C’était au mois d’août. Un temps pas terrible, des nuages mais assez chaud. Ma fille nous avait passé son appart situé dans la première couronne de la banlieue de Paris pendant qu’elle était en vacances en Bretagne. L’appartement n’était pas très grand mais bien situé dans un quartier très passant. Les journées passaient agréablement avec mon épouse et cet après-midi là, elle rendait visite à une vieille amie dans une localité de la grande banlieue. Elle m’avait dit de ne pas l’attendre trop tôt et je savais que ça ne serait pas avant 21 heures qu’elle serait de retour. Elle s’était habillée de façon soignée, un peu sexy et bien parfumée, bizarre pour aller voir une amie, si bien que je m’étais demandé en la voyant partir si elle ne comptait pas avoir un double rendez-vous dont un avec un « vieil » ami !
Peu de temps après son départ, je descend à la supérette du coin faire une course et je passe devant un fast food hallal. Je vois deux jeunes maghrébines qui sont sur point d’y entrer. Je les regarde et j’entends la plus grande de taille dire à sa copine, plus petite et plus boulotte : « Oghzel, mahleh iinous » (regarde ses beaux yeux) en lui disant de me regarder. A leur type d’arabe parlé, je comprends que ce sont des tunisiennes. Il faut dire qu’elles ne peuvent pas se douter que je parle tunisien, étant blond aux yeux bleus et n’ayant pas du tout l’air méditerranéen. Ce que j’entends me fait plaisir et je continue mon chemin. Ma course finie, je remonte à l’appart tout en gardant en tête le compliment que les deux jeunes filles m’ont adressé.
Cinq minute après, je descend pour aller faire un tour dans le parc voisin et sur le chemin, je me trouve à nouveau nez à nez avec des deux jeunes tunisiennes. Elles sont assises sur un banc et mangent ce qu’elles ont acheté au fast food. Elles sont sagement assises et le foulard qu’elles portent sur tête, sans être à proprement parler un foulard islamique, leur masque bien les cheveux et leur donne un air sérieux. Je leur dit bonjour et fort de ce que j’ai entendu auparavant sur mes yeux, je ne suis pas étonné de les entendre répondre à mon salut.
J’engage la conversation sur le temps qu’il fait, sur Paris, sur le quartier, etc. J’apprends qu’elles sont toutes les deux étudiantes en lettres modernes à la faculté de Sousse et qu’elles sont venues voir un copain qui travaille maintenant en France et chez qui elles vont habiter pour profiter de développer leur pratique de la langue française. Elles ont voyagé très tôt le matin depuis l’aéroport de Monastir et elles ne pourront voir leur copain que le soir lorsqu’il aura fini de bosser. On se présente, la plus grande de taille s’appelle Sonia et l’autre se prénomme Soraya.
Sachant que j’ai quelques heures devant moi avant que ma femme ne rentre, je leur propose, sans penser à quoi que ce soit en le leur disant, de venir se reposer dans l’appartement que j’ai à disposition. Elles acceptent, tout en me disant qu’elles ne veulent pas me déranger et que normalement, elles ne vont jamais chez quelqu’un qu’elles ne connaissent pas. Je les rassure et vu mon âge, je dois leur inspirer confiance et elles me suivent avec leur petit sac de voyage. Je les installe dans l’appartement, leur donne un verre d’eau et leur indique le lit, de fait il n’y en a qu’un, où elles peuvent de reposer. Je les laisse pendant que je me pose sur le canapé du salon avec un bouquin.
Un moment se passe et je vois Sonia sortir de la chambre pour me demander où sont les toilettes, ce que je fais et retourne à mon canapé. Ne la voyant pas revenir après quelques minutes, le temps normal pour se soulager en d’autres termes, je me dirige vers les WC et là surprise !!! J’entends de petits gémissements et des petits bruits de clapotis. Pas de doute, Sonia se branle !!! Sans doute trop de pression avec le voyage qu’elle vient de faire, le passage des frontières, l’inconnu de ce nouveau pays pour elle. Sans bruit pour ne pas réveiller sa copine Soraya, je tourne la poignée de la porte des WC (je sais qu’il n’y a pas de loquet) et je mets un doigt sur la bouche pour lui signifier de ne pas faire de bruit. Elle a son jeans aux chevilles et en me voyant, elle serre les cuisses mais garde une main sur sa chatte. L’espace est exigu et l’odeur de sa mouille et de sa transpiration m’emplit les narines. C’est trop excitant comme parfum, ça me fait bander.
