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La maison des causses 2

La maison des causses 2



Je sens son souffle chaud dans mon cou, ses caresses sur ma hanche. Je sors de mon sommeil de la façon la plus agréable qui soit. Je suis couchée sur le côté une jambe pliée, la couette est apparemment relevée, car je sens de l’air plus frais sur ma jambe allongée et mes fesses.
Rosy a les mains chaudes. Par-dessous elle en passe une autour de mon cou pour la poser sur mon sein, tandis que l’autre parcoure mes fesses tour à tour, puis vient se faufiler avec délicatesse entre elles jusqu’à mon entre jambe. Elle vient se coller contre mon dos.
« Ton pull est en laine, ça pique ! »
« Tu es réveillée ! Tu viens prendre ton petit déjeuner, c’est prêt ! «

J’ouvre les yeux, la lumière est éblouissante. C’est étonnant le canapé-lit est situé dans la partie la plus sombre de la pièce. Je ne tarde pas à comprendre car en me retournant, je vois ma belle qui me regarde, maintenant à genou sur le bord du canapé, mais je vois aussi à travers les grandes vitres de la véranda, un paysage d’un blanc immaculé s’étendre à perte de vue.
Il a neigé durant la nuit !

Rosy me tend mon peignoir, elle est vêtue de son gros pull de laine gris foncé, d’un grand teeshirt blanc qui dépasse et lui arrive à mi-cuisses, et bien sûr de ses grandes chaussettes. Je soulève son teeshirt.
« Ben, tu as mis une culotte ! «

« Je ne sais pas ce que tu prends au petit déjeuner, j’ai sorti tout ce que j’ai trouvé «

La table est mise, je m’installe, elle nous sert un café.

« Tu ne manges pas ? »
« J’ai déjà, déjeuné, je suis levée depuis un moment ».

« C’est vraiment superbe ce paysage, c’est une journée qui commence magnifiquement bien ».

Je déjeune tout en admirant le causse recouvert de son manteau de neige, alors que Rosy, boit son café devant le feu de cheminée qu’elle vient de recharger de deux grosses buches.

« Merci ma belle, bon je vais prendre une douche » lui dis-je en l’embrassant dans la nuque au passage.
Elle me ratt**** par la main.
« Tu ne veux pas un gros câlin ? »
« Si, bien sûr, après je serais toute à toi ! «

Je prends ma douche, m’essuies grossièrement, je vais aller me sécher devant le feu. Lorsque je sors de la salle de bain, nue, Sandrine et Rosy qui a mis son pantalon de jogging, sont toutes les deux dans l’entrée.
Comme si de rien n’était, Sandrine s’avance, me fait la bise.

« Bon, les filles je vous laisse tranquilles ! « et elle s’en va.

« Elle devient envahissante, tu ne trouves pas ! «

« C’est exactement ce que j’ai pensé lorsque je l’ai vu à la porte, mais en fait, elle venait juste te ramener ton téléphone que tu as oublié hier soir. Elle s’est excusée et m’a dit qu’elle ne nous dérangerait pas plus longtemps, avec un sourire qui en disait long .C’est à ce moment que tu es sortie de la douche .Enfin ! Hier, tu as remarqué son petit numéro de drague ? »
« Non ! »
« Tu n’as pas fait attention, en même temps, tu avais un peu bu ! Mais, de façon assez subtile elle cherchait à nous faire comprendre qu’elle ne serait pas contre passer un petit moment avec l’une d’entre nous voire même avec nous deux «.

« Tu crois, vraiment ? «

« Non, non, je suis sure ! Bon, viens près du feu, j’ai envie de m’occuper de toi «

La chaleur de l’âtre réchauffe mes cuisses, mon ventre …… Rosy a enlevé son pull elle m’embrasse dans le cou, sur les épaules, tout en massant mes seins. Elle descend sa bouche le long de ma colonne vertébrale, ses mains sur mes cotes, mes hanches. Elle s’agenouille, ses baisers délicats viennent se posés au niveau de mes reins, puis sur mes fesses. Elle appose juste le bout de ses lèvres sur ma peau. J’en frissonne.

« Recule toi un peu et penche toi en avant ».

« Rosy, c’est gênant comme cela, je ne vais pas être très à l’aise ».

« Essaye juste un instant «
Me dit-elle en appuyant une main sur le haut de mon dos.

Je me penche donc, un peu à contre cœur, uniquement pour lui faire plaisir, je m’appuie en posant mes mains sur les genoux, le cul en arrière. A peine suis-je en position que j’entends un son, comme celui du déclic d’un appareil photo.

« Ah, non, Rosy tu n’as pas fait ça «.

Je me retourne et je constate que si !, elle m’a bien prise en photo.
Avant que je puisse réagir, elle court et se jette sur le canapé, son appareil à la main.

