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La mature et le maçon : Deuxième par

La mature et le maçon : Deuxième par



Voici la partie sexe, enjoy 😉

La mature et le maçon : Deuxième partie

Me voilà dans les rues de Courchevel à la recherche d’un resto pas cher. Je croisai une pizzeria, elle ferait bien l’affaire. A l’entrée je n’en cru pas mes yeux… La voisine était là, avec son mari, tous 2 attablés autour d’un verre de vin. Je rigolai intérieurement (quoique ça devait se voir à mon grand sourire bête) de la situation, quelle coïncidence ! Soudain elle m’aperçut :
-« Eh mais c’est notre petit maçon ! Bonsoir jeune homme, que fais-tu ici ? » dit elle, visiblement déjà empruntée par l’alcool puisque ses paumettes étaient rouges et ses yeux pétillants… A moins que ce soit le fait qu’elle soit constamment en chaleur ! Son mari me lança un regard vite fait et retourna à son verre de vin après m’avoir serré la main de manière totalement détachée.
-« J’étais seul dans ma chambre d’hôtel, j’avais envie de visiter un peu donc je sors en ville pour manger, dis-je en tendant la joue en direction de la belle, et vous que faites vous ici ? »
Elle se leva pour me faire la bise, mon initiative de la joue tendue portait ses fruits puisque je pu admirer sa magnifique robe noire, moulant ses formes de jeune fille et faisant ressortir ses seins dans un décolleté qui devait empêcher beaucoup d’hommes de la regarder dans les yeux. Je lui attrapai l’épaule en lui faisant la bise, comme je faisais avec toutes les femmes, sauf que j’en profitai pour serrer ma main et la descendre le long de son bras tendrement. Elle me regarda droit dans les yeux, les siens pétillaient toujours :
-« On fête nos 20 ans de mariage, dit elle dans une moue toute retenue puis me montrant son mari, il n’aime pas faire la fête et sortir, c’est déjà un exploit d’arriver à le sortir ici ! » Dit-elle d’un ton réprobateur. L’homme haussa les épaules d’un air agacé.
« Je l’emmène danser après, il y a un concert dans le bar d’en face, monsieur se fendra bien d’une petite danse avec sa femme quand même » le ton employé était mi-sévère mi-résigné.
A ce moment je n’avais envie que d’une chose, lui sauter dessus, la prendre devant tout le monde, son mari compris, qu’il voit ce qu’il loupe en ne s’occupant pas d’elle. Je tentai ma chance :
-« Un concert ? Super je passerai y faire un tour également alors » dis-je, même si je n’aimais absolument pas la musique, il fallait que j’y aille, je pourrais alors tenter un truc, je ne savais pas quoi mais je ne tenais plus en place tellement j’avais envie de la sauter.
Le serveur arriva et me désigna une table libre, je fis un signe de la main au « couple » et j’allai m’assoir puis commanda une 3 fromages sans réfléchir. Ayant déjà fini de manger le couple régla l’addition et sorti puis se dirigea vers le fameux bar d’en face. J’avais encore une trique d’enfer, aucune femme ne m’avait jamais excité à ce point. La pizza arriva… Je n’ai jamais mangé une pizza aussi vite, je me dépêchai de payer et couru aussitôt assister au concert.
La salle était pleine mais je ne tardai pas à trouver ma cochonne sur un côté. Je me dirigeai vers elle mais me plaçai discrètement derrière, je pouvais admirer son cul moulé dans sa jolie robe noire. Sa chute de rein était exceptionnelle pour une femme de cet âge, et ses fesses me semblaient bien rebondies, je me voyais déjà la tête dedans. Aucune trace, elle portait un string ou était nue sous sa robe, rien que cette vision suffit à me remettre le soldat au garde à vous. Je décidai d’aller lui parler malgré la présence de son mari. Me rapprochant par derrière, je laissai glisser ma main doucement de son cou jusque sur son épaule, c’était risqué vis-à-vis du mari, et aussi si je me méprenais depuis le début. Mais elle m’aperçu et me sourit aussitôt, aucun mouvement de recul par rapport à ma main plus ou moins baladeuse…
– « Mon petit maçon de retour ! Tu veux danser ? Mon mari ne veut pas » dit-elle me tendant la main. Je la saisie aussitôt et nous nous retrouvâmes sur la piste de danse. L’orchestre jouait un rock, nous avons donc entamé une danse dynamique, à chaque fois que je m’approchais d’elle, je sentais ses seins contre mon torse, j’espérais seulement qu’elle sentirait ma bite toujours en érection, comme ça elle n’aurait plus de doute sur mes intentions, si tant est qu’elle en eu encore. La musique se finit, et après un regard appuyé elle m’embrasse sur la joue :
