Qu’avons-nous en commun ? J’ai eu des hauts des bas dans ma vie sexuelle. J’étais amoureux d’une fille qui n’en avait rien à faire de moi et qui changeait de petit copain toutes les semaines. Alors, je me masturbais en pensant à elle et je n’ai connu que des putes avant d’avoir une vraie aventure avec une femme honnête à l’âge de vingt-cinq ans. Je l’ai épousée. Le sexe avec elle, ce n’étais pas vraiment réussi mais quand je lui avais demandé de me sucer la bite, elle avait accepté. Du coup, je lui ai dit que je veux l’enculer. Ma femme a hésité mais elle a accepté. Qu’est-ce que je pouvais lui demander de plus. Elle avalait mon sperme et elle se masturbait volontiers devant moi quand je lui demandais. Au bout de six mois de mariage, elle était enceinte de notre fille. Ça m’excitait encore plus de la baiser avec son gros bide et ses gros nichons. Elle a accouché et j’aimais bien la regarder donner le sein. J’y avais droit de temps en temps. Quand notre fille a eu quatre ans, sans doute n’en pouvant plus, ma femme m’a avoué qu’elle me trompait depuis sa grossesse, qu’elle avait rencontré une femme enceinte à la clinique au cours d’une visite et que ça avait été un coup de foudre et qu’elles avaient couché ensemble et surtout qu’elles continuaient de temps en temps. J’avais toujours été timide et j’étais devenu fataliste et je n’ai pas osé lui demander ce qu’on fait. Entre temps, on avait eu deux autres enfants. C’est peut-être pour se faire pardonner que ma femme m’a permis de lui faire un quatrième enfant. Elle avait de plus en plus la migraine et je me doutais bien qu’elle n’avait plus envie de me subir. Un jour, elle m’a dit que la baise c’est fini. J’avais quarante-deux ans. Elle m’a dit qu’on va divorcer et qu’elle s’occupera de nos enfants avec sa femme. Sa femme ? Elle a rectifié en l’appelant son amie. A l’époque, les gouines et les pédés se cachaient encore, pas comme maintenant. Avant de partir ma femme m’a proposé de me trouver une remplaçante. J’ai mal vécu mon divorce. Je n’arrêtais pas de me branler et je retournais voir les putes. Par moments, j’y allais tous les soirs de la semaine et j’y retournais même en sortant de l’immeuble de la pute. La plupart du temps, je n’arrivais pas à bander. Ma femme avait emporté ou jeté notre album de photos privées, celles qu’on avait fait en faisant du nudisme ou chez nous. Pendant des mois, j’avais retourné tout l’appartement pour le retrouver. En vain. Un jour que je rentrais chez moi, je trouve la fille des voisins sur le palier. Elle avait égaré ses clefs et elle était à la porte et je l’ai fait entrer chez moi. Il faisait chaud. Je lui ai servi à boire. Elle tirait sur un pan de son chemisier pour s’aérer et je pouvais voir sa poitrine. Après, je me suis jeté sur elle et je l’ai presque violée. Au début, elle ne voulait pas mais elle a fini par céder et elle m’a dit que j’essaie au moins de la faire jouir. Elle m’avait raconté qu’elle avait vingt-deux ans et un petit copain. J’avais commencé de face puis je l’ai retournée en levrette. La voisine n’a pas tardé à sortir des « Putain ! » Je l’ai déshabillée peu à peu. Je lui caressais les seins. Je lui ai même demandé si elle est comme ça avec son copain et elle m’a répondu de m’occuper de mes affaires. J’ai fini par jouir au fond de son trou. Je voulais lui demander si elle avait joui mais elle m’a regardé. Elle avait un regard noir et elle a passé ses doigts au bas de son ventre. Elle m’a dit que je suis un porc puis elle est allée aux toilettes. Je l’ai suivi quelques minutes plus tard. Elle n’avait pas fermé la porte et elle était assise sur le siège et elle… se masturbait avec ses doigts. Je l’ai regardée puis je l’ai laissée faire et je suis retourné dans la chambre. Je lui ai demandé si elle fait l’amour avec son petit ami quand elle est retournée dans la chambre mais elle ne m’a pas répondu. Elle se rhabillait quand je lui ai demandé quand elle