Dans le TGV Nice – Paris j’étais dans un compartiment, en première classe, où il y avait très peu de gens. Le rang où j’étais assise, était vide. Je lisais un roman dont les scènes d’amours m’avaient un peu chauffée le bas ventre et je décidai d’aller faire un petit tour aux toilettes pour me calmer de l’excitation qui m’avait soudainement envahie, à mon retour je recroisai le regard d’un jeune homme très charmant qui me fit un sourire fort sympathique.
Je repris tranquillement ma lecture mais quelques minutes plus tard la chaleur m’avait envahie à nouveau et je sentais bien que j’étais toute mouillée, mes poils me collaient à l’intérieur de mes cuisses, mes lèvres ourlées de poils étaient toutes gonflées. J’avais encore envie de retourner aux toilettes mais surtout envie de glisser ma main sous mon p’tit string qui était déjà sûrement tout trempé. Je voulais passer le bout de mes doigts afin de titiller doucement mon clitoris.
Je n’en pouvais plus et je n’ai pu m’empêcher de résister plus longtemps à l’envie de me caresser.Avant de prendre mon sac sur mes genoux, je jetai un coup d’œil dans le compartiment pour voir si quelqu’un m’observait…ensuite je passai ma main sur l’intérieure de mes cuisses, j’étais jambes nues sous ma petite jupe plissée….je remontais lentement jusqu’à mon string que je sentais humide sur mes doigts.
Le désir montait en moi et je passais mes doigts à travers le mince tissus. J’étais de plus en plus humide mais aussi un peu honteuse : Et si quelqu’un me surprenait ? Je regardai encore un peu autour de moi mais les autres passagers semblaient dormir.
Mon sac cachant toujours ma main, contournant mon string , je passai mes doigts délicatement sur mon pubis et puis rapidement sur mes grandes lèvres. Quel plaisir ! D’autant plus que la ficelle de mon string commençait avec la tension du tissus à rentrer dans la raie de mes belles fesses. J’étais morte de honte et de trouille mais personne ne semblaient me voir.
Je caressais délicatement mon clitoris que je sentais devenir de plus en plus sensible et en même temps je serrais mes cuisses sur mon poignet pour avoir des spasmes. Mon sexe me donnait infiniment de plaisir, je n’avais pas besoin de toucher à mes seins.
Soudain, en tournant la tête, je surpris le regard du jeune homme se poser sur mes cuisses, j’étais rouge de honte mais aussi très excitée. Je ne pouvais pas m’arrêter en si bon chemin car j’avais dépassé le point de non retour alors j’ai continué à pénétrer mon index et mon majeur entre mes p’tites lèvres.
Le plaisir, déjà grand par l’interdit et l’originalité du lieu, était décuplé par le voyeurisme du jeune homme. J’étais devenue complètement folle d’excitation, je m’exhibai sans aucune retenue devant cet inconnu.
Mon pouce frottait doucement mon clito, mon index et mon majeur remuaient en moi, tandis que mon annulaire s’amusait à l’entrée de mon vagin, et que mon petit doigt s’enfonçait plus bas entre mes fesses. Oui, j’étais également attirée par mon anus mais je me contentais seulement de le caresser sans jamais forcer mais même cela faillit me faire crier.
J’effectuais un massage de mon clito du pouce pendant que mes autres travaillaient dans mon intimité. Je mouillais comme une folle que je ne souciais presque plus d’être discrète devant le regard de cet homme.Quel que soit le malaise, je n’en pouvais plus, j’étais vraiment trop excitée et malheureusement encore loin de la jouissance pour continuer ainsi.
Je voulais beaucoup plus, je voulais sentir une queue bien dure dans ma chatte et dans mes fesses…huummm… Alors me tournant vers mon charmant voyeur je lui fis comprendre ce dont j’avais envie mais heureusement pour moi il était aussi en train de se caresser…sans trop me poser de questions je lui ai demander d’aller m’attendre dans les toilettes…le laissant s’éloigner un peu je n’ai pu résister plus longtemps à l’envie de le rejoindre rapidement…
Je le rattrapai au moment où il atteignit la porte des toilettes où nous nous efforçâmes de rentrer précipitamment. Une fois dans les toilettes je m’approcha de lui pour poser mes lèvres sur les siennes. J’étais toute excitée. Je m’avançai encore plus pour sentir son sexe bien dur se coller sur ma fente.
Ensuite je m’abaissai devant son membre bien bandé. D’une main, je débouclai la ceinture du pantalon qui chuta sur le sol laissant place à son caleçon où sa queue avait pris une proportion énorme. Je posai mes lèvres sur son caleçon et commençai à le mordiller délicatement.
