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Histoire entre amis

Histoire entre amis



Nous avons passé un été caniculaire au point que j’hésitais parfois à prendre ma moto pour avoir la clim dans ma voiture. Des amis nous avaient invité en Dordogne pour quelques jours.
L’été était caniculaire nous faisait passer notre temps dans la piscine de nos amis. Le soir à la fraîche nous faisions des barbecues dans une ambiance conviviale et libérée. Souvent, nous restions en maillot de bain ou même parfois nus. Nos amis avait toujours des anecdotes croustillantes à nous raconter. Un soir où ils avaient couvié d’autres amis, les anecdotes coquines sont passées à des histoires plus grivoises, sans doute aidé par les verres de rosé. C’était devenu comme une escalade. A celui ou celle qui avait fait le truc le plus ouf. Ce soir là, le barbecue c’était terminé dans une vaste partouze débridé.

Personnellement, je me sentais à ma place dans cette tribu de dévergondés. Bref le séjour se déroulait à merveille., devrai vacances ou on se lâche et on oublie tout. Un soir, nos amis m’encouragèrent à raconter une histoire hard. Il savait que j’en écrivais quelques unes que je publiais sur le net. Souvent des gros fantasmes et largement romancés, mais qui avaient une petite part de vérité parfois. Donc je me lançais. Plus forte dans l’écriture que dans la narration en public, pour surmonter cette ridicule timidité, j’avalais un verre de sky.
« Bien ! Imaginez une belle femme de cinquante ans, pulpeuse et féminine….. »
Bernard me coupe :
« Comme toi alors ! »
Tous éclatent de rire et je continue :
« Bernard, si tu me coupe tout le temps, j’vais pas y arriver !  Donc je disais…. Imaginez une belle femme de cinquante ans, pulpeuse et féminine. On l’appellera Cindy. Et son mari Christian. »
« Ils sont tout les deux passionné de moto…….. »
Bernard intervient encore :
« Comme Alain et toi ! »
Son épouse Monique le réprimande :
« T’es agaçant à la fin Bernard ! Laisse Michèle raconter son histoire ! Tu gâches tout ! »
« Donc, tout deux sont passionné de moto et possesseur d’une magnifique Triumph préparée. »

« Un jour où ils reçoivent des cousins, Bob, le jeune cousin emprunte la fameuse moto pour aller draguer en ville sans demander la permission. Évidemment, ce qui devait arriver arriva., il fit une chute dans un virage, sans gravité pour lui, mais la moto était sérieusement amochée. Pour éviter tout incident diplomatique, sachant que son mari serait hors de lui, Cindy décidât de faire réparer l’engin au plus vite, à l’avantage des l’absence de son mari pour quelques jours. Fan de bécane, elle connaissait bien le concessionnaire local qui lui indiquât un petit préparateur qui lui ferait ça très bien.. Donc elle se rendit à l’adresse indiqué et il faut reconnaître que l’endroit était plutôt glauque. Un amoncellement de vieilles carcasses de motos et de bagnoles étaient entreposés sur un terrain boueux avec au fond un bâtiment délabré qui servait de garage. Entrant dans le local puant la vieille graisse, elle remarque que le mur est couvert de photos de femmes nue plutôt vulgaires. En tant normal elle aurait fui, mais là, il fallait que la moto soit pimpante dés le retour de Christian. »
« Il n’y avait personne dans ce local et Cindy, même si elle était choqué par ces photos, ne pouvaient se détacher les yeux de certaines d’entre elles. »

