La mère d’élève
Je revins le mercredi suivant pour donner les cours et lorsque ce fut l’heure, Cathy (c’est son prénom) arriva avec son fils. Mini jupe et collant (ou des bas, je le su plus tard). Je discernai l’envie dans son regard et les images de la semaine précédente revenaient à ma mémoire. Je la senti soumise et prête…. Le cours se passa comme à son habitude et elle parti avec son fils. A la porte de la classe, elle me susurra :
Cathy : Dinons ensemble ce soir. Mon mari garde les enfants, je me suis arrangée.
P : D’accord, je fini à 18h30. Retrouvons nous devant.
J’ eu du mal à terminer mes cours, tant de chose me trottaient dans la tête.
L’heure arriva, je fermai ma classe et sortait. elle m’attendait déjà devant le centre.
J’ eu de suite, envie de passer une main sous sa jupe… Depuis 2 heures je ne pensais qu’ à cela. Mais, à cet instant, je me gardais bien de laisser libre cours à mes pulsions. Attendre encore !
Au lieu de sortir, je l’invitais à revenir à l’intérieur. A cette heure, les secrétaires étaient parties, il restait juste quelques professeurs dans leur classe et la lumière dans le bureau du directeur indiquait également sa présence.
Assis dans le hall, nous décidions du restaurant ou nous irions quand je lui dis tout bas d’un ton impératif :
P : Ôtez votre culotte !
Cathy : Comment ?
P : Ôtez votre culotte !
Elle bredouilla,
Cathy : ici ? maintenant ?
P : oui
Cathy : je ne peux pas, on va me voir.
P : et alors ? De toute façon il n’y a personne !
Cathy : Non !
P : Dépêchez vous !
Cathy : Je ne peux pas !
Je me levai.
P : Suivez moi !
A son tour, elle se leva. Je l’entraînai dans les toilettes. Une fois à l’intérieur je lui soulevai rapidement la jupe pour descendre ses collant et arracher violemment sa culotte. Elle se débattait un peu mais je la sentais offerte. Je passais rapidement deux doigts dans la raie de ses fesses pour sentir son anus serré et sur son sexe que je sentais déjà humide.
P : Voilà comme ça c’est mieux dis-je en remontant ses collants et en laissant retomber la jupe sur ses cuisses.Nous pouvons aller diner. La prochaine fois, ce sera quand je vous le demande qu’il y est du monde ou pas.
Elle ne dit rien.
Assis l’un en face de l’autre dans un coin de la salle d’un restaurant aux lumière tamisées, je la regardai, elle était vêtue d’un haut noir, moulant avec col montant noué dans le cou et ouvert sur épaules. Cela laissait apparaître les pointes des ses seins, petits mais joliment dessinés. En la regardant je senti ma verge gonfler de désir. elle ne portait pas de soutien gorge…
J’avais remarqué ses chaussures, de jolies bottines en dentelles avec des talons pas trop haut, qui allaient très bien avec sa jupe.
Le serveur passa prendre la commande puis je me levai pour aller me laver les mains. Cathy me suivit
Tous les deux côte à côte, nous lavant les mains dans un silence torride, tout pouvait basculer. Les images de la culotte arrachée me revenaient et il me fallut beaucoup de maîtrise pour ne pas la trousser dans cet endroit. je me voyait la plaquer sur le meuble du lavabo, lui trousser la jupe, déchirer ses collants pour la forcer brutalement par derrière. Elle du deviner mes pensées car sans que je m’y attende elle plaqua une main sur mon sexe et me dit :
Cathy : Prenez moi ici, par derrière, je vous offre mes fesses ».
P : Non dis-je sèchement, bien que que cette idée m’excita au plus haut point.
Cathy : Je suis à vous, enculez moi!
Je ne pu retenir ma main qui cingla ses fesses.
P : Lorsque je le déciderai, ce n’ai pas le moment. Un peu de tenue. Vous vous montrer comme une chienne en chaleur.
Cathy : J’attends depuis tellement longtemps votre sexe…Prenez moi ! Maintenant je vous appartiens, je suis votre soumise !
