Etudiant en dernière année, j’avais un penchant pour les petites black. J’attendais comme chaque année la fournée de 1ère année pour détecter les coquines qui s’y cachaient. 2006 fut donc une bonne année, avec plusieurs nouvelles pensionnaires africaines dans ma cité universitaire. J’avais repéré une jeune ivoirienne élancée avec un visage sage et très doux. Nous avons échangé un regard bienfaisant sans apparemment aucune arrière pensée de sa part. Dans le mois, je l’ai croisé dans une boutique de vêtement avec son copain, ivoirien comme elle, qui selon la rumeur, est avec elle depuis très longtemps. Cette information était une bonne et une mauvaise nouvelle à la fois. Bonne car ça voulait dire qu’il avait dû bien la dévergonder, vu son air de délinquant n’ayant pas peur du vice et mauvaise car si elle est fidèle à son homme, elle serait intouchable. Connu dans la résidence universitaire pour posséder une grosse bibliothèque de livres et pour d’autres faits dont je vous parlerai une autre fois, c’est sans étonnement que je l’accueille dans ma chambre un après-midi, accompagné d’une de ses amies que je connaissais bien. Elle souhaitait un ouvrage de 1ère année sur le droit. Je disposais en élève érudit de tous les ouvrages de référence et c’est donc en ancien avisé que je lui ai recommandé un petit ouvrage de méthodologie. En partant, je lui conseille de revenir me voir dans la semaine pour que je lui donne quelques conseils sur des profs de 1ère année que j’ai eu à apprivoiser à la fac de droit. J’avais déjà ma petite idée derrière la tête et son langage corporel était de bonne augure.
Elle toqua donc un après-midi du mois de novembre, une semaine à peu près après m’avoir emprunté le livre. Ma copine, une étudiante allemande qui habitait dans le même couloir n’était pour une fois pas dans ma chambre. A son sourire en entrant je compris tout de suite qu’il allait se passer quelque chose entre nous. Elle avait pourtant mis un jean bien serré donc je devinais que son intention n’était pas d’aller trop loin. En playboy invétéré, je savais qu’il ne fallait pas que je me précipite, je préférais qu’elle s’offre à moi, qu’elle fasse le 1er pas. D’autant plus que je craignais d’avoir mal interprété ses intentions. Je suis donc resté prudent, sans être distant car j’avais ma main qui la parcourait amicalement autant que possible. J’avais cette théorie qu’il fallait habituer les femmes à mon corps donc les toucher au maximum mais ça c’est une autre histoire… D’explications juridiques en discussion sur son couple, on est passé à des questions d’ordre privé, puis d’ordre intime. J’ai alors commencé à caresser ses cheveux crépus et naturellement défrisés. J’ai alors pris mon courage à 2 mains et j’ai passé mes doigts sur son front, son nez puis ses lèvres. J’ai parcouru avec mes doigts ses lèvres et c’est avec gourmandise qu’elle a sucé mon doigt jusqu’à la dernière phalange. J’ai alors compris que j’étais en terrain totalement conquis, plus aucun risque, je pouvais l’embrasser tendrement. Cette vieille technique du doigt sur les lèvres m’avait déjà permis d’éviter des malentendus et des râteaux qui auraient été fatal à mon égo de mal dominant. Plusieurs minutes de longs baisers passionnés et je l’invitais à se mettre à l’aise. J’étais heureux d’avoir cette jeune femme au corps magnifique dans ma chambre d’étudiant de 15m2. Je l’ai désiré dès le 1er regard et elle est là contre moi. Mon invitation à se mettre à l’aise entraina une réponse surprenante. Elle me dit non, ce non m’a un peu secoué, je me croyais en terrain conquis et là je revenais à la réalité. Puis elle me dit de m’allonger et de me laisser faire. J’étais alors près à me contenter d’un frottis frotta et de baisers langoureux à ce stade, mais à ma grande surprise sa main se dirigea vers mon jean, elle attaqua ma braguette avec méthode, je lui demandais avec surprise ce qu’elle voulait faire. J’ai pensé un instant qu’elle était juste curieuse de voir la taille de la bête et de comparer avec celle de son jules. Dans ce cas, je ne l’aurai pas laissé me découvrir tant que la réciproque n’aurait pas été possible. Elle me dit avec douceur : « je veux juste te sucer ». Stupéfait, le sourire me revient immédiatement à l’esprit mais ne perdant pas le nord, je lui demande pourquoi ne veut-elle pas se mettre à l’aise, que je m’occupe d’elle, que je lui fasse du bien même sans pénétration car c’est juste la 1ère fois. Elle m’avoua un peu confuse qu’elle avait ses règles et qu’elle avait d’ailleurs hésité à passer à me voir à cause de ça car elle voulait me baiser depuis qu’elle m’a vu et surtout que ses copines lui a raconté que fréquemment on pouvait entendre des filles gémir fortement en