Tout s’est déroulé à l’été 2009, mon grand ami Antoine m’avait fait l’honneur de me nommé parrain de son tout jeune poupon. Comme il est militaire et qu’il demeure sur une base en Ontario, il m’avait invité à loger chez lui pour la semaine, chose que j’acceptais avec joie.
J’arrivais donc le lundi midi, ayant pris le train, j’attendais qu’Antoine arrive pour venir me chercher à la gare. J’étais assis sur un banc quand j’entendis la voix de la femme d’Antoine derrière moi. Veronika était originaire de la Saskatchewan et donc ne parlait que très peu en français, heureusement je me débrouillais assez bien dans la langue de Shakespeare. Comme Antoine n’étais pas présent pour faire les traductions d’usage, je me lançais pour parler dans sa langue. Me levant je m’approchai d’elle pour lui faire la bise.
-Wouah! Tu es magnifique.
-Merci. Alors le voyage s’est bien passé?
-Ouais, très bien merci. Antoine n’est pas là?
-Il travaille alors il m’a demandé de venir te chercher.
-D’accord et mon filleul est où?
-Chez ma mère. Allons en route, on passe chercher Nathan (mon filleul) et ensuite hop à la maison.
Je pris mes bagages et suivi Veronika jusqu’à la voiture. De derrière je me rendais compte que malgré la naissance de son fils, elle avait une taille de guêpe et un fessier bien découpé. Après quelques minutes sur la route, nous arrivons chez la mère de Veronika. Elle me présente rapidement à sa mère et à sa sœur, Alyssa, qui sera la marraine de Nathan. J’en profite bien sûr pour la détailler. Elle à 19ans, mesure 1m65, environ 51 kilos, de jolis yeux vert en amandes et une tignasse rousse. Une chose est sûre, elle n’est pas la jumelle de sa sœur qui elle possède de très profond yeux bleu et une chevelure blonde. Comme nous ne sommes pas tellement pressés et que le petit dort, la mère de Veronika nous offre de rester pour prendre une tasse de thé. Comme je suis un peu fatigué de faire de la route, et que la présence d’Alyssa ne me rends pas indifférent, j’accepte volontiers.
J’apprends que les parents de Veronika ont déménagés en Ontario pour être plus près de leur fille et ainsi de leurs futurs petits enfants. De son côté, Alyssa est présentement en visite et occupe une chambre d’ami ici chez ses parents. Nous parlons un bon moment, jusqu’à ce que Nathan pousse un cris pour indiquer qu’il est éveillé. Nous nous rendons donc tous à la chambre d’ami où est déposé le parc pour bébé. Je suis bien sûr content de voir mon filleul pour la première fois en chair et en os. Les femmes se penchant toutes trois au-dessus du parc pour enfant, je me place derrière Alyssa et me penche par dessus son épaule pour voir mon filleul. La proximité entre nos deux corps commence à me titiller quelque peu et je dois me redresser avant que le tout ne se fasse pas remarquer.
Le temps de préparer Nathan, de plier le parc et de dire au revoir à tout le monde et nous sommes repartis. Dans la voiture, Veronika lance la discussion.
-Alors, comment tu as trouvé ma sœur?
-Euh… elle est très gentille. Vous ne vous ressemblez pas énormément.
-Je sais, les gens ont souvent de la difficultés à croire que nous sommes sœurs.
-Je n’irais pas jusque là. Vous avez tous les deux un charme impressionnant.
Veronika me lance un regard amusé et se reconcentre ensuite sur la route. En peu de temps, nous sommes arrivés à la maison. C’est une belle maison unifamiliale et je commence vraiment à envié mon vieux pote Antoine d’avoir une vie aussi bien rangée. J’aide Veronika à sortir les bagages de Nathan et a entrer le petit à l’intérieur. Aussitôt que nous sommes entrés, Veronika va me montrer ma chambre.
-Antoine devrait arrivé dans 1 heure ou deux, prend le temps de défaire tes valises, je serai dans la salle de séjour avec Nathan.
-Parfait merci.
