J’étais sur mon lit en train de me branler en pensant à une jolie fille que j’avais vue dans la rue quand ma père à poussé la porte et elle a pu tout voir mais elle m’a dit que la voiture de l’auto-école m’attend en face de la maison.
J’ai bondi de mon lit mais j’étais au bout de j’ai lâché ma semence sur le tapis de ma chambre et j’ai enfilé mon pantalon sans avoir pu m’essuyer.
Ce n’était pas mon moniteur habituel mais une jeune femme guère plus âgée que moi et qui m’a dit qu’on perd du temps quand je me suis assis au volant. Elle m’a dit de démarrer puis elle m’a dit d’aller où je veux et nous avons fait quelques kilomètres avant qu’elle ne me dise de faire demi-tour et elle m’a fait revenir devant ma maison.
– C’est bien, m’a dit la monitrice quand j’ai arrêté le moteur ! Dorénavant et jusqu’à l’examen, c’est moi qui vous accompagnerai ! Vous ne trouvez pas que ça sent une drôle d’odeur, a ajouté la monitrice ?
Elle avait raison et ça sentait le sperme. Je suis descendu de la voiture et je suis rentré chez moi.
– Il faudrait quand même que tu apprennes à te maîtriser, m’a dit ma mère ! Tu en avais mis plein sur le tapis mais j’ai tout lavé ! Pourquoi tu fais toujours ça ? Tu ne peux pas te trouver une petite copine ?
– Et toi, lui ai-je répondu ? Depuis que papa est parti, je t’entends tous les soirs ! Tu n’arrêtes pas de gémir dans ta chambre ! Et puis tous ces godes que tu as dans le tiroir de ta commode !
– Tu sais ça, m’a demandé ma mère ?
– On pourrait se débrouiller ensemble, ai-je ajouté ?
C’était une plaisanterie mais l’idée a fait son chemin. Le lendemain quand j’ai poussé la porte de la salle de bains, ma mère était en train de faire sa toilette. Je la voyais de dos et je voyais surtout ses fesses et comme ça avait suffi pour me faire avoir une érection, j’ai baissé mon pyjama et j’ai collé ma bite sur les fesses de ma mère.
– Tu es fou, m’a dit ma mère ? Qu’est-ce que tu fais ?
J’ai passé les mains sous ses bras et j’ai attrapé ses seins. Je les avais souvent vus mais maintenant, c’était différent. Je n’avais jamais eu une trique aussi raide et j’ai glissé ma bite entre les cuisses maternelles et m’a mère s’est penchée sur le lavabos et j’ai pu enfoncer ma bite.
– Ah, chéri !
C’était un vrai délice. Le con de ma mère était chaud et je n’avais jamais connu ce moment aussi agréable.
– Hé ! Réveille-toi, m’a crié ma mère ! Et l’école ?
Ah, cette foutue école ! J’ai réalisé que j’avais rêvé. Ma mère se penchait sur moi et malgré son peignoir, ses seins essayaient de s’échapper. J’ai tendu la main et j’ai touché sa poitrine avec mes doigts.
– Arrête, m’a encore dit ma mère ! Je ne sais pas ce qui t’arrive ! Tu as vraiment des manières ! Tu te masturbes sans arrêt et tu viens de me tripoter ! Trouve-toi une fille ! Ton déjeuné est servi !
Je suis allé déjeuner puis je suis repasséu dans ma chambre avant d’aller dans la salle de bains. Ma mère n’avait pas fini sa toilette et elle était encore toute nue.
– Tu ne peux pas attendre, m’a dit ma mère ?
Je me suis précipité sur elle et j’ai attrapé ses seins et je les ai malaxés tout de suite malgré les cris de ma mère qui m’a dit que je ne suis plus un bébé. Je lui ai dit de me sucer la bite.
– Non, mais ça va pas, m’a-t-elle répondu ? Je ne suis pas ta copine !
Je lui ai aussi mis la main à la chatte. Elle avait toujours eu une superbe toison, ce qui cachait les replis de sa vulve.
– Oh, chéri, fais pas ça, a gémi ma mère !
Elle essayait de m’écarter la main en me tenant par l’avant bras mais mes doigts continuaient leur exploration et tout à coup ma mère s’est mise à mouiller et j’en ai eu plein les doigts ?
– Tu devrais avoir honte, m’a dit ma mère !
Elle avait le souffle court et son visage était tout rouge et ses mamelons ressemblaient à des dés à coudre.
– Tu as joui, lui ai-je demandé ?
– Idiot, tu le sais bien, m’a répondu ma mère !
– Alors, branle-moi ! Fais-moi jouir, lui ai-je répondu !
– Mon fils est un cochon, a ajouté ma mère, mais elle a attrapé ma bite et elle m’a branlé mais j’étais si excité que je n’ai tenu qu’une minute avant de jouir et de balancer ma purée sur les cuisses maternelles, ce que ma mère a été obligée de nettoyer puis elle m’a essuyé la bite !