passant dans le couloir de ma chambre. Je compris enfin que j’avais vraiment affaire à une petite salope et que l’année universitaire s’annonçait sous de bons hospices avec une cochonne comme ça un palier en dessous. Je l’aidais donc à enlever mon pantalon sans toutefois enlever mon caleçon. Elle sortit elle même ma queue par l’ouverture du caleçon et sortit un mot incompréhensible accompagné d’une moue satisfaite qui me fit comprendre que c’était très probablement une onomatopée exprimant sa satisfaction devant la taille respectable de mon engin. Je n’ai pas la queue de Rocco ou de Mandingo mais toutes les femmes qui y ont gouté ne s’en sont jamais plaint. Entre 18 et 15 cm en érection selon mon excitation et une épaisseur correcte, mon pénis n’a jamais été pour moi un complexe. Je n’étais pas en érection mais j’avais déjà pris du volume dans sa main. Je l’embrassais alors, plus pour lui donner de l’entrain que par envie, mon seul désir à ce moment était qu’elle avale ma queue et me fasse gicler dans sa gorge. C’est alors qu’elle se pencha sans hésiter sur ma queue et commença à sucer mon gland circoncis. Ma main palpa alors ses sains lourds et fermes, dignes d’une pucelle qu’elle n’avait à ce moment là plus l’air d’être depuis bien longtemps. Cette jeune ivoirienne de 18 ans toute fraiche s’activait sur ma queue avec détermination. J’étais heureux mais je pensais déjà à comment consolider cette relation. Mon expérience de playboy m’a appris que femme qui jouit et femme qui en redemande. Là j’aurai bien giclé dans sa bouche chaude mais je craignais de la perdre. Toutes ses questions philosophiques disparurent lorsqu’elle prit de la main ma queue pour la branler en même temps qu’elle aspirait. Je l’avertis que ca allait bientôt sortir, avec le même air innocent qu’elle m’avait dit qu’elle voulait me sucer, elle me dit « vas y ». Dans de longs râles de ma voix rauque, je jouis dans sa bouche jusqu’à la dernière goutte. Elle avala avec sourire et alla se laver les mains. A son retour, je lui promis de bien m’occuper d’elle dès qu’elle serait praticable. Elle me dit d’attendre un déplacement de son copain qui logeait actuellement dans sa chambre d’étudiant.
Elle me recontacta deux semaines après pour me demander si j’étais disponible dans la soirée. J’avais déjà pas mal de choses de prévu mais la perspective de gouter à sa chatte et de la voir toute nue était suffisamment motivante pour que je trouve un stratagème pour me débarrasser de ma copine et des copains qui trainent dans ma chambre. Elle arriva à 21h, maquillée, sentant bon un parfum à la vanille. A sa vue, je commençais déjà à avoir une érection, sans attendre je la dévêtis tout en enlevant mon pantalon de jogging et mon tee shirt. La chambre n’était pas grande et le lit était le seul endroit ou s’assoir en dehors de la table de travail. On s’y installa comme la première fois. Pas besoin de préliminaires, elle voulait tout de suite ma queue en elle. Grand adepte du chair contre chair, j’hésitais quand même à pénétrer sans protection cette ivoirienne cochonne qui n’avait pas hésité à gober ma queue dès notre première rencontre en solo. J’enfilais donc un préservatif, sachant que ca avait pour effet de me faire bander mou. Pas le choix, ca sera la capote cette fois-ci. Je n’avais pas eu une érection très ferme mais cette demi molle avait l’avantage d’épaissir ma queue. Elle poussa un cri lorsque je me suis enfoncé en missionnaire jusqu’au fond de sa chatte. Mes lents va et viens en faisant des moulinets avec le bassin et en poussant jusqu’au fond la faisaient crier à la fréquence de mes coups de butoir. J’avais l’impression que c’était douloureux pour elle. On changea de position, en passant du missionnaire au cow girl. Elle chevaucha avec plus d’aisance. Je trouvais qu’elle fuyait une peu ma queue car elle n’enfonçait pas tout dans chatte. Je donnais des petits coups de rein pour rentrer entièrement. Puis je la pris en levrette, c’était magnifique de voir ces belles fesses rebondies et sa taille très fine, ce contraste était hypnotisant. Je la laissai écraser ses fesses sur moi et faire ressortir ma queue jusqu’au gland pour s’empaler à nouveau. Puis je repris les choses en mains en pilonnant sa chatte ce qui fit monter le volume de ses gémissements. Elle n’avait pas joui et je sentais qu’elle n’allait pas jouir aujourd’hui mais elle avait bien pris son pied. C’est ce qu’elle me confirma après et me demandant de me rendre disponible dès que possible. Pour me finir ce jour là, je lui demandais de s’assoir sur moi dans la position « reverse cowgirl », la vue de ma queue qui disparaissait dans sa chatte et de ses fesses qui s’écrasait sur moi me fit gicler dans le préservatif.
