Voici l’histoire d’un mois de juin pas comme les autres. J’habitais une vielle maison entourée d’un petit jardin avec mes parents dans la banlieue Toulousaine, je venais de faire mes dix huit ans et finissais ma première année de fac. Un soir j’entendis ma mère parler avec une vieille amie à elle que l’on appelait Tante Tora. Leur conversation était assez confuse mais je compris plus tard que Tante Tora et son mari s’étaient disputés. Celle-ci disait qu’elle voulait bien faire un break dans son couple et demandait si elle pouvait venir s’installer chez nous quelque temps (histoire de laisser passer l’orage). Nous possédons une maison assez grande avec une dépendance au rez-de-chaussée, là ou se trouvait mon appartement. Quelle fut ma surprise d’entendre que je devais débarrasser les lieux pour céder ma place, rejoindre le haut de la maison et réintégrer mon ancienne chambre qui ne servait plus que de débarras.
Le lendemain Tante Tora débarqua et la première chose qu’elle fit en me voyant fut de me remercier de lui laisser ma chambre et me dit que ce n’était pas la peine de débarrasser toutes mes affaires, qu’elle ne resterait pas longtemps. Une semaine passa et celle-ci n’avait pas l’air de vouloir partir. Je me résignais bientôt à accepter la situation.
Tante Tora est une femme d’une quarantaine d’années assez bien conservée et toujours très bien habillée. Elle porte assez souvent des tailleurs ou surtout des robes très bien cintrées. Un matin alors que je m’apprêtais à sortir, je devais récupérer avant ça des affaires de baignade dans mon ex chambre afin de rejoindre des amis qui partaient pour la plage. Je rentrais donc après avoir frappé n’ayant pas entendu de réponse dans la nouvelle demeure de Tante Thora. Sans trop faire attention à elle, je fouillais en silence dans mon armoire dans la pénombre à la recherche de mon maillot de bain. J’étais déjà en retard et difficile de trouver un slip de bain que l’on a rangé à la fin de l’été dernier au fond d’un placard et en plus dans l’obscurité. Ne voulant pas réveiller Tante Tora qui dormait en allumant la grande lampe, je pris l’initiative de me servir de ma lampe de chevet. Me dirigeant vers la table de nuit, je pris la lampe de chevet et repartis vers l’armoire et l’allumai afin d’y voir plus clair. Après avoir trouvé ce que je cherchais, je ramenais la lampe ou je l’avais prise sans l’éteindre, et boom, mes yeux s’arrêtèrent sur le corps de tante Tora, juste vêtue d’une nuisette rose, allongée sur les draps (vu la chaleur de cette journée qui s’annonçait caniculaire, difficile de dormir couvert), quel beau spectacle, elle était belle en cette petite tenue, allongée sur le ventre, les fesses courbées, un genou à demi replié, hummm, sa nuisette laissait légèrement entrevoir quelques poils d’un triangle noir. Je restais là, hypnotisé, sans bouger ma lampe à la main, au dessus de ce corps endormi. Une bouffée de chaleur commençait à agiter mes sens, une érection progressive envahissait mon short et un léger mouvement de mon hôte me fit sortir de ce tête à tête avec ce cul cambré. Je posais donc en silence mon ustensile lumineux et ressortis avant que Tante Thora ne se réveille. J’ais gardé cette image en tête toute la journée et à chaque fois que j’y pensais une érection se manifestait suivit d’un plongeon dans l’eau froide, afin de calmer mes sens.
Le soir j’arrivais chez moi assez tard vers minuit, et ayant donné ma clé à ma tante je me retrouvais enfermé dehors. Mes parents se levant tôt pour aller travailler le lendemain je n’osais pas sonner. Je m’aperçus qu’il y avait de la lumière chez ma tante et les volets ne fermant pas très bien je pus jeter un œil sans quelle puisse se douter qu’un voyeur naissant la scrutait. Quelle fut ma surprise de voir que celle-ci fouillait dans mes affaires, elle sortit quelques revues musicales, quelques journaux aussi, mais heureusement elle n’avait pas trouvé mes livres pornos. Elle s’allongea sur le lit et sans savoir qu’elle était observée ôta sa nuisette et se mit tranquillement à bouquiner.. BOUFFF, se fut comme un électrochoc pour moi, ces seins étaient énormes, mon érection se manifesta immédiatement, là je n’en pouvais plus, je sortis mon sexe et le branlais aussi tôt, plus je l’observais, plus je la trouvais belle, quel corps, rien à jeter. Je m’astiquais le poireau à toute vitesse tellement la journée fut chaude en émotion. Il ne me fallut pas longtemps avant d’éjaculer. Dix minutes plus tard après avoir repris mes esprits je décidais de frapper afin qu’elle ouvre la porte de ma maison que je puisse rentrer me restaurer et aller me coucher. Elle m’ouvrit en peignoir et s’excusa encore de squatter mon appartement. Si elle savait comme je suis heureux de sa présence depuis ce matin. Cette nuit là, je me suis endormi plein de rêves érotiques en tête à en salir mon caleçon dans mon sommeil.