P : Et bien vous attendrez encore.
Tout était dit ! Je senti à ce moment un sentiment de domination extrême, une grand jouissance intérieure.
Il était temps de regagner notre table.
L’apéritif était servi. Les coupes de champagne allaient contribuer à notre appétit sexuel. J’entamai une discussion ayant attrait à ses fesses afin de l’exciter davantage et je dis à Cathy :
P : Vous avez de très jolies fesses, très excitantes.
Cathy : Merci, elle sont à vous.
P : J’en ferai donc usage à ma guise et lorsque bon me semblera.
Cathy : Oui.
P : Oui qui ?
Cathy : Pardon ?
Je tentai d’insinuer en elle la notion d’appartenance. J’attendais qu’elle prononce le mot qui unit une soumise à son maître.
P : Lorsque vous me parlez, j’attends de vous, qui disiez être dorénavant ma soumise, une marque de respect indispensable à tout rapport de ce type.
Cathy : Oui…. Monsieur ?
P : Bien. C’est ainsi que vous devrez me nommer tant que je ne vous donnerais pas la permission de faire autrement.
Sous la table, j’avançai mes pieds pour la toucher, je la senti frémir. je frottai ma jambe cotre son mollet…
Je tendis ma coupe et lui dis :
P : Baissez votre collant !
Cathy s’exécuta, excitée par la situation. Elle fis descendre ses bas jusqu’aux mollet, la nappe cachait juste ce qu’il fallait. M’aidant d’un pied, je me déchaussai et posai l’autre pied sur la chaise entre ses cuisses tout contre son sexe que je commençai à frotté.
Une fois mon court massage terminé, je lui dis :
P : A vous maintenant !
Cathy : Pardon Monsieur ?
P : A vous de vous caresser !
Cathy : Là devant tout le monde Monsieur ?
P : Oui, passez votre main sous la table, remonter votre jupe et masturbez vous.
– ….
P : Oui comme ça, ne jouissez pas et continuons à parler.
Nous parlions maintenant des rapports qu’elle avait avec son mari, elle me racontai ses envies ses fantasme tout en frottant son sexe. Elle semblai très excitée, je l’encourageai à raconter en détails ses envies et fantasmes.
Elle était au bord de la jouissance lorsque je lui intimai l’ordre d’arrêter.
Cathy : Non, s’il vous plait Monsieur, encore.. je vais jouir…
P : Je ne veux pas…pas encore, laissez durer le plaisir, le votre, le mien et …. Regardez à votre droite …Le couple à deux table de nous.. Tous les deux lancent des regards vers vous.. je crois qu’ils nous ont remarqués.. Laissez votre main sous la table et faîtes leur comprendre que vous les avez remarqué.
Cathy : Oui… je les observe ! La femme me sourit..Monsieur
P : Reprenez lentement votre mouvement en la regardant avec insistance…
Cathy : Je crois qu’elle fait pareil. Elle passe la main sous la table… Oui elle se touche aussi.. Cela m’excite Monsieur.
P : Moi aussi ! continuez… Je la regarde… Son mari vous observe également. Il doit bander.
Cathy : Humm
Cathy se masturbait en regardant la femme dont l’homme se délectai de voir ce duo se donner du plaisir. Je contemplai cela avec une grande excitation.
Cathy : Je vais jouir Monsieur me dit alors Cathy.
P : Oui vous pouvez, mais sans le laisser paraître…Prenez votre plaisir je vous l’autorise
Cathy : Oui merci Monsieur, haleta-t-elle
Je la vis s’ adosser avançant ainsi ses fesses sur le rebord de la chaise, quelques gémissements presque inaudibles mais réels sortaient de ses lèvres entrouvertes.. Sa jouissance était imminente. Les paupières mi-closes, je l’entendis râler, elle jouissait en resserrant les jambes sur sa main.. La femme du couple ne la quitta pas des yeux pendant l’orgasme… lui souriant d’un air complice elle passai discrètement la langue sur ses lèvres rouges…Son homme n’en perdit pas une miette et sourit lorsque sa femme poussa un petit cri en signe de plaisir.
Le dîner se poursuivit.
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