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mon amie valentine

mon amie valentine



Elle s’appelait valentine. Agée de vingt et un ans, elle était belle et elle le savait. Son adorable petit minois et son merveilleux corps faisaient qu?elle sortait rarement sans se faire aborder. Sa mine boudeuse mettait en valeur ses yeux dun vert profond, et son petit nez délicat. La minceur et la cambrure de son corps mettaient en avant ses petits seins en forme de poire (ou c’est du moins la forme que l’on pouvait deviner à travers ses vêtements ) et son adorable petit cul. Mais elle nabusait jamais de ses avantages physiques et elle refusait de porter des tenues trop sexy.

On s’était rencontré à l’université par amis interposés. Elle m’avait semblée tout de suite différente de ces filles belles et qui en sont conscientes : elle en jouait, bien sûr, mais elle savait respecter les autres, elle ne se limitait pas à des choses futiles et elle abordait assez librement tous les types de sujets ( hormis celui du sexe). Elle croyait encore à l’homme idéal, un mélange de célébrités qui pour elles avaient cette classe et ce sex appeal qu’elle recherchait désespérément.

Nos liens d’amitiés se sont peu à peu renforcés et elle s’était rendu compte du pouvoir qu’elle avait sur moi .Je me rappelle dun jour à la fin du printemps où elle m’avait ouvert la porte et ou j’étais resté bouche bée pendant quelques secondes, arrivant à peine à bredouiller quelques syllabes : elle avait mis une de ces petites robes toutes simples qui mettent tellement bien un corps féminin en valeur :le choc ! Elle avait des jambes superbement dessinées (c’était une grande sportive : natation, jogging), d’un teint mat des plus délicieux. Pour la première fois, elle avait un décolleté qui permettait dapprécier la forme de sa poitrine.