Je me met donc à défaire mes valises et je me rends compte qu’il me manque l’un de mes sacs, je me dirige donc pour sortir. En passant devant la salle de séjour, je vois que Veronika se prépare à donner le sein à Nathan. Je m’arrête et malgré moi je regarde la scène. La situation me met dans un état plutôt étrange. Comme elle est chez elle et qu’elle me croit encore dans la chambre, Veronika a totalement sorti ses deux seins de son soutien gorge et je peux ainsi voir toute sa poitrine. Je me surprend à bander et je me secoue la tête pour me changer les idée et je continu mon chemin pour prendre possession du sac manquant. En repassant devant la salle, Vero est toujours là dans la même position et elle semble presque endormie. Je dépose le sac à mes pieds et entre dans la pièce discrètement. Je m’approche doucement de la mère assise et comblée. Me rendant compte que la situation ne me met pas vraiment en bonne position, je décide de rebrousser chemin pour retourner à ma chambre. Au moment où je tourne le dos, Vero m’interpelle.
-Thomas, tu pourrais m’aider à le retourner pour changer de sein?
Je me retourne lentement comme honteux d’avoir été pris. Veronika me regarde et incline la tête vers le petit qui tète toujours le sein maternel.
-Bien sûr! dis-je avec assurance.
Je me penche donc vers le nourrisson et le prend dans mes bras. Vero essuie les quelques gouttes qui s’échappent encore et me fait signe de lui replacer le bébé dans les bras. Elle n’a en aucun cas tenté de cacher l’un de ses seins et je tente avec beaucoup de volonté de ne pas fixer ceux-ci. Je place Nathan dans les bras de sa mère, qui me remercie. Alors que je me retourne pour quitter la pière, Vero m’arrête une fois de plus, m’offrant de rester avec elle pour discuter. Sachant que si je me retourne une fois de plus, mon excitation qui est maintenant très apparente se retrouvera directement à vue de Veronika, je refuse poliment l’invitation et me dirige d’un pas assez pressé vers ma chambre. Le temps de défaire mes valises et de décanter la situation et mes idées ont retrouvés un peu de lucidité, quand je décide de faire une petite sieste.
C’est Antoine qui me réveille en frappant à ma porte. Je me lève et serre mon vieil ami dans mes bras. Malgré le temps que nous nous sommes perdus de vue, la complicité entre nous semble ne s’être jamais affaissée. Nous nous dirigeons ensemble vers la cuisine. Le petit est couché dans son parc, installé dans la pièce juxtaposée à la salle à manger. Antoine m’offre une bière et nous nous installons à table pour parler un peu du bon vieux temps.
-Où est passée ta femme?
-Elle est allée chercher sa soeur. Elle vient souper avec nous, ça ne te dérange pas?
-Non, c’est chez toi. Mais je t’avertis, n’essaies pas de me brancher avec elle.
-T’inquiète. C’est juste que le baptême à lieu dans six jours et que Vero et moi croyons que ce serait une bonne chose que l’on se rencontre tous ensemble.
-Je suis assez d’accord en effet.
La discussion continue alors que les filles arrivent finalement. Vero vient embrasser Antoine alors qu’Alysse me lance un sourire en signe de bonjour, sourire que je lui rend avec joie. Les deux filles nous quittent pour aller préparer le repas. Nous nous relançons alors dans nos discussions jusqu’à ce qu’elles nous appellent. Le repas se déroule rondement, la nourriture est excellente, le vin coule abondamment (sauf pour Veronika puisqu’elle allaite) et je commence à perdre mon anglais, obligeant Antoine à faire la traduction. La discussion va bon train, quand Vero quitte la table et revient avec le petit Nathan. Je comprend rapidement que c’est l’heure pour lui de boire. Un peu gêné que Vero s’installe à la table pour donner à boire au petit, je tente de regarder ailleurs, mais mon état d’ébriété assez avancé plonge mon regard dans le décolleté d’Alyssa, qui me ramène à l’ordre amicalement, dans un français approximatif.
-Hé! Tu ne pas vouloir regarder ceux de Veronika, mais le miens c’est être OK?
-Je suis vraiment désolé. cette phrase m’a sortie de ma torpeur et je relève la tête pour voir le sourire de la belle Alyssa qui me lance un clin d’œil.
