J’ai vécu au foyer de mes parents dans la région Toulousaine. Jusqu’à l’âge de 10 ans, peu avant le divorce de mes parents le sexe était interdit à la maison. Nous habitions dans un immeuble dans une cité. Il y avait une trentaine d’appartements dans notre tour. Principalement des ouvriers comme mes parents.
J’avais un camarade de l’immeuble avec qui nous faisions les 400 coups. Et dès le départ de mon père, au grand désarroi de ma mère, mon comportement ne changea pas. Ma mère m’a eu à trente ans. Elle était petite, un peu boulotte, de gros seins qui avaient tendance à pendre et un gros cul. Elle était à cheval sur la discipline. Au départ de mon père, elle ne rencontra plus d’homme. Et étrangement, je rêvais de faire l’amour à ma mère, au mépris des lois de la nature. Un matin, je la surpris dans la salle de bains, nue, entrain de se laver sous la douche. Je sortais des cabinets, et je venais me laver les mains. Elle croisa mon regard qui s’attardait sur son opulente poitrine, et je sortis par pudeur, le cerveau en ébullition. J’avais 14 ans.
J’en parlais à mon pote Hervé. Il me répondit que cela lui semblait normal, car lui aussi désirait fortement se mère. Il semble que nous aimions tous les deux les femmes mûres. Il m’expliqua que ses parents étaient relativement ouvert au dialogue concernant le sexe. Les parents de Hervé avaient d’ailleurs déjà fait l’amour devant leurs progénitures. Cela me surprit ce manque de pudeur et Hervé me rassura :
Si tu veux, on fixe un soir, et tu viens à la maison. C’est mieux qu’il film de cul, crois-moi !
J’étais impressionné par les déclarations de Hervé, mais dans la semaine, il m’invita à venir y passer une soirée. Je fus accueilli par Monique, la maîtresse de maison. Elle avait bien 45 ans, et était dodue. La papa de Hervé, Pierre, était un baba-cool. Il était assis dans le salon et regardait la télé d’un œil distrait. Hervé arriva avec un grand sourire, il me fit un léger clin d’œil. Je ne compris pas la signification de suite.
Je compris qu’il y avait de l’eau dans le gaz entre les parents de Hervé. Flûte ! J’avais l’impression que notre petite soirée coquine allait tourner en eau de boudin. Je restai interdit dans le hall d’entrée lorsque Hervé m’invita à pénétrer dans la chambre de ses parents. Il ferma la porte derrière lui.
Ecoute Josh, quand j’ai parlé à mes parents de notre petit trip, cela à coincé…
Ah ?
Oui, mais ma mère va venir dans la chambre, et je pourrais lui faire l’amour, c’est le cadeau de mes 14 ans, si tu veux…
Ah ?
Tu pourras regarder bien évidemment…
Ecoute…
Ou participer, si ma mère le désire…
Je n’eu pas le temps de répondre que la porte s’ouvrit sur Monique. Je restais silencieux dans un coin de la pièce. Je vis que Hervé ne la ramenait pas non plus. Tous sourires dehors, Monique baissa son pantalon style jogging, qui cachait ses rondeurs. Elle se retrouva en petite culotte, ses cuisses dodues et blanches à ma vue. Je sentis mon sexe commencer à durcir. Puis elle ota sa veste et apparut seins nus. Elle avaient de gros seins aux larges auréoles avec de gros tétons au bout. Elle avait également son ventre un peu rebondit. Elle rangea ses vêtements dans un coin de la chambre, ce qui fit agiter ses seins et qui m’excita encore plus.
Bon, dit Monique, je suis nue, à qui le tour ?
Hervé semblait perdu, assis sur le lit de ses parents. Monique le regarda, puis se tourna vers moi :
Si rien ne se passe, je ne vais pas rester comme une gourde toute nue devant vous. Tu veux bien me montrer ton excitation, Josh ?