Plus le temps passait, plus on faisait dactivités ensemble et plus je pouvais profiter de cette agréable vision. Un jour, alors que nous courrions ensemble dans un parc par temps de pluie, elle a progressivement accéléré comme pour me montrer que le sexe si faible ne létait pas tant que ça Jaugmentais peu à peu mon rythme jusqu ala ratt****r et arrivé à son niveau je lentraîne sur le bas côté, en dehors du chemin, et nous nous écroulons tous les deux, essoufflés, dans lherbe humide. Elle se retrouve allongée sur moi, les jambes emmêlées, et nous rions aux éclats. Nos rires se calment ; je sens la chaleur de son corps contre le mien et la situation devient troublante pour tous les deux . Le silence?Nos regards ne se quittent plus. Jécarte doucement de ma main une mèche de cheveu ,qui, alourdie par la pluie, lui barre le visage. Elle retient ma main et y dépose un baiser des plus sensuels. Nos doigts sentremêlent. La pluie continue de tomber dans le parc déserté par les passants. Je passe ma main derrière sa nuque, je lattire vers moi et dépose un baiser sur ses lèvres brûlantes. Dès que ma langue entre en contact avec sa lèvre supérieure, je la sens frissonner. Elle est dabord hésitante, elle essaye même de détourner la tête mais finalement elle senhardit et je sens sa langue rejoindre et senrouler autour de la mienne, ce qui me procure une délicieuse sensation. Ma main se détache de la sienne et , alors que je me retrouve à mon tour sur elle, je lui caresse la joue, puis le cou et puis je descends jusquà sa poitrine. Je prends son sein gauche dans ma main et je fais de petits cercles avec mes doigts A travers son survêtement, je sens le téton se durcir. Je le pince délicatement et tout en fermant les yeux, elle pousse un soupir de plaisir. Je sens mon sexe se durcir. Ma main droite se pose juste au dessus de son genoux et remonte progressivement sur sa cuisse. Elle ferme imperceptiblement ses jambes comme pour protéger un endroit qui était resté inviolé jusqu?alors. Je sens cependant ses mains se poser sur mes hanches et lune delle vient se poser sur mes fesses et réagit à chacune des caresses appuyées sur son corps. Je ne sais pas combien de temps nous sommes restés ainsi sous la pluie à nous caresser ni à quel moment nous avons décidé de rentrer (le plus rapidement possible) chez elle. Je me rappelle du bus que nous avons pris pour rentrer : collés lun à lautre durant le trajet dans un bus bondés, je sentais son odeur excitante au possible, mélange de sueur et dexcitation.Je lui déposais régulièrement des baisers derrière loreille, là où cette odeur était la plus présente ; ce à quoi elle répondait par des caresses appuyées de sa main qui sétait glissée sous mon tee shirt. Une fois arrivée à la résidence universitaire où nous habitons tous les deux, je lui dit que je vais chercher qqes affaire pour me changer et je suis de retour chez elle à peine deux minutes plus tard.On décide de prendre chacun une douche ( séparément ..). A regret je la laisse entrer dans la salle de bain.
En sortant de la salle de bain je ne lavais pas entendue sortir et elle me surprend sa culotte contre le visage. Dabord gêné, je ne lui laisse même pas le temps douvrir la bouche que je la prends par la taille et lattire à moi. Elle soffre plus que quelques minutes auparavant, elle ne fait pas seulement que répondre à mes caresses, cest à son tour de me plaquer contre le mur .Mes mains se posent sur son adorable petit cul bien ferme et nos langues s?entremêlent violemment. Je saisi le bas de son tee shirt fraîchement enfilé et le soulève progressivement pour découvrir ses seins en partie cachés par un soutien gorge en dentelle. Elle aussi menlève mon tee shirt et sattaque à la ceinture de mon jean. Je me retrouve en caleçon, le sexe dressé devant la plus belle fille que je nai jamais connu. Elle jette un coup doeil à mon érection et ose même une caresse furtive, à mon plus grand plaisir. Je me met à genoux devant elle et jentreprends de lui enlever son jean. Elle se retrouve en culotte et soutif devant moi. Je lui pince la lèvre supérieure, la lèche délicatement et répond à sa langue qui tente de senfoncer profondément dans ma bouche. Je laisse glisser mes mains sur son corps nu et doux, je dégraffe son soutien gorge et libère sa poitrine. Je prends valentine par les hanches, elle menserre la taille de ses jambes ;je sens déjà la chaleur de son bas ventre. Je la dépose tendrement sur le dos et commence à déposer des baisers sur ces cuisses en direction de son jardin secret. Je la sens frèmir à chaque baiser.
Je fais glisser délicatement sa culotte et je découvre son adorable petite chatte, ses poils mi court et cette fente humide . Je la caresse avec deux doigts, y enfonce légèrement mon majeur et je sens son corps se contracter. Je relève la tête et je la vois, à la fois gênée et pleine dexcitation. Je mets mon visage au contact de sa vulve, je sors ma langue et goûte à ce nectar qui commençait à séchapper. jintroduis ma langue plus profondément et je recueille tout ce nectar. Je la fais jouir en titillant son clitoris, en le suçant avidement, son corps se contracte et je me gorge de cette saveur si agréable. Je glisse une dernière fois mon doigt dans cette fente humide et je remonte vers son minois si agréable. Je présente mon doigt devant sa bouche et elle le lèche avidement. Elle reste bouche ouverte et jen profite pour glisser ma langue au plus profond de son palais. Ses joues rouges, ses yeux fuyants montrent à quel point elle lutte entre sa timidité naturelle, sa gêne en ce qui concerne le sexe et son désir manifeste. Ses mains glissent agréablement sur moi et sattardent parfois sur mes testicules. Mon gland humide glisses sur son corps bronzé et mouille lintérieur de ses cuisses. Ma queue se présente à lentrée de sa chatte désormais bien lubrifiée et je pousse progressivement dans sa chatte très étroite. Je sens quelle retient son souffle ,elle crie de douleur lorsqu je rompt son hymen. Après quelques mouvement de reins ceux-ci se transforment en cris de jouissance. Je me sens si bien dans sa chatte si tendre que je my attarde, alternant des mouvements rapides et plus lents.
Je lui demande de me regarder, sentant le moment de jouissance arriver. Je me perds dans ses yeux verts, jaccélère une dernière fois le rythme, je vois son visage se tendre puis se détendre rapidement. Jenfonce mon sexe tout au fond de son vagin et je décharge une quantité incroyable de sperme.