Malgré que Veronika soit en train de donner à boire à Nathan, nous continuons la discussion. La situation commence alors vraiment à me chauffer. Antoine lance qu’il doit quitter un instant, ayant besoin d’aller à la salle de bain. Je reste donc avec les deux filles. Veronika demeure silencieuse, pendant que je continue à parler avec Alyssa. La discussion fini par tournée sur moi. Je lui explique d’où je viens, que je suis content d’enfin faire la connaissance de la famille de Veronika et que j’étais ravi de voir que la sœur de Vero était aussi belle que Vero elle-même.
-Est-ce que tu êtres en train de me draguer?
-Mais pas du tout. Si on ne peut plus donner de compliments je vais me taire.
-Mais non, je trouver ça très gentille ce que tu me dis.
Nous jetons tous deux un coup d’œil vers Vero qui sourit bêtement, semblant ne pas trop comprendre ce que l’on se raconte.
-Vous pouvez m’aider à changer Nathan?
-Avec joie. m’empressai-je de lancer, me levant pour prendre Nathan des bras de Veronika.
De l’autre côté, Alyssa essuie le sein de Vero et sort l’autre du soutien, avant de me faire signe de reposer le bébé dans les bras de la mère. En m’éxécutant, le revers de ma main entre en contact avec le sein de Vero, qui ne semble pas trop s’en être rendu compte, contrairement à Alyssa. Antoine revient et annonce qu’il est exténuer et qu’il va nous fausser compagnie, Veronika fait de même.
Avant de partir, Alyssa se dirige à la salle de bain. Alors que je pense que tout le monde est allé dormir, j’entre dans la salle de bain. Alyssa y est toujours et elle semble endormie, assise sur la cuvette. Je m’approche d’elle, l’aide à se relever et à replacer son jeans. Je la prend ensuite sur mon épaule pour l’amener dans ma chambre, la couche sur le lit, lui retire ses vêtements, me gardant bien de lui enlever ses sous-vêtements, et je la borde. Je me couche ensuite sur le sol à côté du lit.
Au matin, je me réveille, toujours sur le sol de la chambre, avec une couverture sur les épaules. Je me lève et sur la table de chevet est placée une note.
Merci de pas avoir profiter de l’occasion.
Signée Alyssa
Je sors de la chambre, toujours habillé des vêtements de la veille, et me dirige vers la cuisine. Personne. Je vais à la salle de séjour. Toujours rien. La porte de la chambre des maîtres est ouverte et il n’y a personne. De retour dans la cuisine, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir. Veronika entre avec Nathan dans une main, un café et quelques muffins de l’autre. Je m’avance pour l’aider à entrer et elle me plaque une bise sur la joue, alors que je prend Nathan dans mes bras.
-Merci beaucoup pour mon sœur. Tu êtres cool avec elle.
-De rien.
Je place Nathan endormi dans son parc et revient pour prendre mon café avec Vero dans la cuisine.
-Ce que tu as fait pour ma soeur, je ne connais pas beaucoup d’homme qui en aurait fait autant. me dit-elle en anglais.
-Je ne crois pas, c’était normale. Je la trouve très belle, mais profiter d’elle ce n’est vraiment pas mon genre.
Elle sourit
-Profiter de moi non plus.
-Que veux-tu dire? Je ne suis pas intéressé par toi, tu es la femme d’Antoine et il est comme un frère pour moi.
-Je suis désolé, je pensais que tu étais un peu intéressé à moi, mais je me suis trompée. sur ces mots Veronika tente de se lever, mais je l’en empêche.
-Je te trouve superbe, mais tu es comme ma belle-sœur. Je ne pourrais pas faire se genre de chose à Antoine.
Le doux visage de Veronika s’assombrit
-Je sais que je ne suis plus aussi belle.
-Mais voyons, ne dis pas une telle chose, tu es magnifique.
-Alors pourquoi Antoine ne me touche plus depuis plusieurs mois?
-Je ne pourrais pas dire. Mais ce que je peux dire c’est qu’il manque quelques chose. Tu es splendide et ton rôle de mère te rend radieuse.
-Merci Thomas, mais ça ne m’aide pas à atténuer mon désir.
Ne voulant pas n’aventurer sur un terrain un peu trop glissant, je m’éclipse prétextant avoir entendu le petit pleurer. Une fois dans la chambre, Veronika revient à la charge.
-J’ai pensé que quand tu m’avais vu donner le sein à Nathan tu avais été excité.