l’avait fait la première fois. Elle m’a répondu qu’elle avait quatorze ans et que c’était avec un oncle. Et combien de temps ça avait duré ? Presque deux ans. Elle m’a dit qu’il faut qu’elle s’en aille. Elle a claqué la porte et j’ai collé mon oreille parce que je voulais savoir ce qu’elle faisait sur le palier. Elle parlait à haute voix mais je ne comprenais pas ce qu’elle disait puis j’ai entendu la voix de ses parents. J’avais la trique. Deux semaines plus tard, la fille des voisins a sonné à ma porte. J’ai ouvert. Elle m’a demandé si elle peut entrer. On est allés dans le salon. Je lui ai demandé ce qu’il lui arrive et elle m’a répondu que son petit ami l’a larguée en la traitant de putain. Je lui ai demandé s’il avait une raison de croire ça. La petite voisine a rougi puis elle m’a avoué qu’elle avait participé à une partouze avec une douzaine d’hommes et elle les avait fait payer cinq cents francs chacun pour pouvoir la baiser. Elle a ajouté qu’elle avait toujours honte d’avoir fait ça parce que c’était à la fois excitant et horrible. Je lui ai répondu que c’était peut-être à cause de son oncle qu’elle avait fait ça mais je n’ai jamais été psychiatre. J’ai posé la main sur sa hanche mais elle l’a repoussée en me disant qu’il faut qu’elle s’en aille. Un mois plus tard, elle a de nouveau sonné à ma porte. Je lai fait entrer elle elle m’a tout de suite dit qu’il faut qu’elle me dise un truc. Elle a ajouté qu’elle n’a plus refait l’amour après moi. Je lui ai demandé si elle est enceinte. C’était le cas. Je lui ai demandé s’il faut qu’on se marie. J’ai argué que je suis voisin, que j’ai le double de son âge. Elle m’a répondu que ses parents vont la tuer si elle a un enfant toute seule. J’ai mis une condition : qu’on soit un vrai couple. Elle a bien voulu et on s’est mariés. Deuxième mariage. Nous avons eu une fille et deux ans plus tard, une autre fille. Inutile de dire que les grands-parents ne m’appréciaient guère. « Ma petite fille, m’avait dit la mère ! » Je n’allais pas lui dire que j’avais fait de sa fille une vraie salope, au bon sens du terme. Parce qu’elle aimait la queue. Elle me montait même dessus pour se prendre avec son gros ventre mais elle avait moins de poitrine que ma première épouse. J’ai fini par lui proposer de faire l’amour à trois avec une femme. Je connaissais une pute qui faisait ça. Je suis allé la voir et je lui ai donné mon adresse et quand je lui ai dit que ma femme a vingt ans de moins que moi, elle m’a demandé si je veux qu’elle la dresse. J’en avais reparlé à mon épouse mais ça ne semblait toujours pas l’intéresser. Ce que je peux dire, c’était qu’elle était une bonne épouse et une bonne mère mais parfois j’avais l’impression qu’elle se demandait ce qu’elle faisait là avec moi. La pute est venue chez nous un samedi soir. Nos enfants étaient couchés. Ma femme n’a pas pu faire autrement que de se laisser faire. Elle a baisé avec la pute et ensuite tous les trois et j’avais l’impression que ça lui plaisait beaucoup. Elle broutait la chatte de la pute avec passion et elle en profitait pour se masturber puis tout s’est détraqué. Ma femme a dit qu’elle ne veut plus et j’ai préféré arrêter la séance. La pute est partie et ma femme m’a dit qu’elle ne m’a jamais aimé. Bref, tout un tas de mauvaise raison pour vouloir divorcer et elle est partie avec nos deux filles. Heureusement que je venais d’hériter de mes parents. Il a fallu que je paie une pension mais mon ex est partie s’installer au Canada et je n’ai revu brièvement mes filles que vingt ans plus tard, quand elles ont fait un voyage en Europe et ça a été la dernière fois. La troisième a été une de mes collègues ou plutôt une de mes subordonnées et elle aurait bien voulu qu’on se marie mais je ne voulais pas. Quand on a commencé à avoir des relations intimes, elle s’est opposée à mes caprices. Pour elle, le sexe, c’était plutôt la copulation, comme le font les animaux dans le