Après ce rapport qui me laissa un peu sur ma faim à cause du préservatif, je lui demandais de faire un dépistage pour que l’on puisse le faire sans barrière de latex mais je savais que ca ne limiterait pas les risques étant donné que son copain était un coureur de jupons invétéré et qu’il ne se protégeait pas avec elle. Elle fit quand même le test et une fois que son copain était parti en weekend voir sa famille, elle m’envoya un sms pour dire qu’elle m’attendais un samedi après-midi de janvier dans sa chambre pour que l’on passe le week-end ensemble. J’attendais avec impatience de pouvoir la baiser comme il se faut, avec une érection bien ferme et que ca glisse contre ma peau et non sur du latex. La levrette de la dernière fois m’avait offert une bonne vue sur son petit trou. Je pris donc avec moi mon tube bleu de lubrifiant à l’eau fétiche pour au pire refroidir sa chatte après que je l’ai trop limé ou si j’étais chanceux, m’occuper de son petit trou qui ne me semblait pas vierge non plus.
Nous prîmes donc notre temps sachant qu’on avait plus de 36h devant nous, ma copine n’était pas là depuis quelques jours j’avais donc les couilles bien pleines et je comptais bien me les vider dans chacun de ses trous, un grand chelem j’appelle ça. On commença par discuter, je la questionnais sur sa vie sexuelle. Elle me dit qu’à Abidjan sa vie sexuelle n’a débuté réellement qu’à 16 ans avec un copain de son frère, avant ça elle avait beaucoup branlé et parfois sucé ses petits amis. Le copain de son frère l’a baisé tous les mercredis de la première à la terminale. La première fois pour elle s’était passée comme une lettre à la poste car il l’avait doigté avec 2 doigts et parfois 3 depuis déjà plus de 3 mois. Il avait une grosse queue mais pas aussi longue que la mienne selon elle. Ca devait être un effet d’optique car je vois mal un ivoirien bété avec une queue de moins de 16 cm. 1 er gaou n’est pas gaou n’est ce pas ? Je lui demandais si elle avait essayé la sodomie, elle me dit avec son air innocent et son accent du pays « oui » très nonchalamment. Ma queue gonfla doucement en imaginant comment j’allais savourer m’enfoncer dans ce trou étroit.
Ayant tout mon temps, j’ai commencé par lui caresser longuement les lèvres du vagin et le clitoris en mettant de temps en temps un doigt ou 2 sans aller trop profondément. Je voulais que ca soit ma queue qui ouvre sa chatte. Elle prit ma queue dans sa main et me branla doucement. Ayant la peau du sexe sensible, je lui mis une noisette de lubrifiant dans la paume de sa main et elle me massa la queue lentement. J’étais raide, ma queue était lourde et monumentale. Sa chatte bavait de mouille et je voyais qu’elle savait déjà qu’elle allait prendre cher. Je la mis alors sur moi et ma queue glissa lentement dans sa chatte. Elle respira fortement et lâcha un petit cri quand je la pris fermement par les hanches pour appuyer plus fortement afin qu’elle s’empale mieux sur ma longue queue. Elle chevauchait en lâchant parfois des « ouuuuuuu », « ahhhh oui ». C’était pas pareil que la dernière fois avec préservatif c’est clair. Je la laissai savourer ma queue dans une lente chevauchée. Après plus d’une dizaine de minutes, je l’ai soulevé pour la prendre debout. Du haut de mes 1m90 et 95kg de muscles et d’un peu de graisse faut avouer, elle me semblait si légère avec ses 60kg. Les jambes écartelées avec mes avant-bras, ses mains autour de mon cou, je la soulevai pour qu’elle retombe sur ma queue. Elle n’en pouvait plus, je la voyais à deux doigts de la jouissance, je la posais alors délicatement sur le lit et dans un missionnaire qui s’apparentait à un zouk horizontal, elle jouit jusqu’à verser une larme pendant je m’enfonçais profondément en elle toujours avec un petit mouvement de rotation pour bien la remplir. Elle était KO mais vu mon érection du jour elle n’avait pas fini d’encaisser. Le vagin un peu irrité, elle me demanda de laisser ses chairs intérieures se reposer un peu. J’entrepris alors