J’ai ajouté qu’il faut absolument que je la baise mais ma mère m’a répondu qu’on parlera de ça une autre fois. J’ai ajouté que je lui ferai oublier papa mais elle s’est échappée et j’ai pu faire ma toilette.
– A ce soir, ai-je dit à ma mère en passant devant sa chambre !
Elle était en train d’ajuster son soutien-gorge.
– Au revoir, chéri, m’a répondu ma mère !
J’ai passé ma journée à repasser dans ma tête tout ce qui venait de m’arriver. J’avais presque oublié que ce soir j’avais une nouvelle leçon de conduite et c’est un sms qui me l’a rappelé. La monitrice m’a prise devant mon école et nous avons roulé cinq minutes avant qu’elle ne me dise de tourner dans le bois et de m’arrêter sur le parking.
– Tu ne te laves jamais quand tu t’es branlé, m’a demandé la monitrice ?
– Et toi, tu te laves, lui ai-je répondu ? Branle-moi et je te branle !
Je pensais la choquer mais la fille a ouvert ma braguette et elle m’a sorti la bite et elle a commencé à me branler et j’ai plongé la main entre ses cuisses et j’ai d’abord découvert qu’elle n’avait pas de petite culotte. La fille a pris une position plus agréable pour elle et nous avons continué.
Je la regardais dans les yeux.
– Salope, ai-je fini par lui dire !
– Cochon, m’a répondu la monitrice !
– Ça vient !
– Moi aussi !
J’ai joui et elle m’a joui dans les doigts puis on s’est essuyés avec des mouchoirs en papier avant de reprendre la route mais il était tard et elle m’a dit de rentrer chez moi où elle m’a déposé.
– Alors, m’a demandé ma mère ? Tu as bien conduit ?
J’étais fatigué et ma mère l’a bien vu, si bien qu’elle m’a demandé ce que j’ai fait avec le moniteur.
– C’est une monitrice, lui ai-je répondu !
– Une monitrice, s’est étonnée ma mère ? J’ai l’impression que vous vous êtes bien entendu ? Alors, tu n’as plus besoin de moi pour tes cochonneries ?
Je ne lui ai pas répondu. Nous avons dîné. Ma mère a fait la vaisselle pendant que je glandais devant la télé et j’avais même mis la chaîne porno sur laquelle passait un film de lesbiennes.
– Oh, mon dieu, m’a fait ma mère !
– Tu ne trouves pas que c’est beau, lui ai-je demandé ?
J’ai attrapé sa main pour la forcer à regarder.
– Tu devrais essayer, ai-je ajouté ! Pendant vingt ans, tu t’es tapé la bite de papa ! Tu n’aurais pas envie de lécher une chatte ? Regarde-les ! Ça a l’air très facile !
J’ai ajouté que je vais lui trouver quelqu’un. Je venais d’avoir une idée mais il fallait que je l’affine. A la fin du film, je suis allé voir ma mère dans sa chambre. J’avais la trique.
– On de devrait pas faire ça mon chéri, m’a alors dit ma mère !
– Dire que je suis sorti de ce petit trou, ai-je répondu à ma mère !
– Petit cochon !
J’ai posé la main sur son épaule et je l’ai descendue sur ses seins.
– Viens ! J’ai envie, ai-je insisté !
– Bon, d’accord, juste un petit moment, m’a répondu ma mère !
Elle s’est allongée sur le dos mais je l’ai fait mettre en levrette et je l’ai prise comme ça, comme un chien sur sa chienne, un étalon sur sa jument, un taureau sur la vache.
– Oh, oui, chéri, m’a gémi ma mère ! Vas moins vite ! Calme-toi et va plus profond !
J’ai suivi ses conseils et un quart d’heure plus tard, j’étais toujours en train de limer. Ma mère n’avait pas arrêtée de m’appeler en gémissant puis elle m’avait dit que je l’avais fait jouir et elle a fini par me dire de me dépêcher et j’ai tout lâché. J’étais chaud bouillant.
– Oh, mon dieu, m’a fait ma mère !
J’étais resté collé à ses fesses en attendait que ma bite se ramollisse.
– Dis-donc, tu n’y es pas allé de main morte, a ajouté ma mère !
Je me suis reculé et j’ai vu le sperme qui s’écoulait de sa fente.
– Maman, je veux t’enculer, ai-je alors ajouté !
Ma mère m’a répondu qu’on ferait mieux de dormir. Nous sommes allés nous nettoyer dans la salle de bains. J’avais envie de parler à ma mère et en fait je n’arrêtais pas de lui dire que ce qui venait de se passer était magnifique. Elle a essayé de calmer mon enthousiasme en me disant que ce que je lui avais fait, papa lui avait déjà fait mais ça ne m’a pas calmé. De retour dans sa chambre, je me suis allongé à côté d’elle et je n’ai plus cessé de caresser son corps.
– Tu veux vraiment m’enculer, m’a demandé ma mère quand j’ai recommencé à bander ?
Je lui ai confirmé.
– Je n’ai jamais fait ça, m’a répondu ma mère, mais tu as raison, il y a un commencement à tout ! Encule-moi !