« Elle n’avait pas entendu le mécanicien arriver. Il lui demandât :
-Elle veut quoi la p’tite Dame ?
Cindy sursaute et rougie. Le rustre s’en aperçoit et pour la mettre un peu plus mal à l’aise, il lui dit, moqueur :
-Elle vous plaisent mes photos ?
Bien sûr elle ne prend pas sur cette réflexion et revient à ses moutons :
– Bonjour Monsieur, c’est David de la concession qui m’envoie chez vous. Ce serait pour un guidon, un rétro et une peinture de réservoir esquinté suite à une chute.
– Ah oui ? Et c’est un bout de femme comme vous qui l’avait bousillé ?
-Heu non c’est un cousin mais je ne veux pas que mon mari le sache !
Il la regardât avec un rictus vicieux en la déshabillant des yeux.
-Et bien sûr vous voulez ça rapidement !
-Oui s’il vous plaît Monsieur. Dit-elle plaintive.
Le type se rapprochât d’elle presque à la toucher. Il puait la graisse et la sueur.
Cindy angoissée se demandât où exactement il voulait en venir quand il lui demandât :
-Vous voulez vraiment que je fasse ça rapidement et discrètement ?
– Oui Monsieur !
– He bien ma p’tite dame, il va falloir y mettre du sien et être très gentille avec le Monsieur !
Cindy est sidérée et ne sait comment réagir quand le mec lui baisse avec ses mùains grasses sa robe d’été légére. En un rien de temps la voilà devant lui en string et soutif. »

« Cyndy comprit rapidement où l’odieux personnage voulait l’emmener. Tout ce bousculait dans sa tête quand le type sort sa queue et lui dit :
– Suces ! Et peut-être j’envisagerais de faire la réparation !
Les choses avaient le mérite d’être claires. Honteuse, Cindy se mit à genoux et pris en main l’engin tendu. Elle sursautât quand l’ordre de de le pomper intervint d’un ton sec. Elle le prit dans sa bouche et commençât la fellation. Le mécano se mit à gémir et lui dit :
– Oui vas-y comme ça ! C’est bien ! T’es une bonne pute ! J’aime les bourges dans ton genre. Vas-y pompe moi bien salope ! !
« Malgré toute l’expérience de Cindy, le bonhomme était endurant et il tardait à jouir, tout en lui disant des insanités, la traitant de salope, de petite pute, de grosse salope bourgeoise. Elle se prenait au jeu et commençait à prendre un certain plaisir à devenir son objet sexuel. Etre traiter ainsi de traînée, de pute de trottoir, de salope bouffeuse de sperme, l’électrisait maintenant. Dans un grognement bestial et lui enfonçant son pieux au fond de la gorge, le mécano, enfin, lâchât son foutre en long jet au fond de la gorge de Cindy qui étouffait et avait bien du mal à tout avaler. »
« Il semblait goûter cette sorte de victoire sur une bourge. Elle se dit que maintenant elle était sauvée ; et que bien vite, grâce à cette réparation, elle pourrait oublier cette scène dépravante où elle avait été le jouet de ce pervers. Sur le retour, elle repensait à ce qu’elle venait de subir et honteuse, elle se demandait comment elle avait pu y trouver un certain plaisir. Mais elle ne savait pas encore ce qui l’attendait. Quelques jours plus tard, elle reçut un coup de fil lui annonçant que la moto était prête et qu’elle pouvait venir la chercher quand elle voulait. »
Elle enfilât un short, nouât chemise et c’est sans sou vêtement qu’elle se rendit précipitamment chez le garagiste. Arrivée sur les lieux, le mécano eu un sourire satisfait de la voir dans une tenue si sexy.

— Alors ma p’tite dame ? Regardez-moi l’travail !
— Oui c’est parfait merci Monsieur ! Vous me sauvez la vie !
— C’est que… J’ai travaillé dur pour toi ma belle ! Ca mérite un prime ça si tu veux récupérer ton engin !
— Mais, mais ce n’est pas ce que nous avions convenu !
— Je sais, je sais, mais une salope de bourgeoise comme toi, si j’en abuse pas, se serait comme gâcher la marchandise ! Viens ici petite pute !
Cindy, pas trop rassurée, s’approchât du bonhomme. Il lui expliquât, très pro, tout le travail qu’il avait fait sur la machine. Cindy ne l’écoutait presque pas et repensait à la gorge profonde qu’elle avait du subir la dernière foi. »
« Quand soudain, il lui annonçât le prix de la réparation.
— Ca va te faire 1500€ !
Cindy ne sent plus ses jambes et encaisse le coup. Elle se sentait prise au piège.
— Oui, je sais, c’est cher ! Mais à travail exceptionnel tarif exceptionnel.
— Mais mais.. Je ne peux pas payer une telle somme ? S’insurgeât Cindy.
— Oui, je me doute bien ! Mais tu as toujours de bon moyen de paiement ! J’suis certain que’ t’as aimé la dernière foi !
Cindy luttait de toutes ses forces pour ne pas se laisser dominer par le vicelard. Mais une force invincible la poussait à tomber sous le joug de cet opportuniste. Elle perdait pied et allait descendre dans les entrailles les plus profondes du stupre pour un cousin qui ne le méritait même pas. D’elle même,elle se mis à genoux, sortit le braquemart du mécano et se mit à le sucer.

