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Totalement soumise à mon mari

Totalement soumise à mon mari



Un soir, Alain me dit :
« Fais-toi belle et désirable. Je t’emmène en soirée. »
Je ne lui pose pas de question. Je me maquille comme il aime et enfile une robe sexy mettant mes formes en valeur en restant nue dessous.
Au moment de partir, il m’affuble d’un collier mettant en avant ma position de soumise. Arrivés sur place, je remarque qu’il s’agit d’une soirée très chic et je me rassure un peu sur la suite des événements. Le champagne coule à flot. L’ambiance en milieu de soirée devient érotique quand une femme se renverse sur une table devant un groupe d’hommes, se mettant à se caresser ostensiblement. Mon regard ne peut quitter cette femme qui s’exhibe sans pudeur. Alain le remarque et me glisse à l’oreille en me pelotant les fesses :
« T’aime le spectacle ma chérie ? »
« huuum …..C’est troublant mais j’adore. »
Il m’embrasse dans le cou et des frisson remonte mon échine, tout en me disant :
« Tu as vu qui c’est ? »
Quand je m’aperçois qu’il s’agit de Vanessa, je sens ma petite chatte qui deviens humide et des papillons frétillent dans le bas de mon ventre. Mes tétons durcissent et pointent au travers du fin tissu de ma robe. Déjà les hommes s’enhardissent et la déshabillent totalement. Ma copine se retrouve nue et offerte.

Je me dis :
« Si Vanessa est là, où sont les autres ? »
Mais je ne vois pas nos autres amis et mon regard reviens se fixer sur Vanessa qui se fait prendre dans un gangbang endiablé.
Confortablement installés nous regardons cette belle salope se débattre au milieu de cette forêt de queues.
Alain me murmure en faisant glisser les bretelles de ma robe :
« Tu ne l’envie pas ma Mimi ? »
Mes seins sont presque dénudés et sa main s’insinue sous ma robe pour s’assurer de mon état d’excitation en disant :
«  Hummm…Je vois que tu adores ma petite salope. Ta chatte est trempée.»
Sans réfléchir, très excitée, je lui lance :
« Dommage qu’il y ait tant de monde car je te sauterais sur ta bite pour la sucer ! »
« Alors suce ! Fais-toi plaisir ! Suce-moi ! »
Il m’enfonce deux doigt dans la chatte en me disant ça. Je regarde autour de moi mais tous sont obnubilés par le spectacle que donne Vanessa. Alain pousse ma tête vers son entrejambe et je sors sa queue pour la sucer avec gourmandise. En suçant mon mari, j’entends Vanessa qui couine en se faisant fourrer par ces grosses queues. Alain profite de ma position pour faire glisser le zip de ma robe. Je me retrouve ainsi rapidement nue. Je suis livrée aux regards des invités au même titre que Vanessa qui se fait sauter sur la table. L’excitation d’Alain est à son comble et il se met à me forcer la gorge. Je bave sur ses couilles. Je l’entends horrifiée me dire :
«  Maintenant salope fais-moi honneur ! Tu vas vider les couilles des invités qui le désirent comme une bonne chienne ! »
Une dizaine de mâles qui jouaient les voyeurs avec Vanessa viennent vers moi. En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, je me retrouve dans la même situation que ma copine avec des queues qui me pénètrent sans délicatesse. De multiples mains explorent mon corps. Je geins, me tortille sous les assauts de mâles en ruts. Les queues se succèdent et me pénètrent de plus en plus sauvagement. Ils me fourrent encore et encore. Au bout d’un temps qui me parait une éternité, certain commencent à jouir et me remplissent la bouche de sperme. Alain m’oblige à Avaler et se régale du spectacle de ma déchéance en lançant haut et fort :.
« T’es un ange ma petite pute. T’es une pompeuse hors pair ! T’as soif de foutre ma salope ! »
Je suis en transe et les invités se vident les couilles sans discontinuer. J’en prends tant dans la bouche que je m’en étouffe. Je ne sens plus ma chatte ni mon trou du cul tant je fais défoncer rudement.  
Après ces épreuves, je suis épuisée. On amène Vanessa à mes côtés et un homme que je n’identifie pas sur le coup nous ordonne :
« Gouinez-vous les femelles ! »
Aussitôt je reconnais cette voix. C’est Christian c’est sûr ! Comme nous mettons un certain temps pour commencer le spectacle devant ces voyeurs vicieux, nous recevons des coups de ceintures. On s’enlace immédiatement et nous nous cajolons sans plus faire attention à notre auditoire.
Notre jouissance monte rapidement et j’entends un des voyeurs dire à mon mari :
« Alain, t’es en possession d’une sacrée bonne salope. Ta femme et sa copine mériteraient de se faire saillir par mes chiens. Qu’en dis-tu ? »
Christian qui se méle de la conversation, lui dit
« Superbe idée ! Quand veux tu les faire saillir ? » 
« He bien ….. »
Alain d’un ton autoritaire les coupe :
« Pas question ! Qu’elles jouent les chiennes c’est une chose mais la zoo se sera sans elles ! »
« OK !! Sois pas bégueule ! Ok ! Nous jourons avec elles comme des chiennes ! C’est dommage mais c’est toi qui décide ! Je les aurais quand même bien vu avec mes chiens. »
« Non te dis-je ! NON ! »
« Bon bon t’énerve pas c’est OK ! »
Heureusement qu’Alain est là. Quand nous explosons toutes les deux dans un orgasme bruyant. Nous sommes dans un état second. On nous jette alors dans un chenil et nous nous endormons dans la paille blotties l’une contre l’autre.