Par un effort surhumain, je descendis la braguette et libérais mon sexe gonflé. Je vis que Hervé faisait de même. Monique s’approcha de moi, et vis mon état. Elle prit mon sexe dans sa main. C’était la première fois qu’une femme me touchait ma queue. Elle me décalotta le gland en souriant. Je vis son sexe, touffu, fournit en poils bruns sous son ventre arrondit. Elle me branla doucement faisant durcir encore plus ma tige. Hervé s’approcha, elle lui saisit son sexe délicatement. Elle le branla doucement à lui aussi. Puis Monique, s’assit sur le lit tout en nous masturbant en souriant, nous nous tenions debout devant elle. Je sentais la chaleur dans le bas de mes reins, je voyais bouger ses gros seins. Hervé s’était d’ailleurs saisit d’un sein qu’il tripotait dans tous les sens. Monique gloussait de plaisir.
Alors, mes chéris, on aime ?
Oui, madame, dis-je.
Je commençais à sentir mes dernières barrières, lorsque Monique s’allongea sur le dos. Elle écarta ses cuisses révélant sa chatte poilue. Avec deux de ses doigts, elle s’ouvrit son sexe et la chair rose nous apparut comme un éclat dans la nuit.
Hervé, dit-elle, vient poser ta langue, mon chérie.
Oui, maman dit-il.
Il s’exécuta et lui lécha son sexe de haut en bas. Monique poussait de petits cris et gigotait dans tous les sens. Je ne pus m’empêcher de lui sucer un téton. Je jouais avec les dents de manière à le durcir. Monique semblait dans tous ses états, et le lit grinçait à tout rompre. Puis, poussé par le désir, j’approchai ma bite de la bouche de Monique. Elle me goba le gland et s’engouffra ma tige jusqu’au couilles. Quelle délicieuse sensation. Ce fourreau brûlant était exquis. Monique, au bout d’un court instant ota ma bite d’entre ses lèvres pour dire :
Hervé, vient !
Mon pote se releva et cala son gland dans l’entrée du sexe de sa mère. Je me demandai si j’allai voir un i****te se dérouler sous mes yeux. Certainement, car sans forcer, la bite de Hervé s’enfonça dans la chatte de sa mère.
Oui, mon chéri, c’est bon…vas’y continue les va et vient ! Oui, c’est bon comme ça ! Tu es un Dieu !
Han ! Han !faisait Hervé.
Il baisait la chatte de sa mère à longs traits, s’enfonçant jusqu’aux couilles à chaque fois. Monique, les cuisses écartées avaient les jambes relevées au-dessus de nos têtes. Je regardais cette chatte sombre, écartelée par la bite de Hervé et il me semblait voir perler quelques gouttes de plaisir d’entre leurs poils réunis. Monique s’appliquait à me sucer magistralement. Et sans m’en rendre compte, face à toutes ces visions, un premier jet de sperme parti dans la gorge de Monique lui arroser les amydales. Suivis de deux autres puissants jets. Je me tendis comme un arc, et m’écroula sur le lit.
Vers dix heures du soir, mon copain Hervé me secoua.
Réveille-toi, Josh ! Tu dois rentrer !
Je le remercia et me sauvai chez moi. J’avais la bite en feu, et plein de souvenirs et d’odeurs dans la tête. En entrant, sans faire de bruit, je courus me réfugier dans ma chambre.
Je ne revis pas Hervé de suite. D’ailleurs, peu de temps après cet épisode, sa famille déménagea et je ne le revis plus. Dommage, j’ai apprécié la caresse de sa mère.