-« Merci beau jeune homme ! Si seulement mon mari était aussi vigoureux… »
Nous revînmes en direction de son mari, ce dernier lui glissa un mot à l’oreille, elle hocha des épaules et l’embrassa sur la joue. Le mari s’éloigne, ma belle semble triste :
-« Il rentre, il est fatigué, quel anniversaire de mariage pourri ! » dit-elle d’un ton résigné.
Je saisi cette perche tendue :
-« La soirée n’est pas finie, continuez à vous amuser, il ne sait pas ce qu’il rate ! Je vous paye à boire ? » dis-je
-« Une invitation, avec plaisir, même si j’ai déjà bien assez bu… Un verre de plus ne me fera pas de mal. Heureusement que tu es là pour égayer ma soirée»
Je me dirigeai vers le bar et commandai deux martini. Nous nous asseyions et je lui tendis le verre :
-« Tenez, et souriez, vous êtes bien plus séduisante comme ça » C’est la technique infaillible pour faire sourire et faire passer un message, du moins pour mes piètres qualités de dragueur… Elle sourit néanmoins :
-« Merci, quel charmeur ! Tu dois faire tomber un paquet de minettes toi ! » Dit elle dans un grand sourire.
-« Non pas un paquet, seulement celles que je veux, dis-je sur ton de la plaisanterie, mais ne vous sous estimez pas, vous êtes capable de séduire n’importe quel homme dans cette salle j’en suis persuadé »
-« A l’époque oui ! Maintenant ce n’est plus pareil. Arrête un peu je vais finir par croire que tu cherche à me séduire ! » dit elle
-« Et si c’était le cas ? »
-« Et si c’était la cas j’aurais bien du mal à refuser, mais je suis mariée, je n’en aurais pas le droit… »
-« Votre mari n’est plus là… » Dis-je en la regardant dans les yeux. Elle ne dit plus rien, me regardant fixement. Soudain je sentis quelque chose sous la table, c’était son pied, elle me caressais la jambe. Rien qu’a son sourire je savais que c’était parti, j’écartai les jambes en la fixant toujours dans les yeux. Je la sentis enlever son escarpin, et venir me toucher l’entrejambe avec le pied. Ma bite était dure depuis la pizzeria, lorsqu’elle la sentie elle lâcha un haussement de sourcil et dit :
-« C’est donc le cas… »
-« Oh oui et plus que ça même, vous n’avez pas un peu chaud là ? On sortirait pas pour prendre l’air ? » dis-je d’un ton ironique.
Sans un mot elle remit son escarpin et nous sortîmes du bar. Après quelques pas, à l’abri des regards je la plaquai contre un mur et l’embrassa. J’étais tellement excité que je lui fourrai ma langue dans la bouche sans attendre, elle se laissa faire et lâcha même un gémissement de plaisir.
-« Oh mon dieu mais qu’est ce que je fais » dit elle.
Sans lui laisser le temps de réfléchir et sans répondre je la pris par la main et l’entraina dans un recoin plus loin. Je lui mis mes mains sur son cul bien ferme et l’embrassa dans le cou. Elle se laissait toujours faire et je remarquai que sa respiration s’était grandement accélérée. Elle commençait à être entreprenante et glissa ses mains sous ma chemise. Je la sentis hésitante, mais je brulais tellement d’envie que j’attrapai sa main et la posa sur ma bite (par-dessus le jean).
« T’es tout dur mon salaud, je t’excite tant que ça ? »
-« Tu va voir ça » dis-je
Je lui soulevai sa jupe, elle était bien nue dessous comme je l’avais deviné. Je commençai à lui caresser la chatte, elle était toute chaude et surtout déjà trempée.
« Je vois que tu aimes ça » Dis-je en lui enfonçant 2 doigts. Elle lâcha un gémissement encore plus fort et m’agrippa les bras.
-« Oh oui c’est trop bon, ça fait trop longtemps» dit-elle, puis inquiète « on peut pas faire ça là, on peut nous surprendre ».
J’eu alors une idée, la cabane de chantier. Elle n’était pas fermée à clé et n’était qu’à 100 mètres de là où nous nous trouvions. Je l’attrapai par le bras :
-« Viens là, j’ai un coin où personne ne t’entendra crier » dis-je l’entrainant en courant vers notre futur baisodrome.
Arrivés dans la cabane, je refermai la porte et lui arracha quasiment sa robe en la déshabillant, elle était trop bonne :
-« Votre mari ne sait pas ce qu’il rate ! » Dis-je en la regardant les mains accrochées à son cul
Elle m’embrassa et commença à me branler tandis que je lui remettais mes doigts dans sa chatte brulante. Elle gémissait de plaisir. Puis elle se mit à genoux et enfonça totalement mes 18 cm dans sa bouche. Ma première gorge profonde, par une maman, trop bon ! Elle me pompa la queue avec habileté pendant quelques secondes, j’étais au bord de l’explosion ! Lorsqu’elle fit une deuxième gorge profonde je vint dans sa bouche, ayant l’impression d’éjaculer un litre de sperme ! Un frisson de plaisir me parcouru le corps en la voyant avaler tout mon foutre.