but de la reproduction. Elle ne voulait pas me sucer, pas me branler et encore moins se masturber devant moi parce que c’était dégoûtant d’après elle. J’avais recommencé un album coquin avec ma deuxième épouse. Il y avait une vingtaine de photos. Un jour elle avait bien voulu que je la photographie en train de se masturber et c’était la moitié de l’album. Un soir que je rentrais, j’ai trouvé ma troisième compagne en train de déchirer les photos de l’album. Elle m’a dit qu’elle vit avec un porc puis elle m’a demandé comment je pouvais demander à une femme de faire ça au lieu de se demander pourquoi les femmes aiment faire ça et pas elle et ça l’a rendue furieuse. Cela faisait trois ans qu’on vivait ensemble. Je l’avais emmenée aux réceptions organisées par mon usine. Elle pérorait et on me faisait des compliments sur elle et je me souviendrai toujours de la fois où quelqu’un lui a mis la main au cul. Elle s’était retournée tout en bondissant et elle avait crié un « Ça va pas ? » que toute l’assemblée avait pu entendre. Je la baisais de face. Tout ce qu’elle acceptait, c’était que je reste debout, que je lui relève les jambes. Quand j’avais posé les doigts sur sa vulve, elle m’avait crié d’arrêter. J’enfonçais ma bite dans sa fente. J’ai toujours eu l’impression de baiser un cadavre et c’est à peine si elle faisait une grimace quand elle avait un orgasme mais je pouvais voir que j’avais réussi à la faire jouir et je pouvais finir. Elle me demandait si je suis content et elle me demandait toujours de m’écarter puis elle mettait sa main à sa coupe pour aller dans la salle de bains sans oublier de me dire qu’elle doit se laver. Mes deux premières femmes avaient une poire à lavement elles aussi et j’aimais bien les regarder s’en servir mais avec la troisième, qui s’enfermait dans la salle de bains, je ne pouvais que coller mon oreille à la porte et écouter le bruit de l’eau. Elle avait le même âge que moi. Un jour, elle m’a dit que ça ne sert à rien qu’elle reste puisqu’elle est stérile et elle est partie. L’entreprise où je travaillais parlait de fusionner et j’avais des soucis pour mon avenir et un an est passé. Un jour, dans un cocktail, j’entends deux femmes qui discutaient de sujets qui ne concernent que les femmes. L’une des deux, qui était rousse, disait à son amie qu’à cinquante ans elle peut être encore enceinte. L’autre lui a dit son dégoût d’avoir un enfant de vieux. J’avais cinquante sept ans. Quand son amie est partie, je me suis approché de la rousse et je lui ai dit que si elle veut je l’engrosse. Je n’aurais jamais pu dire ça à une femme. Elle m’a répondu : « Chiche ! » Elle n’avait pas d’alliance et je la trouvais pas mal avec ses gros nichons. Elle a quand même ajouté qu’elle est moche et elle m’a même demandé si j’aime ça les gros nichons. Je lui ai répondu que je ne demande qu’à aimer et ça l’a fait rire puis elle m’a demandé si je suis sérieux. Je me rendais bien compte que je l’étais vraiment. On a discuté et je lui ai raconté ma vie comme je le fais ici mais sans les détails croustillants. Elle a fini par me dire que je suis un adepte du renouvellement des générations et je lui ai demandé si elle est toujours intéressée et ça l’a fait réfléchir et elle m’a alors avoué que jusque là, elle n’avait jamais fréquenté que des femmes, qu’elle n’a jamais été lesbienne mais qu’elle avait toujours été attirée par les seins de ses consœurs et que pour elle ça a toujours été une fascination. Je lui ai répondu que je n’en ai pas et que c’est dommage et que je me contenterai des siens. Bref, on s’est revus. J’étais étonné qu’elle ait un corps de jeune fille, une peau si lisse. Des taches de rousseur mais que sur les parties exposées au soleil. La première fois qu’elle s’était déshabillée devant moi, je lui avais demandé de retirer son soutien-gorge. Elle l’avait retiré mais elle avait caché sa poitrine sous ses bras repliés et j’avais dû écarter ses