Ma mère avait trouvé du travail, elle était de moins en moins souvent à la maison. Par contre, j’avais récupéré une femme de ménage. Et bien sûr, elle venait durant les mercredi après-midi, lorsque je n’avais pas cours. En fait, madame FAL habitait dans notre tour, et faisait des ménages au black. Elle avait la cinquantaine, vivait depuis plus de dix ans seule. Elle était de taille moyenne, cheveux bruns, poitrine opulente et hanches larges : elle avait eu des enfants. Elle n’avait pas un beau visage, un peu ridé et blanc. Elle portait son éternel tablier à carreaux bleu, mauve et vert. Malgré tout, madame FAL était gentille, et toujours agréable avec moi. La seule chose, lorsque elle passait l’aspirateur, c’était intenable le bruit qu’elle faisait. J’allais me réfugier dans ma chambre pour regarder des films au magnétoscope. Très souvent pornographique. Aucun risque de me faire surprendre, je pouvais me branler tout mon saoul, ma mère frappait avant d’entrer, et madame FAL, ne s’est jamais aventurée jusque dans ma chambre. D’ailleurs dès la fin du bruit de l’aspirateur, je coupai le film, donc pas moyen de gauler le Josh !
Cette fois-ci, pourtant, madame FAL vint dans ma chambre et ouvrit doucement la porte sans que je ne m’en aperçoive, plongé que j’étais dans le film, et serein avec le bruit de l’aspirateur dans la salle à manger. Quand j’eus capté la situation, c’était trop tard : j’avais la main sur mon sexe bandé, le film défilant devant mes yeux, et madame FAL à côté de moi, la bouche ouverte, et confuse de m’avoir dérangé dans cette situation. A l’écran, une belle blonde aux gros seins se faisait prendre par deux gaillards.
Madame FAL me dit :
Vous avez raison, elle est très jolie avec ses gros seins !
Je demeurais interdit, mais je lui glissai pour la rassurer :
Vous aussi vous devez avoir de beaux seins !
Elle me regarda et dans son regard, je lu une vague de plaisir.
C’est gentil ! Je suis venue parce que l’aspirateur de votre mère semble être coincé en position marche…Je…je ne voulais pas vous déranger…
Je me levai, rangeai mon sexe et je suivis madame FAL jusque dans la salle à manger. Effectivement le bouton marche-arrêt ne semblait plus fonctionner. Je débranchai donc l’appareil et le moteur stoppa.
Et voilà ! dis-je triomphant.
– Excusez-moi, pour tout à l’heure, moi-même, je me souviens que je ne rentrai jamais dans la chambre de mes enfants sans m’annoncer avant. Je ne dirai rien, promis, rajouta-t-elle.
Soudain, du haut de mes quinze ans, j’eu envie de cette femme mûre. Je lui dis :
Certes, mais qui me dit que vous n’irez pas le révéler. Je ne peux pas avoir confiance en vous si je n’ai pas quelque chose de vous en échange !
C’est vrai, me répondit-elle, mais qu’est-ce que vous voulez de moi ? J’imagine qu’à votre âge, si je vais dans votre sens, vous vous intéresserai plus à des filles de votre âge que du pauvre femme comme moi.
Montrez-moi vos seins, dis-je.
Vous plaisantez ! dit-elle alors que je voyais le rouge lui monter jusqu’aux oreilles.
Cela fait combien de temps que vous n’avez pas vu un homme nu à côté de vous ? C’est trop facile, vous vous êtes rincée l’œil, et moi je reste comme un gland. Et vous voulez que j’ai confiance ?
Vous…vous êtes cinglé ? Je ne vais pas vous montrer mes seins ! Où vas-t-on ?
Ca vous coûtes rien, dis-je.
Et ma pudeur ?
Et la mienne ?
Madame FAL se sentie prise au piège.
Bon, ce soir, passez vers 20 heures à la maison, cela me laisse le temps de réfléchir…
A faire quoi, madame FAL ?
A vous monter mes seins, jeune insolent.
Elle quitta l’appartement.
Le soir-même, excité à l’idée de voir les seins de madame FAL, je grimpais quatre à quatre l’escalier et les étages qui séparaient son appartement du mien. Je toquai à la porte de son logement, elle m’ouvrit de suite, m’attendant certainement derrière la porte, au risque de faire des scandales avec ses voisins. Elle me fit entrer. Elle vivait dans un petit deux pièces, avec une cuisine qui faisait salon, et une chambre. Elle m’invita à m’assoir dans le canapé en tissus vert. Madame FAL, s’assit à côté de moi mais à l’autre bout du canapé. Elle était vêtue de la même manière que tout à l’heure à la maison. Elle enleva son tablier et sous mes yeux désireux, elle fit passer son pull blanc au-dessus de sa tête, laissant apparaître sa poitrine opulente, retomber sur son ventre.