Le matin venu nous nous retrouvons tous les deux pour le petit déjeuner, elle porte son peignoir bleu ciel, légèrement ouvert sur son opulente poitrine. Mes parents sont déjà partis travailler et je suis seul face à mon nouveau fantasme. Afin de me remercier de la loger, elle décide et insiste pour me servir le ptit-dej, elle va jusqu’à me beurrer mes tartines, je scrute avec attention le moindre de ces gestes, quelle grâce ; son peignoir a du mal à retenir son opulente poitrine, mais elle s’applique à le rajuster à chaque fois qu’il s’entrouvre un peu trop. Il m’est de plus en plus difficile de penser à autre chose qu’à sa nudité et mon érection matinale se fait de plus en plus voyante. Heureusement que je suis assis et caché par la table. On discute de tout et de rien, de mes projets et elle finit par me demander si elle pouvait encore occuper mes lieux quelques temps. Sans hésiter je lui dis qu’elle peut rester aussi longtemps qu’elle le désire et que mes parents n’y voient aucun inconvénient. Sur ces paroles elle se lève et m’embrasse longuement sur le front. ET BOOM !!! Quelle vue !!!! Mes yeux juste en face de ses seins, je discerne la rondelle de ses mamelons, là, si ça continue je vais venir dans mon pyjama. Après ce long baiser, elle dit qu’elle se fera un double des clés et me rendra mon trousseau. Ensuite elle file à la douche.
Je reste assis jusqu’à ce qu’elle disparaisse et commence à fantasmer sur ma Tante sous la douche, mon érection et mon excitation me pousse à regagner ma chambre afin de m’y soulager. Je m’apprête à regagner mes quartiers mais le bruit de la douche m’appelle à lui, je m’avance donc vers la salle de bain qui est non loin de ma chambre et essaye de voir par la serrure si le spectacle en vaut la peine. Mais rien n’est visible de cet angle là. J’att**** donc une chaise et essaye de voir quelque chose par la petite bouche d’aération, j’entrevois la silhouette de ma tante se savonnant, mais la visibilité n’est pas très bonne, les lamelles de la grille ne sont pas suffisamment espacées. Je file vite dans ma chambre car l’éjaculation commence à surgir, j’éjacule dans la première chose que j’ai sous la main, une bouteille vide que je cache ensuite sous mon lit.
Le soir venu, même combine, sauf que cette fois ci j’ai récupéré mes clés, une fois mes parents endormis je file à mon poste de voyeur espionner ma tante par le trou du volet qui décidément se couche de plus en plus tard. Je l’observe passer devant la fenêtre, mais elle est encore en peignoir. J’attends impatiemment qu’elle l’ôte, mais rien pour le moment. Dix minutes plus tard je la vois qui se dirige vers mon armoire, elle recommence à fouiller dans mes affaires, mais cette foi-ci elle sort quasiment toute la pile de livre de mes placard, mes habits, j’ai comme une montée de chaleur, pour vu qu’elle ne fouille pas dans mes classeurs de cours, c’est là que je cache mes revues pornos. Elle pose tout sur le lit et commence à replier toutes mes fringues, il est vrai que j’ai tendance à les ranger en boules. En fait elle ne fouillait pas, elle mettait juste un peu d’ordre pour gagner de la place et ranger quelques habits à elle qui restaient prisonniers de sa valise depuis déjà onze jours. Les minutes passe et toujours pas de seins ou fesses à observer. Déjà plus de quarante cinq minutes que je suis planté devant la fenêtre de ma tante dans l’espoir d’apercevoir un ne serait ce qu’un sein et rien d’autre. En tout cas tous mes habits sont bien rangés et mon armoire se partage en deux : la moitié du bas pour ma tante et le haut pour moi. Ahhh, enfin elle ôte son peignoir !!! Zut, elle n’est pas nue, elle porte un de mes tee-shirts, il lui moule complètement le buste, laisse deviner des seins un peu à l’étroit et s’arrête à la limite de ses fesses. C’est un plaisir pour moi et mes yeux de voir ma tante habillée avec mon tee-shirt, même si celui-ci est trop petit pour moi aujourd’hui, je passerais le récupérer demain et ainsi garderai son odeur auprès de moi.
Je m’apprêtais à aller me coucher sans espoir de voir la nudité de cette Eve des temps modernes lorsque celle-ci grimpa sur une chaise afin de ranger sur l’armoire mes magazines et revues, juste en face de moi se trouvait les fesses de ma tante, et lorsqu’elle leva les bras pour déposer mes lectures, j’aperçus sa toison ainsi que cette moule si bien dessinée malgré les poils qui la recouvraient. Mon érection ne se fit pas attendre et ma bite sortit d’elle-même de mon caleçon.