« Plutôt satisfait de la docilité de Cindy il dit en lui saisissant les cheveux :
– Tu l’aime ma queue ? Tu sens comme elle te fourre bien ta bouche de pute ! 
— Oui ! Marmonna-t-elle.
Elle mouillait alors que l’engin s’enfonçait au fond de sa gorge. Tout en baisant sa bouche, l’homme lui disait :
— Oui ! J’ai tout de suite vu qu’il te manquait de la bite. T’es une vraie goulue, t’aimes ça. Ca se voit. J’vais t’baiser comme la traînée qu’t’es !!!
Cindy était à nouveau sous l’emprise de cette homme. Elle était sa chose et elle adorait ce retrouver dans cette position. Elle était comme transcendée et excitée par les paroles du mécano.
« Voulant profiter au maximum de Cindy, le bonhomme la saisit par les cheveux et la relevât en lui disant :
– Maintenant, fout toi à poil petite salope !
Provocatrice, Cindy le regarde droit dans les yeux en se mettant nue devant lui Il se recule pour mieux admire la silhouette de la soumise qu’il a sous la main et lui dit :
-Tourne-toi, écarte ton cul que vois bien tes trous !
Elle était totalement sous le contrôle de ce pervers et docile, elle lui obéissait sans mot dire.
« Il lui prit les hanches et en lui mettant sa grosse bite dans la chatte il lui dit :
— Dis-moi que t’aime ça sale pute!
—  Oui, j’aime sentir votre grosse queue dans ma chatte !
Il se mit à lui défoncer la chatte avec une vigueur incroyable. Elle se sentait vivre et en même temps tomber dans un gouffre de déchéance. Tout en la baisant sur le comptoir, il lui malaxait les nibards. Qu’elle aimait être le jouet sexuel de ce gros pervers de mécanicien. Lassé de sa chatte et sans la prévenir, il changeât de trou. D’une poussée continue, il se mit à lui dilater le petit trou.. Elle criât sous l’assaut mais elle était dans un autre monde et à la merci du bonhomme.

Alors qu’elle se faisait démonter l’anus comme la dernière des putes, le mécano dit :
—Tiens, v’là , mon apprenti. Il va pouvoir utiliser ta bouche pendant que je te démoli l’cul ! J’lui apprends tout à c’petit !
Puis s’adressant à son arpette il lui dit :
—Tu vois cette chienne ? Elle aimerait que tu lui fourre la bouche pendant que je l’encule.
Honteuse, elle accueille dans sa bouche le sexe du jeune homme qui aurait pu être son fils. C’était bien agréable et il savait y faire le petit con.
«  Elle eut un orgasme fulgurant. Le mécano sous les spasmes de Cindy lâchât toute sa sauce dans son cul en grognant comme une bête. L’apprenti jouit de concert au fond de la gorge de cette femme qui aurait pu être sa mère. Elle avalât tout et léchât jusqu’à la dernière goutte le manche du jeune. Bon prince, le mécano lui fît grâce de la facture mais en lui disant qu’elle avait intérêt à rester à sa disposition. Voilà mon histoire ! »
Il fut évident que une foi de plus, tous très émoustillé par mon récit, la soirée se terminât en partouze et Bernard voulue m’essayer comme dans le récit.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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