Je suis professeur de français pour une école de langues à l’étranger. L’école m’a assigné une nouvelle élève dans une entreprise multinationale où j’ai déjà une élève.
Au jour et à l’heure du rendez vous, je me présente donc sur l’heure de déjeuner de mon élève : une superbe jeune femme d’une trentaine d’année, Isabel. Elle est habillée d’une robe courte, mais très élégante.
Elle m’amène à son bureau, indépendant et dépourvu de fenêtres.
Je me présente rapidement et je cherche à comprendre ses motivations : son français n’est pas parfait, mais elle a déjà un niveau d’expression que j’ai rarement vu chez mes élèves.
Je lui donne une fiche à remplir, procédure classique de l’école. Alors qu’elle en est à la moitié et que je sors mes livres, Isabel fait tomber son stylo… « Oups, je suis maladroite ! » Je ris, en me penchant pour récupérer son stylo, tombé sous sa chaise.
« Le voilà » dis-je, en relevant la tête… alors que dans le même temps, elle a entre-ouvert les jambes me montrant qu’elle était sans culotte !
« Je parle bien le français… les cours de français, c’est une excuse pour vous voir. On s’est croisé dans les couloirs, et… »
Alors qu’elle prononçait ces mots elle approchait dangereusement sa bouche de la mienne, et attrapa entre ses lèvres ma lèvre inférieure… Je répondais en l’embrassant à mon tour.
Très excité de me sentir aussi désiré par une aussi jolie femme, j’écartais aussitôt ses jambes, et me plaçait sous son bureau pour commencer à lécher son sexe. Elle avait du attendre ce moment toute la matinée car la chaise en tissu était déjà trempée.
Soudain, on frappe à la porte. « Cache toi sous le bureau… » Une collègue vient lui demandé si elle sort déjeuner. Isabel lui répond que non, qu’elle attend son prof de français… Pendant que moi je continuais mon cunnilingus, elle résistait vaillamment.
Après que sa collègue ait quitté le bureau, elle referma la porte, poussa les dossiers, jeta les livres par terre, ouvra le haut de sa robe… Pas de soutien-gorge non plus. Puis me fit asseoir sur sa chaise, et ouvrit ma braguette… « Laisse moi voir ta baguette, professeur… Humm, elle a l’air à croquer… »
Elle me mit dans sa bouche aussitôt, et s’appliquait à lécher chaque centimètre de mon sexe. Même mes testicules y ont eu le droit.
Rapidement, avec une certaine technique, elle me fit jouir sur sa belle poitrine découverte.
Après avoir rapidement essuyé ma semence, elle s’assit sur le bureau, et me fit signe de venir entre ses jambes. Allongée sur le bureau, moi debout, je m’approchais et la pénétrait sans difficulté. J’avais une vue imprenable sur son fabuleux corps, et j’en profitais pour caresser son sein gauche de ma main droite.
Puis je stoppais net : Est ce que je suis en train de rêver ? mais rapidement, elle me dit « Ne t’arrêtes pas ! »
Je reprenais alors mon va et vient et je commençais à sentir son vagin se crisper sur mon sexe. J’entrepris alors de titiller son clitoris pour qu’elle vienne en même temps que moi. Surprise, mais contente, elle gémit d’abord, puis cria plus fort alors que j’explosais en elle.
Tous deux satisfaits, on se rhabilla. Elle me tendait alors la somme convenue par l’école : « Je te paye pas pour te prostituer, mais pour que tu me gardes comme élève et que tu me gardes ce créneau horaire. »
Ajouter un commentaire