A chaque fois qu’elle se baissait pour att****r les revues sur le lit et les mettre sur l’armoire, le spectacle s’avérait des plus excitant. Et puis ce fut le coup de glaive, au moment où j’éjaculais, elle échappa mon classeur. La chaleur envahit mon corps, mon cœur se mit à accélérer… Non, pourvu qu’elle ne trouve pas mes revues érotiques. Comment pourrai je ensuite la croiser sans être mort de honte ??? Et pourtant trois revues étaient bien visibles au sol, et pas des moindres, les plus hard que je possédais. On pouvait voir sur les couvertures des magazines, des femmes avec des godes énormes, du fist-fucking, des femmes s’enfonçant des légumes, je possédais une bonne vingtaine de revues pornos, mais ces trois là étaient assez brute pour une non-initiée à la pornographie. Elle s’empressa de les ranger dans un élan de panique et de les hisser sur l’armoire. Je ne savais plus quoi faire ? Quitter la maison pendant quelques jours pour ne pas à avoir à affronter son regard, ou faire comme si de rien était ? Cette fois-ci je m’apprêtais à regagner ma chambre, mon érection s’était stoppée net et l’excitation avait fait place à un sentiment de honte lorsque je la vis remonter sur la chaise et att****r de nouveau le classeur. Curieux je restais là à attendre de savoir si elle allait jeter tout ça à la poubelle ou bien feuilleter quelques pages. OUF !!! Elle s’allongea sur le lit et commença à choisir parmi ma collection de livres. Celui qui l’attirait le plus et quel fini par feuilleter n’était pas du tout mon préféré. C’est un livre où il y a beaucoup d’hommes pour très peu de femmes, mais il est vrai qu’ils ont tous des bites énormes. A ce moment là, je sentis son visage se détendre et faire place à un visage étonné mais aussi, fasciné par tous ces sexes d’hommes. Sa main gauche tournait les pages pendant que sa main droite se dirigeait lentement vers son sexe. Mon érection refaisait tranquillement surface, alors que ma tante commençait à se caresser le clito, la mouille commençait à couler de son entrejambe alors qu’elle venait à peine de se toucher. Elle était de plus en plus excitée et s’astiquait le clito beaucoup plus franchement. Elle porta sa main à sa bouche et dégusta son jus ce qui eut pour effet de déclencher chez moi un va et viens sur ma bite prête à exploser à nouveau. Elle ramena sa main vers son sexe et s’introduisit cette fois un doigt bien au fond de son sexe, pendant que son autre main feuilletait la revue porno. Plus elle tournait les pages plus elle s’excitait, elle avait maintenant deux doigt au fond d’elle et se pénétrait de plus en plus vite et de plus en plus profond ; Elle remonta son tee-shirt pour laisser enfin apparaître ses seins durcis, ses mamelons biens pointus et renvoya sa main droite pénétrer de trois doigts cette fois-ci son sexe poilu dégoulinant de cyprine. Pour moi c’était trop, j’éjaculais maladroitement sur moi et m’écroulais à genoux. Quelques secondes plus tard j’entendis un fort et bref gémissement derrière le volet ; elle venait de jouir.
***
Le Lendemain matin, dès le départ de mes parents je m’empressai de démonter la bouche d’aération de la salle de bain afin d’agrandir l’écartement des lamelles. Ce fut fait assez rapidement et il ne manquait plus qu’à attendre ma proie. De savoir que cette fois j’allais pouvoir observer convenablement tante Tora sous la douche m’excita énormément, j’en avais déjà la trique. Elle se leva bien plus tard que prévu, mais finit par arriver vers dix heures. Moi j’étais resté au lit, ne voulant pas me retrouver seul face à elle pour le petit-dej après la découverte qu’elle avait faite la veille. Je l’entendais préparer le petit déjeuner, sentais les odeurs de café et de pain grillé, mais rien à faire je ne voulais absolument pas la croiser ce matin. J’entendis ses talons arriver vers la salle de bain quasi en face de ma chambre, et puis frapper trois coups à ma porte ; Je fis mine de ne pas entendre et mimais un sommeil profond. La porte s’ouvrit et sa douce voix me chuchota : tu dors encore, le petit déjeuner est servi.
Elle s’approcha de moi, je faisais toujours semblant de dormir, elle resta quelques secondes plantée devant moi avant de poser sa main sur mon épaule, j’étais quasi nu, juste un slip sur le corps et mon sexe à demi bandé. Elle laissa sa main sur mon corps et continuait de m’observer une vingtaine de secondes puis elle déplaça sa main sur mon torse avant de me frictionner assez longtemps afin de me réveiller. Je mimais la sortie d’un profond sommeil et demandais l’heure. : – il est 10h20, je file sous la douche en attendant que tu émerges et comme ça on pourra déjeuner ensemble avant que je sorte faire quelques courses en ville.
— ok j’arrive
Elle s’enferma dans la salle de bain et à peine l’eau se mit à couler, que je me précipitais observer la toilette intime de ma tante.
Hum, elle se savonnait les seins, les fesses, le ventre, et moi j’étais la perché sur ma chaise à l’observer, ma bite dans la main, en train de me masturber, le slip baissé juste au dessous des couilles.
Quel spectacle, je bandais dur comme fer, et quand je vis que son visage changeait au contact du jet, je compris qu’elle se donnait à nouveau du plaisir, Elle dévissa la poire de la douche pour ne garder que le jet du tuyau rendu plus puissant par la pincé d’un doigt. Quelle cochonne, on aurait cru une adolescente découvrant les joies de la masturbation. Je ne tenais plus et juste avant de décharger je me précipitais dans ma chambre pour éjaculer à nouveau dans la bouteille. A ce rythme j’allais vite la remplir !
