Pour mon job, il fallait que je fasse un voyage à Paris. Pas de petite économie : je me fais rembourser et amène en covoiturage des mecs que je trouve sur le site bien connu.
A la gare, il arrive : je descend met son sac dans la malle et nous voilà parti…
Je suis un mec speedé, pas bavard. Mon co-voyageur ne parle pas beaucoup non plus. Il porte un jean et un tee-shirt blanc. Il dégage une bonne dose de testostérones. Il fait chaud.
Pendant le voyage, je ne résiste pas à glisser mon regard vers ses cuisses puis plus haut.
Il demandera à se mettre à l’aise. « Pas de problèmes, fais ce que tu veux » – il enleva ses baskets et ses chaussettes, recula le siège et s’allongea au maximum pour piquer un somme. Pas emmerdant.
Il est là, offert. Une belle bosse se forme petit à petit sous son jean. Le salaud est entrain de rêver : je me demande à quoi. Son excitation me fait bander. Je suis obliger de remettre ma queue en place.
Lui, de même, replace sa bite. Quel beau morceau sous le jean. je commence à oublier le boulot et je deviens obsédé par cette tige.
Discrètement, je commence à me masser la queue puis n’y tenant plus je me masturbe à travers le jean. C’est la première fois que ça m’arrive, je juta direct dans mon slip. Je sentais mon sperme coulait le long de ma jambe. Je pouvais pas rester dans cet état. De toute façon il était 19h30, il était temps de faire une pause et d’aller bouffer quelque chose.
Je secoua mon partenaire :
« réveille-toi – tu veux venir manger avec moi ? »
« Ok puis il faut que tu te nettoies » me dit-il avec un œil ironique
Je devais être rouge écarlate de honte, je sentis de grandes bouffées de chaleur m’envahir. Il a du s’en apercevoir car il a cru bon de rajouter : » t’inquiètes, je comprends. Nous sommes des hommes »
Il faut dire que ça a détendu l’atmosphère et que d’un coup, nous avions plein de choses à nous dire. Je fila aux toilettes. Me changea. et on se retrouva pour l’apéro. Il était marié, du sud mais avait eu des branlettes entre copains, pas plus. Moi aussi marié, mais j avais eu quelques aventures gay. Disons le franchement : les hommes ne faisaient bander. On se confia sur de la difficulté de baiser régulièrement avec nos femmes, ou le manque de fantaisie, des moments où elles nous a surpris la bite à la main devant du porno sur l’ordi…la vie, quoi. Lui n’avait pas couché depuis 5 jours.
Je lui lança : « je peux y remédier si tu veux » mais ma phrase ne reçu aucun écho. Nous reprîmes la route.
On échange sur la musique, sur le sport…la route est devenue moins monotone. On s’est bien marré. 2 heures après je proposa un café. Il ne voulait pas venir. je me dirigea vers la station essence : quelques routiers, c’est tout.
Je suis allé pisser, un type se branlait la cabine ouverte. C’est souvent le cas sur les aires. Je n’ai pas pu m’empêcher de me rapprocher de lui, je saisis sa bite et la branla. Cracha sur ma main, lubrifia son gland et …en 2 secondes, j’avais le main remplie de sperme : un rapide.
J’avala rapidos un café. et échauffé par ma rencontre imprévue, je rejoignit boodibicool.
Je démarra la voiture mais au lieu de reprendre l’autoroute, je me gara derrière un camion, à l’abri des regards. Je coupa le moteur, regarda boodibicool : il comprit.
Sans 1 mot, il déboutonna son jean, baissa son slip et me présenta une belle et longue queue, pas tout à fait en érection. Je me penchait pour en avoir le gout.
Avec mes mains, je lui massais les couilles pendant que j’allais et venais sur son pieu. Il aimait : je l’entendais gémir. « Tu suces comme un Dieu » me dit-il.
Je baissa mon fut aussi, me mis à genou sur le siège et accéléré le mouvement. Je voulais avaler sa semence.
J’allais enfin arriver au bout quand on fut déconcentrer par de grands coups sur la vitre de la voiture. Affolé, on débanda direct pensant en premier à un contrôle de police. On remonta nos jean, bondit hors de la voiture. Non, « OUfff » c’est un simple routier : « Beaux culs les poulets, prêt pour une partie à 3 ? »
Je pris les devant. J’avais 2 beaux mâles à moi. je me mis une fois de plus à genou. le routier s’avança, et me présenta sa bite. J’ouvris grand la bouche et goba sa bite. J’entendais Boodibicool se branlait à proximité de mon visage puis, il me donna des coups de bites sur le visage. Je saisis sa queue et le suça : elle était plus longue mais moins épaisse que le routier. Je tenta de réunir les 2 queues dans ma bouche mais c’était pas facile. Je devenais de plus en plus excité et passais de l’une à l’autre, me frottais le visage avec, sans oublier de lécher le liquide pré spermatique, si délicieux. Ni l’un ni l’autre ne s’occupait de moi, et mon jean me comprimait le paquet, tellement je bandais. Le travail de pompage dura bien vingt bonnes minutes. Quand je sentais que l’un était prêt à jouir je changeais de tige, ce qui faisait redescendre la pression.
J’avoue que je commençais à avoir mal aux mâchoires quand le routier me releva, cracha dans ses mains, me tira le jean jusqu’aux genoux et commença à me lubrifier le fion. c’était pas un délicat : il présenta sa bite à l’orée de mon trou et commença à s’introduire. J’aurais préféré que Boodibicool me pénètre en premier : lui, je l’avais dans la bouche pendant que le routier me pilonnait.
Il me pénétrait mais cette fois, il n’oubliait pas de s’occupait de moi : il me massais les couilles, tirais dessus, me donner des petites tapes sur ma queue, me masturbait : il me travaillait la bite comme un pro.
Les coups s’accéléraient et je sentis les jets de foutre m’envahir. Il laissa la place à Boodibicool qui me saisit par les hanches et enfonça sa bite dans mon cul lubrifié. Il prit son temps : je sentais qu’il appréciait : il enfonçait lentement sa queue, restait au fond, remuait son bassin et ressortait aussi calmement. Le routier, à ma grande surprise, avala ma queue et commença à me pomper.
Nous étions trop excité : Montre en main, cela ne dura plus que 2 petites minutes : Boodibicool se déchargea à son tour dans mon cul et j’explosa dans la bouche du routier. Il a d’ailleurs tout avalé.
Pendant qu’on reprenait nos esprits, la calme se faisait lourd. On entendait seulement 1 grillon.
– « Vous voulez vous reposer 2 heures dans ma cabine ? »
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