-Veronika, je l’ai été, mais cette excitation ne dois pas aller plus loin, tu es la femme de mon meilleur ami. Ce n’est pas le genre de chose que je peux faire et ce n’est pas le genre de chose que TU devrais faire non plus.
-Lui il l’a fait. me lance-t-elle
-Je ne savais pas. dis-je en baissant les yeux. Je suis vraiment désolé. Tu veux en parler.
-C’était durant que j’étaie enceinte. Un jour que je devais être chez le médecin toute la journée pour des tests, le rendez-vous à été annulé alors je suis revenue à la maison. Quand je suis arrivée, l’auto d’Antoine était dans le stationnement. En entrant, je l’ai trouvé au lit avec une des ses collègues de travail. Il ne m’a pas vu alors je suis repartie sans rien dire et je ne lui en ai pas parler.
-Je n’aurais pas pensé ça d’Antoine. Ce n’est pas vraiment dans ses habitudes.
-J’ai parler avec d’autres femmes de militaires et elles m’ont dit que c’était souvent le cas et qu’elles devaient s’y faire. Que même si on voudrait faire quoi que se soit contre ça, ça ne changerait rien, puisqu’ils partent en mission et en entraînement mixte tout le temps.
-Mais pourquoi ne pas divorcer?
-J’ai un enfant sur les bras, j’ai abandonné mes études pour fonder une famille. Même avec une pension je n’aurais pas les moyens de retourner aux études.
-Et que vas-tu faire?
-Je ne sais pas. Je crois que je devrais vivre avec cela étant donné qu’il n’a pas le choix. Le plus difficile c’est que depuis qu’il a sa maîtresse, il ne me touche plus. Dès qu’il arrive il est très fatigué et dans le lit il dort immédiatement. Je commence à avoir très envie.
-Et c’est pour ça que tu as tout fait pour m’exciter en m’exhibant tes seins depuis mon arrivée?
-Oui. répond-t-elle, baissant la tête honteuse.
Je lui relève la tête, l’embrasse sur la joue et la prend dans mes bras pour la transporter sur le canapé. Je lui ordonne doucement de retirer son pantalon et sa culotte. Je la prend par la taille et la place sur le bord du canapé pour plonger lentement ma tête entre ses jambes. Vero pousse de petit cri alors que je lèche goulûment son clitoris. Elle me tient la tête à deux mains dessinant le mouvement. Dès que je recule un peu la tête, son bassin s’avance pour revenir à la rencontre de ma bouche. L’une de ses mains quitte ma tête pour se loger sur son sein gauche qu’elle malaxe avec ardeur. Je lui caresse les jambes avec ma main droite, remontant sur ses hanches et ensuite sur ses seins avant de redescendre et de venir placer deux doigts dans son vagin. Les mouvements de mes doigts ajoutés aux caresses prodiguées par ma langue l’amènent rapidement à la jouissance et elle laisse échapper un cri percutant tout en m’empoignant les cheveux avec vigueur. Lorsque l’extase est passée, elle se laisse tomber sur le canapé, exténuée. Je la soulève une fois de plus en la prenant dans mes bras, l’emmenant à sa chambre pour la coucher sur son lit. Je retourne ensuite dans la salle de séjour pour laver le plancher et m’installe ensuite avec mon filleul sur le parquet pour jouer un peu.
Il est un peu passé midi quand j’entends la douche de la salle de bain des maîtres couler. Nathan commence à avoir faim et pleure beaucoup. Je me rend donc à la chambre des maîtres et cogne à la porte.
-Oui. Tu peux entrer.
J’entre donc dans la chambre. Veronika est assise sur son lit, elle a enfiler une robe de chambre.
-C’est Nathan, je crois qu’il a faim. lui dis-je en lui déposant le bébé dans les bras.
-Tu peux m’aider? dit-elle en faisant un signe de tête vers sa poitrine.
Je sors donc son sein de la robe de chambre, m’appliquant pour que l’opération soit douce et affectueuse. Vero me sourit et place Nathan pour sa tétée. Je me dirige vers la porte, mais comme c’est devenu une habitude dans ce cas là, Veronika m’interrompt.
-J’aimerais que tu restes avec moi.
-D’accord.
Je m’assied à côté d’elle sur le lit.