« Hum, pas mal….. »
« Tu es une sacrée garce, montre ! »
« Tu ne les effaces pas ! »
« Montre »

Mais c’est qu’elle en a pris plusieurs, je les fais défiler….

« Tu en as profité lorsque je dormais »
« Oui ! Tu m’exposais ton cul, depuis un moment, je n’ai pas pu résister «
« Mais, il y en a combien ?…….. »
« Celle-ci j’aime beaucoup, attends reviens en arrière, voilà celle-ci ! »
« Ho, c’est vraiment du gros plan, coquine, tu n’as pas honte ? »
« Non, ça va «.
Me dit-elle en riant.
« Bon, j’ai envie que tu me fasses l’amour maintenant, lève-toi un et pose ton appareil ».
« Regarde on peut agrandir. Ben dis donc, ce n’est pas nickel nickel, il y aurait du débroussaillage à faire ».
« Bon, tu as fini, oui ! Si ça ne te plait pas tu n’as qu’à t’en occuper. «
« Ok, je vais chercher ce qu’il me faut «
« Rosy, arrête c’était pour rire » !

Mais elle ne m’écoute pas. Elle revient de la salle de bain avec une serviette, une pince à épiler et des petits ciseaux, sort de son sac un étui à lunettes, pose celles-ci sur le bout de son nez.
« Bon on va commencer par derrière, installe toi » me dit-elle tout en allant chercher un tabouret.
« Mets- toi à l’aise ! Pose ta tête sur le cousin »

Je m’installe les fesses en l’air, en fait cela m’amuse bien et généralement, m’occuper des poils de mes endroits intimes, m’excite, alors là avec Rosy, je pense que je vais beaucoup aimer.
« Bon état des lieux avant travaux »
Et nouveau déclenchement d’appareil photo.
« Bon tu as fini, oui ! »
« Je travaille sérieusement vois-tu ! Une photo avant et une photo après les travaux, cela te permettra de vérifier que le cahier des charges a bien été respecté ».

Je ne peux m’empêcher de rire malgré mon agacement !

« Bon j’enlève d’abord les plus éloignés ».

Elle commence à m’épiler soigneusement, sans un mot, je la sens concentrée !

« Ça va ? Tu ne veux pas une petite lotion apaisante «
« Tu as ça ? »
« Oui bien sûr, j’ai même l’applicateur fait pour ! »
Et elle passe un grand coup de langue sur la partie qu’elle vient d’épiler.
Là encore, je ne peux m’empêcher de rire.

Elle continue consciencieusement, n’omettant pas de passer régulièrement de sa lotion apaisante.
« Bon voilà, juste une petite coupe pour égaliser, ceux que je laisse autour de ta petite étoile ». Et de nouveau le déclic de l’appareil photo.

« Retourne-toi maintenant «. « Tiens regarde le résultat !»
« Ah oui effectivement, beau travail ! «
« Bon devant, maintenant ! ».
« De ce côté c’est beaucoup mieux, tu l’as fait il n’y a pas longtemps ? Je vais juste égaliser un peu au ciseau »
Je me laisse faire, c’est très agréable !
« Bon maintenant tu vas peut être me faire l’amour ».
« Range tes outils, je prépare le terrain de jeux ».

Je tire en avant les premiers blocs de mousse du canapé, ceux-ci se déplient, je pousse ceux servant de dossier, ils basculent vers l’arrière et le canapé se transforme en un lit immense.

« Tu aurais pu me montrer ça hier ! »

Je ne réponds pas, m’allonge au centre, de tout mon long, passe un doigt entre mes lèvres à l’entrée de mon vagin et lui montre à quel point je suis humide.

« Tu vois je suis prête ».

Elle quitte son teeshirt et sa culotte et vient s’allonger sur moi. Elle prend mes mains dans les siennes et m’embrasse à pleine langue.
Son corps ondule comme si chaque cm² de sa peau cherchait à caresser la mienne. Ses seins écrasés contre les miens me massent. Je sens son pubis s’appuyer fortement contre le mien. Elle enjambe une de mes cuisses, remonte la sienne au contact de ma vulve et bouge son bassin dans des mouvements amples et lents. Je l’accompagne en faisant les mêmes mouvements.

