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Le séminaire professionnel, que mettre ?

Le séminaire professionnel, que mettre ?



ette histoire s’est déroulée il y a un an environ, il y a prescription.

Mon responsable m’indiquait que nous avions un séminaire dans un département limitrophe à la région parisienne regroupant les différents loueurs d’habitat à loyer modéré de différentes régions. Etant sur le management de ces dossiers, j’étais en première ligne pour assister à ces débats et échanges qui devaient durer une semaine.

Une semaine où je quittais le foyer familial pour raisons professionnelles ; je ne l’ai jamais fait et rien que pour faire ma valise, beaucoup de questions se posaient. Habituée des tenues les plus simples, je ne savais absolument pas quoi mettre dans ma valise. Le voyage se passerait en voiture, avec mon boss, sa secrétaire et moi. Donc déjà, pour le trajet du lundi, un jean et un chemisier suffisaient amplement. Mais ensuite ? Je retournais mon armoire mais rien de bien transcendant. Je décidais le samedi précédent d’aller à Nancy faire quelques amplettes sur les conseils avisés d’une collègue. Tenue stricte mais confortable (ben avec ça… stricte = tailleur et veste, confortable = jean, baskets, donc des notions distinctes dans mon esprit).

Me voici donc au Printemps, en plein centre de Nancy avec de multiples étages et rayonnages. J’avise une femme d’une cinquantaine d’années, vendeuse de son état, et strictement habillée. Je lui expose la situation et mes besoins. Elle me propose plusieurs tenues, de marques connues et moins connues, du moins pour ma part. Des jupes crayons, des jupes traditionnelles, des tailleurs, des chemisiers… et me voici en essayage. Sans prêter attention, j’enfile, j’essaie et je m’observe sous différentes coutures. Je n’aime pas trop ces tenues, mais c’est ainsi. Mon esprit malin commence à jouer… une veste de tailleur seule sur ma peau, me donne un côté sexy qui n’est pas pour me déplaire. J’ai envie de jouer avec cette femme, qui n’arrête pas de me dire, « ça vous va comme un gant », « cette échancrure met votre poitrine en valeur », « ceci est plus business casual… » ben bien sur ! Je retire l’ensemble de mes sous-vêtements et essaie une tunique en coton écossaise magnifique et sort du vestiaire ; je tourne sur moi même, le courant d’air m’agite. Je rentre, laisse le rideau entrebâillé, me change et j’imagine des regards discrets m’observer… La vendeuse ne me voit pas, j’essaie alors un ensemble tailleur Prada, veste deux boutons, jupe fendue. J’enfile ceci sur ma peau nue et sort devant la grande glace, pieds nus et j’attends l’avis de ma conseillère. « Magnifique » s’exclame t-elle. Je souris en pensant à notre fameuse brésilienne. Je tourne sur moi même et elle ne tarit pas d’éloge, en même temps, vu le prix, heureusement que ça te mets en valeur ! « Il vous faut une paire de talon pour compléter ceci, ne bougez pas »

Bien, je patiente, nue sous une tenue à 400€. Je m’assieds sur un banc dans ma cabine d’essayage, les jambes écartées et la cabine en face me renvoie mon image. Excitant. La vendeuse revient avec une paire de talon crème, accordée avec cet ensemble. Je suis toujours assise et la vendeuse s’accroupit pour sortir les talons, et les présenter à mes pieds. Elle s’empourpre, me regarde droit dans les yeux et ne dit rien. Ce regard me marquera toujours. Elle se redresse, feint d’ignorer ce qu’elle vient de voir et me fait lever en me prenant la main. Je n’ai que peu l’habitude des talons et marche sur quelques mètres dans ce magasin. Je me sens dévisagée, transpercée par son regards. Elle continue ses éloges, mais sa voix s’enroue. Et bien vendu ! Dis-je, il m’en faut deux autres mais moins chers. Elle s’enquiert de mon budget, me dit changez vous, je vous ramène deux pièces. J’entre dans la cabine, me déshabille et me voilà complètement nue dans cette cabine. Je patiente, mon duvet et mes tétons sont fièrement dressés. J’entends ses talons arriver, je ne cherche à rien cacher. Sans me demander, elle ouvre de quelques centimètres le rideau, non choquée ni empourprée cette fois, elle me tend deux ensembles en prenant le temps de me parcourir de haut en bas et de bien faire une pause à mi chemin. J’ai l’impression que cela dure une éternité. Puis elle referme le rideau et j’entends qu’elle referme le rideau de la cabine d’à côté, le bruit des anneaux est caractéristique. J’enfile donc une seconde tenue, qui est dans le même style que la précédente mais la veste est un peu plus serrante et je ne peux fermer qu’un bouton. Le bruit des anneaux recommence. Je hèle la conseillère de vente afin qu’elle me donne son avis, et j’entends « je suis là ». Je sors, mon nombril à l’air, et je vois cette vendeuse, assise sur le fauteuil à l’entrée du groupe de cabines d’essayage, les jambes croisées et elle m’observe. Ses jambes sont gainées de nylon et je devine des DIM auto-fixants. Les fourmis.