-Merci pour tout à l’heure.
-De rien, mais j’aimerais que cela reste entre nous. Je n’ai pas envie qu’Antoine tente de me tuer parce que j’ai fait plaisir à sa femme.
-Ne t’inquiète pas.
Les secondes passent et j’aide Vero à changer le bébé de position, mais durant que je l’ai encore dans les mains, Veronika ouvre d’un coup ma braguette puis tente d’en extirper mon membre. J’ai un moment de recul, mais déjà elle l’a en main et elle me ramène vers elle.
-Qu’est-ce que tu fais?
-Je te dois bien cela, non?
-Mais pas ici, et pas avec Nathan dans les bras.
-Si ce n’est pas maintenant tu ne voudras pas que je te remercie autre part.
-Écoute, fini de nourrir Nathan, je vais aller le coucher et tu me remercieras comme tu voudras, mais c’est vraiment trop bizarre d’être dans cette position avec Nathan dans les bras.
Veronika accepte, mais elle refuse que je quitte la chambre. Comme convenu je vais placer le poupon dans son berceau et quand je reviens, Vero n’est plus dans la chambre. Je crois m’en être sorti quand je l’entend qui m’appelle de la salle de bain. Je m’y rend et me retrouve face à face avec Veronika complètement nue au milieu de la pièce.
-Je vais te remercier sous la douche. Allez viens.
En disant cela elle s’approche de moi. Je suis stupéfait et durant qu’elle me retire mes vêtements, je ne peux m’empêcher de caresser ses hanches, son dos, sa poitrine. Lentement elle me traîne jusque sous l’eau chaude de la douche. Elle s’approche de moi et nos deux corps entrent en contact. D’abord ses seins touchent mon torse, puis nos ventres et nos sexes. Elle tente de m’embrasser sur la bouche, mais je recule la tête, lui faisant comprendre que c’était de trop. Elle se lance donc à l’assaut de mon cou descendant sur ma poitrine et continuant son chemin jusqu’à mon sexe qui est carrément à la verticale. Elle lève les yeux et les plongent dans les miens.
-Alors, il semblerait que je te fait de l’effet?
-Je te l’avais bien dit que tu étais très belle.
Sur ces mots, elle embouche totalement mon sexe, me prodiguant une pipe fameuse. Elle va de mes testicules, à mon gland sans lâcher mon manche. Bientôt je sens que je vais tout lâcher et je lui lance en français.
-Attention je vais venir.
Elle lâche mon sexe et me regarde d’un ton interrogatif, mais il est trop tard pour lui expliquer et le sperme gicle sur son visage, dans ses cheveux et sur ses seins.
-Waouch! Pourquoi tu ne m’as pas averti? Je déteste le sperme, c’est trop difficile à retirer sur le corps.
-Je suis désolé, j’ai essayé, mais tu ne m’as pas compris.
Nous nous regardons et nous nous exclamons de rire. Je l’aide à se relever et à se laver. Mes mains parcourent son corps et rapidement mon sexe reprend de la vigueur.
-Tu veux bien me faire l’amour?
-Je ne crois pas que ce soit une bonne idée.
-D’accord, mais que vas tu faire avec cela. dit-elle en désignant mon sexe qui est de retour au garde à vous.
Sans dire un mot, je la retourne, la place face contre le mur de la douche et lui doigte le petit trou à l’aide de l’index.
-Non Thomas, je ne le permet même pas à Antoine.
-Écoute, je ne veux pas te prendre par devant, ce serait le comble pour tromper Antoine.
Vero semble avoir acceptée mon explication et elle fait aller sa croupe à la rencontre de mon doigt. Elle empoigne ma verge et la place elle même à l’entrée de son anus. Je m’enfonce lentement dans son fondement, lui arrachant des gémissements de douleurs. Plus mon engin s’enfonce en elle et plus les gémissements se transforment en gémissements de plaisir. Mes allers-retours lui font bientôt atteindre le point de non retour et je la sens vibrer entre mes mains. Sentant qu’à mon tour je vais venir, je me retire, la retourne et la fait s’agenouiller. Elle ouvre la bouche à temps pour recevoir le tout sur la langue. Elle ferme la bouche, avale et ré-ouvre la bouche pour me montrer qu’elle a tout avalé.
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