Et voilà, me dit-elle.
Ses seins, volumineux et blancs pendaient incontestablement. Par contre, les pointes de ses tétons étaient couleur crème comme ses auréoles grosses comme des patch de cigarettes. Je lancai ma main et lui attrapai son sein gauche. Je le triturai pour faire ressortir le bout. Puis j’approchai ma langue et je lui suçota le bout. Madame FAL ne disait rien. Au contraire, elle se laissait faire. Elle me dit au bout d’un moment :
Je parie que tu veux voir le reste ?
Comme je ne répondais pas, elle se leva et tombant son pantalon, faisant ressortir ses hanches grasses.
Alors, désires-tu toujours une femme comme moi ? me demanda-t-elle.
Je me levai et lui glissai :
Bien sûr, mais attention, je suis encore puceau. Je n’ai que 15 ans.
Elle m’aida à enlever mon pantalon, je me retrouvai nu devant elle, mon sexe bandé devant elle. Elle le prit dans sa main et commença à me branler doucement.
Tu aimes ? me demanda-t-elle.
Bien sûr, répondis-je.
Je m’allongeai par la suite sur son canapé, Mme FAL entre mes jambes. Elle me prit délicatement mon gland dans ses lèvres goulues, et m’aspira ma bite jusqu’aux couilles. Elle me fit une merveilleuse fellation, je voyais monter et descendre sa tête brune. A certains moments, elle poussait de petits grognements, surtout lorsque ma bite lui touchait le fond de sa gorge. Mais moi, je voulais lui toucher son sexe. Je me dégageai donc et me glissai à mon tour entre ses jambes. J’approchai ma langue de son sexe brulant, de mes doigts, je lui écartai les lèvres fines mais sombres, couvertes de poils bruns. En deux coups de langue, je vis un flot de mouille odorant se déverser dans ses poils.
Oui !, c’est bon ! Continue, tu vas me rendre folle ! me disait Mme FAL.
Puis, j’eu envie de me glisser dans cette grosse chatte. Je me redressai et collai mon gland contre l’entrée de cette vulve humide.
Tu sais ce que tu veux ? me demanda Mme FAL
Oui, lui répondis-je en commençant à m’enfoncer.
Une douce chaleur envahis mon sexe, et je vis les yeux de mon amante se révulser sous le plaisir. Je plongeais ma bite jusqu’aux couilles. Puis, je me mis à la pilonner, lui arrachant des gémissements à chaque coups. J’étais heureux, je n’étais plus puceau. Je sentais une légère houle agiter doucement les hanches grasses de Mme FAL. Je saisis son sein gauche et je le lui suçai pour faire ressortir les bouts.
Aaah ! Cria-t-elle. Petit salaud ! Comme c’est bon de se faire baiser ! Je mouille comme une vieille salope. Mon Dieu, cela faisait trop longtemps que je ne m’étais pas faite baiser comme ça ! D’ailleurs, cela faisait un moment que je n’avais pas baisé du tout ! Continue ! Tu vas me faire jouir ! Enfonce-toi…bien au fond…oui…déchire-moi…ça vient…ça vient, je le sens ! Enfile-moi, continue ! Oui ! OUI !OUIII ! JE JOUIS ! ! ! RAAAAAHHHHH !
Le corps de Mme FAL était agité dans tous les sens, et un serrement au niveau de l’entrée de sa vulve me déclencha une vague de plaisir, et je me vidai dans son sexe. Des frissons me parcoururent dans tous le dos. Je venais de baiser ma première femme, j’étais heureux, je reposai ma tête sur sa poitrine opulente.