Je lui montre que la veste est trop courte, elle se lève, défait le seul bouton que j’ai pu fermer et la veste ouvre alors une ligne de mon cou à la jupe, aucun soutien gorge, mes petits seins sont libres, toujours couverts. Sérieuse et appliquée, elle passe sa main à l’intérieur de la veste afin de juger de la position des épaules pour ajuster cette veste. Ses bagues et ses mains frôlent mes tétons drus, maintenant c’est moi qui m’enmpourpe.

Elle sourit. Elle referme les boutons. « Cela se porte comme ça », ah ben d’accord. « Marchez » Je m’exécute. Cette veste cintrée me serre, en lui disant ceci, elle me dit : « pour définir ceci, asseyez vous, si votre dos est trop tendu, effectivement c’est trop cintré, tenez vous droite » Je m’exécute à nouveau. L’ensemble est très tendu, la jupe remonte sur ma cuisse, la veste m’oppresse, j’ôte un bouton, mes seins sont comprimés et mes tétons dessinent une petite bosse sur le tissu. « Cet ensemble est trop ajusté, pourtant, il n’y a rien en dessous »… Elle me déstabilise cette femme. Il me faut ma revanche. « je vais vous chercher autre chose ». Je file dans la cabine, ôte tout et repose sur les cintres. Elle revient avec une jupe en simili cuir et un chemisier en tulle plutôt transparent. Et une veste. Seul son bras passe par le rideau. J’enfile le chemisier, c’est très sexy et excitant. Je passe la jupe, elle se ferme par une fermeture éclair sur l’arrière. Je la tourne d’un quart pour la fermer. Je me ravise… j’enfile la veste et sort ainsi, la fermeture à l’arrière non fermée. J’avance vers la grande glace et mon experte vendeuse me ratt****, me sert par l’arrière, glisse un doigt à l’arrière de la jupe pour serrer les deux pans et fermer le zip. Ce moment me semble durer, et surtout, je sens son doigt s’immiscer dans mon sillon fessier. Elle ne dit rien. J’en jette comme ceci.

Les fourmis reviennent. Je tourne sur moi-même, les talons rehaussent mon postérieur. Je deviens fébrile, mon entrejambe se ramollit, à chaque pas, je sens la lubrification s’amplifier. La jupe m’arrive au dessus des genoux, je la relève un peu, puis m’assoit dans le fauteuil, les jambes légèrement écartées, la conseillère n’en perd pas une miette, elle ne rougit plus, moi non plus, nous nous toisons. J’ai l’impression qu’il n’y a plus que nous. Je relève un peu plus la jupe dans ce fauteuil, en même temps, je me vois dans la grande glace, mon abricot luit. Puis elle s’éclipse, me laissant en plan. Bon.

Je range l’ensemble des vêtements, sélectionne le dernier ensemble, me rhabille et j’allais prendre congés en réglant mes effets.

Je sors de la cabine, la vendeuse est là, elle attend sur le fauteuil, l’oeil sourcillant, légèrement rouge. « Vous avez tout repris, quel est votre choix finalement ? »
« La jupe en simili, le premier ensemble et celui-ci »
« très bien, pas de retouche, mais pensez à les essayer avec quelque chose en dessous » Blam.
« Oui, je n’y manquerai pas », et là, comme si elle allait se relever, elle écarte ses jambes et ma vue se brouille, j’ai en face de moi un superbe minou aux lèvres charnues, entourées de fins poils noirs dont la partie centrale ne trompe pas, les poils enchevêtrés sont légèrement collés. Elle ne bouge plus.
« Allons vers la caisse »
Elle sourit, je lui souris. Elle encaisse mes articles, je lui tends ma carte bleue et elle griffonne quelque chose sur le tickets de caisse qu’elle glisse dans le grand sac Printemps.

« Bonne journée Madame »
« Merci à vous aussi et merci de vos conseils »
« Merci à vous »

Je vais vers mon auto dans le parking souterrain en face, je n’en peux plus, je me change derrière l’auto, j’enfile la jupe en simili, le ticket tombe au sol.
« Brigitte nous n’avons pas terminé les essayages 06 xx xx xx xx »

Je suis plantée là, avec ce simple ticket, qui veut tout dire et ne rien dire. Je monte en voiture, démarre et ne peut m’empêcher de penser à ce sexe offert, humide aussi dont les lèvres charnues ne demandent qu’à être écartées. Après quelques kilomètres, je m’arrête au bord de l’Autoroute, sur un petit parking en contre bas à la lisière de la forêt de Haye. Personne. Je me fais jouir. Je lèche mes doigts et essuie mon minou au fur et à mesure. Je repars.

Je rentre à la maison. J’essaie à nouveau tous mes vêtements. Je file sous la douche pour me remettre de tout ceci et je prépare ma valise pour 4 jours. Une paire de collant, un soutien gorge, un string, trois jupes, trois vestes, quatre chemisiers, deux jeans et des chaussettes. Point à la ligne. J’ai hâte d’y être et de découvrir ces journées de séminaire.

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