bras et ses seins lui étaient tombés sur le ventre, les mamelons plus bas que son nombril. Elle avait aussi un bijou au nombril et un anneau au clitoris. Une fois allongée sur le lit, elle m’a dit qu’elle a tout à apprendre. Ses seins avaient disparu de son torse pour se réfugier le long de ses côtes. Elle était très belle dans cette position. Je lui ai demandé si elle est encore vierge et elle m’a répondu en riant : « Quand même pas ! » Je lui ai demandé si elle a quand même rencontré un homme et elle m’a demandé si je sais ce que les lesbiennes font et j’ai compris. Après tout s’est bien passé parce qu’elle était bien ouverte devant et derrière et tout ce qu’elle m’a demandé, c’est de la faire jouir et je me suis appliqué à ne pas finir trop vite. Après nous sommes restés allongés côte à côte. Elle m’a dit qu’elle aime bien que je la baise. Elle a ajouté que si elle doit me faire un enfant, elle préfère qu’on soit mariés. J’en avais l’habitude et on s’est mariés. Nous sommes allés voir le gynéco ensemble et il y a dit qu’il n’y a pas de problème mais nous nous avons dû essayer six mois de suite avant de réussir. La grossesse a été un peu pénible pour mon épouse. On s’était promis de continuer à faire l’amour mais la plupart du temps, elle me branlait pour me faire jouir. J’ai fait des tas de photos de sa grossesse mais quand elle est décédée, je les ai brûlées. Notre fils avait sept ans. Aujourd’hui, il en a quatorze et je sais qu’il a une petite amie parce qu’aujourd’hui, que ce soit garçon ou filles, ils échangent des photos sur les réseaux. Moi, je n’aurais jamais osé me montrer et encore moins mes quatre épouses à leur époque. Ce qui m’étonne encore plus, c’est leur facilité à changer de partenaire. Un jour que mon fils avait invité des copains et copines chez nous, j’ai trouvé un téléphone. J’ai regardé. Il n’y avait pas de code. Les photos, les vidéos. C’était plein de garçons et de filles nues et de scènes dignes d’un site porno, des garçons et des filles dont certains s’amusaient chez moi avec mon fils. Après ça, j’ai commencé à fréquenter ce genre de site sur le net et je me dis que si j’avais connu ça à l’époque, j’aurai pu sauvegarder nos photos coquines. Mes femmes n’auraient pas dépareillé avec leur gros ventre. Bon, je n’ai plus de femme et je me demande si je pourrais en trouver une sur ces sites mais elles semblent plus intéressées par l’argent. Faire ce qu’elles font devant leur caméra ! Et pourquoi pour être plus traditionnel, la femme qui était devant moi ce matin à la caisse automatique du supermarché ? Elle a mis sa carte dans le lecteur puis elle l’a retiré et elle semblait paniquée et la surveillante lui a dit que sa carte est blanche, c’est-à-dire que ça ne contacte pas et la femme l’a frottée sur sa poitrine plusieurs fois et en faisant ça, elle a croisé mon regard parce que je la regardais et la femme a rougi. Elle devait avoir dans les cinquante ans. Visage un peu fatigué, poitrine haute et jolies fesses. Elle a remis sa carte dans le lecteur et ça a marché. Elle a payé puis elle a ramassé ses achats et elle est partie. Je me dis que ça aurait pu peut-être marcher avec elle. Qu’on aurait pu peut-être faire un bout de chemin ensemble, que j’aurai pu la tirer et que je l’aurai tenue au bout de ma bite, que je lui aurai tripoté les seins et les fesses, que je lui aurai mis la main au con et que cette truie aurait aimé ça. Elles doivent être des milliers à aimer ça. Des millions. Quand on voit toutes ses filles qui aiment se montrer à poil sur le net, qui sont fières de montrer leurs nichons et leurs fesses, monter comment elles sont heureuse de faire entrer un gode ou une bite dans leur chatte. J’ai toujours aimé le sexe. Il n’y a pas un jour dans ma chienne de vie où je ne me suis pas branlé. Je me branlais même si je sautais mes différentes épouses. La vraie première fois c’était avec ma grand-mère. On avait été forcés à partager