Notre relation se poursuivait normalement, le soir généralement vers 20 heures, je montai chez Mme FAL, et nous faisions l’amour pendant une ou deux heures. Ma mère ne savait rien, car nous gardions notre secret. Pourtant un jour Mme FAL me fit une proposition :
Serais-tu dérangé si une autre personne venait observer nos ébats ?
Une autre personne ?
Oui, une amie à moi. Elle est célibataire, et s’ennuie à la maison me dit-elle avec un petit sourire.
Observer nos ébats ? Elle est voyeuse ?
Non…enfin oui, je pense…
Mais comment est-elle au courant pour nous deux ?
Je le lui ai dis.
Bravo pour la confidentialité !
Elle ne dira rien.
Ouais, elle a envie de baiser…
Tu pourrais l’honorer ?
Après toi ?
Ensemble, me dit Mme FAL
Quand ?
Je l’appelle…et je te le dirais.
Un soir ma mère s’inquiéta de mon départ. Elle me questionna :
Mais tu vas où, tous les soirs ?
Je vais jouer aux jeux vidéos…
Chez qui ?
Mais chez Pierre, maman.
J’étais sûr de mon alibi, car Pierre, un ami d’enfance me couvrirai. Mais ma mère poursuivit son interrogatoire :
Madame MARTINEZ m’a parlé l’autre jour. Elle m’a dit qu’elle était inquiète de te voir souvent à « cet endroit ». C’est sûr que tu ne joues qu’aux jeux vidéos ?
Mais oui, maman, et puis de quoi elle se mêle la concierge ?
Madame MARTINEZ était la concierge de l’immeuble attitrée. Elle récupérait le courrier entre autres et nous le distribuait. Elle avait eu 50 ans cette année. Je le sais car on a fêté son demi-siècle. Elle m’était excessivement désagréable, je ne pouvais pas la saquer. Physiquement, elle était petite, boulotte et plutôt moche. Elle portait souvent des chaussettes de couleur chair qui lui remontaient sur ses mollets, et une robe de couleur grise qui s’arrêtait au niveau du genou lorsque elle faisait le ménage dans les locaux communs. Un tue l’amour en quelques sortes. D’ailleurs, je suis sûr que son mari ne devait plus se la sauter. A méditer.
Je suis monté comme prévu chez Mme FAL. J’ai toqué discrètement à la porte de son logement, et elle m’a ouvert. Dans son canapé attendait une autre femme d’une soixantaine d’années. Elle se leva à mon approche et nous nous sommes embrassés sur les joues. Elle se présenta :
Bonjour Arlette.
Enchanté, Josh !
Arlette est venue nous observer faire l’amour comme je te l’avais expliqué l’autre fois. Elle est bi-sexuelle…enfin une bi-sexuelle un peu particulière.
Je n’ai pas compris le terme de « bi-sexuelle un peu particulière » mais je fis mine d’avoir fait celui qui avait parfaitement compris. Mme FAL, me mit de suite sa main sur mon entrejambe, et en moins de deux minutes, je me trouvais nu dans le salon devant ces deux femmes mûres. Mme FAL me suçait alors que Arlette nous observait assise sur le canapé.
Il a une grosse bite ! dit Arlette.
Mme FAL, tout en continuant à ma branler, se tourna vers elle.
Je te jure qu’il te remplie bien !
Et, elles se mirent à rire. Arlette se leva, et je pus voir qu’elle n’était pas bien grande, qu’elle était l’inverse de Mme FAL : Petite, menue, les cheveux blancs courts bouclés. Sans autre forme de procés, elle se déshabilla devant nous. A son tour nue devant moi, je pus voir ses petits seins menus qui tombaient légèrement, un ventre un peu arrondi muni d’une cicatrice correspondant à une opération de l’appendicite, des fesses minuscules, un entrejambe peu poilu. Elle se rapprocha de nous et dit :
Va te déshabiller, je continue.