Quelques minutes plus tard ma tante sortit de la douche. Moi je m’étais rallongé sur mon lit, plongé dans un demi sommeil, après une bonne branlette.
Elle rentra à nouveau, mais sans frapper et me fit sursauter.
— Alors tu n’es pas encore levé ?
— Si si j’arrive
Elle se dirigea vers la fenêtre afin d’ouvrir les volets et peut être aérer un peu cette chambre qui sentait l’a****l en rut.
J’eus un moment de panique :- et si elle voyait la bouteille pleine de sperme ?
Heureusement elle ne s’attarda pas et sortit comme elle était entrée.
Je compris pourquoi elle était ressortie aussi vite en voyant mon slip juste en dessous de mes couilles, que de gaffes en si peu de temps.
Je la rejoignis donc pour déjeuner, un peu honteux, mais elle ne fit aucune allusion, après tout elle aussi passe son temps à se masturber.
Elle s’était habillée très élégamment, mais aussi assez sexy, elle m’expliqua qu’elle commençait à démarcher quelques appartements, car elle était sure de ne pas revenir chez son mari. Elle se redécouvrait au fond d’elle et c’était un peu grâce à moi et à mes livres.
Elle rentra vers midi et après avoir fait quelques courses au marché aux légumes, elle avait juste eu le temps de passer à une seule agence immobilière.
Elle avait acheté plein de tomates, 3 oignons rouges, des olives, 4 concombres et elle me prépara une salade du tonnerre.
L’après midi elle le passa à courir les agences et ne revint que vers 19h30. Nous avons encore mangé une salade le soir en famille ainsi qu’une pizza faite maison par ma tante.
Enfin mes parents allèrent se coucher vers 23h et je pouvais enfin gagner mon poste derrière le volet vert. Je ne sais pas pourquoi mais l’ambiance ce soir là était étrange, il y avait comme quelque chose. J’observais attentivement ma tante quelque temps quand enfin elle se décida à att****r mes revues pornos. Mais cette fois ci elle les saisit quasiment toutes, commença à les ouvrir et à les disposer un peu partout dans la chambre. Curieusement elle ouvrit celle ou il y avait des femmes godées, des lesbiennes, des épilées, apparemment l’ambiance n’était pas à la bite. Fort surpris par la nouvelle tendance de ma tante, j’en oubliais de me masturber. Elle se déshabilla complètement et plaça une serviette de bain sur une chaise. Elle sortit de son sac de la crème à raser, un rasoir, et attrapa une petite bassine pleine d’eau qu’elle avait empruntée dans la cuisine. Elle s’assit, commença à enduire son sexe de mousse puis elle l’aspergea d’eau avec ses doigts. Elle prit son rasoir et commença à se raser. Sa grosse touffe de poil était en train de disparaître à vu d’œil. HUMMMM !!!! Quel spectacle !
Inutile de vous dire que je bandais comme un salaud, mais pas question de me masturber avant que je n’aie assisté à la fin du Show.
Quand elle eu fini elle se rinça au dessus de la bassine et pas un poil ne dépassait, elle était complètement imberbe. Wahoooooo !!!
Quand elle eut fini sa toilette elle s’enduit le sexe d’une crème et le contact de ses doigts sur sa chatte bien lisse ne la laissait pas indifférente, elle commençait à juter et à gémir. Elle arrêta ses caresses brusquement et après avoir feuilleté quelques pages pornographiques, attrapa un sac plastique duquel elle sortit un énorme concombre. Elle attrapa aussi la petite bouteille d’huile d’olive qui nous servait à assaisonner la salade et en enduit le concombre d’une main, comme s’il elle branlait une énorme queue. Maintenant je comprends pourquoi elle avait insisté pour ranger la cuisine toute seule ce soir, elle avait besoin de sortir quelques ustensiles, c’est pour ça qu’elle a pris un concombre en plus et qu’elle n’a pas voulu mettre celui ci dans la salade. Après avoir bien enduit le concombre d’huile, elle le dirige vers son sexe, le frotte afin de répandre le surplus d’huile qui dégouline sur son vagin. Elle commence à l’enfoncer tout doucement mais la taille de cet engin à du mal à la pénétrer. Elle arrête sa manœuvre et att**** son rasoir. Elle entaille le concombre en forme de biseau et en même temps, la peau étant retirée, l’extrémité du légume est humide et se lubrifie avec la perte de son jus. Elle réessaye et cette foi, le légume s’enfonce en elle. Son visage change au fur et à mesure qu’elle se pénètre, elle le ressort et je vois à ce moment là, sa chatte grande ouverte luisante de mouille, d’huile et de jus. Elle glisse son gode bio entre ses gros seins et le renvoie vers son entrejambe béante. Elle le renfonce et il a de moins en moins de mal à la pénétrer malgré son diamètre impressionnant, il est comme aspiré par ses entrailles. Cette vue me rend fou, je n’en peux plus, elle est debout, face à moi, jambes fléchies, au dessus de son concombre qui lui est tendu vers le haut et en appuie sur la chaise. Maintenant calé entre la chaise et ses lèvres juteuses, elle peut lâcher son ustensile et faire des vas et viens au dessus de lui tout en caressant son clito, ses seins, elle feuillette quelques pages bien chaudes où des femmes s’introduisent toutes sortes de godes, se lèchent, se fistent et sucent de grosses bites. L’excitation est telle que sans avoir touché mon sexe je m’éjacule dans le short en poussant un petit gémissement incontrôlé. Ouf elle ne m’a pas entendu !
