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Poupée salope 3

Poupée salope 3



Un soir, en baisant, j’ai raconté à Benjamin que, l’été précédent, j’avais recroisé un ex dans un rayon de grande-surface. Il m’a demandé de quel ex il s’agissait et je lui ai dit que c’était un certain Marc, mais il ne voyait pas qui c’était, alors je lui ai précisé que c’était un mec avec qui j’avais eu une courte relation, il y avait bien sept ou huit ans de ça. Une relation exclusivement basée sur le sexe.
Benjamin m’a laissée poursuivre, tout en me pénétrant dans la pénombre de notre chambre.

« On a pris des nouvelles l’un de l’autre. Marc était en couple et il avait un fils de 6 ans. Je lui ai dit que je vivais avec toi et que nous n’avions pas d’enfant. On a parlé de nos boulots respectifs, tout ça. Des banalités. C’était l’été et je portais ma robe préférée, celle que tu m’as offerte au cours de nos vacances en Vendée : celle assez courte et décolletée, ornée de grandes fleurs un peu seventies. »
Benjamin voyait très bien quelle robe c’était. Il l’adorait aussi. Elle se boutonnait devant et était légèrement transparente au soleil. Ses très fines bretelles et le dos dénudé suggéraient fortement de ne pas mettre de soutien-gorge, pour ne pas gâcher le charme, et ce jour-là, dans ce rayon de grande-surface, je n’en portais effectivement pas.
En revanche, je portais une culotte. Une rouge, très sobre, taille basse.
Benjamin a supposé que j’avais des raisons de me souvenir de quelle culotte je portais ce jour-là, et j’en avais, en effet.

J’ai continué :
« Le regard de Marc allait sans cesse de mes yeux à mon décolleté, puis de mon décolleté à ma bouche, tandis qu’on discutait. Puis, à un moment donné, après un court moment de blanc, il m’a dit comme ça :
“Il m’arrive de penser à toi, parfois.”
Je lui ai répondu que ça m’arrivait aussi, à une occasion ou une autre ; que c’était normal qu’on revienne sur notre passé, de temps en temps, en cogitant. Il a remué la tête et m’a dit :
“De quelle façon tu penses à moi, quand c’est le cas ?”
J’ai réfléchi, puis je lui ai dit que des souvenirs me revenaient notamment quand je passais dans certains endroits de la ville, qu’on avait fréquentés tous les deux, à l’époque. Un resto, deux bars.
Puis, quand je lui ai retourné la question, il n’a pas hésité une seconde, il m’a répondu :
“Je pense très souvent à tes fesses.”
Je ne sais pas quelle tête j’ai fait, mais il a souri.
Puis il a ajouté :
“Je ne sais pas pourquoi, mais il y a une scène qui persiste quand je pense à toi. C’était chez toi, dans ta chambre. On venait de baiser et tu as quitté le lit pour aller vers la salle de bain. Je garde l’image très précise de ton cul ce jour-là, et de tes lèvres qu’on voyait à la jonction de tes fesses.”

« J’étais embarrassée, mais j’aimais bien qu’il me parle de cette façon, qu’il soit franc et direct. Et puis le fait d’avoir cette discussion au milieu d’une grande-surface ne me déplaisait pas. Alors, voyant que je rougissais un peu et que je souriais, il en a rajouté une couche en disant :
“J’adorais te prendre par derrière et éjaculer sur tes fesses, tu t’en souviens ?”
Je m’en souvenais très bien.
Et je le lui ai dit. Ça lui a fait plaisir, et il y a eu un autre petit moment de blanc, pendant lequel j’ai regardé autour de nous dans ce rayon de grande-surface. Des gens passaient avec leurs chariots, leurs enfants…
Et Marc et moi, on parlait de sexe.
Il s’est décidé.
Il m’a dit :
« Est-ce que je te choque si je te dis que j’ai envie que tu te foutes à poil dans ma voiture et qu’on baise, sur le parking, dans cinq minutes ? »

Je me souviens qu’une vieille dame passait près de nous au moment où il a posé cette question, mais elle n’a rien entendu. Je souriais toujours. C’était nerveux. Marc souriait aussi. Il attendait une réponse de ma part.
J’ai fini par lui dire :
« J’ai rendez-vous dans trois quarts d’heure avec une copine, en ville. Il faut qu’on soit rapide. »
Il m’a répondu :
« Donc, tu es d’accord ? »
J’ai hoché la tête et il a ajouté :
« Tu es d’accord pour enlever ta robe dans ma voiture, sur le parking, et pour me laisser toucher tes seins pendant que tu enlèves ta culotte ? À moins que tu n’en portes pas ? »
Je lui ai répondu que j’en portais une, puis j’ai dit :
« On se rejoint à la sortie dans dix minutes ? Je n’ai pas tout à fait fini de faire mes courses… »
Il a répondu oui, et, un quart d’heure plus tard, il me suçait le sein gauche tandis que je me cambrais pour enlever ma culotte sur le siège passager de sa voiture. Il avait juste baissé son pantalon et son caleçon à ses chevilles, et il bandait comme un cheval. Sa bite bougeait toute seule, elle donnait des à-coups contre son ventre, et moi je mouillais.

Benjamin bandait à mort pendant que je lui racontais cette histoire. Ses va-et-vient dans ma chatte étaient plus rapides et je sentais qu’il en faudrait peu pour qu’il se retire et qu’il éjacule sur mon pubis.
J’ai continué à lui donner des détails, tout en me branlant le clitoris :
« J’ai eu du mal à me mettre à quatre pattes sur ce siège, et Marc du mal à se disposer derrière moi, à cause du volant qui le gênait et de sa tête qui touchait le plafond de l’habitacle, mais on a réussi. Il n’avait pas de capote, alors il m’a pénétrée comme ça. Sa queue a glissé toute seule entre mes lèvres et j’ai poussé un cri en la sentant toucher le fond. Quelques instants plus tard, un monsieur a ouvert la portière de la voiture d’à côté, et j’ai cru qu’il allait nous voir. Qu’il allait tomber sur mon visage qui était presque collé à la vitre, tandis que je me faisais baiser par derrière par mon ex. »
Benjamin allait très vite. Sa queue était gonflée à bloc, je le sentais. Il n’attendait plus que quelques mots pour en finir.
Alors je les ai prononcés :
« Le monsieur est monté dans sa voiture et j’ai eu envie qu’il me voie. Qu’il voit mon visage, mon regard et mes seins qui se balançaient sous les à-coups de Marc qui me défonçait. Je lui aurais souri, s’il s’était tourné vers moi, mais il ne l’a pas fait. Il n’a rien vu. Il a démarré et la voiture est partie en marche arrière. Quelques instants plus tard, Marc s’est retiré de ma chatte et il a collé son gland sur mon anus pour décharger. »

Sur ces mots, Benjamin a fait la même chose : il a retiré sa bite de ma chatte et j’ai senti une longue giclée sur mes doigts qui titillaient toujours mon clitoris. La deuxième fut moins longue.
Il grimaçait dans son orgasme, je devinais les traits de son visage dans la pénombre de la chambre.
Il a murmuré :
« Salope… »
Je lui ai répondu :
« Oui, je suis une salope. »
Puis j’ai vu son visage s’approcher du mien, et on s’est embrassé sur la bouche avec la langue.

La règle consistait toujours à ne jamais se dire si ce qu’on se racontait était vrai ou faux.

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