le même lit faute de place. J’avais onze ans. Ma sœur avait un petit lit dans la même chambre. J’étais monté me coucher le premier. Ma grand-mère avait vérifié qu’on s’était bien lavé les dents. Quelle heure pouvait-il être quand elle était montée se coucher ? Quand elle s’était assise sur le lit pour retirer ses chaussons et ses bas, elle m’avait réveillé sans le faire exprès et j’avais commencé à la regarder. C’était la mère de mon père. Elle n’avait eu que deux enfants contrairement à mon autre grand-mère qui en avait eu treize ou quatorze, je ne sais plus et qui avaient tout de gros et particulièrement les nichons. Donc ma grand-mère maternelle était mince et elle avait de la poitrine. A la plage, elle avait toujours un maillot une pièce noir et je pouvais voir la profonde vallée entre ses seins. Je voyais les seins de ma mère et ceux de ma sœur. Enfin, je les imaginais au travers de leur maillot de bain. Il y avait des femmes qui, après le bain, changeaient de maillot. Certaines s’enroulaient dans une serviette de bains, que tenait leur fille ou leur mari et certaines se changeaient seules, rapidement, sans serviette et je les matais. Oups, juste le temps de voir leurs seins. Un mouvement rapide pour retirer le maillot mouillé et un autre aussi rapide pour enfiler le maillot sec. Parfois, elles se trompaient et elles devaient recommencer pour que le maillot soit à l’endroit et je pouvais voir leurs seins plus longtemps. Dans la chambre, il n’y avait que la lueur de la lune. Ma grand-mère s’est dirigée vers le coin du lavabos. Un paravent était censé nous isoler d’elle mais il n’étais pas toujours bien place et j’ai vu ma grand-mère retirer sa combinaison et son soutien-gorge et sa petite culotte. Elle devait avoir l’âge que j’ai maintenant et ses chairs pendaient un peu. C’est courant chez les femmes. Sur ses côtes, ses chairs faisaient un grand pli, provoqué par le poids de sa poitrine. Elle s’est tournée pour poser sa culotte sur la chaise et j’ai vu son sein droit, magnifique, long et pointu, et terminé par un pis aussi long que mon pouce. C’était excitant et j’ai commencé à tripoter ma bite. Ma grand-mère s’est lavée, de bas en haut. Je voyais le mouvement de son coude droit et j’imaginais que le gant de toilette passait sur ses seins et dessous aussi, qu’il le soulevait et qu’il retombait. Après, ma grand-mère s’est lavé le ventre et l’entrecuisse et tout ce qu’il y a entre puis elle s’est lavée les fesses. Je n’ai su qu’après ce que les femmes ont à cet endroit. Après, elle s’est essuyée tout le corps puis elle a posé son pied sur la chaise et pour ça, elle a dû se tourner de côté et j’ai vu distinctement sa silhouette, son sein droit qui se détachait de son corps, majestueux. C’était ça, la mamelle et le bout comme celui du biberon que mon grand-mère mettait dans la bouche des jeunes agneaux pour les nourrir. Je me suis mis à bander. Ce n’était pas ma première érection parce que j’avais souvent des fuites nocturnes comme avait dit ma mère au docteur. Il lui avait répondu que ça arrive et que ce n’est pas grave et qu’il faut bien que les choses se mettent en place. Ma grand-mère a enfilé sa chemise de nuit et elle s’est approchée du lit. J’avais dû me déplacer pour la regarder et j’occupais un peu sa place dans le lit et quand elle a repoussé la couverture elle m’a dit de me pousser, comme si elle savait déjà que je ne dormais pas. Je me suis poussé un peu et elle a pu s’allonger mais en se glissant dans le lit, sa chemise de nuit est remontée sur ses fesses et celles-ci m’ont écrasé la main que ma grand-mère a attrapé pour la repousser et j’ai insisté, peut-être inconsciemment et ma main est retombée sur sa cuisse. « Arrête, m’a murmuré ma grand-mère ! Qu’est-ce que tu fais ? Petit cochon ! » En fait, mes doigts touchaient sa chatte parce que ma grand-mère s’était tournée vers moi. J’avais vu un dessin dans un livre et j’essayais d’imaginer