Dans la chambre ça continue de plus belle, les mouvements s’accélèrent, le va et vient ainsi que l’astiquage du clito sont de plus en plus rapides, elle va bientôt jouir, et non elle s’arrête à nouveau et se retire son objet de plaisir.
Elle se déplace et s’agenouille sur le lit, les fesses cambrées vers la fenêtre.
Elle se pénètre maintenant avec ses doigts et en introduit trois du premier coup, elle les enfonce à fond mais ne semble pas conquise, alors elle rajoute un doigt, elle a maintenant 4 doigts au fond d’elle et accélère son mouvement d’aller et retour, ma bite reprend de la vigueur malgré la sensation gluante que j’ai dans mon short, le spectacle est digne des films les plus hardcore du net. Elle continue ainsi pendant quelques minutes avant de s’introduire son cinquième doigt dans la chatte et réalise un fist-fucking complet. AHHHH AHH ahh, elle gémit de plus en plus fort, heureusement que la chambre de mes parents donne de l’autre coté, quant à ma chambre, elle est juste au dessus. Elle s’arrête à nouveau et bloque sur une page du livre. Je ne vois pas bien la photo mais on dirait une double pénétration d’une bite et un gode. Elle réintroduit sa main dans sa chatte et s’active à nouveau, elle saisit de son autre main son concombre et le frotte à son anus pour lubrifier celui-ci. Elle le repose et s’introduit un doigt dans l’anus, moi je n’en reviens pas, elle se fiste la chatte et se doigte le cul, moi je bande comme un taureau à nouveau. Elle retire sa main et se renfonce le légume dans la chatte, elle retire son doigt de son anus et essaye d’introduire un doigt dans sa chatte en même temps que le gode bio, en rajoute un deuxième, puis un troisième, et la voilà qui pousse un cri sorti du fond des tripes, elle se tord dans tous les sens et vient de recevoir un orgasme des plus terrible.
Se rendant compte du bruit qu’elle vient de faire elle s’empresse de cacher sous le lit tout son attirail ainsi que les revues pornos. Je regagne vite l’intérieur de ma maison avant d’être surpris à roder sous les fenêtres et m’empresse de regagner ma chambre. Je bande encore comme un salaud retire mon short et m’essuie le sexe gluant avec le coté non souillé de mon habit. J’entends quelqu’un entrer dans la salle de bain, c’est sûr c’est tante Thora. Je meurs d’envie de m’y rendre pour finir de me branler, mais c’est peut être un peu risqué, tanpis, je tente le coup, je prends ma chaise traverse le couloir et espionne à nouveau mon hardeuse préféré. Elle est en train de rincer la bassine à vaisselle et de se nettoyer le corps huileux avec des lingettes. Je voudrais bien éjaculer en la regardant mais elle semble avoir presque fini sa toilette et pourrait sortir d’un moment à l’autre. La nuit je ne peux pas bondir de ma chaise, le moindre bruit serait suspect. Je regagne ma chambre en silence et continue ma branlette à la sauvette. Concentré à ne pas faire le moindre bruit et pressé de jouir, j’ai oublié la chaise devant la porte de ma chambre quand j’ai ouvert. Je me suis donc allongé sur mon lit avec madame cinq(doigt) à m’astiquer le poireaux dans la pénombre juste éclairé par les lampadaires de la rue vu que je n’ai pas du tout pensé à refermer les volets. J’entendis ma tante quitter la salle de bain, mais ces pas se sont arrêtés, elle venait de remarquer la chaise dans le couloir, ne comprenant pas ce quelle faisait sur le passage.
Afin de ne pas me réveiller avec la lumière du couloir, au moment où elle allait ouvrir la porte pour remettre la chaise à sa place, elle éteignit la lumière et entrouvrit la porte ; quelle bonne surprise pour elle qui me croyait endormi de me trouver nu sur mon lit à me branler. Moi, tellement pris par mon occupation, je ne remarquais pas sa présence, elle resta 2 bonnes minutes et me vit enfin jouir dans la bouteille qui petit à petit s’emplissait de mon sperme. Je compris au moment ou je voulus m’essuyer à nouveau avec mon short que la chaise avait avancé de quelques centimètres. Le voyeur était pris à son propre jeu.