Je reprends sa bouche et nos langues se mêlent dans un baiser langoureux. Nous restons ainsi longtemps, le corps moite , lun contre lautre. Elle étire ses bras derrière sa tête et son visage séclaire dun large sourire. Mes mains se posent sur ses hanches, je lembrasse une dernière fois et nous nous endormons lun contre lautre, les bras emmêlés.

Le lendemain,il est 10h, je me réveille dans la chambre d’ami de mon meilleur copain encore fatigué de la soirée de la veille mais les rayons du soleil éclairent l’ensemble de la pièce et le réveil fut inévitable. Je me lève pour m’habiller puis j’hésite un peu mais je décide de sortir à la chambre pour voir si mon pote est debout. Je vais jeter un coup d’œil dans sa chambre: il dort bien profondément. Je referme la porte en faisant attention de ne pas faire de bruit puis je décide de retourner dans la chambre en attendant qu’il se lève. Mais juste après avoir relâché la poignée j’entends la porte d’à coté s’ouvrir. C’était sa sœur, Valentine, qui venait de se réveiller visiblement, elle aussi, encore fatiguée par sa soirée de la veille.

Elle portait un long t-shirt blanc laissant apercevoir une petite culotte rouge et de jolies jambes. Elle ne porte apparemment pas de soutien gorge ce qui permet de voir sa superbe poitrine. Nous sommes tous les deux assez gênés. Je vais aussitôt vers elle pour lui faire la bise quand une puissante érection survient et j’essaye de la cacher.

Valentine laisse échapper un petit rire et me propose de descendre au salon. Je la suis en ne pouvant m’empêcher de suivre ses fesses du regard. Elle s’allonge dans le canapé pendant que je me pose dans le sofa en face. Cette place me donne le privilège de pouvoir apercevoir son entre-jambes. Je me demande si elle ne fait pas exprès d’écarter autant les jambes pour m’exciter encore plus que je ne l’étais.

Elle allume la télé et commence à zapper sur toute les chaînes du câble pour laisser finalement une chaîne de musique avec les meilleurs tubes du moment. Mais la télé n’attirait absolument pas mon attention et je soupçonne Valentine de l’avoir remarquée assez rapidement.

J’ai alors pensé que mes regards posés sur son corps l’ont gênés et que le froid ne fut qu’un prétexte pour cacher son magnifique corps. Valentine revient 5 mn après au salon avec sa couette et les cafés qu’elle dépose sur la table basse. Puis à ma grande surprise elle vient se coller contre moi avec sa couette.

Je m’exécute pendant que mon excitation ne fait que grandir. Après avoir fini notre boisson Valentine laisse tomber sa tête sur mon épaule puis approche ses lèvres des miennes.

Puis je vais au toilettes du bas laissant Valentine monter dans sa chambre avec la couette sur les épaules. Je n’en revenais toujours pas. D’habitude plutôt sage et timide je découvre une autre Valentine qui d’ailleurs me plaît d’avantage que l’ancienne.

Après avoir fini mon affaire je me dépêche d’aller retrouver Valentine dans sa chambre. En entrant je découvre une chambre de jeune fille avec du rose et des peluches partout. Elle referme la porte derrière moi et la verrouille histoire de ne pas être dérangés. Je commence alors à l’embrasser et je l’allonge sur le lit afin de continuer ce que j’avais entreprit. J’enlève mes vêtements pendant que Valentine enlève le peu de tissu qu’il lui restait. Elle commence par ôter son tee-shirt laissant apparaître une jolie petite poitrine bien ronde. Je prend ça comme un appel et je m’empresse de lui tripoter les seins tout en mordillant le bout de ses tétons ce qui a pour effet de laisser une vague de frissons parcourir son corps. Il ne lui restait plus que sa culotte et je voulais découvrir son jardin secret. Je continuais à lécher son corps en descendant jusqu’à son entrejambe. Je commençais par lécher sa vulve à travers le tissu puis je l’ai libéré de cette culotte qui étais déjà bien mouillée. Une petite chatte rasée est alors apparue et je ne put m’empêcher d’entamer un cunnilingus. Les premiers gémissements se laissent alors entendre tout en restant discrets car la chambre de Nico est juste derrière le mur. Les mouvements de ma langue sur son clitoris s’accélèrent. Valentine se tord de plaisir et se touche les seins pour accentuer son bonheur. Le bout de ma langue entre en profondeur dans son vagin me permettant de gouter à sa semence.