Je lui fais comprendre que je peux lui donner plus de plaisir en lui léchant la chatte et en la branlant. Elle a un sourire en coin pour me faire d’un air gêné : « Non, ce n’est pas propre, ce n’est pas raisonnable ». Je lui dis que j’insiste, que ça me fait très plaisir et je la prend par la main pour la sortir de cet espace si étroit. Elle accepte tout en minaudant et je la vois dans toute sa beauté. Elle a des cuisses longues, une chatte épilée mais dont les poils ont commencé à repousser et un cul vraiment splendide, des fesses rebondies soulignées par le dessein de son maillot de bain où la peau est plus claire.
Je lui dis de se pencher en avant et je plaque ma langue sur sa chatte. Elle est trempée de mouille odorante. Je lui plante un doigt dans le con et je le fais aller et venir. Je sens qu’elle a l’habitude de se faire baiser car mon doigt entre profondément sans problème et elle est même un peu large. Je ressors mon doigt, il est enduit d’une mousse blanchâtre que je m’empresse de lécher et je reprends mes va et vient avec deux doigts qui entrent tout aussi facilement. Ma langue fait un détour par sa rondelle que je me régale à lécher en essayant de la faire pénétrer ce qui augmente son excitation. J’ai sorti ma bite de mon pantalon et je me la branle délicieusement.
Silencieuse au début, Sonia l’est de moins en moins, ses gémissements sont maintenant réguliers et lorsque ma langue attaque son clito, un beau et gros clito tout décalotté comme je les adore, elle pousse un cri de jouissance qui, je le crains, risque de réveiller sa copine Soraya censée dormir dans la chambre. En fait, elle ne doit plus dormir depuis un certain temps car par un jeu de miroir je la vois qui se tient à quelques pas, la robe relevée, une main dans sa culotte entrain de se branler je suppose et une autre entrain de se pétrir les seins. Nous voyant découverts, je le dis à Sonia en lui proposant finalement de regagner la chambre où nous serons installés plus confortablement nos jeux.
Elle fait mine de s’affoler mais finit par accepter et elle est toute surprise de voir sa copine les seins à l’air at la jupe relevée au dessus de la taille. Elle n’est pas mieux car elle a finalement abandonné son jeans et son slip dans le couloir et il ne lui reste que son tee shirt sur les épaules car elle ne l’a pas entièrement enlevé. Je fais un sourire à Soraya et je le lui dis qu’on va s’installer sur le lit pour continuer en l’invitant à venir avec nous. Elle ne se fait pas prier et elle nous suit. Ses yeux n’arrêtent pas de scruter ma bite qui est entièrement bandée décalottée et luisante, à croire qu’elle n’en a jamais vue.
Dans la chambre, j’installe Sonia sur le dos, les jambes largement écartées. J’enlève mon pantalon et je me place entre les jambes de Sonia pour continuer à la sucer et à la branler en même temps que je fais avec ma bite. Emporté par ce que je fais à Sonia, je n’ai pas vu Soraya qui s’approchait de moi par derrière et qui me prend la bite et commence des va et vient. Ma surprise est de courte durée car la fraîcheur de sa petite main est délicieuse et elle prend un malin plaisir à me branler la bite en faisant chaque fois revenir mon prépuce que le gland avant de le tirer au maximum. Je comprend mieux pourquoi elle regardait tellement ma bite. En fait, c’est la première fois qu’elle a en main une bite non circoncise !!!
Je me retourne et je lui propose de s’installer confortablement pour lui faire la même chose qu’à Sonia, c’est-à-dire lui lécher la chatte et lui branler le clito. Elle a un instant d’hésitation mais la tentation est trop forte. Elle dit oui et vient à côté de Sonia. J’ai maintenant deux filles très différentes en face de moi. Autant Sonia est grade et élancée, autant Soraya est petite et toute en rondeurs. Sonia a des seins assez minces en poire qui se terminent par des bouts longs d’un demi doigt, autant sa copine a des seins gros et tout ronds. Le ventre de Soraya est plat tandis que celui de sa copine est rebondi mais beau. Et la comparaison entre les deux tunisiennes ne s’arrêteront pas là.
Je délaisse pour quelques instants Sonia pour donner du plaisir à Soraya et je commence à lui lécher sa chatte. Elle est complètement rasée de près et son sexe a un goût délicieux. Je touche son petit bouton qui n’est pas si petit que ça et se gémissements augmentent. C’est le moment que choisit Sonia pour me demander une cigarette. Sans cesser de m’occuper du con de Soraya, je lui réponds : « Regarde dans le tiroir de la table de nuit » sans me soucier de ce qu’elle va trouver dans ce tiroir. En fait, au lieu de prendre en main le paquet de cigarettes, elle att**** le gode de ma femme, celui qu’elle utilise généralement quand on baise (mais sans doute aussi autrement, toute seule…).