à quoi correspondait ce que mes doigts touchaient. Ma grand-mère m’a attrapé la main mais elle l’a laissée là où elle était. C’était doux et humide. « Qu’est-ce que tu fais ? Petit cochon ! » Comment aurais-je pu deviner que je masturbais ma grand-mère ? J’explorais. J’ignorais alors que cet endroit était la plus belle chose chez une femme, que j’étais né d’un endroit comme ça, qu’il avait fallu que mon grand-père enfonce son pénis pour déposer sa semence, que mon père en était né et qu’il avait fait la même chose avec ma mère et que j’étais sorti par là, ce trou si petit avec ce porte-d****au tout en haut et ces petites lèvres magnifiques. Qu’au bout de six ans de mariage avec ma première épouse, je l’ouvrirai avec un concombre et plus tard avec une aubergine et qu’elle me dirait que je suis fou. Je jouais du piano avec la vulve de ma grand-mère et elle m’a demandé une fois de plus ce que je fais. « Qu’est-ce que tu fais ? » Elle me parlait tout doucement dans la chambre pour ne pas réveiller ma sœur. Elle a lâché ma main et elle a mis ses doigts sur ma bite et elle a dit que je suis un petit cochon. C’était comme une délivrance mais je ne pouvais pas me contrôler et j’ai joui dans ses doigts et elle m’a dit que je devrais avoir honte. Je n’avais pas honte et je pensais à la seconde étape : les seins. J’ai repoussé sa chemise de nuit encore plus et j’ai découvert sa poitrine. Par quel miracle ses seins étaient-ils plus gonflés ? Aujourd’hui je sais que c’est à cause de l’orgasme. J’ai saisi un mamelon dans ma bouche et je m’y suis cramponné avec mes dents, mais pas trop fort pour ne pas faire mal et instinctivement, j’ai tété. Ma grand-mère a posé sa main derrière ma tête puis elle m’a dit d’attendre et elle m’a fait grimper sur son corps et j’ai pu téter le deuxième sein. En quelques minutes, j’avais fait un pas de géant mais ma grand-mère m’a dit qu’il faut dormir. Elle m’a repoussé et elle m’a tourné le dos et je me suis collé dans son dos et j’ai passé la main sous son bras et j’ai attrapé sa poitrine. Elle m’a encore dit que je suis un petit cochon. Je n’arrivais pas à m’endormir et je frottais ma bite sur ses fesses et j’ai eu une nouvelle érection et ma grand-mère ne pouvait pas l’ignorer que ma bite frappait à ses fesses et elle m’a dit que c’est ça que je voulais, lui montrer que je suis un homme et je suis remontée sur elle. Elle a guidé ma bite dans son trou. Bon, ma bite faisait dix centimètres de long maximum à l’époque. J’ai fait ce que j’ai pu. « Chut ! », me disait ma grand-mère mais elle ne m’empêchait pas et j’ai joui je ne sais pas vraiment où. « Tu es content, m’a dit ma grand-mère ? Tu en as mis partout ! J’ai passé la main dans sa toison et j’ai compris que c’était là que j’avais juté. Après, je me suis endormi comme une masse et le lendemain, ma grand-mère a fait comme s’il ne s’était rien passé et moi, je n’ai plus arrêté de bander toute la journée. On est allé à la plage comme la veille mais je ne voulais pas me mettre en maillot de bains et ma mère s’est fâchée et j’ai dû enfiler mon slip de bain mais mon érection déformait le slip et ma cousine m’a demandé ce que j’ai et j’ai mis les mains sur ma bite et ma cousine a insisté en me disant que je suis peut-être malade. On avait le même âge et on a toujours le même âge mais il y a longtemps que je ne l’ai pas revue. Elle m’a baissé le slip sur les cuisses et elle a vu le travail. « Ah, d’accord, m’a fait ma cousine parce que les filles sont en avance sur nous ! » Au même instant, ses règles ont commencé et son maillot a été taché de son sang. Je n’ai jamais rien décidé par moi même et je me suis toujours laissé conduire par la vie et ma bite. Du moment qu’elle était contente, ça m’allait et ça me va toujours. Je sais aussi que j’ai raté beaucoup d’occasions.
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30. avril 2020
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