Après quelques minutes de léchouilles, elle me fait comprendre qu’elle veux que je la doigte. Je commence alors par rentrer un doigt tout en continuant à lécher son petit clito. Les gémissements se font de plus en plus entendre, je rentre ensuite deux doigts qui ressortent de plus en plus mouillés. Je me rapproche ensuite de sa bouche pour l’embrasser longuement avant de m’allonger sur le lit pour que Valentine puisse s’occuper de ma verge. Ses jolies mains se posent sur mon sexe et elle entame une fellation. Je sens sa langue se poser sur mon gland puis elle prend mon sexe en bouche pendant de longues minutes. Je n’ai jamais ressenti autant de plaisir serais-ce l’excitation du fait que ce soit la sœur de mon meilleur pote? Ou alors du fait qu’il soit juste à coté et qu’on puisse se faire surprendre? Je ne sais pas en tout cas il ne fallait pas qu’elle me suce plus longtemps sinon j’allais exploser dans sa bouche.

Je commence à me relever pour la prendre en levrette mais elle avait apparemment une autre idée en tête. Elle me rallongea sur le lit et se mit à califourchon sur ma verge dressée. Elle voulait contrôler nos ébats. Elle prend ma verge en main et dirige mon gland vers sa fente. J’allais entrer dans son intimité d’une seconde à l’autre et cela m’excitait de plus en plus. Valentine poussa un long gémissement lors de la pénétration et elle commença les va et vient. C’est elle qui décidait de la cadence et elle n’était pas en reste. Elle mouillait de plus en plus au fur et à mesure que les va et vient s’accéléraient. Je la voyais se retenir de laisser s’exprimer sa jouissance qui d’ordinaire aurait éclatée depuis longtemps. Valentine ne freinait pas le rythme et sa jouissance que des petits cris ne purent être retenus. Je tenais ses seins en main pour accentuer le plaisir. Mes doigts pinçaient ses petits tétons. Je sentais que je n’allais plus tenir longtemps tant Valentine accélérait. Ses cris devenaient de plus en plus accentués et son frère n’allait pas rester endormi toute la journée. Je pris Valentine par la taille et la bascula sur le coté pour ne pas laisser ma semence dans son vagin. Elle reprit mon sexe en main prêt à exploser d’une seconde à l’autre. J’étais à genoux sur le lit devant son corps allongé et elle me masturba. En effet, quelques secondes plus tard je déversais mon jus sur ses seins en prenant soin de ne pas en mettre sur la couette puis je me suis allongé à coté d’elle pour l’embrasser quand la porte de la chambre d’à coté s’ouvrit. Merde Nico était debout et il allait surement venir voir si sa sœur était réveillée.

Aussitôt Valentine me chuchota d’aller sous le lit.
Je m’exécute et je vois Valentine prendre un mouchoir sur le bureau surement pour essuyer ses seins puis elle va discrètement déverrouiller la porte avant de se remettre sous la couette. Il était moins une Nico entra dans la chambre.
Valentine fit semblant de dormir.
Nico referma la porte et Valentine attendit que l’eau de la douche commence à couler pour me faire signe de sortir. Je m’habille rapidement et Valentine me fait descendre au salon en vitesse pour reprendre mes affaires. Elle ne s’était même pas rhabillée pour m’accompagner jusqu’à la porte. Je pris mes affaires, mis mon blouson. J’étais prêt à partir. Je pris Valentine dans mes bras pour lui voler un dernier baiser.

Sur ce baiser nos deux visages souriants se séparèrent. Pendant des jours je ne pensais qu’à elle et à notre prochaine fois.