Elle est très intéressée et visiblement, c’est la première fois qu’elle voit une imitation presque parfaitement d’une bite avec un gland, des veines, etc. Elle le prend en main et le porte presque immédiatement à sa bouche et commence à le sucer. L’instant d’après, il est dans sa chatte luisante de mouille et elle fait de grand va et vient avec. Ses gémissements sont de plus en plus forts. De mon côté, j’ai demandé à Soraya de se mettre en levrette pour pouvoir mieux lui lécher sa rondelle tout en m’occupant de son clito. Je ne suis pas déçu car autant sa chatte était serrée, autant son trou du cul est large et ma langue y pénètre très facilement, trop facilement presque. Je comprends que pour préserver sa virginité, elle offre son cul à ses petits copains.
La vue de Sonia qui se branle à grands coups de gode et l’idée que je vais pouvoir enculer sans difficulté Soraya me donnent une bandaison d’enfer. Après avoir bien préparé la rondelle de Soraya avec ma langue et avec deux doigts que j’ai fait glisser dans son trou du cul pendant que je lui branlais le clito et lui pétrissais ses grosses mamelles, je présente ma bite entre ses fesses. Je la passe de sa chatte à son anus en utilisant sa mouille abondante pour lui lubrifier le sphincter, je commence à l’enculer. J’introduis mon gland sans difficulté. Elle a à peine un petit sursaut mais je continue très doucement tout en lui branlant son clito. J’entre complètement ma bite et commence mes va et vient, lentement d’abord et de plus en plus vite. Soraya se met alors à gémir de plus en plus fort, elle se tétanise et jouit bruyamment en s’effondrant sur le lit. Je me retire et la laisse à sa jouissance pour m’occuper de Sonia.
Je me positionne entre ses cuisses et lui retire le gode que je remplace par ma bite enduite de la mouille et des sécrétions de sa copine. La connasse de Sonia est un trou béant après les coups de gode qu’elle s’est envoyés. Je nage dans sa mouille et dans l’écume blanchâtre que produit sa chatte. C’est une fournaise dans laquelle j’engloutis ma bite. Que de bonheur !!! Elle, d’avoir une bite à la place du gode la transporte de plaisir qu’elle hurle maintenant. Heureusement que nous sommes en plein après-midi et que les gens dans l’immeuble sont soit au travail soit en vacances.
Je la bourre en faisant de grands va et vient. Je lui masse le clito en même temps pour lui donner plus de plaisir. Sa tête part à droite et à gauche et elle se tient les seins. Son bassin vient à la rencontre de ma bite à toute allure. Je commence à sentir les parois de sa chatte se contracter et je sens ma jouissance va déferler. J’ai le temps de sortir ma bite avant qu’elle me bloque avec ses jambes qui m’entourent mes reins. Le gode étant à portée de ma main, je remplace ma bite par le gode dans le con de Sonia et moi après quelques mouvement de la main sur la bite, je déverse mon jus sur son beau petit ventre lui laissant quelques traînées de liquide blanchâtre sur sa belle peau brune !!!!
Tout le monde se remet avec de beaux sourires de bonheur, chacun d’entre nous ayant joui. Sonia et Soraya vont prendre une douche et les voilà sur pied pour rejoindre le domicile de leur copain. Je me dis : « En voilà un qui ne va pas s’ennuyer avec cette équipe de filles !!! ».
Ma femme rentre assez tard, il est plus de vingt et une heures effectivement. J’ai eu beau ranger l’appartement et aérer, elle me dit : « C’est bizarre, ça sent le cul dans cet appartement ! ». Je ne relève pas bien sûr. Plus tard dans la soirée, je suis encore excité de ce qui s’est passé cet après-midi et j’ai envie de baiser ma femme. Elle me fait comprendre qu’elle est assez fatiguée mais j’insiste et elle finit par accepter. Bizarrement, elle est particulièrement large du con et j’y trouve une mouille abondante et ça glisse tellement que je pense qu’il y a même du sperme. Je fais comme si de rien n’était et je baise,mêlant ma jute à celle de l’amant de ma femme avec qui elle a baisé … en plus d’aller voir sa copine, je n’en doute pas.
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