Au petit matin, quand nous émergeons de notre torpeur, Je remarque que dans la cage d’à côté Sofia et Laurie dorment à poings fermés, elle aussi nues comme des vers. Je glisse à Vanessa :
« T’as vu ? Sofia et Laurie sont là. »
« Mince ! Je pense que Guillaume, Seb et Christophe ne doivent pas être loin. »
On sursaute en entendant la voix du propriétaire des lieux qui dit à nos hommes :
«  Bien messieurs, je crois que nos petites chiennes sont réveillées. J’espère qu’elles seront suffisamment chaude pour se faire encore saillir aujourd’hui! Mais avant, donnons leurs à bouffer dans une gamelle. Il ne faudrait pas qu’elle défaillissent durant l’acte . » 
On glisse une gamelle remplie d’une sorte de pâtée que nous devons partager avec les chiens. Un foi ce repas humiliant terminé, c’est l’heure de la saillie. Les chiens sont tenue en laisse à côté de nous pour éviter qu’ils nous sautent. Le propriétaire nous ordonne de nous mettre en position adéquat pour la saillie et devant mon mari, il donne l’exemple en présentant sa queue sur mon cul. D’un coup de rein violent, il me pénètre. Je pousse un cri d’effroi et pleurniche de honte. Il se met à me labourer le cul frénétiquement en invitant les autres à en faire de même avec mes copines. Le pire c’est que lorsque j’entends les cris de mes copines qui m’accompagnent dans cette orgie, je commence à y prendre un certain plaisir. Finalement, il se lâche dans mes fesses. Quand il se dégage, le bruit produit à la sortie des queue, fait éclater de rire les autres. Mortifiée par de telles humiliations, je reste prostrée du sperme me coulant du cul. Mais un grand black bien monté remplace le vide laissé par la queue du propriétaire.Totalement investi par cette queue d’ébène, je suis secouée au rythme de ses coups de boutoir. Mes amies se font mettre aussi par tout les trous de leurs côté. Mon black me retourne comme une crêpe et m’enfonce son pieux au fond de la gorge. Je me met à couiner et à gémir sur cette hampe bestiale. Rapidement, il éjacule dans ma bouche. Du sperme et de la bve coule à la commissure de mes lèvres.
 Le propriétaire s’adresse à nos hommes en des terme dépravant :
« Vous avez bien dressé vos chiennes ! J’ai rarement rencontré de telles salopes ! »
Malgré ma déchéance, je suis fier de moi.
Couvertes de sécrétions diverses, Guillaume lance :
« Bien les femelles maintenant nous allons vous nettoyer à fond car nos amis on bien l’intention de vous utiliser utiliser cet après midi »
Une foi lavées au jet, pendant que tout ce petit monde se restaure, nous sommes attachées aux arbres du parc en pâture pour les invités.

Au dessert, deux hommes sont venus me détacher et d’emblée, ils me prennent en sandwich. Je suis comme embrochée. Ils me labouraient littéralement la chatte et la bouche. En fait, maintenant j’y trouve mon plaisir et me met à jouir sans retenue. Les autres invités en font de même avec mes copines et c’est dans un concert de cris et de hurlements de plaisir que se termine cette après-midi délirante.
Aprés les remerciements d’usage, nous repartons chez nous. J’avais été mise plus bas que terre mais malgré cette dépravation, j’étais heureuse d’avoir été à la hauteur des exigences de mon mari.

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