Je lui ai dit de m’offrir ses fesses et j’ai commencé par lécher son anus puis j’ai empli son petit trou avec ma salive avant d’enfoncer mon gland puis toute ma bite et j’ai même crié à ma mère que je l’encule.
– Oui, je sais, m’a-t-elle répondu ! Tu es content ?
J’étais vraiment content. J’avais entendu dire que c’est la plus belle pruve d’amour qu’on peut faire à une femme et je l’ai répété à ma mère.
– Oui, c’est ça, m’a répondu ma mère !
C’était encore plus excitant que tout à l’heure dans sa chatte. J’avais aussi entendu dire que ça servait de préservatif.
– Ça vient ! Ça vient !
– Oui, chéri !
Ça venait vraiment et j’ai joui dans son anus mais quand je lui ai demandé pourquoi elle ne va pas se laver, ma mère m’a répondu qu’elle s’était déjà lavée une fois et que maintenant, elle en a marre et elle s’est endormie.
On avait fêté ses quarante ans en allant dîner dans un restaurant et j’avais réalisé ce jour-là qu’elle m’avait eu à dix-sept ans et même moins, seize ans et demi, ce qui voulait dire que mon père m’avait conçu quand elle avait quinze ans trois quarts. Je n’arrivais pas à m’endormir et j’ai rallumé la petite lumière pour pouvoir regarder ma mère. Elle était encore belle. Maintenant, je savais ce que j’allais proposer à la monitrice de l’auto-école.
C’était samedi matin et ma mère ne travaillait pas le week-end. Je l’ai laissée dormir et j’ai juste rajusté le drap sur son corps. La monitrice m’attendait à onze heures. Elle était là et nous sommes partis faire notre tour puis je me suis arrêté une nouvelle fois dans le bois.
– Tu sais ce que je voudrais, ai-je alors dit à la monitrice qui s’attendait sûrement à ce qu’on recommence notre petit manège ? Je voudrais que tu te gouines avec ma mère !
La fille m’a regardé bizarrement.
– Tu crois qu’elle voudra de moi, m’a-t-elle alors demandé ?
– Oui, viens ce soir, lui ai-je répondu ! J’aurai tout l’après-midi pour la préparer !
Quand nous avons redémarré, je lui ai demandé si elle est bisexuelle et ma question l’a fait rire et elle m’a répondu qu’elle n’a pas besoin de rentrer dans une case parce que ce qu’elle veut c’est s’amuser, quel que soit son partenaire.
A la fin de la leçon, elle m’a roulé une pelle. Une fois dans la maison, je me suis demandé comment j’allais annoncer la suite à ma mère. D’abord lui annoncer que j’ai invité ma copine.
– Ah, elle est comment, m’a demandé ma mère ?
– Blonde ! Cheveux courts et frisés…
– Alors, tu vas pouvoir me laisser tranquille, a ironisé ma mère !
– Elle m’a dit que la première fois qu’elle a fait l’amour, c’était avec une fille, ai-je ajouté !
– Ah, oui, m’a répondu ma mère ? Elle ne serait pas la seule !
– Parce que tu l’as fait toi aussi, lui ai-je demandé ?
– Qu’est ce que tu crois, a ajouté ma mère ? J’étais une fille comme les autres !
Elle n’a pas voulu m’en dire plus. A sept heures la monitrice a sonné à notre porte et je l’ai présentée à ma mère avant de l’emmener dans ma chambre.
– Comment tu la trouve, lui ai-je demandé ?
– Elle est jeune !
– Tu verras qu’elle est vraiment belle quand elle sera à poil, ai-je ajouté !
On s’est bécotés et tripotés puis elle m’a demandé de la faire jouir mais elle venait d’avoir son orgasme quand ma mère nous a dit de venir dîner. Il n’était plus temps de se laver et quand nous sommes arrivés dans la cuisine, il se dégageait de la monitrice une odeur de petite fille sale et ma mère n’a pas manqué de s’en apercevoir. Si bien qu’après avoir fait la vaisselle, elle nous a emmenés dans sa chambre et j’ai d’abord montré comment je m’entendais bien avec ma mère puis la monitrice d’auto-école a pris le relais pour baiser avec ma mère et je les ai regardées faire avant de les rejoindre. Le lendemain matin, nous avons discuté autour du petit déjeuner.
– Je ne serais pas une belle-mère encombrante, a fait ma mère !
– Moi ça ne me dérange pas de faire un ménage à trois, lui a répondu la monitrice !
Notre aventure commune a continué pendant plusieurs mois mais j’étais jaloux du plaisir que prenaient les deux femmes ensemble si bien que je leur ai mis le marché en main. Où je les quitte ou ma copine vient avec moi et c’est cette solution qu’elles ont choisi. Nous sommes allés vivre loin de ma mère et j’ai fini par épouser ma copine mais je sais très bien que chaque fois que nous allons la voir, elles ne peuvent pas s’empêcher de remettre le couvert mais maintenant, ça ne me gêne plus.
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