Tracassé par le fait d’avoir été vu dans un moment aussi intime et ne sachant pas si elle avait deviné que je l’espionnais dans la salle de bain, je ne trouvais pas le sommeil. Elle non plus car je l’entendis gémir et jouir 25mn plus tard. Le lendemain c’était grâce matinée pour tous les deux, et des cernes marquaient nos visages d’insomniaques vicieux. Nous nous sommes levés vers 11h30, tout juste adressé la parole et plus tôt que de déjeuner sommes passés tous les deux à table. Au menu salade de tomate et concombre.
De savoir que ce que j’allais manger avait fait l’amour à ma voyeuse m’excita à nouveau et mon pyjama ne cacha rien de mes émotions.
Aujourd’hui il faisait spécialement chaud et ma tante avait revêtu un petit haut moulant ainsi qu’un petit short blanc qui épousait parfaitement ses formes. Sa petite tenue nous avoua franchement qu’elle ne portait pas de dessous et son short épousait parfaitement les lèvres de son sexe rasée. Je bandais et assis tout le long du repas je ne la lâchais jamais du regard. Une fois le repas fini, je devais débarrasser la table et lui apporter la vaisselle dans l’évier, elle commença à laver les assiettes…
Sûrement en matant ma bosse, elle ne fit pas attention et se renversa de l’eau sur le devant de son short, c’était parfait, pile là ou il fallait, ma bosse s’en sentit décuplée et au point où j’en étais, pas la peine de se cacher. Elle aussi m’offrait ses artifices et nous étions tous les deux à assumer de nous allumer mutuellement. Une fois les taches ménagères terminées elle monta se changer dans la salle de bain. Elle redescendît en peignoir et me demanda de pendre ma douche en premier, en me disant qu’aujourd’hui elle n’était pas pressée, que je pouvais la devancer. Je suivis son conseil et partis prendre ma douche, une belle surprise m’attendait, son petit short était posé sur le rebord de la baignoire. Je le pris immédiatement en main et l’apportais à ma bouche, mon nez et je constatais que ce n’était pas de l’eau mais sa cyprine qui avait inondé son entrecuisse, je compris qu’en faisant la vaisselle, madame matait ma bosse et se frottait contre la poignée du placard qui est sous l’évier. J’entrais dans la baignoire et me lançais dans une masturbation hors normes. Excité par son odeur ma pine en érection subissait les assauts de ma main droite, je me branlais comme un sauvage et juste avant de jouir je vidais plus de la moitié de la bouteille de gel douche de ma tante et éjaculait dedans. Comme ça nous sommes quitte !
Je finis de me doucher et allait chercher la bouteille de sperme qui se trouvait dans ma chambre afin de rééquilibrer le manque de gel douche. Chose curieuse ma chaise avait encore changé de place. A coup sur elle m’avait tendu un piège et c’était sûrement masturbée en m’observant, la vicieuse.
***
Je pris donc ma bouteille emplie de sperme et m’empressai de remplir la bouteille de gel douche de ma tante. Je lui laissai donc le gel douche là où je l’avais trouvé.
Quand je l’entendis entrer dans la salle de bain je ne pus m’empêcher de l’espionner, savoir si elle allait se savonner de ma semence, comment allait-elle réagir étant donné qu’elle se doutait quelque part de ma présence. Elle s’aspergeait d’eau apparemment très fraîche, vu le peu de buée et de vapeur dans la pièce. Ses tétons durcissaient à vue d’œil, elle est réellement très belle et bien conservée pour son âge.
Enfin elle att**** le gel douche, ah non, elle a pris celui de mes parents. Je suis sûr qu’elle l’a fait exprès afin de m’embêter. Elle se savonne assez rapidement, se rince aussi vite et s’habille illico. Pas de spectacle cette fois-ci.
Nous nous croisons dans le salon, elle me dit avoir quelques rendez-vous en fin d’après midi et elle compte, avant ça, faire un peu de shoping.
Le soir venu, avant de passer à table, le téléphone retentit. Ma mère répond et nous annonce que nous pouvons passer à table, tante Thora ne dînera pas avec nous, elle a rencontré une vieille amie à elle et compte passer une partie de la soirée en ville. Dommage pour moi… en espérant qu’elle ne rentre pas trop tard.
Suite à cette mauvaise nouvelle, mes parents en profitent pour m’annoncer qu’il comptent partir le week-end à la plage, nous sommes jeudi soir et ils partiront dès le vendredi, juste après le boulot afin d’en profiter un maximum. Normal ils travaillent tous les jours et avec une chaleur pareille ils sont pressés de se baigner. Ils me proposent de les accompagner mais je trouve un prétexte pour ne pas y aller, je prétends être invité à une fête samedi soir. Je compte bien profiter de ces moments pour me retrouver seul auprès de ma tante.
— Ok me répond ma mère, tu garderas la maison, nous pourront partir l’esprit tranquille, vu le nombre de cambriolages dans le quartier cette année.
AY YA YA !!!!!!! Dois-je deviner que ma tante les accompagnait ?
— Tati par avec vous ? Dis-je d’un air surpris.
— Oui, oui ! Tu sais, elle a besoin de se changer les idées et un bon bol d’air ne lui fera pas de mal, me répondit ma mère.
— Ok, je garde la maison.