J’avais plus qu’une envie c’était d’engloutir sa grosse queue bien dure dans ma bouche alors je pris son sexe et le lécha tendrement tout d’abord, pour ensuite enfoncer le maximum de cette lance jusqu’au fond de ma bouche mais c’est à peine la moitié que je pouvais absorber, je commençais mes va-et-vient en le pompant et en le branlant également d’une main.
Je lui taquinai les bourses de l’autre main car je voulais le faire craquer en mettant tout mon savoir. Sentant la pression monter dans sa verge, en vraie garce, je me suis alors mise à le pomper encore plus fort et plus vite mais devinant mon petit manège, il me prit par les bras pour me relever et me retourner afin de me pencher sur le bord du lavabo.
Il enleva ma jupe si bestialement que j’en étais toute excitée. Pendant que je le voyais contempler mes belles fesses, j’en profitais pour glisser mon petit string le long de mes cuisses. Ensuite, il approcha son sexe pour l’appuyer contre mes fesses afin de le glisser dans ma chatte toute trempée.
Lentement, il s’enfonça, en baisant la tête je pouvais voir disparaître un grand morceau, puis le tout. Je ne me croyais pas si profonde mais sa queue avait trouvé aucune résistance puisque mon sexe était bien trempé et dilaté de plaisir. Il enfonça son pieu dur comme la pierre dans ma chatte et je crus mourir de plaisir. Je fermais les yeux pour mieux savourer le moment.
Mon sexe s’était très largement ouvert sous le gonflement de cette queue généreuse qui était un peu à l’étroit. De ce fait je la sentais vraiment bien entrer et sortir de mon intimité et le plaisir m’échauffait tout le corps.
Heureusement, ma chatte restée mouillée inondait ce membre qui allait et venait de plus en plus vite. Il me pilonna sans ménagement, je gémissais fortement de plaisir, j’avais envie que ça ne s’arrête jamais que son sexe s’enfonce encore et encore…
La façon dont ses mains s’accrochaient encore plus fort à mes hanches, son sexe qui enflait encore au fond de mon ventre, ses grognements de bête en rut, ses gouttes de sueur qui tombaient sur mes reins offerts, tout cela augmentait encore mon plaisir, et je sentais que mon orgasme, trop longtemps retenu, allait être absolument dévastateur !!!
Sentant ses coups de butoir violents me transpercer, je posai ma jambe sur le siège des toilettes pour m’ouvrir encore plus. Sa verge dure comme du bois allait cette fois plus loin, tout au fond de moi. Il continua son pilonnage, je gémissais et miaulais de plaisir. J’étais au comble de la jouissance, et je sentis mon liquide vaginal couler le long de mes cuisses..
Je m’accrochai aux robinets, je me mettais à onduler du bassin et à monter et descendre le long de son sexe. Je bougeais très doucement, il accompagnait mes mouvements tout en douceur, faisant à peine coulisser sa queue tendue comme un arc dans mon fourreau de feu. Je m’abandonnais totalement au plaisir, poussant des gémissements de plus en plus sonores.
Brusquement, il sortit son membre de mon vagin et il commença à le pousser dans mon cul, tout en m’empoignant bien les fesses. Meme si j’en avais très envie, je lui suppliais de ne pas le faire car sa queue était vraiment grosse. Mais je sentais que je m’ouvrais…il poussait un peu plus et son gland était maintenant en moi. J’hurlai d’abord de douleur, mais très vite, celle-ci fit place au plaisir.
Je sentais chaque millimètre de son sexe entrer en moi et frotter sur mes parois rectales. Mon anus me faisait mal mais la douleur était supportable et de loin surclassée par le plaisir. Il poussa doucement et je voyais que plus de la moitié de son sexe était encore dehors. Il s’arrêta un instant pour mieux reprendre sa poussée et là je sentis que son sexe était entièrement en moi, dans mon cul. Il m’enculait.
Il allait et venait dans mon cul et le plaisir fut divin. Son va-et-vient s’accélérait, c’était extraordinaire. Tout cela était très bon et je me mettais à onduler doucement du bassin. Je criais de plaisir, il me faisait jouir comme une vraie salope…ma respiration devenait rapide et sifflante, je sentais l’humidité abondante couler le long de mes cuisses.
Après quelques allers retours, il explosa dans mon anus. Je sentais les giclées de sperme, brûlant, cogner contre mes parois anales, j’avais l’impression que ça ne s’arrêterait pas. Je sentais son sperme se déverser par giclées à l’intérieur de mon cul. Puis, il se retira et j’eus l’impression que mon anus était énorme et ouvert. Je sentais le sperme couler doucement entre mes cuisses. Tout comme moi, il reprenait son souffle et ses esprits…
Après dix bonnes minutes, on regagna le compartiment pour s’asseoir cote à cote et discuter….discuter……
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