Mme FAL se mis nue devant nous, libérant ses gros seins, et ses hanches grasses. Pendant ce temps, Arlette goûtait à ma bite, tout en me tripotant les couilles. Puis, elle se mit à genoux sur le tapis, et invita Mme FAL sous elle. Celle-ci se déplaça et vient se placer sous elle de manière à avoir sa tête sous son entrejambe. Elle commencèrent à se gouiner, et à pousser des petits cris de souris. Je voyais mon amante s’envoyer en l’air, j’en étais un peu blessé. Mais, Arlette m’invita au niveau de sa bouche. Je me mis à genoux, et elle me reprit en bouche. Puis, elle me laissa et je la voyais qui bouffait la chatte poilue et bien grasse de Mme FAL. Elle lui ouvrait ses lèvres brunes et y glissai dedans une petite langue agile. Elle me repris mon sexe dans sa main et me dirigea vers le sexe de Mme FAL. D’un long trait, je m’enfonçai dans ce sexe humide. J’entendis un long feulement. Arrivé aux couilles, je commençai mon long travail de démolition, à savoir lui démonter sa grosse chatte, sous le regard narquois de Arlette. Je ne voyais par réellement ce qui se passait du côté de l’entrejambe de Arlette, mais je me doutais que c’était agréable, car je la voyais sourire et faire de doux mouvements d’avant-arrière, les yeux fermés. Je continuais à m’enfoncer dans la chatte de Mme FAL, et Arlette, titillait le clitoris arrachant des soupirs de sa propriétaire. Puis Arlette me dit :
A moi, maintenant !
Elle m’enleva du sexe chaud et accueillant, couvert de mouille et me dit :
Viens d’occuper de moi !
Et elle replongea son visage dans le sexe de Mme FAL. Je fis le tour des deux corps allongés, pour me retrouver devant les fesses de Arlette, et la tête de Mme FAL, qui me regardait en souriant. La main de cette dernière était enfoncée jusqu’au poignet dans le sexe de Arlette. Mme FAL me dit :
Il ne te reste qu’un trou, de toute manière, Arlette ne supporte pas d’être pénétrée par un homme, par sa chatte. Profites en !
Une forte envie se fit naître en moi. Je voyais cet œil brun entièrement épilé qui s’ouvrait et se fermait au rythme des pénétrations de la main de Mme FAL. Je collai donc mon gland dans cette entrée brune et poussai doucement, ayant vu déjà dans des films, des nanas saigner après une sodomie. Mais contrairement à ce que je pu croire, je m’enfoncai doucement dans ce boyau, malgré la main qui prenait une grande place. J’était tellement excité que je voulais directement percé cet orifice. Arlette se tourna :
Doucement, tu me déchires !
Mais derrière moi, Mme FAL d’une poussée de sa main libre m’invita à m’enfoncer encore plus.
Vas’y Josh, tu n’en a cure de ses plaintes ! Encule-la ! C’est ce qu’elle veut ! Déchire-la ! Vas’y !
Je poussai encore plus, mais il me restait encore au moins dix bons centimètres à lui rentrer ! Je m’agrippais à ses hanches et poussai. Arlette hurla et remua :
Doucement ! Doucement Non !NON !
Je m’enfonçai rageusement dans ce fion, excité comme une bête. Je sentais ma bite compressée, puis d’un coup, malgré les hurlements, je fus au fond de ce tuyau brûlant. Et pendant une bonne demi-heure, j’enculais cette vieille salope qui couinait. A plusieurs reprises je ressortis ma bite, elle avait de petites traînées rouge, et l’orifice de Arlette était rouge vif. J’avais ma bite brûlante, et j’écartais son trou du cul avec mes deux pouces, j’avais l’impression que la peau de ses sphincters allait se déchirer. Arlette beuglait :
C’est bon, démonte-moi !
Je replongeai mon sexe dans cet orifice sous les vivas de Mme FAL. La dernière chevauchée fut la bonne, car Arlette sous les caresses de Mme FAL et ma sodomie cria son plaisir. Je répandis mon sperme sur le cul de Arlette et les gros seins de Mme FAL.
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