Une fois mes parents couchés, j’attends impatiemment le retour de ma belle coquine. L’heure tourne, déjà minuit dix et aucune nouvelle de ma tante, je m’impatiente. Je suis dans le salon, devant la télé et zappe sans arrêt. Malgré le grand nombre de chaînes que nous possédons, aucun programme n’arrive à capter mon attention. Il est vrai que je suis stressé par mon attente et mon mauvais choix de tout à l’heure.
Ce n’est que vers deux heures quarante cinq que ma belle est rentrée avec son amie qui l’a ramenée. Elle sont entrées boire une tisane et m’ont trouvé endormi sur le sofa, devant un reportage a****lier. Ma tante prend alors une couverture et me borde. A cet instant là, je me réveille, et je profite de sa présence, caché derrière mes paupières à demi fermées.
Elle sentait l’alcool et avait l’air un peu saoule. Qu’il était bon de la savoir rentrée, mon souci était de penser qu’elle se trouve un homme et découche pour la nuit. Ouf NON !
En attendant sa tisane, son amie vint s’asseoir dans le salon sur le fauteuil qui se trouvait à ma gauche, du coté de mes pieds. Elle se saisit de la télécommande, baissa le son du téléviseur et commença à zapper.
Ce n’est qu’après avoir passé une vingtaine de chaînes qu’elle tombe nez à nez avec une scène porno, elle observe la scène une dizaine de secondes et zappe à nouveau. A ce moment là ma tante entre dans le salon. Son amie commence à att****r un fou rire, ma tante ne comprenant pas ce qui se passe, lui demande de ne pas faire de bruit pour ne pas me réveiller. Elle dépose la théière et les verres sur la petite table et s’assois sur le sofa à mes pieds. Le fou rire de son amie ne passant pas, elle lui demande ce qui lui arrive. Celle-ci ne pouvant pas s’exprimer zappe à nouveau sur le film et il est vrai que c’était assez drôle : Cet homme, mis à part son sexe extrêmement gros, était particulièrement laid et n’avait rien à faire là entouré de trois sublimes femmes. Qui aurait voulu faire l’amour avec lui si ce n’est pour les besoins d’un film. L’alcool aidant, elle partirent toutes les deux dans un fou rire silencieux commun. Par pudeur et de peur que je me réveille, ma tante zappa de nouveau. Heureusement qu’une couverture se trouvait sur moi, car les présences féminines et le film m’avaient quelque peu excité et malgré ma position de fétus qui aurait pu un temps soit peu cacher mon érection, je ne portais qu’un caleçon.
Leur fou rire passé, elles burent leur tisane et ma tante raccompagna son amie à la voiture.
A ce moment là je m’empressai de remettre le film x et, coup de chance, le programme disait qu’il était commencé depuis une quinzaine de minutes. J’allais pouvoir suivre la suite. Au moment où je pensais être tranquille, ma tante refit surface dans le salon, je m’empressais de remettre la chaîne qu’elle avait laissée et je replongeais dans mon sommeil factice. Elle se rassit sur le sofa à quelques centimètres de mes pieds et se resservit une tisane. Elle dégustait savoureusement son verre tout en jetant quelques regards vers moi afin de s’assurer que je dormais bien. Etant rassurée elle mit à nouveau le film x. Au travers mes paupières très légèrement ouvertes, je voyais une scène où trois hommes s’occupaient d’une belle brune à la poitrine abusivement siliconée. Elle les suçait à tour de rôle d’une manière très expérimentée, leurs bites dégoulinaient de salive, quelque fois elle en mettait deux à la fois dans sa bouche, puis reprenait son va et vient de plus en plus rapidement. Ma tante zappa à nouveau, elle n’était pas à l’aise en ma présence, elle aurait sûrement préféré être seule pour mater son film porno. Je fis alors le geste de me tourner vers le dossier du sofa. Ainsi, aux yeux de Tora, même si je venais à me réveiller il lui resterait le temps de zapper. Ce qu’elle fit instantanément après que je me sois tourné.
Nous étions dans un silence total que seule sa respiration saccadée venait briser et le salon n’était éclairé que par la lumière du téléviseur. Quelle ambiance !! Pour mon grand bonheur, un cadre au mur au dessus du sofa reflétait une partie de l’image du film et me permettait de savoir où en était la scène. Deux hommes pénétraient la brunette sauvagement pendant que le troisième n’était pas dans le cadre. Je sentais ma tante détendre ses jambes et s’enfoncer dans le sofa. A la vue de cette double pénétration sa respiration était entrecoupée d’apnée, mais de plus en plus forte. Après avoir remonté sa jupe suffisamment pour avoir accès à son entrejambe, elle tira la couverture légèrement afin de s’en couvrir le haut des cuisses et glissa sa main en dessous. Son autre main quant à elle restait en alerte, le doigt posé en équilibre sur la télécommande. Sûrement qu’elle s’imaginait à la place de l’actrice, recevant plus qu’il n’en faut de sexes et de sperme. Inutile de vous dire que moi j’étais bouillant comme jamais je ne l’avais été, mon sexe ne demandait qu’à se faire branler, mais de peur de faire fuir ma voisine de sofa, impossible de bouger. Elle se leva très prudemment et retira son string pour se rasseoir plus aisément. Elle replaça la couverture sur ses cuisses et se retrouvait donc le sexe nu. Quand elle se leva j’en profitais pour détendre un peu mes jambes et à présent mes orteils lui effleuraient la cuisse. Une odeur de sueur ainsi qu’une odeur de cyprine accompagné d’un bruit de « floppie envahissait la pièce ».