Quelques jours aprés, je rentre du lycée, épuisé je me pose devant l’ordinateur histoire de me détendre avant de faire mes devoirs. Je me connecte sur ma messagerie instantanée pour discuter avec mes potes. Après quelques minutes de chat avec un copain qui me propose d’aller chez lui samedi soir pour se faire une soirée entre potes, un message apparaît sur mon ordinateur: « Valentine vient de se connecter ». J’entame alors une conversation avec elle. Elle veut me proposer quelque chose. En effet, ses parents partent tout le week-end et Nico est lui aussi invité à cette soirée entre amis et il compte y aller et dormir là-bas.
Le samedi est enfin arrivé il est 22h30 et je décide d’aller rejoindre Valentine chez elle. J’arrive un quart d’heure plus tard. Elle m’ouvre la porte. Je découvre alors une jeune fille resplendissante habillée d’une nuisette jaune très fine. Elle semblait être nue en dessous du moins pour ce qui est du haut. Elle voulait m’en mettre plein les yeux. Elle était vraiment très bandante. Aussitôt qu’elle eut ouvert la porte elle se jeta autour de mon cou et sauta sur moi en mettant ses jambes autour de mon bassin. Elle voulait visiblement commencer tout de suite mais je voulais d’abord prendre une
douche .
Deux sourires se dessinent sur nos visages. Je la prend par la taille et je la porte jusqu’à la salle de bain. Nous enlevons nos vêtements et nous dirigeons vers la douche. Ma verge commence à se dresser à la vue du corps nu de ma partenaire. Valentine règle la température de l’eau et la force du jet et nous rentrons dans la cabine. Je prend sa poitrine en main pendant qu’elle dépose ses petites mains sur mon sexe pour débuter une branlette. Je mordille ses tétons doucement. Les premiers gémissements se font entendre. Pas de retenue cette fois la maison est vide et personne pour nous déranger. Mes mains descendent jusqu’à sa vulve fraîchement rasée, je frotte son clitoris avec ma main droite pendant que la gauche est toujours occupée avec ses seins. La stimulation de son clitoris provoque en elle une grande jouissance. Elle pose ses mains de chaque coté de la paroi pour prendre appui. Mon majeur et mon annulaire pénètre sa fente, je commence les va-et-vient à l’intérieur de son vagin. Des gémissements de plus en plus forts sortent de sa bouche. Les va-et-vient s’intensifient, nous sommes tous les deux très excités. Valentine se retourne et se met dos à ma verge, elle plaque ses mains contre la paroi. Elle veut que je la prenne en levrette. Je dirige ma verge vers sa fente. L’eau rend les choses beaucoup plus facile. La pénétration se fait en finesse, je commence mes va-et-vient, les premiers mots provoqués par le plaisir sortent de sa bouche.
Ces mots ne peuvent que m’inciter à accéléré mes coups de reins. Valentine se caresse les seins au rythme des pénétrations. Je sens que je ne vais plus tenir très longtemps mais je continu de plus belle. J’attends le dernier moment pour profiter de ses instants de bonheur.
Cette fois c’est fini je ne peux plus tenir. A peine le temps de me retirer de son vagin qu’un long jet de sperme se dépose sur ses fesses. Je l’enlace par derrière afin de couvrir son cou de baisers pour ensuite m’attarder sur ses lèvres et sa langue. Je saisis un gel douche dans l’endroit réservé et je verse le liquide dans la paume de ma main, je décide de frotter le corps ruisselant de ma belle en commençant par sa poitrine. Valentine en fait de même et pendant que je m’attarde sur sa partie intime, elle, enduit mon torse de savon et descend jusqu’à mon sexe qu’elle lustre d’un manière sensuelle.
Après avoir fini notre douche sexuelle et s’être rhabillés, moi en boxer et tee-shirt en Valentine en nuisette et culotte, nous sommes allés regarder la télé pour se reposer un peu.

Nous montons ensuite à l’étage s’allonger dans son lit, nos deux corps nus rassemblés.
Valentine tombe rapidement dans un profond sommeil. J’en profite pour regarder son magnifique corps de jeune fille et je ne peut m’empêcher de penser au plaisir qu’elle me procure.

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