de mettre du lubrifiant sur ses lèvres et je descendis vers son petit trou. Elle était sur le dos et écarta alors un peu plus les cuisses. Avec deux doigts j’ai frotté énergiquement le clitoris et de nouveau elle fut pris par une orgasme assez puissant. Je repris alors une grosse noisette de lubrifiant pour son petit trou. Je massais autour un moment, puis j’ai mis un doigt pas très profondément. Je rentrais et je sortais avec une doigt jusqu’à ce qu’elle soit bien détendue puis je mis un second doigt. Son cul s’était alors bien dilaté mais était-ce suffisant pour enfoncer ma queue ? En position cuillère sur le coté, elle prit ma queue pour m’aider en rentrer dans son anus bien lubrifié. J’ai poussé fort pour glisser le gland qui peinait à rentrer. Elle lâcha un « ouuuu » quand je fis rentrer la moitié de ma queue dans son cul. Elle me demanda de ne plus bouger pour qu’elle s’accoutume à ma queue dans son cul. Ce que j’aime dans la sodomie, c’est lorsque le cul s’ouvre pour accueillir ma queue. Donc je sortais entièrement pour re-rentrer dans son cul qui se dilatait au fur et à mesure. Au bout d’un moment j’enfonçais tout jusqu’au bout. Elle cria franchement, mes 18 cm rentrant et sortant de son cul entièrement, mais à un moment avec tout le lubrifiant dans la zone ma queue glissa dans sa chatte et la sensation était différente mais encore meilleure. Je commençais alors à alterner entre son cul et sa chatte. C’était génial. Ma copine refusait que j’alterne car ca lui donnait des infections vaginales mais là j’avais le feu vert et je me suis bien amusé. Ma queue devenait de plus en plus lourde comme si le fait de bander depuis plus d’une heure augmentait la densité du sang dans les corps spongieux. Un cri de douleur me fit comprendre que son cul commençait à être en feu, faut dire que je l’ai enculé pendant plus d’une vingtaine de minutes. J’avais quand même pris le soin de bien lubrifié et je rajoutais par moment un peu de lubrifiant en branlant ma queue comme un acteur porno. Elle était là complément épuisée les deux trous béants, elle avait déjà bien joui 2 fois et elle savait que je n’avais pas encore giclé et que j’étais prêt à la baiser encore de longues heures. Elle voulait que je me finisse mais je n’étais pas prêt de m’arrêter. On prit une pause, regarda un programme bidon à la TV, ma queue se désenfla tout en restant un peu lourde. 45 mn après je réclamais une bonne pipe, elle s’était un peu remise. Elle suça dès le début en branlant ma queue pour essayer de me faire gicler comme la 1ère fois. Ma queue reprit sa vigueur et comme elle était quand même encore fatigué j’ai pris les chose en main avec un missionnaire. Naturellement, elle savait comment bien ouvrir les cuisses, je me suis mis à la limer lentement en l’embrassant. C’était doux et je prenais vraiment plaisir à glisser entre ses reins en malaxant fermement ses fesses. C’était bon. Plus de 30 minutes à bouger lentement dans son vagin qui s’asséchait par moment alors elle prenait de la salive avec sa main pour en induire mon gland. Au bout d’un moment elle me réclama le lubrifiant qui était tout froid. Elle aima cette sensation et moi je continuais inlassablement à glisser dans sa chatte qui était bien plus étroite que celle de ma copine. Elle commençait à prendre goût à ce lent mouvement qui maintenait mon érection. J’aimais savourer longuement une chatte et c’était rare de trouver une femme qui supporte les longues pénétrations. Elle commençait à prendre le rythme me réclamant un peu plus de vigueur dans les coups de reins. Je la pilonnais un peu plus fortement et elle jouit une dernière fois. Morte de fatigue, je tapais fort et lentement contre sa chatte tout en palpant ses fesses. Je sentais le sperme montait et j’allais bientôt éjaculer. Je me retire et je gicle une grande quantité de sperme autour de son nombril. Quelle nuit ! il était déjà 3h du matin lorsque je suis rentré dans ma chambre. On avait baisé pendant des heures, c’était génial.