« Viens ! Retourne-toi Rosy, viens me dévorer la chatte ! »
Rosy se retourne, m’enjambe, me présente son minou.
« Tu regardes seulement et tu me laisses faire, pense uniquement à ton plaisir ».
Au premier contact de sa bouche sur mon sexe, je m’agrippe à l’avant de ses jambes, juste au-dessus de ses genoux. Du bout de la langue, elle joue avec mes petites lèvres, descend le long de chacune d’elles, jusqu’à l’entrée de mon vagin, dans lequel elle plonge son nez.
Je me laisse totalement aller à exprimer mon plaisir en gémissant sans retenue, poussant même de petits cris. Elle glisse les quatre doigts d’une de ses mains légèrement sous mes fesses.
Je sens mon plaisir venir irriguer mon anus et le bas de la raie de mes fesses. Alors que sa langue, sa bouche, son nez et son menton jouent tour à tour avec toutes les parties de mon intimité dans un concert de sons humides.
Je vois ses petites lèvres se séparer entièrement et me révéler un paysage de chairs roses et luisantes. J’ai à peine le temps de sentir le bout de son pouce se poser à l’entrée de mon petit trou, qu’il est en moi. Je pousse un petit cri de surprise.
Au même instant une petite perle brillante se forme à l’entrée de son vagin. Ce petit bijou grossit rapidement et commence à suivre le bord d’une petite lèvre. Puis c’est une deuxième et une troisième qui se rejoignent. Je gémis de plus en plus fort, emportée par le plaisir que Rosy me procure, par ses caresses, mais aussi par le spectacle de son minou ruisselant. Lorsque les gouttes rassemblées se transforment en un filet de liqueur de plaisir, dans un mouvement reflex, je ferme les yeux. Une première goutte tombe sur ma joue.
Je jouis.
Un orgasme puissant qui me laisse un bon moment « ailleurs ». Rosy n’a pas bougé, je sens des gouttes tomber sur mon visage, une petite pluie tropicale aux senteurs marines. Je passe mes mains autour de sa taille, la serre contre moi et je la bois.
Nous restons un long moment comme cela, puis Rosy me ramène sur terre avec humour en me lançant.
« Est-ce que je pourrais récupérer mon pouce «.

« Oh c’est tout mouillé »
Rosy essuie le tissu du canapé à l’aide d’une éponge humide.
« C’est du coton traité qui doit normalement ne pas se tacher, mais il serait plus prudent que je prévois une protection ».
« Tu comprends il m’était difficile de demander lors de ma commande, si le tissu était garanti contre les risques de taches provoquées lors d’ébats amoureux de lesbiennes aux secrétions intimes abondantes. »
« Oui, je comprends ».
«Si ça te dit, on mange un bout et on va faire une petite balade à pied, après il faudra que je travaille un peu »
« Oui bonne idée, il fait un temps magnifique, ce serait dommage de ne pas en profiter ».
Nous marchons le long du chemin que l’on devine à peine, chaudement habillées. Il ne fait pas aussi froid qu’il n’y parait. Il faut dire que le ciel est bien dégagé, qu’il n’y a pas le moindre vent et que les rayons du soleil réchauffent l’atmosphère.
Le spectacle est grandiose, les branches des sapins plient sous le poids de la neige, leur donnant l’aspect de fantômes immobiles, comme figés.
Seul, le crissement de la neige sous nos pas rompt le silence apaisant. Ce qui amplifie cette sensation de solitude apaisante.
Rosy est devant moi, je marche dans les traces laissées par ses grosses chaussures de rando. Une façon de ne faire qu’une !
Elle s’arrête se retourne.
« Pourquoi tu souris comme ça ? »
« Je pensais à notre rencontre, je me remémorais ce moment, comme je l’ai fait une centaine de fois. Te surprendre dans ton bureau alors que tu te masturbais, avoue que c’est pour le moins original en plus d’être très excitant ».
Elle sourit elle aussi, ses magnifiques yeux brillent comme des agates. Elle s’approche et m’embrasse goulument, plongeant sa langue chaude dans ma bouche, l’enroulant autour de la mienne tout en me tenant fermement par la taille.
Puis elle reprend sa marche en éclaireur.
En voyant sur le tapis de cristaux de glace scintillants, les empreintes de pattes d’oiseaux cherchant certainement de quoi se nourrir, je me rends compte que je n’ai pas sorti mes colis de la voiture. Oui, parmi tous mes achats, j’ai des graines et une mangeoire. J’ai aussi un gros paquet rempli d’objets, disons, à usage plus ludique. Je laisserais Rosy découvrir ce qu’il contient.
Nous rentrons !
Je me remets à l’écriture, Rosy bouquine sagement au coin du feu, elle me laisse travailler.
La nuit tombe.
C’est une nuit sans lune et alors qu’il ne reste qu’une faible lueur du jour qui s’éteint, les étoiles commencent à apparaitre.
Nous sommes toutes deux dans la véranda. Rosy assise à califourchon sur le banc, moi derrière elle, l’enlaçant de mes bras sous son pull, la tête posée sur son épaule.
Toutes lumières éteintes, nous attendons le spectacle que va nous offrir le ciel de ses nuits particulières, dans ce lieu vierge de pollutions lumineuses.
A SUIVRE.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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