf excitante, alors je n’ai pas ce genre de fantasmes, mais curieusement, cela me mettait le feu aux couilles de dire: – oui, je fais du bien à maman. C’était bien excitant d’éjaculer dans le vagin d’une jolie vieille dame plantureuse d’apparence si autoritaire dans la vie, et qui me murmurait: viens mon fils, au moment où mon sperme inondait son intimité, dans l’austérité de sa chambre à coucher bourgeoise.
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