-« Dommage que tu sois parti si vite, je commençais juste à m’amuser… » me dit-elle avec un grand sourire.
-« C’est loin d’être fini pour toi » lui répondis-je avec un clin d’œil.
Je l’assis sur le rebord de la table et commençai un cunnilingus, ma bite n’aurait pas de mal à repartir pour un deuxième round vu mon état d’excitation. Je lui léchai le clitoris, lui bouffait les lèvres puis insérait mes doigts. Elle gémissait de plus en plus fort, me serrait la tête avec ses jambes lorsque son vagin se contractait. Je me relevai et présentai ma bite à l’entrée de son vagin, elle me caressait les hanches, déjà cambrée par l’envie de se faire prendre.
-« Prend moi j’en peux plus ! » Cria t’elle en m’attrapant la tête et m’embrassant.
Je m’exécutai commençant mes va et viens à une vitesse très élevée, je sentais son cul taper contre mes boules. Je la démontais littéralement, et ça lui plaisait. Elle était maintenant allongée sur le dos sur la table, nous avions renversé tout ce qui se trouvait sur celle-ci, plans du bâtiment, crayons, thermos de café… Je continuais à la pilonner, elle s’accrochait comme elle pouvait à la table pour retenir ses cris. J’attrapais ses deux seins qui ondulaient à chacun de mes coups de bite, c’est la première fois que je baisais une femme avec autant de fougue, et pour elle ça faisait probablement longtemps que ça ne lui était plus arrivé vu le plaisir qu’elle prenait.
Soudain elle se redressa :
« Allonge toi, à mon tour de te montrer ce qu’est une vraie femme ! » me dit elle en me poussant au sol.
Elle me monta dessus et s’empala sur ma bite, puis commença à me chevaucher en se mordillant les lèvres pour ne pas réveiller le voisinage, qui comprenait mes collègues et son mari entre autres…
La voir me chevaucher, remuant ses fesses sur mon pieu me produit un frisson de plaisir dans tout le corps. Au bout de quelques instants je lui dis de se relever, et de s’appuyer sur la table, puis je commençai à lui lécher l’anus. Elle eu un petit sursaut montrant sa surprise, mais rapidement elle remua ses fesses sur mon visage :
-« T’es un petit cochon toi hein, c’est bon ce que tu me fais ! T’aime mon cul ? » Dit elle, ne cachant pas son plaisir.
-« Oh oui je l’aime, je prépare la suite… » répondis-je.
-« Je suis pas sûre… J’ai jamais essayé par derrière, je sais pas si j’en suis capable… »
-« Il est jamais trop tard pour découvrir, vous allez aimer je vous le garantie ! » dis-je.
Je me remis debout et enfonçai mon index dans son petit trou, elle ne bougeait plus beaucoup, probablement concentrée sur cette sensation nouvelle et peut être un peu désagréable. Je la caressais et l’embrassais pour la détendre, cela fonctionna à merveille et bientôt j’enfonçais un deuxième doigt. Lorsqu’elle fut détendue je plaçai mon gland sur son petit orifice et poussais délicatement pour la pénétrer. Les 5 premiers centimètres rentrèrent sans souci, mais son anus restait serré. Après quelques caresses et baisés je pouvais maintenant recommencer de grands vas et viens dans son cul bien dilaté. Elle gémissait de nouveau, j’accélérai la cadence et les petits cris s’accéléraient. Elle jouissait maintenant comme au début de la pénétration vaginale :
« Alors vous aimez ça dans votre petit cul ? »
« Oh oui c’est trop bon, accélère encore, fait moi jouir petit con ! » Dit elle
Cette insulte me plu et je la démontai bien en règle pendant quelques minutes encore. Soudain l’envie d’éjaculer fut trop forte, je retirai mon chibre de son trou et éjaculais sur son dos, elle s’accroupit immédiatement et vint sucer ma bite quelques instants, la laissant retomber avec délicatesse.
Elle se rhabilla, m’embrassa et me fit promettre de ne pas ébruiter cette aventure, je ne disais rien, j’étais encore sous le choc de cette baise torride. Et je ne dirais absolument rien à mes collègues par respect pour cette dame qui m’a offert son corps pour une soirée. Les jours suivants elle ne passait que rarement au balcon, mais me souriait très largement lorsqu’elle me voyait.
Depuis j’ai arrêté l’intérim et commencé un stage pour mes études, je n’ai jamais revu cette dame et ne connais même pas son prénom, mais j’en garde un souvenir exquis. A toi ma « maman cochonne » 🙂

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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