Sa respiration toujours aussi discrète mais beaucoup plus rythmée, accélérait de fil en aiguille, ses jambes s’écartaient et maintenant sa cuisse s’appuyait carrément contre mes pieds.
Elle s’excitait de plus en plus à en oublier ma présence, elle devenait une vraie nymphomane ; quant à moi, mon sexe s’était libéré de mon caleçon et allait bientôt gicler, quel embarras pour moi si il venait à exploser. Il fallait que je calme cette ardeur avant le déluge et je me tournai à nouveau dans l’autre sens en direction de la télé, ce qui entraîna un zapping instantané ainsi que l’arrêt de la masturbation de tante Tora.
Ouf !!!! une pause.
J’entendis sa voix murmurer un :-« Tu dors ? »
Je fis mine de ne pas répondre.
Elle me reposa la question, mais sans succès, toujours pas de réponse.
En me retournant j’avais glissé une jambe sur sa cuisse, mes orteils se trouvaient à quelques centimètre de son sexe, la chaleur et la moiteur qui s’en dégageait était vraiment impressionnante.
Elle resta sans bouger et sans rien dire une bonne minute. Elle m’observait, et une fois persuadé que je dormais, elle remit le filmX. Elle me posa une main sur le mollet en dessous de la couverture qui eu l’effet d’un frison qui me traversa des pieds à la tête.
Sa respiration était beaucoup plus forte, comme si elle faisait quelque chose d’interdit. Son autre main tenait toujours la télécommande mais se dirigeait vers son sexe. Au fur et à mesure que sa main montait en direction de ma cuisse, mes orteils se rapprochaient de son sexe. Elle guidait ma jambe vers sa chatte, mon orteil lui effleurait à présent son clitoris. Sa main continuait de s’approcher de ma verge tandis que son autre main présentait l’arrière de la télécommande à l’entrée de sa chatte dégoulinante.
D’un mouvement rotatif et régulier du bassin, elle se frottait à mes doigts de pieds qui se trouvèrent gluant dès leur premier contact. Sa main droite trouva enfin ma verge et au moment de la saisir elle s’enfonça la moitié de la télécommande, elle gémissait et le fait de trouver mon sexe gonflé à fond la rendu complètement folle de désir. Ses mouvements étaient très rapides, elle se pénétrait, se frottait, me branlait à toute allure, fini les précautions de départ.
Le film se déroulait, une orgie monumentale défilait sur l’écran, c’était un porno très hard, les gros plans sur les sexe faisait penser à un cours d’anatomie. Moi je n’en pouvais plus, j’allais jouir, j’étais maintenant allongé sur le dos et profitais du spectacle et de la branlette que m’offrait ma Tante, elle était déchaînée, la télécommande disparaissait complètement en elle, même mon orteil la pénétrait de temps en temps. Elle se retira la télécommande et changea de position. Elle se tenait maintenant à genoux sur le sofa, face à moi. Elle posa sa tête juste à coté de ma bite, je sentais son souffle chaud, elle continuait de me masturber tandis que son autre main la pénétrait et lui massait le clito. Elle ralentit l’allure afin d’éviter une éjaculation trop précoce à son goût.
Elle me branlait au ras de son visage, mais n’enfouissait toujours pas mon sexe dans sa bouche. Elle se pencha vers l’arrière comme pour asseoir ses fesses et sa chatte imberbe vint se plaquer sur mes doigts de pieds, elle se frottait à nouveau à cette main géante. L’acte sexuel reprit une allure bien cadencée et mon pied commençait à pénétrer cette chienne en chaleur. Elle se balançait de haut en bas, se pénétrait tout en passant sa langue sur mon gland, mes bourses. Sa chatte s’écartait de plus en plus et mon pied se faisait littéralement avaler par ses entrailles. Elle passait du fist, au foot-fucking quand une première giclée de sperme aspergea le visage de ma tante. Dès cet instant elle prit mon sexe en bouche pour ne plus en perdre une goûte, une flopée de cyprine dégoulinait le long de mes doigts de pieds avalé entre ses jambes, et bientôt un gémissement étouffé se fit entendre dans le salon.
Quel pied nous venions de prendre !
Elle se leva très rapidement et s’empressa de ranger tout ce qui traînait afin de laisser la pièce dans l’état où nous l’avions trouvé. Il est vrai que le temps passait et que mes parents allaient bientôt se lever. Une fois terminé elle s’enfuit retrouver sa chambre, un peu honteuse d’avoir abusé du fils de son Amie.
Je m’endormis là où j’étais resté, submergé de bonheur, ivre sous l’effet de l’orgasme.
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