De temps en temps, je passais lui mettre un coup rapide lorsqu’elle était seul. Parfois, je rentrais, sans parler je sortais ma queue et elle suçait sans broncher. Je l’embrassais fougueusement puis je partais en cachant ma queue dans mon large pantalon de jogging pour aller retrouver ma copine qui était heureuse de me retrouver avec une érection digne de nos premiers jours.
Puis j’attendis plusieurs mois après qu’elle était enceinte. Je n’étais pas très serein. Certes j’avais giclé sur son ventre mais j’ai quand même du lâcher une fois quelques gouttes dans sa chatte pendant les nombreuses fois où je l’ai limé. Effectivement, elle était enceinte, elle avait pris beaucoup de poids. Je l’ai alors évité comme la peste.
6 ans après, je la retrouve sur les réseaux sociaux, elle me dit qu’elle vit pas trop loin de là où j’habite. Sur les photos de son profil, elle avait au moins pris 15kg. Son ventre n’était plus très plat et je devinais la cellulite. Ses seins avaient doublé de volume et ses fesses étaient encore plus charnues. Après quelques échanges, elle me dit qu’elles étaient toujours avec son copain, le père de son fils et qu’il était toujours volage. J’avais l’envi de re-gouter à sa chatte qui ne devait pas être aussi étroite mais qui devait quand même être encore très appétissante. Je lui fixais alors un rendez-vous, un dimanche après-midi d’avril 2012. Elle arriva pimpante malgré les heures de TGV, avec un jean moulant et un haut décolleté qui me donna envi de m’étouffer dans ses seins. Je la trouvais encore jolie, c’était une vrai femme maintenant, une maman même. On s’embrassa et on passa vite au chose sérieuse. Elle sourit lorsqu’elle vu à nouveau ma queue qui lui avait fait tant de bien il y avait déjà quelques années. J’enlevais la belle lingerie qu’elle avait et je mettais ce satané préservatif. A ma grande surprise son vagin était toujours bien étroit, c’est seulement au bout de 20 minutes que je sentis qu’il était quand même plus large une fois bien dilaté. J’en profitais pour la doigter et lui caresser le clitoris. 2, 3 puis 4 doigts dans la chatte, elle miaulait comme le gamine que j’avais connu arrivant à la cité U. Elle avait pris son pied, sans avoir d’orgasme fulgurant, je sentais que ca luit avait fait du bien. Je l’aidais à se rhabiller et elle s’étonnait que je n’ai pas encore éjaculé. C’était le préservatif que je ne supportais toujours pas. A genoux sur le tapis de ma descente de lit, elle mit ses longues tresses de coté et commença à me pomper frénétiquement. Il y avait un miroir sur le mur qui me donnait une vue de profil de la scène et la vue de cette belle femme en talons qui pompait ma queue m’a fait bandé dur. Elle avait un train dans 25 minutes et ca faisait déjà plus de 10 minutes qu’elle suçait. Pout accélérer les choses, je saisis sa tète avec ma main et je me mis à baiser sa bouche jusqu’à ce qu’elle ait du mal à respirer. Puis elle me branla en suçant le gland et je giclais abondamment dans sa bouche dans une des éjaculations les plus agréables et intenses que j’ai connu.
Quelques moi après, elle revint me voir. Cette fois ci, j’avais trop envi de la baiser comme avant. Je pris le risque de ne pas mettre de préservatif. Ce fut génial, pour pimenter le tout je prie mon Ipad pour filmer par moment. Ses grosses fesses qui rebondissent sur ma queue, ses cris lors de levrette pendant laquelle je m’enfonce trop profondément et toutes les positions qui permettent de filmer anonymement ont été exécutées. Elle était heureuse d’avoir bien baisée. En partant elle me donna même le programme de notre prochaine rencontre : une bonne sodomie. Elle me laisserait alterner entre son vagin et son petit trou comme à la bonne époque.
Depuis lors je me suis casé et je suis fidèle à ma petite allemande qui est l’amour de ma vie. Elle a vu, en fouillant dans mon disque dur, une des vidéos où les énormes fesses de mon ivoirienne préférée s’écrase sur ma longue queue. Elle est depuis traumatisée par son petit cul et elle pense que je suis frustré. Elle s’est donc mise au squat pour avoir des fesses rebondies. Ca a surtout permis de lui donner de l’endurance lorsqu’elle me chevauche. mais ca c’est une autre histoire.
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