Je suis repassé plusieurs fois dans cette galerie en espérant que je rencontrerai à nouveau la femme mais je ne la trouvais pas puis un mois plus tard, je l’ai vue passer devant moi et je l’ai suivi et elle a fini par se retourner.
– Tiens, c’est toi, m’a fait la femme ! Tu as toujours envie de me faire tourner dans tes films ?
– Oui !
Ça commençait bien. La femme m’a dit de la suivre et je suis monté dans sa voiture mais elle n’a pas voulu que je la touche puis elle s’est garée dans le parking souterrain de son immeuble et j’ai pris l’ascenseur avec elle.
– Pas touche, m’a-t-elle dit sans arrêt !
Je l’ai suivie dans un appartement. C’était sombre et glauque puis nous sommes arrivés dans une pièce. Il y avait des cordes et des chaînes qui pendaient du plafond.
– Dans le sexe, il faut savoir souffrir pour avoir du plaisir, m’a alors dit la femme ! Est-ce que tu es près ?
Je n’avais pas de raison de refuser. Elle m’a dit de me déshabiller et elle m’a mis une espèce de masque en cuir sur la tête. Je ne pouvais voir que par un petit trou et j’avais du mal à respirer puis elle m’a attaché les mains dans le dos et elle m’a mis une sorte de collier sur les couilles et qu’elle a serré le plus possible, ce qui m’a fait bander.
– Ah, voilà, m’a fait la femme et elle m’a mis un coup de badine sur le bite et ça m’a fait mal puis elle a recommencé avant de me taper sur les fesses avec sa badine. C’était horrible et elle m’a laissé pour que je profite de ma douleur qu’elle m’a dit et elle s’est déshabillée.
A part dans les bouquins de cul, je n’avais jamais vu de femme aussi belle. Un corps parfait. Le ventre plat, des jambes de déesse et des seins. Si je vous parlais de ses seins. La femme a mis des colliers dessus pour qu’ils soient bien ronds et bien durs et les mamelons, elle les a ornés avec des pinces.
– Tu as fini de te rincer l’œil, m’a encore dit la femme et elle a recommencé avec sa baguette sur ma bite et plus elle me tapait et plus ça me faisait bander si bien que la femme a commencé à me branler mais à chaque fois que je sentais que ça allait venir, elle s’arrêtait en me disant que je n’y ai pas droit, avant de recommencer à me branler.
Après, elle m’a frotté les seins sur mes fesses puis sur ma vite puis elle me les a collés sur le visage. Je n’en pouvais plus. Après tout ça, elle s’est mise derrière moi et elle a attrapé ma bite dans ses doigts et elle m’a branlé.
Elle avait disposé une coupe sur un tabouret juste devant nous et quand j’ai joui, toute ma semence est allée dedans. Cette femme, en une fois, m’avait complètement vidé les couilles.
Elle a versé mon sperme dans un verre puis elle m’en a fait boire la moitié avant d’en avaler le reste et elle m’a demandé si je veux qu’on recommence.
– Avec les coups de badine, lui ai-je demandé ?
-Avec les coups de badine, m’a répondu la femme et elle m’a frappé sur la bite et les couilles.
Je n’en pouvais plus. Elle a pris des baguettes comme s’en servent les asiatiques pour manger et elle m’a branlé à nouveau avec. C’était horrible car je sentais bien que je n’avais plus rien dans les couilles mais la femme continuait à me branler avec ses baguette et j’ai senti monter mon plaisir et j’ai joui mais pas une goutte n’est sortie de ma bite et la femme m’a dit qu’enfin je suis propre.
Quand elle m’a détaché, j’ai eu du mal à rester debout mais j’ai dû me rhabiller et la femme m’a donné deux cents euros en échange de la promesse de garder secret ce qui venait de ses passer puis elle ma dit de rester prêt car un jour elle aura encore besoin de moi.
FIN
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