Je rentre, avec ce TER, d’un séminaire de travail. Bercée par le rythme cadencé du train, mon esprit s’évade au fil de ce panorama ambulant qui défile par la fenêtre …
Je suis plongée dans un magasine féminin, quant à la suite d’un arrêt en gare, une jeune fille qui doit avoir 18/20 ans,menue, la silhouette sportive, des cheveux et des yeux bruns, vient s’asseoir en face de moi. À voir son bagage, certainement une étudiante en fac. Nous échangeons quelque formules de politesse, puis elle se plonge dans son Smartphone et moi dans ma revue.
Lorsque je relève la tête, ma jeune voisine s’est assoupie. Je l’observe discrètement. Son visage d’ange, encadré par de longs cheveux, l’ombre fine légèrement déposée sur ses paupières fermées, des lèvres qui appellent au baiser. Ses seins que je devine ni trop gros, ni trop petits sous son top.
Mon regard suit ses bras nus , descend sur ses mains aux longs doigts, posées sur ses cuisses … Et mes yeux tombent droits sur ses jambes entrouvertes … Elle ne porte pas de culotte ! Avachie sur le siège, sa jupe courte est remontée suffisamment haut, pour me laisser entrevoir son sexe épilé, orné de deux anneaux sur les grandes lèvres …
Je ne peux m’empêcher de fixer cette zone secrète, involontairement exposée à ma vue. À imaginer ce joli abricot, sous cette toison sombre, mon intérieur est complètement survolté. Plein d’idées traversent mon esprit. J’ai chaud, des picotements envahissent mon bas-ventre, mes pointes durcissent. Et ma culotte se mouille.
Hélas ! Alors que le voyage devient intéressant, dans les haut-parleurs résonnent l’annonce d’une arrivée en gare. Ma jeune voisine s’éveille en sursaut.
Surprise en pleine séance de voyeurisme, je fais mine de me replonger dans mon magazine. Mon cœur bat la chamade, tandis qu’elle se lève pour sortir, accompagnant son « au revoir » d’un sourire coquin, qui en dit long sur ce qu’elle a remarqué en se réveillant. À moins que son sommeil n’ait été qu’un alibi pour s’exhiber et m’exciter…
… Ce qui est réussi.
Restée seule, je fantasme sur ma belle inconnue et ce sexe piercé …
J’imagine mes lèvres sur sa peau, ma poitrine contre ses seins, sa chatte luisant de désir sous mes caresses. Son souffle qui s’accélère au fur et à mesure de la montée de son plaisir. Ma bouche sur sa vulve, se délectant de son nectar. Mes lèvres tirant sur ses anneaux. Ma langue jouant avec son clitoris. Son corps s’arc-bouter et enfin l’entendre exhaler le délicieux chant de l’extase…
Des pensées cochonnent me poursuivent jusqu’à mon arrivée …
Quand je ferme la porte derrière moi, surexcitée, je rentre dans ma chambre, m’allonge sur le lit. Les images de cette fille sans culotte, d’un sexe comme j’en ai jamais vu, nourrissent toujours mon imaginaire quand mes doigts glissent sur mon cou à gestes lents. Descendent sur mes seins, libres, sans soutien-gorge. Taquine du bout des doigts mes tétons sur mon chemisier, ce qui les rend durs.
Je ferme les yeux pour encore mieux ressentir ce plaisir. Je pince mon téton en m’imaginant que se sont ses lèvres qui les mordent. Ces mêmes lèvres qui couvrent mon corps de baisers.
Et ces rêveries entrainent d’autres caresses …
Mes doigts trouvent l’ourlet de ma robe. D’imaginer qu’ils sont siens, une plainte s’échappe de mes lèvres quand ma main, dans ma culotte, trouve un sexe ouvert et trempe. Je n’en reviens pas de sentir à quel point je suis mouillée, juste de l’effet de cette chimère.
J’enlève ma culotte …
Mon corps frissonne quand d’un doigt je caresse ma fente de bas en haut. Ma chatte est parcouru de fourmillements quand il prend possession de mon clitoris
Je l’imagine, avec ses yeux coquins, entrevus un instant dans le TER, me regarder et me dire:
« Je veux vous voir venir, je veux vous voir jouir, vilaine voyeuse »
Qu’elle m’ait, peut être, aperçue la mater à son réveil, me remplit d’un sentiment de honte qui exacerbe mon désir et m’enflamme.
J’accélère le rythme de mes doigts. Tantôt frottant mon clito, tantôt glissant mon index dans ma vulve pour remonter un filet de mouillure. Réveillant cette houle familière, au plus profond de mes entrailles.
Ma respiration s’ accélère, devient haletante.
Ma main libre déboutonne mon chemisier, empaume un de mes seins. Les doigts tournent autour puis s’aventurent sur le galbe de ce globe. Remontant de mon sexe, des ondes électriques parcourent mon corps quand je passe mon index sur le téton dressé.
« Je vais venir pour vous, je vais jouir pour vous » … Mais pas comme ça, pas qu’avec mes doigts, je veux plus ! … Un autre plaisir …
Le bourdonnement de mon œuf vibrant, pratique, peu encombrant, et qui sait me donner tant de bonheur, empli la pièce. Avec, je chemine autour de mes petites pommes, roule sur mes mamelons. Descend sur mon ventre, le mont du pubis … Et enfin mes lèvres intimes.
Sous l’excitation du jouet, mes hanches ondulent, ma vulve est ruisselante. Je gémis bruyamment au contact du joujou sur mon bourgeon.
Le vibreur caresse sur la longueur ma fente, aguiche mon vestibule , revient câliner mon bouton.
L’autre main pétrit mes petits globes, tord, tire sur les tétons
Une plainte, longue, douce, sort de ma gorge quand j’introduis l’œuf dans mon con. Je le pousse un peu plus loin, il disparait dans le vagin, j’accélère la puissance de la chose. La vibration stimule mes parois et me rend folle. Je dégouline, je ne peux plus retenir mes cris de plaisirs.
Ma main accentue sa pression sur un néné, le téton coincé entre deux doigts.
J’ai ramené le vibro contre mon bourgeon. Mes hanches ondulent, comme mues par une volonté propre, exprimant ce que ma main et son vibromasseur sont en train de me faire. Je sens la boule se construire dans mon bas-ventre. Mes cris se sont transformés en râles continus.
J’augmente la vitesse de l’œuf et l’appuie plus fort sur mon bouton. Mon corps tressaute, commence à se crisper, je retiens mon souffle. Je suis au bord de l’orgasme …
Le jus de ma jouissance coule entre mes fesses,
Je ferme les yeux, rejette ma tête en arrière, je suis tétanisée, mes jambes tremblent,
Et c’est l’explosion, des myriade d’étoiles filantes me transpercent … !
Je pars, dans un orgasme fantasmagorique, qui m’arrache à ce monde, en pensant à vous, mon inconnue du TER …
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